Cravant-les-Côteaux

Cravant-les-Côteaux (Wikipedia) est un village du Sud de la Touraine. Ses habitants sont appelés les Cravantais, les Cravantaises.
Il a porté les noms de: Cravent (vers 1127, charte de l'abbaye de Noyers), Ecclesia de Cravento (vers 1148, charte d'Engebault, archevêque de Tours), Creventum et Crevent (1209, charte de Marmoutier), Cravant (1124, charte de Pommier-Aigre), Parochia de Cravento (1290, cartulaire de l'archevêché de Tours), Cravant (XVIIIe siècle, carte de Cassini), Cravant (1820, carte de l'état-major), Cravant-les-Côteaux (décret du 3 décembre 1936).
Ce fief, relevant du château de Chinon, fut acquis en 1624 par Marie de Bourbon-Montpensier, épouse de Gaston d'Orléans. Il sera conservé par les d'Orléans jusqu'en 1750.
Le plus ancien registre paroissial date de 1616.
Coordonnées GPS de Cravant-les-Côteaux: 0°20'49"E - 47°09'29"N
Code INSEE: 37089 - Code postal: 37500 - Superficie: 3821 hectares
Altitudes: de 27 à 121 mètres (à la butte du Vau-Gommier)
Cours d'eau: la Vienne
L'église Saint-Léger du Vieux-Bourg a été construite à la fin du IXe siècle (nef) et modifiée aux XIIe (façade, chœur, abside et porte latérale Sud), XIIIe (travée) et XVe siècles (charpente et chapelle latérale).
La  nef est parementée en petit appareil interrompu, dans la muraille Sud, par des assises en appareil en feuille de fougère et par des assises en moyen appareil. Cinq fenêtres éclairaient la nef de chaque côté. Au nord, deux fenêtres ont été condamnées. Extérieurement, leur archivolte est moulurée de grosses billettes régulièrement espacées, et se continue sur le parement entre les fenêtre en formant des arcs en mitre. Sous ces arcs limitant des sortes de frontons triangulaires et entre les pieds-droits des fenêtres, les pierres du petit appareil sont disposées symétriquement au milieu de l'appareil moyen, de manière à dessiner des pyramides étagées.
Dans la façade Ouest, une porte en plein cintre a été ouverte dans un massif en moyen appareil appliqué contre le petit appareil primitif. Cette porte a trois voussures moulurées d'un tore. La fenêtre qui la surmonte a remplacé, au XIIe siècle, la fenêtre primitive. La porte latérale Sud, en plein cintre et à deux rouleaux, est circonscrites par une archivolte moulurée d'un gros câble. Jadis, cette porte était précédée par un portique qui fut supprimé à la fin du XIXe siècle. La nef est couverte en charpente avec bardeaux qui ont été refaits au XVe siècle.
Primitivement, cette nef se continuait, vers l'Est, par une courte abside semi-circulaire voûtée en cul-de-four. Celle-ci fut détruite au XIIe siècle et remplacée par une travée carrée accompagnée, au Sud, par une chapelle, et par un chœur et une abside semi-circulaire plus profonds.
La travée carrée fut voûtée, au XIIIe siècle, sur une croisée d'ogives profilées de deux tores séparés par un méplat et retombant sur les chapiteaux, ornés de feuilles, de colonnes engagées dans les angles. Cette travée est accompagnée, au Sud, par une chapelle éclairée par une fenêtre à croisée de pierre. Cette chapelle est voûtée par un berceau brisé.
Le chœur, couvert par un berceau brisé, est éclairé au Sud par une fenêtre en tiers-point dont le sommet garde l'amorce d'un remplage tréflé. Un important doubleau, soutenu par deux grosses colonnes engagées, le relie à l'abside semi-circulaire, voûtée en cul-de-four. Cette abside était, primitivement, éclairée par trois fenêtres en plein cintre dont la médiane était plus large. Elles s'ouvraient sous des arcs retombant sur des colonnettes engagées. De ces trois fenêtres, celle du Nord a disparu et la médiane a été condamnée au XVIe siècle. A la même époque, le mur de l'abside fut surélevé en respectant, en partie, la corniche ornée d'un damier et soutenue par des modillons. Au Nord de cette abside, fut construit un bâtiment carré renfermant un escalier conduisant au comble. L'abside est épaulée par trois contreforts-colonnes et éclairée par deux fenêtres reposant sur des bandeaux décorés de besants. Elles ont leurs archivoltes moulurées, l'une d'une ligne de quatre-feuilles, l'autre d'une ligne de chevrons.
Désaffectée depuis 1863, cette église a été achetée par la Société française d'archéologie en 1864.
Le chevet de cette église possède quelques modillons sculptés.
Elle renferme un petit musée d'art lapidaire présentant des pierres sculptées et des sarcophages. Deux piliers ornés d'entrelacs étaient ceux qui soutenaient le portique placé devant la porte latérale.
Sur un mur, on peut observer les vestiges d'une fresque représentant, à gauche, la Vierge à l'Enfant (XIIIe siècle) et, à droite, quatre personnages en prière (XVe siècle). Ces personnes seraient Georges de la Trémoille, Catherine de l'Île, sa femme, et leurs enfants.
Près de cette église, un logis privé date du XVe siècle mais sa façade a été remaniée au XVIIe siècle. Sa grange à croupe a été bâtie au XVIe siècle.
L'église Saint-Léger, au nouveau bourg, a été édifiée de novembre 1860 à 1865 selon les plans (en croix latine) de l'architecte Gustave Guérin. Elle comprend une nef à trois travées avec une voûte en berceau brisé, un chœur à voûtes ogivales, un chevet polygonal et deux chapelles, à voûtes ogivales, formant transept. Cet édifice fut consacré le 21 octobre 1865. La tribune a été réalisée en 1934 par le charpentier Alfred Girard.
Les trois vitraux du chœur, réalisés par Lucien-Léopold Lobin (Tours, 1862), représentent: le martyre de saint Léger, saint Laurent distribuant ses biens aux pauvres avant son martyre, la messe miraculeuse de saint Martin (📷). Le même peintre-verrier est aussi l'auteur de six grisailles ornementales (1862).
La chapelle de la Madeleine date du XVe siècle. Sa façade est percée par une porte en arc surbaissé qui est surmontée par une fenêtre en tiers-point. Une autre porte latérale sud permettait aussi de pénétrer dans la nef unique rectangulaire. Cette nef était éclairée, au Sud, par deux fenêtres en lancette. Elle était divisée en deux travées voûtées sur croisées d'ogives. Le chœur, creusé dans le rocher, est en ruines. Il communique, au Sud, par un passage, avec une grotte qui était continuée, à l'Ouest, par une construction dont l'arrachement se voit sur le parement de la muraille Sud de la chapelle. Cette cave possédait une cheminée, dont le foyer était orné par deux croix pattées, creusée dans le rocher. Cette chapelle est l'un des vestiges du couvent des cordeliers situé à Panzoult.
Le dolmen ruiné de Briançon, surnommé le Gros-Chillou, mesurait environ 15 mètres de long et 3 de haut.
La ferme privée de La Gabelle à Briançon (XVIe siècle) est située au bord de la Vienne, près du gué allant à Anché. Elle présente des vestiges de fortification (canonnières) au Sud. Jadis, elle a été occupée par le lieutenant de la gabelle. Le trafic du sel s'était développé sur la Vienne car le Poitou, tout proche, fut exempté de l'impôt sur le sel vers 1530.
Le château privé de Cravant (dit le Vieux-Château) est, à l'origine, un manoir fortifié du XVe siècle dont il reste la base d'une tour carrée et un logis en ruines. Ce manoir avait été bâti sur l'emplacement d'un édifice plus ancien. Le château actuel fut achevé en 1556 et agrandi en 1560. Il comprend un pavillon, une tour d'escalier et une tour surmontée de mâchicoulis. Ces bâtiments occupent le côté Ouest de l'enceinte rectangulaire où l'on pénètre, à l'Est, par une porte accompagnée d'un guichet munis jadis de ponts-levis qui franchissaient les douves. Dans l'angle Nord-Est de cette enceinte, il subsiste une casemate et un souterrain du XVe siècle. En 1860, un bâtiment d'angle (XVIIe siècle), la chapelle et la fuye sont détruits. Sur la photo, au premier plan, on aperçoit un puits du XVe siècle avec une toiture du XVIIe siècle.
Le manoir privé des Berthaisières (XVIe siècle) possède un portail en anse de panier avec arcature moulurée, accompagné d'un guichet en plein cintre surmonté par un fronton triangulaire, fortifié de 1574. L'ensemble est dominé par un chemin de ronde décoratif sur mâchicoulis, flanqué de deux échauguettes.
Jadis, la courtine de prolongeait à droite pour faire corps avec le logis aux angles flanqués d'une tourelle rectangulaire dont les sommets se voient dans le grenier. Celle donnant sur le jardin existe encore à l'extérieur. Au XVIIe siècle, l'habitation fut agrandie et prolongée à l'Ouest. Elle fut couverte d'un toit d'ardoise cloutées à quatre pans. Le mur Sud est épaulé par trois gros contreforts en pierre de taille jusqu'à la hauteur de l'étage. Le mur Nord s'appuie sur une tour polygonale en moyen appareil, renfermant un escalier à vis dont quelques marches sont recouvertes de bois. La flèche pyramidale présente une lucarne à tympan triangulaire. 
La grande salle du niveau supérieur est chauffée par une cheminée aux jambages légèrement galbés, creusés de cannelures rudentées à la base, de la fin du XVIIe siècle. La hotte, peu saillante, présente un trumeau cintré et une corniche à double moulure. La taque du foyer proviendrait de Beugny et porte un écu armorié et fleurdelisé.
Le château privé de Sonnay a été reconstruit au XIXe siècle. L'édifice primitif était du XVe siècle. De nos jours, ce château se compose de deux ailes symétriques séparées par un avant-corps central. Chaque aile est flanquée par un pavillon de plan rectangulaire. Le bâtiment est élevé d'un étage carré et d'un étage de comble. Chaque aile comprend quatre travées régulières et est protégée par un toit en pavillon en ardoise.
Au Sud du parc, un pigeonnier (XVe siècle), en moellons et sans toit, renferme 2200 boulins (nids de pigeons). Le linteau de sa porte d'origine est allégé par un arc de décharge. Une seconde porte fut percée plus tardivement.
Sa chapelle est de construction récente (2002). La chapelle primitive, placée sous le vocable de sainte Catherine, avait été fondée le 3 septembre 1446 par Jean Bernard, archevêque de Tours.
Le manoir privé de Nueil ou Neuil date des XVIe et XVIIe siècles. Au Sud, en bordure de la route, se trouve un long bâtiment en moellons du XVIIe terminé par un pavillon en légère saillie et élevé d'un rez-de-chaussée et d'un comble. Celui-ci est éclairé par des oculus percés dans un élément en pierres de taille surmonté par un tympan triangulaire. L'un d'eux est encadré, de part et d'autre, par une double lucarne à fronton courbe. Les salles basses ont conservé deux cheminées d'époque: l'une est à linteau rectiligne et jambages rectangulaires, l'autre est à linteau incurvé sur jambages légèrement galbés.
Primitivement, Nueil fut une maison fortifiée. Au Nord, à mi-pente du coteau, subsiste en partie le mur d'enceinte, reliant deux tours cylindriques privées de toiture et qui servaient aussi de pigeonnier. En effet, elles ont gardé à l'intérieur deux travées de cinq rangées de boulins, séparées par une pierre d'envol. A quatre endroits différents, les niches furent supprimées et remplacées par des meurtrières pour armes à feu. A l'angle Sud-Est et au bord de la route, une dépendance est assise sur un fragment de courtine qui présente le cul-de-lampe d'une tourelle en encorbellement.
A l'Ouest, dans un pan de mur en pierres de taille, s'ouvre un portail en plein cintre, accompagné par un guichet pour piétons semblable et surmonté par deux échauguettes en encorbellement dont la poivrière a disparu. Elles présentent chacune un cul-de-lampe très allongé et mouluré. A la jonction entre l'enceinte et le logis s'élève une tour cylindrique en moellons couverte par un dôme d'ardoises sur un bandeau en saillie avec trois petites lucarnes et un épi en zinc portant girouette.
La cour intérieure est limitée, au Nord, par la falaise calcaire où ont été creusées de caves. Son côté Ouest est occupé par un bâtiment utilisé comme servitudes. Édifié sur un plan rectangulaire avec chaînages d'angle, il est prolongé au Sud, s'abritant sous le même toit mi-ardoises mi-tuiles plates, par une addition en colombage formant une avancée au rez-de-chaussée. On y trouve un escalier à vis donnant accès à l'étage chauffé par une cheminée à linteau en accolade surbaissée avec trumeau à corniche. Une grande fenêtre à deux panneaux verticaux séparés par un meneau éclaire la pièce. Une autre, plus étroite, a perdu son appui et son allège, presque au-dessus d'une porte en anse de panier. Le grenier est éclairé par une large lucarne à deux fenestrelles jumelles en plein cintre et à gâble aigu.
Le manoir privé de La Bellonnière a été bâti au XVe siècle et remanié au XVIIIe (façade Est). Édifié en moellons, le corps de logis principal est flanqué, à l'Ouest, par une tour polygonale percée par des petites baies rectangulaires. La porte d'entrée est surmontée par une accolade à crochets et fleuron, retombant sur deux culots ornés de feuillage. Un blason rapporté a été fixé sur le tympan qui a été remanié. Cette tour renferme un escalier à vis de 1,80 mètre d'emmarchement. Cinq marches de pierre ont été remplacées par des poutres de bois. Dans le grenier, on voit le cul-de-lampe d'une tourelle disparue qui devait être accolée sur l'une des faces. Elle abritait un escalier à vis étroit permettant d'atteindre la salle occupant le sommet de la tour qui devait donc, jadis, être plus haute. Au Sud, elle est contiguë à une galerie reposant sur quatre corbeaux imitant des mâchicoulis. Deux contreforts épaulent les angles du pignon Nord où apparaît la trace d'une fenêtre à croisée de pierre murée, dont le linteau porte aux extrémités une tête sculptée. Au XVIIIe siècle, le logis fut prolongé au Sud et terminé par un pavillon couvert par un toit à quatre pans. Alors, fut aménagé un escalier en fer à cheval dont les deux volées prennent appui sur un massif de maçonnerie limité, de chaque côté, par un pilastre dorique et percé par une porte en anse de panier à la chef et aux sommiers en saillie. De cette époque datent aussi deux cheminées Louis XVI. L'une, dont le manteau portait les attributs de la musique (mandoline et flûte à bec), a été démontée. La seconde présente, au centre du linteau, un ovale occupé par deux oiseaux perchés sur le rebord d'un vase. Un grand médaillon circulaire, à la partie supérieure du trumeau, est garni par deux carquois croisés soutenus par un ruban retenant, au-dessous d'eux, un panier débordant de fleurs et de feuillages. L'une des salles basses est chauffée par une cheminée à hotte, reposant sur deux consoles. Le très haut linteau, limité par une corniche, mesure 2,80 mètres de long. Dans le foyer, apparaît la bouche d'un four disparu.
Les traces d'une arcature visibles à l'Ouest, près de la tour, correspondent à une pièce voûtée, occupant la partie centrale du logis et qui fut, sans doute, occupée par une chapelle. Sur une pierre des communs, il y a cette inscription: Ce 23 août, un bouquet a été posé par Jean Yvet en 1769. La partie Sud possède, dans sa cour, une cave voûtée sur doubleaux. La date de 1783 est gravée sur le claveau central de sa porte.
En 1885, le logis privé des Bertinières fut bâti, en style néo-gothique, par Augustin Rouet, instituteur à Cravant.
Le manoir privé de Givré date du XVe siècle mais a été modifié au XVIIIe. Son entrée présente une double porte charretière et piétonne.
Le logis privé du Gâteau date de 1698. Au bord du chemin, à droite de l'entrée s'élève une tour carrée en moellons, couverte par un toit pyramidal de tuiles plates, percé sur deux côtés par une petite lucarne à fronton triangulaire. Tout le premier étage était un pigeonnier qui a gardé environ 200 boulins.
De plan rectangulaire, entre deux pignons portant chacun une souche de cheminée, le logis fut longtemps désaffecté. L'ancienne porte d'entrée, où figure la date de 1698, a été murée et remplacée par une autre située près de l'axe médian. Elle aurait été ouverte en 1734. L'une des cheminées avec son linteau rectiligne, sa hotte à trumeau en légère saillie et sa corniche, date du XVIIe siècle.
Le manoir privé des Bourdes (XVe siècle) a conservé une tour d'angle. C'était un fief cité dans un titre en 1554. A cette époque, son seigneur était Claude Sourdeau.
Le manoir privé de La Tesserie, datant de la fin du XVe siècle, fut agrandi au XVIIe. Partiellement ruiné au début du XXe siècle, il a été alors en grande partie reconstruit.
Le mur goutterot Ouest est percé par deux fenêtres à croisée de pierre superposées et surmontées par une lucarne à gâble aigu. La façade sur la cour, terminée par un pignon à rondelis a été très remaniée. Des chaînages en relief se prolongent d'une fenêtre à l'autre, une rangée étant à croisée de pierre, l'autre à simple traverse. Au Nord, elle s'appuie à une tour polygonale coiffée par un toit en ardoise. Si la façade Ouest de cette tour est enduit, les autres, percées de petites ouvertures rectangulaires inégales et décalées, sont en moyen appareil. La porte présente un linteau creusé d'une moulure. Elle donne accès à la cage pentagonale de l'escalier à vis.
La salle basse, au plafond de chevrons apparents soutenus par une grosse poutre maîtresse, est chauffée par une cheminée du XVIIe siècle au manteau simple. La hotte présente une corniche et un trumeau cintré. La cheminée de l'étage, aux jambages cannelés et rudentés, semble dater du XVIIIe siècle.
La grange, couverte d'un toit à longs pans, a des pignons à rondelis et un comble éclairé par trois lucarnes récentes.
Le manoir privé de Narçay est le fruit d'une série de constructions s'étalant du XVIe au XIXe siècle. Par la suite, il a été très remanié. Narçay était un fief relevant de Cravant. En 1298, il appartenait à Gilbert de Narçay, son premier seigneur connu.
Il existe quatre lavoirs: au hameau de Narçay (1ère photo), près du moulin du Tan (2ème photo), au vieux bourg de 1864, alimenté par une fontaine (3ème photo) et au nouveau bourg de 1870 (4ème photo).
Près du Monument aux Morts, on trouve un obusier.
Mais aussi un ancien pressoir à cage en bois.
Comme beaucoup de communes viticoles de Touraine, Cravant possède sa bouteille de vin géante (ici du Chinon 1995).
Au Nord-Est du village, cette table d'orientation permet de dominer la vallée de la Vienne. Une aire de pique-nique y a été installée.

A voir
  • La ferme privée du Puy, ancien fief relevant de Cravant, est composée d'un logis seigneurial (XVIe siècle) agrandi en 1761 (aile en retour d'équerre).
  • Au Puy, les vestiges d'une chapelle avec un pignon percé par deux fenêtres en plein cintre condamnées.
  • Le manoir privé de Pallus a été construit au XVIIe siècle et remanié au XVIIIe.
  • A Briançon, une chapelle transformée en logis.
  • Le pigeonnier de Briançon.
  • Les habitations troglodytiques à La Croix-de-Bois.

Lieux-dits: Bel-air, Bois-Communaux-de-Cravant, Bois-d'Arçon, Bois-des-Battereaux, Bois-Goron, Bois-Masselin, Bois-Paillard, Bois-Poulin, Branche-Torse, Briançon, Butte-aux-Loups, Butte-des-Ajoncs, Butte-de-Vau-Gommier, Butte-du-Grand-Chemin, Carrefour-Mathé, Carroi-de-la-Jarrie, Chapelle-de-la-Madeleine, Chèzelet, Doulaie, Forêt-Communale-de-Cravant, Fosse-Sèche, Givré, La Basse-Tranche, La Bâtisse, La Bellonnière, La Boissée-Goron, La Bouchardière, La Brosse, La Caronnière, La Cave, La Chaboissière, La Chapelle, La Chapellerie, La Croix-Beugny, La Croix-de-Bois, La Friche-du-Château, La Grange-Lambert, La Hardonnière, La Hermonière, L'Ajonc, La Jucaudrie, La Laiterie, La Lande-aux-Pères, La Loge, La Maison-Brûlée, La Maison-Rouge, La Motte, La Noue, La Perrière, La Petite-Métairie, La Pièce-de-la-Levée, La Pigeonnerie, La Pinnetrie, La Piqueterie, La Poissonnerie, La Raguinière, La Rougerie, La Sablonnière, La Semellerie, La Tesserie, La Varenne, Le Berceau, Le Bois-de-la-Brosse, Le Boutreuil, Le Chêne-Vert, Le Chêne-des-Hures, Le Coteau-de-Sonnay, Le Gâteau, Le Grand-Parc, Le Grand-Vauvien, Le Jeu-de-Boules, Le Marais-du-Ponceau, Le Marchais-des-Cotterets, Le Morillé, Le Moulin-à-Tan, Le Petit-Éplin, Le Petit-Gâteau, Le Puits-Moreau, Le Puy, Le Sauleau, Le Taille-Fer, Le Vau, Le Vauriau, Le Vieux-Bourg, Le Vieux-Château, Les Berthaisières, Les Bertinières, Les Boisseaux, Les Bouqueteries, Les Bourdes, Les Bruyères, Les Caillères, Les Champignères, Les Folies, Les Fosses, Les Gains, Les Granges, Les Guindais, Les Houtres, Les Jardins, Les Landes-du-Ruchard, Les Maisons-Bourdeaux, Les Malvaudières, Les Morillés, Les Mouches, Les Poiriers-Minots, Les Renardières, Les Rustaudries, Les Vallèes-de-Narçay, Les Vignes-du-Ponceau, Malvault, Morilly, Narçay, Nétiveau, Nueil, Pallus, Port-de-Chèzelet, Prairie-de-Chèzelet, Sonnay, Vallée-de-la-Bellasserie, Versailles, Villeneuve

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