Rigny-Ussé (Wikipedia) est un village de l'Ouest de la Touraine issu de la fusion des communes de Rigny et d'Ussé en 1860. Ses habitants sont appelés les Rigny-Usséens, les Rigny-Usséennes.
Ussé a porté les noms de: Uccium et Ucerum (VIe siècle), Uceum (XIe siècle), Uceium (1188, testament de Geoffroy de Beauvoir), Uceio (1232, cartulaire de l'archevêché de Tours), Ucé (1397), Ussé-sur-Indre (XVIe siècle), Ussé (XVIIIe siècle, carte de Cassini), Ussé (1820, carte de l'état-major).
Rigny s'est appelé: Renniaco (1139, 1180, cartulaire de Cormery), Rigné (1290, pouillé de Tours), Rigny (XVIIIe siècle, carte de Cassini), Rigny (1820, carte de l'état-major). Rigny était une châtellenie relevant du château de Chinon.
Ussé a porté les noms de: Uccium et Ucerum (VIe siècle), Uceum (XIe siècle), Uceium (1188, testament de Geoffroy de Beauvoir), Uceio (1232, cartulaire de l'archevêché de Tours), Ucé (1397), Ussé-sur-Indre (XVIe siècle), Ussé (XVIIIe siècle, carte de Cassini), Ussé (1820, carte de l'état-major).
Rigny s'est appelé: Renniaco (1139, 1180, cartulaire de Cormery), Rigné (1290, pouillé de Tours), Rigny (XVIIIe siècle, carte de Cassini), Rigny (1820, carte de l'état-major). Rigny était une châtellenie relevant du château de Chinon.
Les registres paroissiaux débutent en 1580 pour Rigny et en 1663 pour Ussé.
Le château d'Ussé a été reconstruit au XVe siècle par Jean V de Bueil (capitaine de Charles VII) sur les ruines d'une forteresse en bois ayant appartenu, au XIe siècle, au viking Gelduin 1er. Aux XVIe et XVIIe siècles, l'édifice fut agrandi pour devenir un château de plaisance. Selon la légende, l'écrivain Charles Perrault, de passage à Ussé, inspiré par le romantisme de l'endroit, y écrivit le conte La Belle aux Bois Dormant.
Avant la destruction de l'aile Nord, l'entrée se faisait par un pont-levis, suivant un pont dormant, par lesquels on franchissait la douve qui existe encore. Ces ponts accédaient à une porte ouverte dans l'aile Est entre deux tours la défendant. Cette porte fut remplacée par une fenêtre mais le cartouche, autrefois timbré d'armoiries, qui la surmontait, a été conservé. A sa gauche, la façade extérieure présente un avant-corps faisant saillie comme une abside à trois pans. Cet avant-corps, où se remarquent les traces des arcs de fenêtres en tiers-point, est l'abside de l'ancienne chapelle des de Bueil. Du côté cour, la façade de cette aile Est fut très restaurée et modifiée au XIXe siècle. Un lanternon octogonal, couronnant le pignon, servait jadis de clocher.
Au fond de la cour, le corps de logis Sud a aussi été modifié. Primitivement, il ne fut qu'une galerie de passage avec des arcades en tiers-point. Au XVIe siècle, il a été transformé en logis d'habitation. Sa façade sur la cour est divisée en sept travées séparées par des contreforts, correspondant aux sept arcades initiales. Au XVIIe siècle, celles-ci ont été remplacées par des fenêtres. Quatre lucarnes dominent l'ensemble. Seule la façade du côté du coteau a conservé son aspect du XVe siècle.
L'aile Ouest, avec des lucarnes à gâbles, pinacles et petits arc-boutants, est Renaissance. A sa suite, et en retour d'équerre, a été érigé, en gardant la tour d'angle Nord-Ouest, au XVIIe siècle, un bâtiment couvert par une terrasse à l'italienne.
A l'angle Sud-Ouest, se trouve un donjon circulaire du XVe siècle, flanqué, au Nord, par un avant-corps et, à l'Est, par une tourelle octogonale ornée de petites bretèches.
Le donjon cylindrique et plusieurs pièces du château peuvent se visiter comme la chambre du Roi. Sous le règne de Louis XIV, certains grands châteaux se devaient de réserver des appartements pour le roi.
Sur ces dessins de Gaignières, le château est représenté en 1699.
Avant la destruction de l'aile Nord, l'entrée se faisait par un pont-levis, suivant un pont dormant, par lesquels on franchissait la douve qui existe encore. Ces ponts accédaient à une porte ouverte dans l'aile Est entre deux tours la défendant. Cette porte fut remplacée par une fenêtre mais le cartouche, autrefois timbré d'armoiries, qui la surmontait, a été conservé. A sa gauche, la façade extérieure présente un avant-corps faisant saillie comme une abside à trois pans. Cet avant-corps, où se remarquent les traces des arcs de fenêtres en tiers-point, est l'abside de l'ancienne chapelle des de Bueil. Du côté cour, la façade de cette aile Est fut très restaurée et modifiée au XIXe siècle. Un lanternon octogonal, couronnant le pignon, servait jadis de clocher.
Au fond de la cour, le corps de logis Sud a aussi été modifié. Primitivement, il ne fut qu'une galerie de passage avec des arcades en tiers-point. Au XVIe siècle, il a été transformé en logis d'habitation. Sa façade sur la cour est divisée en sept travées séparées par des contreforts, correspondant aux sept arcades initiales. Au XVIIe siècle, celles-ci ont été remplacées par des fenêtres. Quatre lucarnes dominent l'ensemble. Seule la façade du côté du coteau a conservé son aspect du XVe siècle.
L'aile Ouest, avec des lucarnes à gâbles, pinacles et petits arc-boutants, est Renaissance. A sa suite, et en retour d'équerre, a été érigé, en gardant la tour d'angle Nord-Ouest, au XVIIe siècle, un bâtiment couvert par une terrasse à l'italienne.
A l'angle Sud-Ouest, se trouve un donjon circulaire du XVe siècle, flanqué, au Nord, par un avant-corps et, à l'Est, par une tourelle octogonale ornée de petites bretèches.
Le donjon cylindrique et plusieurs pièces du château peuvent se visiter comme la chambre du Roi. Sous le règne de Louis XIV, certains grands châteaux se devaient de réserver des appartements pour le roi.
Sur ces dessins de Gaignières, le château est représenté en 1699.
Dans le parc du château, la chapelle de la Conception-de-la-Sainte-Vierge a été édifiée de 1523 à 1538 pour Charles d'Espinay. Elle comprend une nef unique de trois travées voûtées d'ogives, une abside à cinq pans et une chapelle basse. Elle a été érigée en collégiale le 21 février 1538 par Antoine de la Barre, archevêque de Tours, et consacrée le 26 mars 1538. La collégiale fut supprimée en 1790.
A l'Ouest, sa façade, épaulée par des contreforts d'angle garnies de niches et amortis par des pinacles, est couronnée par un fronton dont les rampants, nantis de crochets, sont bordés par une dentelle d'arceaux. Un arc brisé circonscrit la porte et la fenêtre qui la surmonte, et soutient un gâble au tympan duquel se trouve le Père Éternel. Les pilastres sont guillochés d'arabesques et ornés de pinacles et de chapiteaux décorés de têtes d'angelots. L'extrados est orné de cartouches où figurent, en ronde bosse, le Christ à la clef et, latéralement, les douze apôtres. Aux caissons inférieurs, sont représentés des scènes de la Résurrection, des crânes et des os croisés.
Le linteau de la porte en anse de panier est orné de rinceaux, où l'on remarque les initiales G et L enlacées, et surmonté par un fronton courbe à coquille. Aux pieds-droits de la fenêtre, sont sculptés les Instruments de la Passion. Un remplage la divise en un oculus et deux compartiments, dont l'amortissement a ses meneaux disposés en nervures de coquille.
La nef est épaulée, extérieurement, par des contreforts ornés de niche et de pinacles. Au Nord, on voit la saillie d'une chapelle ajoutée au XVIIIe siècle en style classique, avec pilastres cannelés, entablement à triglyphes et fronton triangulaire. Cette chapelle, dédiée à sainte Foy, en a remplacé une autre dont subsiste la porte à coquille du XVIe siècle.
La nef unique est divisée en trois travées voûtées sur huit nervures. Chacune des ces travées est éclairée, de chaque côté, par une grande fenêtre à remplage flamboyant. A droite, s'ouvre une petite chapelle voûtée sur croisée d'ogives. La travée suivante, voûtée aussi sur huit nervures, mais sans fenêtres, correspond au chœur. A droite, une porte donne accès à la sacristie voûtée sur simple croisée d'ogives. Au-delà de cette porte, le mur est creusé par une piscine ornée, comme elle, de rinceaux.
A l'Est, l'église se termine par une travée de chœur éclairée latéralement par deux oculi et une abside à trois pans dont chacun est percé par une grande fenêtre flamboyante.
A l'Ouest, sa façade, épaulée par des contreforts d'angle garnies de niches et amortis par des pinacles, est couronnée par un fronton dont les rampants, nantis de crochets, sont bordés par une dentelle d'arceaux. Un arc brisé circonscrit la porte et la fenêtre qui la surmonte, et soutient un gâble au tympan duquel se trouve le Père Éternel. Les pilastres sont guillochés d'arabesques et ornés de pinacles et de chapiteaux décorés de têtes d'angelots. L'extrados est orné de cartouches où figurent, en ronde bosse, le Christ à la clef et, latéralement, les douze apôtres. Aux caissons inférieurs, sont représentés des scènes de la Résurrection, des crânes et des os croisés.
Le linteau de la porte en anse de panier est orné de rinceaux, où l'on remarque les initiales G et L enlacées, et surmonté par un fronton courbe à coquille. Aux pieds-droits de la fenêtre, sont sculptés les Instruments de la Passion. Un remplage la divise en un oculus et deux compartiments, dont l'amortissement a ses meneaux disposés en nervures de coquille.
La nef est épaulée, extérieurement, par des contreforts ornés de niche et de pinacles. Au Nord, on voit la saillie d'une chapelle ajoutée au XVIIIe siècle en style classique, avec pilastres cannelés, entablement à triglyphes et fronton triangulaire. Cette chapelle, dédiée à sainte Foy, en a remplacé une autre dont subsiste la porte à coquille du XVIe siècle.
La nef unique est divisée en trois travées voûtées sur huit nervures. Chacune des ces travées est éclairée, de chaque côté, par une grande fenêtre à remplage flamboyant. A droite, s'ouvre une petite chapelle voûtée sur croisée d'ogives. La travée suivante, voûtée aussi sur huit nervures, mais sans fenêtres, correspond au chœur. A droite, une porte donne accès à la sacristie voûtée sur simple croisée d'ogives. Au-delà de cette porte, le mur est creusé par une piscine ornée, comme elle, de rinceaux.
A l'Est, l'église se termine par une travée de chœur éclairée latéralement par deux oculi et une abside à trois pans dont chacun est percé par une grande fenêtre flamboyante.
La baie centrale de cette abside est dotée d'une verrière de la fin du XIXe siècle. Elle représente la Vierge à l'Enfant, entourée par saint Louis et saint Jean
l’Évangéliste, surmontés d'anges voletant et portant, l'un une couronne
royale et l'autre la Couronne d'épines. En-dessous, trois scènes de la vie de la
Vierge sont visibles: sa Présentation au Temple, l'Annonciation et son Mariage. Au tympan, les trois principales ouvertures figurent les symboles des trois
vertus théologales: l'Espérance (ancre), la Foi (croix) et la Charité
(cœur enflammé).
La petite chapelle renferme une Vierge en céramique de Florence créée, au XVe siècle, par Luca della Robbia.
Dans le chœur, ces stalles en bois sculpté (XVIe siècle) furent réalisées par l'atelier de Jean Goujon.
Sur ce dessin de la collection de Gaignières, la chapelle est représentée en 1699.
La petite chapelle renferme une Vierge en céramique de Florence créée, au XVe siècle, par Luca della Robbia.
Dans le chœur, ces stalles en bois sculpté (XVIe siècle) furent réalisées par l'atelier de Jean Goujon.
Sur ce dessin de la collection de Gaignières, la chapelle est représentée en 1699.
L'église Notre-Dame de Rigny a été bâtie à la fin du XIIe siècle (nef, bras Nord du transept et première travée du chœur) et modifiée aux XIVe (seconde travée du chœur), XVe (remaniement du bras Sud du transept) et XVIIIe siècles. C'était dans cette église que venait se recueillir le roi Louis XI lorsqu'il chassait dans la forêt de Chinon. Elle est désaffectée depuis 1860.
La façade Ouest possède une porte en arc brisé à triple voussure avec, à sa droite, un enfeu qui présentait, jadis, des traces de peintures. Au-dessus, s'ouvre une haute et étroite fenêtre en plein cintre, elle-même surmontée par un oculus. La nef unique comprend trois travées dont les deux premières sont couvertes de voûtes angevines sur ogives et liernes. Le bras Nord du transept est voûté d'un berceau en arc brisé. Celui du Sud est voûté sur croisée d'ogives à moulures prismatiques. L'intertransept est voûtée sur une croisée d'ogives de section carrée. Un chœur de deux travées termine l'église. La première est voûtée d'un berceau en plein cintre. La seconde, rectangulaire, a remplacé une abside semi-circulaire et a été voûté comme la première travée. A la droite du transept, un escalier descend à une fontaine placée sous le vocable de Notre-Dame.
Cette église renferme des peintures murales datant des XIVe et XVe siècles. Parmi elles, on trouve les orants (chœur),...
... la Vierge à l'enfant (bras Sud de transept),...
... une tête de guerrier (bras Nord du transept).
Cet édifice possède plusieurs chapiteaux sculptés.
La façade Ouest possède une porte en arc brisé à triple voussure avec, à sa droite, un enfeu qui présentait, jadis, des traces de peintures. Au-dessus, s'ouvre une haute et étroite fenêtre en plein cintre, elle-même surmontée par un oculus. La nef unique comprend trois travées dont les deux premières sont couvertes de voûtes angevines sur ogives et liernes. Le bras Nord du transept est voûté d'un berceau en arc brisé. Celui du Sud est voûté sur croisée d'ogives à moulures prismatiques. L'intertransept est voûtée sur une croisée d'ogives de section carrée. Un chœur de deux travées termine l'église. La première est voûtée d'un berceau en plein cintre. La seconde, rectangulaire, a remplacé une abside semi-circulaire et a été voûté comme la première travée. A la droite du transept, un escalier descend à une fontaine placée sous le vocable de Notre-Dame.
Cette église renferme des peintures murales datant des XIVe et XVe siècles. Parmi elles, on trouve les orants (chœur),...
... la Vierge à l'enfant (bras Sud de transept),...
... une tête de guerrier (bras Nord du transept).
Cet édifice possède plusieurs chapiteaux sculptés.
La nouvelle église Notre-Dame d'Ussé a été édifiée, dans le style néo-roman, du 7 octobre 1856 à 1860. Ses plans ont été dessinés par l'architecte Gustave Guérin.
Dans le bras Nord du transept, on peut voir cette statue de la Vierge en pierre polychrome (début du XVIIe siècle). Elle provient de Notre-Dame-de-Rigny.
Cette église renferme de nombreux vitraux de l'atelier Lobin (Tours) dont celui-ci qui représente saint Joseph et l'Enfant Jésus ainsi que la Vierge et sainte Anne. Les trois verrières de l'abside, du même atelier, illustrent les quinze mystères du Rosaire (la Vie de la Vierge: les Mystères glorieux, les Mystères joyeux et les Mystères douloureux). Dix autres vitraux sont aussi des œuvres de l'atelier Lobin: la Vie de saint Martin: la Charité d'Amiens, les funérailles de saint Martin, la résurrection du catéchumène, saint Martin mourant à Candes, saint Martin offrant le Saint Sacrifice et le miracle de l'arbre; sainte Cécile; saint Michel archange; saint Raphaël archange; saint Gabriel archange. Dans la sacristie, une verrière ornementale est signée par Julien Fournier et Amand Clément, 1876.
Il existe plusieurs maisons anciennes dans le village. Celle-ci, située dans la rue Principale, date du XVIe siècle. On peut voir une bretèche sur le mur Ouest de sa tour carrée.
En face du château d'Ussé, ce pont a été bâti au XVIe siècle.
L'oratoire Notre-Dame-des-Eaux, construit à la suite de la crue de la Loire du 4 juin 1846, est situé en bordure de la route partant du château vers le fleuve.
Dans le bras Nord du transept, on peut voir cette statue de la Vierge en pierre polychrome (début du XVIIe siècle). Elle provient de Notre-Dame-de-Rigny.
Cette église renferme de nombreux vitraux de l'atelier Lobin (Tours) dont celui-ci qui représente saint Joseph et l'Enfant Jésus ainsi que la Vierge et sainte Anne. Les trois verrières de l'abside, du même atelier, illustrent les quinze mystères du Rosaire (la Vie de la Vierge: les Mystères glorieux, les Mystères joyeux et les Mystères douloureux). Dix autres vitraux sont aussi des œuvres de l'atelier Lobin: la Vie de saint Martin: la Charité d'Amiens, les funérailles de saint Martin, la résurrection du catéchumène, saint Martin mourant à Candes, saint Martin offrant le Saint Sacrifice et le miracle de l'arbre; sainte Cécile; saint Michel archange; saint Raphaël archange; saint Gabriel archange. Dans la sacristie, une verrière ornementale est signée par Julien Fournier et Amand Clément, 1876.
Il existe plusieurs maisons anciennes dans le village. Celle-ci, située dans la rue Principale, date du XVIe siècle. On peut voir une bretèche sur le mur Ouest de sa tour carrée.
En face du château d'Ussé, ce pont a été bâti au XVIe siècle.
L'oratoire Notre-Dame-des-Eaux, construit à la suite de la crue de la Loire du 4 juin 1846, est situé en bordure de la route partant du château vers le fleuve.
Rigny-Ussé possède son girouet (près de l'oratoire) dont la partie centrale représente le château d'Ussé et la quenouille de la Belle aux Bois Dormants.
Patrimoine disparu
Lieux-dits: Bel-Air, Bois-d'Ussé, Caves-Binet, Château-d'Ussé, Île-du-Mêlier, Île-Fourmignon, La Blardière, La Buronnerie, La Chapelle-Saint-Paul, La Clauderie, La Croix-de-Rigny, La Fontaine-Richard, La Métairie, La Petite-Prée, La Petite-Rigny, La Prée-Daveau, La Queue-de-l'Île, La Queue-de-Vache, Le Belvédère, Le Bois-Chétif, Le Buisson-Neuf, Le Carroi, Le Dominé, Le Gros-Chêne, Le Gros-Chillou, Le Franc-Rosier, Le Gué-Mottereau, Le Jard, Le Pin, Le Port-des-Ménards, Le Port-Gautier, Le Saut, Le Vivier, Les Bertulières, Les Brûlots, Les Caveaux, Les Caves-Binet, Les Duports, Les Fougères, Les Grands-Noyers, Les Huit-Arpents, Les Landes, Les Loges, Les Places, Les Poulies, Les Prés-Hauts, L'Île-Saint-Martin, Mévier, Moulin-d'Ussé, Parc-d'Ussé, Rigny
Patrimoine disparu
- La chapelle Saint-Paul se trouvait près de la route allant d'Ussé à Rivarennes. Selon une légende locale, le sénéchal Keu, frère de lait du roi Arthur, y aurait été enterré.
- Deux édifices signalés dans les textes n'ont pas été localisés: la maison de plaisance des ducs d'Alençon et l'Hôtel-Dieu.
Lieux-dits: Bel-Air, Bois-d'Ussé, Caves-Binet, Château-d'Ussé, Île-du-Mêlier, Île-Fourmignon, La Blardière, La Buronnerie, La Chapelle-Saint-Paul, La Clauderie, La Croix-de-Rigny, La Fontaine-Richard, La Métairie, La Petite-Prée, La Petite-Rigny, La Prée-Daveau, La Queue-de-l'Île, La Queue-de-Vache, Le Belvédère, Le Bois-Chétif, Le Buisson-Neuf, Le Carroi, Le Dominé, Le Gros-Chêne, Le Gros-Chillou, Le Franc-Rosier, Le Gué-Mottereau, Le Jard, Le Pin, Le Port-des-Ménards, Le Port-Gautier, Le Saut, Le Vivier, Les Bertulières, Les Brûlots, Les Caveaux, Les Caves-Binet, Les Duports, Les Fougères, Les Grands-Noyers, Les Huit-Arpents, Les Landes, Les Loges, Les Places, Les Poulies, Les Prés-Hauts, L'Île-Saint-Martin, Mévier, Moulin-d'Ussé, Parc-d'Ussé, Rigny
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