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Rochecorbon

Rochecorbon (Wikipedia) est une ville située à l'Est de Tours, sur la rive droite de la Loire. Ses habitants sont appelés les Rochecorbonnais, les Rochecorbonnaises.
Elle a porté les noms de: Vodanum (886, charte de Charles le Gros), Parochia de Vodano (1225), Roche-Hardouin (XIIe siècle), Notre-Dame-des-Vosnes (XVe et XVIe siècles), Rochecorbon (XVIIIe siècle, carte de Cassini).
Ce fut une seigneurie appartenant successivement aux familles de Brenne, de Mézières, de Maillé et de Luynes.
Les plus anciens registres paroissiaux datent de 1666 pour Rochecorbon et de 1564 pour Saint-Georges.
Coordonnées GPS de Rochecorbon: 0°45'19"E - 47°24'58"N
Code INSEE: 37203 - Code postal: 37210 - Superficie: 1709 hectares
Altitudes: de 47 à 124 mètres (près de La Blanchetière)
Cours-d'eau: la Loire, la Bédoné, la Bédoire
L'église Notre-Dame, construite au XIe siècle (nef), fut agrandie aux XIIe (portail, chœur, clocher et abside) et XVe siècles (chapelles latérales, étage du beffroi du clocher), puis restaurée en 1862. Primitivement, elle était dédiée à saint Pierre.
La façade Ouest présente, dans un avant-corps, une porte à trois voussures, en plein cintre, dont la première a été remaniée au XVe siècle. Les deux autres, moulurées de tores, de chevrons, de dents de scie et de dents d'engrenages, retombent sur les chapiteaux de deux colonnettes logées dans les retraits des jambages. Ces voussures circonscrivent une baie en arc surbaissé.
Sa porte est surmontée par une arcature d'arceaux soutenue par de beaux modillons sculptés.
A l'Est, la nef a gardé des murs parementés en petit appareillage du XIe siècle avec arases d'appareil moyen, vestiges de l'église primitive. Couverte en charpente, elle est éclairée par des fenêtres en plein cintre circonscrites par une archivolte ornée de damier, ou de fleurettes à quatre pétales, ou de billettes. Un doubleau en acte brisée la relie à l'intertransept, voûté sur croisée d'ogives, supportant le clocher dont l'étage du beffroi fut rebâtit au XVe siècle, avec des baies en tiers-point et des corniches reposant sur des modillons. Les croisillons furent aussi reconstruits au XVe siècle. L'église se termine par une abside semi-circulaire, voûtée en cul-de-four et éclairée par trois fenêtres en plein cintre.
Sur le pilier Nord-Ouest du transept, un petit fragment d'une fresque a été conservé. Il représenterait un ecclésiastique et date du début du XVe siècle.
Cette église possède quinze vitraux signés par le maître-verrier Julien-Léopold Lobin (Tours): la Vie de la Vierge (1858, baie centrale de l'abside, 📷), l'Assomption de la Vierge (1861, chapelle Nord) et douze verrières ornementales à motifs cisterciens (1857, nef et la chapelle Nord). Son fils, Lucien-Léopold Lobin (Tours, chapelle Sud, 1873), est l'auteur d'un vitrail: la Messe miraculeuse de saint Martin. Joseph-Prosper Florence (Tours, nef, vers 1900) a réalisé une verrière: saint Pierre. L'atelier Barthe-Bordereau (Angers, abside, 2017) a créé deux vitraux ornementaux.
La Lanterne est une tourelle carrée de 10 mètres de haut (ancienne tour de guet), vestige d'un château-fort édifié en 1113 sur les ruines d'une ancienne forteresse. Ce château a été modifié au XVe siècle et c'est à cette époque que la Lanterne fut érigée.
La chapelle Saint-Georges, construite au XIe siècle (nef) et remaniée au XIIe siècle (chœur), est l'ancienne église de la commune de Saint-Georges-sur-Loire (rattachée à Rochecorbon depuis le 2 février 1808).
C'est un édifice parementé en petit appareil, remanié et agrandi au XIIe siècle en appareil moyen. La façade n'a conservé que sa fenêtre en plein cintre modifiée au XIIe siècle. La porte en plein cintre a été condamnée. Le mur Sud de la nef a conservé une importante partie de son petit appareil primitif. La porte latérale date du XVIIIe siècle comme la charpente couvrant la nef. Le chœur rectangulaire est d'origine mais ses murs furent surélevés au XIIe siècle en gardant, au Sud, la petite fenêtre en plein cintre du XIe siècle. La fenêtre du chevet date du XIXe siècle. Ce chœur a été voûté, au XIIe siècle, d'un berceau longitudinal en plein cintre. Au Nord, sous le clocher, se trouve une petite chapelle voûtée d'une coupole sur trompes. Elle communique avec la sacristie, creusée dans le rocher.
A l'intérieur, sur son mur Nord, on peut observer une fresque du XIIe siècle (à gauche) représentant le Christ lavant les pieds des Apôtres. A côté (à droite), la Cène date du début du XIIIe siècle.
Sur son mur Sud, des anges jouent de la trompette pour annoncer la résurrection.
Au plafond du chœur, on peut voir Dieu bénissant entouré d'anges. Une frise montre une scène de bataille entre cavaliers médiévaux et sarrasins.
Au-dessus de l'autel, une baie est fermée par un vitrail du XIIIe siècle. On y voit, en haut, un roi et un ange, et en bas, un extrait de l'histoire de Melchisédec et d'Abraham.
Des pierres du haut Moyen-Âge ont été incluses dans le mur de la chapelle.
A Saint-Georges-sur-Loire, on peut découvrir aussi un autre édifice religieux: la chapelle Saint-Germain (XIIe siècle). Elles possèdent des petites fenêtres-meurtrières.
Dans la rue du Docteur-Lebled, cette maison, récemment restaurée, serait l'ancienne église de Rochecorbon. Cet édifice a été construit en 1532 et consacré le 16 février 1533 sous le vocable de Notre-Dame. Il remplaçait une chapelle ruinée qui se situait dans l'enceinte du château de La Lanterne. Plus tard, son nom devint la chapelle Saint-James. En 1860, le propriétaire d'alors lui donna son aspect actuel.
L'ancien moulin à eau de Touvoie (XVe siècle) est devenu, après 1929, un manoir privé. C'est ici que Jean Cocteau tourna le film La Belle et la Bête en 1945.
Ce manoir comprend deux corps de logis perpendiculaires. Les baies du premier étage ont toutes des croisées de pierre, sauf celle du centre, plus étroite, qui a une traverse. Au Nord, le mur goutterot a gardé sa lucarne à gâble aigu. Au Sud, la tour polygonale, ceinturée aux deux tiers de sa hauteur par un cordon, abrite un escalier à vis de pierre. L'écoulement des eaux entre les deux bâtiments se fait, à chaque extrémité, par une gargouille en forme d'animal, l'une d'elles est accolée à la face Ouest de la tour. A l'Est, l'axe du pignon à rondelis est flanqué d'un mince contrefort à ressaut, alors qu'un autre plus court et plus massif, amorti en glacis, épaule l'angle Sud-Est.
Toutes les cheminées sont sur le même modèle, avec hotte droite sur linteau de bois prenant appui sur des jambages en forme de demi-colonne engagée à chapiteaux moulurés.
Parmi les dépendances, on voit une grange avec une porte en plein cintre.
Le château privé de Vaufoinard a été bâti aux XVe (le haut logis carré avec, à l'Est, une tourelle d'escalier et une avant-corps) et XVIe siècles (une aile d'un étage). Il fut remanié au XIXe siècle: prolongement et surélévation de l'aile. C'est une ancienne closerie ayant appartenu à plusieurs maires de Tours (dont Victor Barguin et François Joret). On y voyait, dès 1663, une chapelle troglodytique dédiée à sainte Catherine.
Le château privé de Fontenailles, édifié au XVIIe siècle, a été modifié en 1813. Le logis est flanqué de deux tourelles quadrangulaires au comble éclairé par des oculus de pierre dont l'allège est accostée d'ailerons, aux murs en moyen appareil coupés par des bandeaux plats. Ces derniers se continuent sur une aile latérale au toit à quatre versants, ajoutée à l'Ouest et percée de fenêtres à encadrement mouluré. Le pavillon Ouest renferme un escalier de pierre à courtes volées rectilignes de cinq marches autour d'un noyau massif. La petite construction en bâtière,protégeant l'entrée dans l'angle rentrant avec un blason dans le pignon, est une addition récente. Les terrasses et jardins s'étagent sur quatre niveaux. Une porte en anse de panier permet d'accéder au potager.
Le château privé des Armuseries, de 1669, se composait, à cette époque, d'une maison dont la salle principale est en grande partie troglodytique. Elle est chauffée par une cheminée simplement marquée par une légère saillie dans le mur, avec, dans le foyer, la bouche de deux fours. Une maîtresse poutre soutient les chevrons du plafond. Ce logis est suivi de sept caves, aux entrées aménagées en 1905, 1911 et 1913, dates gravées à la clef de chacune d'elles. La huitièmes est une habitation troglodytique de 1650, comprenant deux pièces ayant chacune une cheminée à hotte sur linteau de bois. Au XVIIe siècle, une  chapelle, désormais transformée en logis, fut ajoutée en bordure de terrasse. Un campanile sans cloche surmonte le fronton Sud, percé par une baie rectangulaire accostée d'ailerons.
En 1769, un corps de bâtiment perpendiculaire au coteau fut construit. Il est composé d'une étage et d'un comble éclairé par des lucarnes en bois à fronton courbe. Un seul bandeau coupe sa façade. Il présente des ouvertures symétriques à linteau légèrement incurvé. Au début du XIXe siècle, il fut prolongé par un pavillon, en retour d'équerre, au toit à quatre pentes reposant sur une corniche soulignée de denticules. Au terme d'une longue rampe d'accès longeant la terrasse, son portail, grande arcature en plein cintre munie de faux-créneaux, est sommé par un blason très endommagé. Une portail semblable, mais plus simple, se voit à la sortie Nord de la cour. A l'arrière du pavillon, s'ouvrent des caves remaniées en 1806 et 1808.
Le château privé de La Tesserie date du XIXe siècle.
Le château de Sens (fin XIXe siècle) a remplacé une construction de la fin du XVIe siècle qui avait été remaniée au XVIIIe. Jadis, on y signalait une chapelle.
En contrebas de Sens, le manoir de Castelroc date du début du XXe siècle. Sa façade, mélangeant les styles troubadour et arabo-andalou, peut être qualifiée de trompe-l’œil architectural. En effet, elle masque un ensemble de logis troglodytiques.
Le château privé de Montgouverne (XVIIIe siècle) possède, dans son parc, une closerie du XVIIe siècle.
Le manoir privé de Bel-Air, édifié au milieu du XVIe siècle sur une terrasse artificielle, comprend un logis de plan rectangulaire, élevé entre deux hauts pignons à rondelis portant fleuron au sommet. La façade Sud (photo) est percée par deux fenêtres à croisée de pierre. Au centre, la baie plus étroite est à simple traverse de bois. La façade Nord a vu ses ouvertures remaniées mais l'un des linteaux droits d'une porte présente un écu sans armoiries. A l'intérieur, deux grandes chambres carrelées sont à plafond de chevrons apparents sur une poutre maîtresse. Elles sont chauffées par des cheminées à hotte droite avec petit trumeau rectangulaire.
Le manoir privé de La Bourdonnerie (ou La Bourdonnière) date du XVIe siècle.
On accédait à sa cour par une porte en arc surbaissé et accostée de pilastres et d'ailerons, surmonté par un fronton courbe au sommet échancré.
Au 24 quai de la Loire, le manoir privé des Basses-Rivières a été construit en 1713, sur plan rectangulaire, pour la marquise de Doisonville. Sa façade Sud est divisée en trois travées par deux pilastres à bossages entourant la porte en plein cintre et soutenant un fronton qui présente un médaillon accompagné de guirlandes. A l'Ouest de la demeure, des caves furent profondément creusées dans le coteau. Ce manoir a, un temps, abrité le musée d'Espelosin, un musée de la vigne et du vin.
Le château privé de L'Olivier a été bâti en 1780 mais il ne comportait alors qu'un rez-de-chaussée et un comble. En 1890, il fut surélevé d'un étage. La grille en fer forgé (en bas, à gauche) qui permet d'accéder à la propriété est l'ancienne grille du potager du château de Chanteloup (Amboise).
Le château privé de Rosnay, construit au début du XVIIe siècle, est composé d'un corps de logis élevé d'un rez-de-chaussée et d'un comble à quatre pans, reposant sur une corniche soulignée par une ligne de denticules. Le faîte, en son centre, porte un lanternon avec girouette. Son comble est éclairé, au Nord, par cinq lucarnes de pierre. Au Sud, il subsiste les bases de deux tourelles et une large douve. Sa chapelle a disparu.
Le château privé de Bellevue date du XIXe siècle. Un porche en pierre orné d'un large chanfrein du XVe siècle permet d'accéder à un ensemble troglodytique (l'ancienne métairie des Pitoisières). Un long couloir taillé dans le roc conduit à une chapelle dont seul le mur latéral droit est maçonné. Il est percé par plusieurs fenêtres des XIVe et XVe siècles, par un oculus, par deux petites fenêtres en arc surbaissé et par une autre en ogive à remplage trilobé. La porte est située sous un grand arc surbaissé dominant deux fenêtres presque jumelles à linteau arrondi et chanfrein. A l'intérieur, le retable (fin de la Renaissance) est en pierre de taille. La place de l'autel est signalée par un creux. La voûte de la chapelle est taillée dans le roc. Une porte à chanfrein et arc surbaissé mène à une petite pièce aussi taillée dans le roc. Avant la Révolution, cet ensemble appartenait au chapitre de Tours.


La closerie privée de La Moussardière était, entre 1716 et 1791, une propriété du chapitre de l'église de Tours. Il s'agit d'un ensemble de constructions anciennes autour d'une cour fermée. On y accédait jadis par un portail ouvert dans un mur en moellons qui a gardé, de part et d'autre, les arrachements de son arcature sur des sommiers en saillie. La maison de maître, entre deux pignons aigus à rondelis, présente des ouvertures remaniées. Par contre, au Nord-Est, le pignon conserve une porte à linteau courbe et une petite baie aux arêtes abattues par un chanfrein. Un appentis fut élevé sur la cour pour agrandir le logis. Le grenier, encore en partie carrelé, présente une charpente avec trois poinçons reposant sur le sol.
Placée perpendiculairement, la vaste grange est partagée en trois nefs par deux rangées de piliers. A gauche du portail en entrant, le petit logis du closier est chauffé par une large cheminée à linteau de bois, avec la bouche d'un four à pain. A la base de la falaise, la dernière dépendance, peut-être l'écurie, ne montre plus que l'ossature de son colombage au pignon Est.
Le château privé de Montguerre a été bâti au XIXe siècle.
Le château privé de La Tour a été construit de 1896 à 1900 par l'architecte Marcel Lambert. A partir des années 1920, il a été amputé de sa partie Est (à droite).
Visibles de puis la rue du Peu-Boulin, il reste peu de vestiges de l'oppidum gaulois datant de la fin de l'âge du fer (fin de la Tène III) à Château-Chevrier. L'oppidum est protégé, côté plateau, par un talus doublé d'un fossé extérieur (photo) qui se trouvent, de nos jours, dans des propriétés.
Le pigeonnier cylindrique des Cartes (fin XVIe siècle) renfermait, au rez-de-chaussée, une étable et, à l'étage, un pigeonnier. Cette photo date du début des années 1910.
De nos jours, cette fuie a perdu son toit et est envahie par la végétation. Cependant, elle a conservé quelques boulins. (photo Claude Mettavant)
Dans l'ancien parc du château de La Tour, on peut découvrir ce petit pigeonnier depuis la rue des Moulins. Cette fuie servait aussi de réservoir à eau.
Près de la lanterne, un éboulement du coteau a fait apparaître quelques boulins d'un pigeonnier troglodytique.
Rochecorbon possède de très nombreuses habitations troglodytiques dont certaines sont encore habitées. On peut voir des fenêtres situées à une hauteur importante dans la falaise.
Rochecorbon se trouve dans la zone des vins AOC de Vouvray, il reste quelques loges de vigne sur son territoire.
Dans la rue des Basses-Rivières, une étrange silhouette observe les passants.
Rochecorbon possède son girouet dont la partie centrale représente le logo de la commune.

A voir
  • Près de la ferme des Souchots, la cave aménagée en chapelle au XVIIe siècle. L'un de ses murs est creusée de niches dont les statues ont disparu.
  • La chapelle troglodytique de Bellevue (XIVe siècle) dont le porche en pierre est orné par un large chanfrein du XVe siècle. A sa suite, une longue galerie, taillée dans le roc, mène à la chapelle dont le mur latéral droit, le seul en maçonnerie, est ajouré par plusieurs fenêtres des XIVe et XVe siècles, par un oculus, par deux petites fenêtres à arc surbaissé et par une autre fenêtre en ogive à remplage trilobé. La porte est placée sous un grand arc surbaissé dominant deux fenêtres presque jumelles à linteau arrondi et chanfrein. A l'intérieur, le retable, de la fin de la Renaissance, fut construit en pierre de taille. La place de l'autel est marquée par un creux. Une porte à chanfrein et arc surbaissé donne sur une petite pièce taillée dans le roc. La voûte de la chapelle est aussi taillée dans le roc.
Patrimoine disparu
- Le château de Villeseptier, ancien fief, avait été reconstruit en 1820 mais il fut totalement détruit par un incendie le 10 septembre 1919. A gauche, on peut voir sa chapelle.
- La chapelle Saint-Roch vendue comme bien national en 1791.
- Le moulin de Gravot, signalé dès 1592, était un moulin banal à farine et à moutarde. Il figurait encore sur le cadastre de 1819.
- La tour du télégraphe Chappe, construite en 1825 près de la rue de Rosnay, a été démolie après août 1854.

Lieux-dits: Beauregard, Bel-Air, Champ-Long, Château-Chevrier, Châtenay, Fontenailles, La Baltière, La Belle, La Blanchetière, La Bouchardière, La Bourdonnerie, La Charité, La Cholterie, La Croix-Rouge, La Dorerie, La Dubinière, La Fuye, La Garenne-des-Cartes, La Gâtinière, La Grande-Rue, La Lanterne, La Levrière, La Millardière, La Moussardière, La Planche, La Rabatterie, La Raimbauderie, La Roche, La Roche-Deniau, La Tesserie, La Tour, La Treille, La Valinière, La Vallée-des-Caves, La Vallée-Poêlon, La Vinetterie, Le Bœuf, Le Chalateau, Le Fourneau, Le Grand-Calvaire, Le Grand-Vaudanière, Le Morier, Le Moulin-de-Touvoie, Le Pavillon, Le Petit-Calvaire, Le Petit-Vaudanière, Le Petit-Versailles, Le Peu-Boulin, Le Poirier, Les Armuseries, Les Basses-Rivières, Les Bâtonneries, Les Boissières, Les Bourdaisières, Les Cartes, Les Clouets, Les Fontaines, Les Fosses-Chaudes, Les Fosses-Trouvées, Les Monteaux, Les Pâtis, Les Pélus, Les Pentes, Les Pitoisières, Les Plantes, Les Poëlons, Les Souchots, L'Olivier, Montgouverne, Montguerre, Mosny, Notre-Dame-de-la-Salette, Roc-Nauve, Rosnay, Saint-Georges, Saint-Roch, Sens, Vallée-de-Vaufoynard, Vaufoynard, Vauvert, Villesetier, Voligny, Volney
Ancien lieu-dit: Moulin-de-Gravot
    Communes voisines: Monnaie, Parçay-Meslay, Tours, Vouvray

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