Saché (Wikipedia) est un village situé à l'Ouest de Tours. Ses habitants sont appelés les Sachéens, les Sachéennes.
Il a porté les noms de: Saché (vers 1104, cartulaire de Noyers), Parochia Sachei (vers 1117, cartulaire de Fontevraud), Sachaium (1142), Ecclesia de Sacheio (1169), Sacheio (1295, cartulaire de l'archevêché de Tours), Saiché (XIVe et XVe siècles, cartulaires de l'archevêché de Tours et de Fontevraud), Saché (XVIIIe siècle, carte de Cassini), Saché (1820, carte de l’état-Major).
Saché formait une châtellenie relevant de L'Île-Bouchard.
Il a porté les noms de: Saché (vers 1104, cartulaire de Noyers), Parochia Sachei (vers 1117, cartulaire de Fontevraud), Sachaium (1142), Ecclesia de Sacheio (1169), Sacheio (1295, cartulaire de l'archevêché de Tours), Saiché (XIVe et XVe siècles, cartulaires de l'archevêché de Tours et de Fontevraud), Saché (XVIIIe siècle, carte de Cassini), Saché (1820, carte de l’état-Major).
Saché formait une châtellenie relevant de L'Île-Bouchard.
Le plus ancien registre paroissial date de 1552.
Coordonnées GPS de Saché: 0°32'40"E - 47°14'43"N
Code INSEE: 37205 - Code postal: 37190 - Superficie: 2829 hectares
Altitudes: de 41 à 113 mètres (dans le bois des Étangs)
Cours d'eau: l'Indre, le Gué-Droit
Code INSEE: 37205 - Code postal: 37190 - Superficie: 2829 hectares
Altitudes: de 41 à 113 mètres (dans le bois des Étangs)
Cours d'eau: l'Indre, le Gué-Droit
L'église Saint-Martin-de-Vertou, construite au XIIe siècle (les deux dernières travées de la nef), a été agrandie aux XIIIe (les deux premières travées de la nef, clocher, abside et porche charpenté) et XVIe siècles (collatéral Nord et chapelle seigneuriale Sud). Elle a été restaurée en 1870. Au XVe siècle, cette église était fortifiée.
Sa façade Ouest, précédée d'un porche en charpente, est percée par une porte en tiers-point et d'un oculus à réseau rayonnant. Les deux premières travées de la nef sont voûtées sur croisées d'ogives et éclairées, au Sud, par de hautes baies en tiers-point. Les deux dernières travées ont des voûtes angevines, sur croisée d'ogives. Trois des fenêtres qui les éclairaient ont été conservées mais sont condamnées. La troisième travée est flanquée, au Sud, par le clocher avec lequel elle communique par une petite porte. On peut aussi accéder au clocher par une porte extérieure en arc brisé. Ce clocher carré est ajouré sur chaque face, à l'étage du beffroi, par deux baies en tiers-point au-dessus d'une arcature aveugle de deux arceaux. L'Abside, à trois pans, éclairés chacun par une fenêtre, termine l'église à l'Est. Elle est voûtée sur cinq branches d'ogives.
Le collatéral Nord, à quatre travées, est relié à la nef majeure par quatre grands arcs en tiers-point. Les travées sont voûtées sur ogives à moulures prismatiques retombant sur des culs-de-lampe. La chapelle seigneuriale, voûtée sur croisée d'ogives, fut édifiée au sud de la quatrième travée de la nef principale.
Ses quatre stalles en bois sculpté du XVIIe siècle proviennent du prieuré de Relay. La première miséricorde représente un damoiseau avec chapeau à plume qui tient, sur sa main droite, un oiseau; la seconde un ange portant la couronne du Christ.
Elle renferme une statue en chêne représentant saint Martin-de-Vertou qui a été offerte par le sculpteur Gino Stagetti à la fin du XXe siècle.
Entre 1868 et 1881, plusieurs de ses vitraux ont été réalisés par Lucien-Léopold Lobin: la Vie du Christ (1868), la bienheureuse Marguerite de Montmorency recevant de la sainte Famille le saint Scapulaire (1876), la Vierge à l'Enfant (1875), Notre-Dame du Sacré-Cœur, saint Martin de Vertou. En 1881, d'autres verrières sont réalisées par Julien Fournier: saint Pierre, saint Joseph (photo) et l'ange Gardien. En 1901, son fils Lux Fournier créa le vitrail représentant la Baptême du Christ.
Sa façade Ouest, précédée d'un porche en charpente, est percée par une porte en tiers-point et d'un oculus à réseau rayonnant. Les deux premières travées de la nef sont voûtées sur croisées d'ogives et éclairées, au Sud, par de hautes baies en tiers-point. Les deux dernières travées ont des voûtes angevines, sur croisée d'ogives. Trois des fenêtres qui les éclairaient ont été conservées mais sont condamnées. La troisième travée est flanquée, au Sud, par le clocher avec lequel elle communique par une petite porte. On peut aussi accéder au clocher par une porte extérieure en arc brisé. Ce clocher carré est ajouré sur chaque face, à l'étage du beffroi, par deux baies en tiers-point au-dessus d'une arcature aveugle de deux arceaux. L'Abside, à trois pans, éclairés chacun par une fenêtre, termine l'église à l'Est. Elle est voûtée sur cinq branches d'ogives.
Le collatéral Nord, à quatre travées, est relié à la nef majeure par quatre grands arcs en tiers-point. Les travées sont voûtées sur ogives à moulures prismatiques retombant sur des culs-de-lampe. La chapelle seigneuriale, voûtée sur croisée d'ogives, fut édifiée au sud de la quatrième travée de la nef principale.
Ses quatre stalles en bois sculpté du XVIIe siècle proviennent du prieuré de Relay. La première miséricorde représente un damoiseau avec chapeau à plume qui tient, sur sa main droite, un oiseau; la seconde un ange portant la couronne du Christ.
Elle renferme une statue en chêne représentant saint Martin-de-Vertou qui a été offerte par le sculpteur Gino Stagetti à la fin du XXe siècle.
Entre 1868 et 1881, plusieurs de ses vitraux ont été réalisés par Lucien-Léopold Lobin: la Vie du Christ (1868), la bienheureuse Marguerite de Montmorency recevant de la sainte Famille le saint Scapulaire (1876), la Vierge à l'Enfant (1875), Notre-Dame du Sacré-Cœur, saint Martin de Vertou. En 1881, d'autres verrières sont réalisées par Julien Fournier: saint Pierre, saint Joseph (photo) et l'ange Gardien. En 1901, son fils Lux Fournier créa le vitrail représentant la Baptême du Christ.
Le château de Saché (vers 1455) a été agrandi aux XVIIe et XVIIIe siècles (deux ailes) puis restauré au XIXe. Sa porte présente des pilastres ornés de gros tores et soutenant un fronton courbe.
De 1829 à 1838, Honoré de Balzac y séjourna à de nombreuses reprises (chez son ami Jean de Margonne) et y rédigea plusieurs de ses romans, dont, entre autre, Le père Goriot, Les Illusions perdues, Le Lys dans la vallée, Louis Lambert, Eugénie Grandet, La cousine Bette et La Recherche de l'Absolu. Il effectuait son travail d'écriture dans sa petite chambre du second étage qui renferme un petit lit dans une alcôve, couvert de cretonne à ramages sous un crucifix d'ivoire, un bureau et un fauteuil bas et large.
De 1829 à 1838, Honoré de Balzac y séjourna à de nombreuses reprises (chez son ami Jean de Margonne) et y rédigea plusieurs de ses romans, dont, entre autre, Le père Goriot, Les Illusions perdues, Le Lys dans la vallée, Louis Lambert, Eugénie Grandet, La cousine Bette et La Recherche de l'Absolu. Il effectuait son travail d'écriture dans sa petite chambre du second étage qui renferme un petit lit dans une alcôve, couvert de cretonne à ramages sous un crucifix d'ivoire, un bureau et un fauteuil bas et large.
Le château a été construit à l'emplacement d'une ancienne place forte (une châtellenie relevant de L'Île-Bouchard) du XIIe siècle dont une tour cylindrique et une partie des douves ont été conservées.
Dans le parc du château, un cadran solaire horizontal en ardoise porte une date (1790) et est signé Gorron. Son style triangulaire en métal avait disparu.
Ce cadran a, désormais, retrouvé son style.
Dans le parc du château, un cadran solaire horizontal en ardoise porte une date (1790) et est signé Gorron. Son style triangulaire en métal avait disparu.
Ce cadran a, désormais, retrouvé son style.
Rue Principale, l'auberge du XVe siècle, à colombage et torchis, est encore en activité. Au premier étage, trois fenêtres sont à croisées de bois. Le perron de pierre est à double rampe. Dans la salle du restaurant, une cheminée du XVIIe siècle est équipée d'un tournebroche avec contrepoids et volant.
Au 5 rue Principale, l'ancien prieuré de l'abbaye de Beaumont-lès-Tours date du XVe siècle. C'était un prieuré de femmes qui fut abandonné en 1752 car la tempête de mars 1751 avait fait tomber le clocher de la chapelle sur la nef, la rendant inutilisable.
Au 5 rue Principale, l'ancien prieuré de l'abbaye de Beaumont-lès-Tours date du XVe siècle. C'était un prieuré de femmes qui fut abandonné en 1752 car la tempête de mars 1751 avait fait tomber le clocher de la chapelle sur la nef, la rendant inutilisable.
Au 2 rue du Château, l'ancien presbytère (XVe et XVIe siècles) se compose d'un corps de logis central avec chaînage d'angle en pierre de taille et appareil de briques plates, limité au Nord par un pignon à rondelis. Au Sud, il est prolongé par un bâtiment moins haut. Au Nord est accolée une construction à deux niveaux, moins élevée aussi, qui date du XVIIe siècle.
Le château privé de Valesne (fin XVe siècle) était le siège d'un fief. Le corps de logis central, reconstruit à la fin du XVe siècle, est desservi par une tourelle polygonale d'escalier. Il a été prolongé au cours du deuxième tiers du XVIe siècle par deux ailes transversales lui donnant un plan en H. Les baies du corps central présente un décor flamboyant, ainsi que les croisées et demi-croisées des ailes transversales. Le décor intérieur, les façades et les toitures furent restaurés et modifiés au début du XXe siècle. A l'étage, la grande salle a conservé un ensemble de peintures murales (vers 1925), œuvres du peintre Raphaël Delorme. Les panneaux évoquent la vie à la fin de la Renaissance dans le cadre du château. Le domaine a conservé les aménagements de l'architecte paysagiste Louis Decorges.
Le château privé de La Chevrière a été édifié au XVIIe siècle. Sa porte charretière en plein cintre, datant de 1699, aux claveaux en bossage, est encadrée par des pilastres doriques soutenant un fronton triangulaire et couronnée par deux lanternons en dôme. Du côté cour, se trouvent deux petites échauguettes polygonales. Elle s'ouvre entre deux bâtiments de communs. Celui de gauche en entrant a été reconstruit, celui de droite est intact avec un toit à quatre pans, au comble éclairé par des lucarnes à tympan triangulaire sur de courts ailerons. La porte centrale à linteau courbe, avec sommiers et clef en saillie, ouvre sur une écurie qui a gardé deux rangées de trois stalles chacune.
Le château privé de Valesne (fin XVe siècle) était le siège d'un fief. Le corps de logis central, reconstruit à la fin du XVe siècle, est desservi par une tourelle polygonale d'escalier. Il a été prolongé au cours du deuxième tiers du XVIe siècle par deux ailes transversales lui donnant un plan en H. Les baies du corps central présente un décor flamboyant, ainsi que les croisées et demi-croisées des ailes transversales. Le décor intérieur, les façades et les toitures furent restaurés et modifiés au début du XXe siècle. A l'étage, la grande salle a conservé un ensemble de peintures murales (vers 1925), œuvres du peintre Raphaël Delorme. Les panneaux évoquent la vie à la fin de la Renaissance dans le cadre du château. Le domaine a conservé les aménagements de l'architecte paysagiste Louis Decorges.
Le château privé de La Chevrière a été édifié au XVIIe siècle. Sa porte charretière en plein cintre, datant de 1699, aux claveaux en bossage, est encadrée par des pilastres doriques soutenant un fronton triangulaire et couronnée par deux lanternons en dôme. Du côté cour, se trouvent deux petites échauguettes polygonales. Elle s'ouvre entre deux bâtiments de communs. Celui de gauche en entrant a été reconstruit, celui de droite est intact avec un toit à quatre pans, au comble éclairé par des lucarnes à tympan triangulaire sur de courts ailerons. La porte centrale à linteau courbe, avec sommiers et clef en saillie, ouvre sur une écurie qui a gardé deux rangées de trois stalles chacune.
Deux corps de logis sont disposés en équerre. Le premier, à gauche en entrant dans la cour, date du milieu du XVIIIe siècle. Plusieurs cheminées qui ont encore le caractère du XVIIe se voient dans cette aile. Elle se raccordait à une seconde qui lui était perpendiculaire et comportait deux niveaux de chacun trois salles, avec autant de chambres en mansarde. Cette partie fut rallongée, vers le Sud, entre 1818 et 1819. Par contre, à la jonction des deux bâtiments, l'escalier à volées rectilignes et rampe à balustres de bois appartenait à l'édifice primitif. Vers 1850, à l'angle Est, fut élevé un haut pavillon dont la toiture repose sur une corniche à faux mâchicoulis, avec percement à gâble aigu et croisée de pierre. Le côté Sud-Ouest de la cour était occupé par une terrasse qui a disparu.
Située en dehors, au Nord, la grange possède une charpente d'un type s'apparentant à celles à la Philibert Delorme, où tous les chevrons faisant ferme sont composés de trois lames de bois accolées et chevillées ensemble. Il ne reste aucune trace de la chapelle Notre-Dame mentionnée dans les registres de visite de 1776 et 1787.
Le manoir privé du Boulay (ou Le Petit-Boulay) a été construit au XVe siècle et agrandi au XIXe. Il comporte deux corps de logis parallèles avec une tour ronde en saillie sur la façade Sud. Ce domaine était un fief relevant de Villaines.
L'artiste américain Alexander Calder s'installa à Saché en 1963 et y resta jusqu'à sa mort en 1976. Il habita dans sa maison (fin du XVe siècle) de La Basse-Chevrière jusqu'en 1970. C'est une demeure à hauts pignons avec un four à pain.
On y trouve son premier atelier.
L'atelier du Carroi, le nouvel atelier de Calder, bâti en 1969 par Jean-Claude Drouin, est situé au Nord du village.
Au hameau de La Sablonnière, le manoir privé de Bécheron a été édifié au XVIe siècle. Il comprend un corps de bâtiment du XVIIIe siècle et un pigeonnier circulaire en encorbellement ayant 2 mètres de diamètre intérieur. Il renferme deux travées de quatre rangées de boulins, séparées par un cordon d'appui en saillie. Le manoir comporte un rez-de-chaussée partagé par un corridor débouchant sur la cour et donnant, par un vaste perron, sur le jardin bordant la route. Le côté Ouest est occupé par la cuisine et la salle à manger, et l'autre par le salon. Après 1851, un élargissement important a été effectué et a modifié la disposition intérieur. Chacune des grandes salles est chauffée par deux cheminées. Perpendiculairement à ce corps de bâtiment se trouve, parallèlement au chemin, une aile desservie par un vestibule ouvrant sur la cour avec un escalier en bois pour accéder au grenier.
Le manoir privé du Boulay (ou Le Petit-Boulay) a été construit au XVe siècle et agrandi au XIXe. Il comporte deux corps de logis parallèles avec une tour ronde en saillie sur la façade Sud. Ce domaine était un fief relevant de Villaines.
L'artiste américain Alexander Calder s'installa à Saché en 1963 et y resta jusqu'à sa mort en 1976. Il habita dans sa maison (fin du XVe siècle) de La Basse-Chevrière jusqu'en 1970. C'est une demeure à hauts pignons avec un four à pain.
On y trouve son premier atelier.
L'atelier du Carroi, le nouvel atelier de Calder, bâti en 1969 par Jean-Claude Drouin, est situé au Nord du village.
Au hameau de La Sablonnière, le manoir privé de Bécheron a été édifié au XVIe siècle. Il comprend un corps de bâtiment du XVIIIe siècle et un pigeonnier circulaire en encorbellement ayant 2 mètres de diamètre intérieur. Il renferme deux travées de quatre rangées de boulins, séparées par un cordon d'appui en saillie. Le manoir comporte un rez-de-chaussée partagé par un corridor débouchant sur la cour et donnant, par un vaste perron, sur le jardin bordant la route. Le côté Ouest est occupé par la cuisine et la salle à manger, et l'autre par le salon. Après 1851, un élargissement important a été effectué et a modifié la disposition intérieur. Chacune des grandes salles est chauffée par deux cheminées. Perpendiculairement à ce corps de bâtiment se trouve, parallèlement au chemin, une aile desservie par un vestibule ouvrant sur la cour avec un escalier en bois pour accéder au grenier.
En 1925, ce manoir a été acheté par le sculpteur américain Jo Davidson. Les cendres de l'artiste, mort le 2 janvier 1952, sont enfouies dans le parc du château.
A la Basse-Chevrière, le moulin Vert comprend, en fait, deux moulins: l'un du XVIIIe siècle et l'autre du XIXe siècle.
Toujours à la Basse-Chevrière, cette plaque, sculptée par Gino Stagetti, commémore le passage d'une étape du 44ème Tour de France, le 19 juillet 1957, dans "les vignobles Balzaciens".
A la Basse-Chevrière, le moulin Vert comprend, en fait, deux moulins: l'un du XVIIIe siècle et l'autre du XIXe siècle.
Toujours à la Basse-Chevrière, cette plaque, sculptée par Gino Stagetti, commémore le passage d'une étape du 44ème Tour de France, le 19 juillet 1957, dans "les vignobles Balzaciens".
Un des Mobiles de Calder se trouve, depuis 1974, sur la place Alexander-Calder.
A l'Ouest du lieu-dit Le Gué-droit on peut voir cette loge de vigne, peut-être la dernière de la commune.
A l'Ouest du lieu-dit Le Gué-droit on peut voir cette loge de vigne, peut-être la dernière de la commune.
Le lavoir communal est au nord de la commune.
La fontaine de dévotion du lieu-dit La Fontaine-Saint-Martin (près du hameau des Aunays) a été transformée en lavoir et en abreuvoir.
En Touraine, des séchoirs à tabac en bois de ce type furent construits depuis la fin du XIXe siècle jusqu'aux années 1950. Les pieds de tabac devaient être séchés à l'air libre avant d'être effeuillés durant l'hiver. Toutefois, le tabac devait conserver un certain degré d'humidité pour rester souple sans moisir. Les pieds de tabac étaient attachés et montés jusqu'au plafond grâce à un système de poulies. Les volets latéraux permettaient de réguler l'aération du bâtiment en fonction de la météo.
La villa de Sainte-Anne (1900) possède un linteau dont la sculpture représente Vercingétorix à cheval.
Le Moulin Rouge, moulin à eau privé sur l'Indre, date du XVIe siècle. Il a été restauré en 1829.
La fontaine de dévotion du lieu-dit La Fontaine-Saint-Martin (près du hameau des Aunays) a été transformée en lavoir et en abreuvoir.
En Touraine, des séchoirs à tabac en bois de ce type furent construits depuis la fin du XIXe siècle jusqu'aux années 1950. Les pieds de tabac devaient être séchés à l'air libre avant d'être effeuillés durant l'hiver. Toutefois, le tabac devait conserver un certain degré d'humidité pour rester souple sans moisir. Les pieds de tabac étaient attachés et montés jusqu'au plafond grâce à un système de poulies. Les volets latéraux permettaient de réguler l'aération du bâtiment en fonction de la météo.
La villa de Sainte-Anne (1900) possède un linteau dont la sculpture représente Vercingétorix à cheval.
A voir
- Les moulins privés sur l'Indre: le Moulin-Neuf (XVIIe siècle) et le moulin du Gué-Droit (XVIe siècle).
- Le menhir en poudingue de la Pierre-à-Vinaigre (ou du Chemin-des-Fées), au lieu-dit Chalenton, mesure 1,60 mètre de haut et 3 mètres de large.
Lieux-dits: Baulay, Bécheron, Bel-Air, Bois-de-la-Berthelotière, Bois-de-Saché, Bois-de-Valesne, Bois-des-Étangs, Bordebure, Chalenton, La Basse-Baubrie, La Basse-Chevrière, La Baubrie, La Baudinière, La Baudraie, La Blotière, La Bretonnière, La Bruère, La Carrée, La Châtaigneraie, La Chesnaie, La Chevrière, La Crêpellière, La Croix-Billette, La Croix-Percée, La Dargeraie, La Fontaine-aux-Prêtres, La Gaudinière, La Grenouillière, La Hamonière, La Loge, La Méquillière, La Neuraie, L'Anguilleraie, La Pacotterie, La Petitière, La Pièce-des-Bouchers, La Raudière, La Ridellerie, La Robineraie, La Sablonnière, La Tachellerie, La Tillière, La Touche, Le Buisson, Le Capitaine-Moreau, Le Carroi, Le Chésau, Le Doigt-Neuf, Le Grand-Boulay, Le Grand-Mazerolles, Le Gué-Droit, Le Petit-Boulay, Le Petit-Mazerolles, Les Aunays, Les Barres, Les Boissellières, Les Coutures, Les Épinettes, Les Loges, Les Marais, Les Ménaudières, Les Platereaux, Les Prés-de-Montigny, Mauru, Montigny, Moulin-Neuf, Moulin-Rouge, Pougeroux, Sainte-Anne, Salvert, Valesne
Communes voisines: Azay-le-Rideau, Cheillé, Druye, Neuil, Pont-de-Ruan, Thilouze, Villaines-les-Rochers
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