Anché (Wikipedia) est un village du Sud-Ouest de la Touraine. Ses habitants sont appelés les Anchéens, les Anchéennes.
Il a porté les noms de: Capella Anscherii (vers 1030, charte de l'abbaye de Marmoutier), Anchia (1050), Anchiæ (vers 1103, cartulaire de Noyers), Anche (1180, cartulaire de Cormery), Ancheia (1219, cartulaire de Marmoutier), Ancheio (XIIIe siècle, cartulaire de l'archevêché de Tours), Anché (XVIIIe siècle, carte de Cassini), Anché (1820, carte de l'état-major).
Au milieu du XIIe siècle, l'église appartenait à l'abbaye de Cormery. Anché fut une seigneurie des seigneurs de L'Île-Bouchard puis des familles Bernard (de 1447 à 1640) et Turgot, marquis de Sousmont (XVIIIe siècle).
Il a porté les noms de: Capella Anscherii (vers 1030, charte de l'abbaye de Marmoutier), Anchia (1050), Anchiæ (vers 1103, cartulaire de Noyers), Anche (1180, cartulaire de Cormery), Ancheia (1219, cartulaire de Marmoutier), Ancheio (XIIIe siècle, cartulaire de l'archevêché de Tours), Anché (XVIIIe siècle, carte de Cassini), Anché (1820, carte de l'état-major).
Au milieu du XIIe siècle, l'église appartenait à l'abbaye de Cormery. Anché fut une seigneurie des seigneurs de L'Île-Bouchard puis des familles Bernard (de 1447 à 1640) et Turgot, marquis de Sousmont (XVIIIe siècle).
Le plus ancien registre paroissial date de 1611.
L'église Saint-Symphorien, construite au XIIIe siècle (deux premières travées de la nef et porte), a été agrandie aux XVe (deux autres travées de la nef, clocher, chœur et chapelle seigneuriale Nord) et XVIe siècles (porche et flèche du clocher).
De l'édifice du XIIIe siècle, il subsiste la façade Ouest dont la porte en tiers-point présente un arc mouluré de tores retombant sur les chapiteaux, ornés de feuillages, de colonnettes engagées. Cette façade est précédée par un porche du XVIe siècle, couvert en charpente. Les deux premières travées de la nef sont voûtées en style angevin sur ogives et liernes. Les doubleaux et les ogives retombent sur les chapiteaux à cinq pans, sans décoration, de colonnettes engagées. Des fenêtres en plein cintre et en arcs brisés éclairent ces deux travées. Quatre enfeus, deux en plein cintre et deux en arc brisé, sont creusés à la base du mur Nord. Un seul subsiste au Sud. La porte latérale, qui s'ouvrait au Sud, dans cette partie de la nef, a été condamnée.
Deux travées du XVe siècle continuent la nef, voutées sur croisée d'ogives. Elles sont flanquées, au Sud, par le clocher carré de la même époque, sous lequel s'ouvre une petite chapelle voûtée sur croisée d'ogives. Le chœur est terminé par un chevet plat percé par une fenêtre à remplage flamboyant. Au Nord, se trouve une chapelle seigneuriale dont la clef de voûte était timbrée d'armoiries qui ont été bûchées. Le clocher est une tour épaulée par des contreforts d'angle plantés obliquement, ouverte à l'étage du beffroi par une seule fenêtre en arc brisé sur chaque face et surmontée par une flèche à base octogonale en pierre, à égouts retroussés et arêtes nervurées.
De l'édifice du XIIIe siècle, il subsiste la façade Ouest dont la porte en tiers-point présente un arc mouluré de tores retombant sur les chapiteaux, ornés de feuillages, de colonnettes engagées. Cette façade est précédée par un porche du XVIe siècle, couvert en charpente. Les deux premières travées de la nef sont voûtées en style angevin sur ogives et liernes. Les doubleaux et les ogives retombent sur les chapiteaux à cinq pans, sans décoration, de colonnettes engagées. Des fenêtres en plein cintre et en arcs brisés éclairent ces deux travées. Quatre enfeus, deux en plein cintre et deux en arc brisé, sont creusés à la base du mur Nord. Un seul subsiste au Sud. La porte latérale, qui s'ouvrait au Sud, dans cette partie de la nef, a été condamnée.
Deux travées du XVe siècle continuent la nef, voutées sur croisée d'ogives. Elles sont flanquées, au Sud, par le clocher carré de la même époque, sous lequel s'ouvre une petite chapelle voûtée sur croisée d'ogives. Le chœur est terminé par un chevet plat percé par une fenêtre à remplage flamboyant. Au Nord, se trouve une chapelle seigneuriale dont la clef de voûte était timbrée d'armoiries qui ont été bûchées. Le clocher est une tour épaulée par des contreforts d'angle plantés obliquement, ouverte à l'étage du beffroi par une seule fenêtre en arc brisé sur chaque face et surmontée par une flèche à base octogonale en pierre, à égouts retroussés et arêtes nervurées.
Les fenêtres de cette église sont dotées de verrières à losanges incolores.
Un cadran solaire, daté de 1776, est gravé sur la face Sud de son clocher.
Un cadran solaire, daté de 1776, est gravé sur la face Sud de son clocher.
Elle possède aussi quelques modillons sculptés dont celui-ci qui rappelle que nous sommes dans une région vinicole (AOC Chinon).
Cette statue représentant un saint Évêque daterait du XIIIe siècle. Elle a été mutilée et le visage, placé entre deux fleurs de lys, a été refait en plâtre.
Cette statue de la Vierge à l'Enfant de la fin du XVe siècle doit avoir longtemps séjourné à l'extérieur car elle semble usée.
La statue de saint Nicolas (XVIe siècle) a été mutilée. Sa tête est en plâtre ainsi que la main gauche qui tient une crosse en bois. Par contre, on devine encore des traces de polychromie et de dorures. A l'origine, il y avait, aux pieds du saint, un saloir contenant trois enfants écartant les bras. Cette partie a été volée.
Cette statue représentant un saint Évêque daterait du XIIIe siècle. Elle a été mutilée et le visage, placé entre deux fleurs de lys, a été refait en plâtre.
Cette statue de la Vierge à l'Enfant de la fin du XVe siècle doit avoir longtemps séjourné à l'extérieur car elle semble usée.
La statue de saint Nicolas (XVIe siècle) a été mutilée. Sa tête est en plâtre ainsi que la main gauche qui tient une crosse en bois. Par contre, on devine encore des traces de polychromie et de dorures. A l'origine, il y avait, aux pieds du saint, un saloir contenant trois enfants écartant les bras. Cette partie a été volée.
Le château des Brétignolles date de la fin du XVe siècle. Son logis principal rectangulaire, élevé d'un rez-de-chaussée, de deux étages et d'un comble, est continué au Sud-Est par un pavillon carré couvert par un toit à quatre pans. A l'opposé, le pignon triangulaire à crochets est accosté par deux tours cylindriques en pierres de moyen appareil. L'une se dresse à l'angle Nord, percée par des fenêtres étroites à simple traverse, alors que l'autre, plus massive, avec des baies et une lucarne à croisée de pierre est raccordée au bâtiment par un petit mur en biais. Un escalier à vis de deux mètres d'emmarchement occupe la tour hexagonale de la façade et atteint le second étage, un autre plus étroit, accolé aux faces de la cage, mène au niveau supérieur. La porte d'entrée est surmontée par une accolade à fleuron, avec deux pinacles usés. Le vantail est à décor flamboyant dans la partie haute, alors que le panneau inférieur porte des serviettes plissées. Toutes les ouvertures ont conservé leur croisée de pierre et leur linteau à moulure retombant sur des culots sculptés dont quelques uns sont intacts aux lucarnes. Celles-ci n'existent pas à l'arrière, face au coteau, où seul un gâble triangulaire s'élève au-dessus des fenêtres du second étage.
Le sous-sol, où l'on descend par quelques marches partant de la base de l'escalier, était occupé par les cuisines. Il est divisé en deux parties inégales par un doubleau soutenant la voûte appareillée en pierres de taille. Des cheminées à hotte droite, avec linteau à double corniche sur jambages demi-cylindriques chauffent les pièces du rez-de-chaussée. La petite salle à la base de la tour Nord est couverte par une voûte à croisée d'ogives, portant à la clef un écu avec une couronne lobée à fleur de lys. L'une des cheminées du premier étage aux fines colonnettes est peut-être une rénovation du XIXe siècle car la hotte porte les armes des de Pierres.
Sa chapelle gothique Notre-Dame-de-Pitié et Sainte-Marie-Madeleine a été édifiée en 1507. Elle avait été fondée, cette même année, par Antoine Bernard, chanoine et archiprêtre de Loches. Les murs appareillés de cet édifice sont épaulés par des contreforts. La haute façade aveugle à pignon à crochets est percée à la base par une porte ouvrant sur quelques marches. Cette porte, surmontée par une accolade mutilée, présente un vantail à panneaux sculptés. La chapelle comprend deux travées voûtées sur croisées d'ogives à six nervures et un chœur à trois pans éclairé par trois hautes fenêtres flamboyantes. Aux clefs de voûte de la nef, on voit les armoiries de la famille du fondateur. Celle du chœur porte l'écu de France. Au Sud, une petite chapelle servant de sacristie est couverte par une croisée d'ogives à nervures prismatiques dont la clef est ornée d'une simple rosace. Les murs de la nef sont revêtus de boiseries dont l'un des panneaux, qui a été enlevé, cachait une piscine à burettes avec arc trilobé et fleuron.
Dans son parc, il existait une éolienne Bollée (1894) détruite par une tempête en décembre 2017.
Une tour cylindrique (XIVe siècle) en moellons, soutenue par trois contreforts, serait le vestige de fortifications. La salle basse a gardé quatre archères avec au centre un évidement circulaire pour l'usage des armes à feu. Elle avait été transformée en pigeonnier renfermant, dans la partie supérieure, trois niveaux de boulins.
Au Nord-Ouest du château, les communs formés par un corps de bâtiment avec deux ailes en retour d'équerre présentent, sur la cour d'honneur, une façade parfaitement symétrique avec deux portails en plein cintre et sept lucarnes. Celle du centre est datée de 1732 et celles des extrémités sont à fronton triangulaire, les autres frontons sont courbes.
Au Nord-Est, le mur d'enceinte de son parc présente une petite tourelle d'angle circulaire en encorbellement (XVIe siècle).
Le manoir privé des Hautes-Brétignolles a été édifié dans la seconde moitié du XVIe siècle. Cet important ensemble de bâtiments d'époques différentes est groupé autour d'une vaste cour. On y accède par un portail s'ouvrant entre deux piliers massifs qui, jadis, était doublé par une porte piétonne, aujourd'hui murée, à la clef et aux sommiers en léger relief. A l'un des angles, un petit bâtiment en forte saillie sur le chemin présente deux meurtrières pour armes à feu.
Dans son parc, il existait une éolienne Bollée (1894) détruite par une tempête en décembre 2017.
Une tour cylindrique (XIVe siècle) en moellons, soutenue par trois contreforts, serait le vestige de fortifications. La salle basse a gardé quatre archères avec au centre un évidement circulaire pour l'usage des armes à feu. Elle avait été transformée en pigeonnier renfermant, dans la partie supérieure, trois niveaux de boulins.
Au Nord-Ouest du château, les communs formés par un corps de bâtiment avec deux ailes en retour d'équerre présentent, sur la cour d'honneur, une façade parfaitement symétrique avec deux portails en plein cintre et sept lucarnes. Celle du centre est datée de 1732 et celles des extrémités sont à fronton triangulaire, les autres frontons sont courbes.
Au Nord-Est, le mur d'enceinte de son parc présente une petite tourelle d'angle circulaire en encorbellement (XVIe siècle).
Le manoir privé des Hautes-Brétignolles a été édifié dans la seconde moitié du XVIe siècle. Cet important ensemble de bâtiments d'époques différentes est groupé autour d'une vaste cour. On y accède par un portail s'ouvrant entre deux piliers massifs qui, jadis, était doublé par une porte piétonne, aujourd'hui murée, à la clef et aux sommiers en léger relief. A l'un des angles, un petit bâtiment en forte saillie sur le chemin présente deux meurtrières pour armes à feu.
Le logis, de plan rectangulaire, occupe tout le côté Nord. Il possède des murs en moellons enduits avec chaînage d'angle. Une corniche à gros modillons court sous le toit interrompue par trois lucarnes à fronton triangulaire éclairant le comble. L'une d'elles a perdu sa croisée de pierre. Le toit à longs pans est couvert en ardoise. Au rez-de-chaussée, l'un des panneaux inférieurs des deux fenêtres à croisée de pierre a été transformé en porte. Entre elles subsiste une baie étroite à simple traverse.
La pièce centrale a conservé un reste de pavage formé alternativement de dalles de pierre et d'ardoise. Les chevrons du plafond reposent sur deux maîtresses poutres. Dans un angle se trouve un potager en pierre avec une partie supérieure évasée, à côté d'une importante cheminée aux jambages en forme de consoles. Celle de la pièce voisine repose sa hotte sur des piédroits rectangulaires. Dans le pignon Ouest, épaulé par un contrefort, est logé un escalier à vis de pierre menant au niveau supérieur. Sur la façade donnant sur le jardin, on retrouve la même corniche à modillons, mais une seule lucarne au-dessus d'une fenêtre à croisée de pierre centrale, encadrée par des baies plus étroites à deux panneaux.
Dans le bâtiment situé à l'angle Sud-Est, plus ancien que les autres servitudes, on voit la trace d'une demi-porte piétonne condamnée, à côté d'un grand portail en plein cintre que l'on retrouve sur le mur opposé, ce devait être un autre accès qui a été supprimé. Les écuries datent du XIXe siècle.
Le manoir privé du Bois-de-Veude (XVe siècle) se compose d'un seul corps de logis rectangulaire, orienté Nord-Sud. L'aile en retour d'équerre vers l'Ouest a été démolie. Une tour octogonale hors-œuvre renferme un escalier à vis en pierre ayant 1,60 mètre d'emmarchement. La porte d'entrée à linteau droit a conservé sa double accolade retombant sur les moulures des piédroits. L'arc flamboyant qui la surmonte se devine encore mais de lourds pinacles ont remplacés les anciens et le tympan a été doté d'un très gros écu.
Le manoir privé du Bois-de-Veude (XVe siècle) se compose d'un seul corps de logis rectangulaire, orienté Nord-Sud. L'aile en retour d'équerre vers l'Ouest a été démolie. Une tour octogonale hors-œuvre renferme un escalier à vis en pierre ayant 1,60 mètre d'emmarchement. La porte d'entrée à linteau droit a conservé sa double accolade retombant sur les moulures des piédroits. L'arc flamboyant qui la surmonte se devine encore mais de lourds pinacles ont remplacés les anciens et le tympan a été doté d'un très gros écu.
La façade sur le jardin présente trois fenêtres à croisée de pierre placées toutes à des niveaux différents. Une quatrième, encadrée par des baguettes, éclaire l'extrémité Nord de l'édifice qui a été arasée et couverte par une terrasse. Sur chaque face, deux lucarnes à gâble plein, qui de ce côté sont en retrait l'une sur l'autre, percent le comble qui a gardé une partie de sa charpente. Les salles sont chauffées par des cheminées généralement à faux manteau au rez-de-chaussée, à hotte droite ou pyramidale avec jambages semi-cylindriques à l'étage. Quelques baies ont gardé les banquettes de pierre de leur embrasure. Ces salles ont des murs de pierre apparente et des plafonds avec poutre maîtresse. Située dans le manoir, la chapelle du XVe siècle, dédiée à saint Louis, a disparu. Il en est de même pour le pigeonnier signalé dans un acte de 1747.
Le logis privé de La Garde, édifié à la fin du XVe siècle, est composé d'un long corps de bâtiment résultant d'une série d'agrandissements successifs. Tous les percements de la façade Sud furent remaniés au XIXe siècle. Un escalier en fer à cheval permet d'accéder aux pièces du rez-de-chaussée qui, au Nord, se trouve en fait au premier étage. Elles sont chauffées par des cheminées à hotte droite avec jambages demi-cylindriques. L'une d'elles porte un blason aux armes des de Pierres. Le mur Nord est percé par trois fenêtres à croisée de pierre, celle du Nord-Est étant légèrement surélevée. Au-dessus, les baies plus étroites sont à simple traverse. Un escalier à rampe droite mène directement à l'étage. Il est soutenu par une colonne dont le chapiteau moderne porte aussi les armoiries de la famille de Pierres avec la devise: Pour soutenir loyauté, Ours lance pierres.
Dans son parc, une chapelle néo-gothique date du XIXe siècle.
Le logis privé de La Garde, édifié à la fin du XVe siècle, est composé d'un long corps de bâtiment résultant d'une série d'agrandissements successifs. Tous les percements de la façade Sud furent remaniés au XIXe siècle. Un escalier en fer à cheval permet d'accéder aux pièces du rez-de-chaussée qui, au Nord, se trouve en fait au premier étage. Elles sont chauffées par des cheminées à hotte droite avec jambages demi-cylindriques. L'une d'elles porte un blason aux armes des de Pierres. Le mur Nord est percé par trois fenêtres à croisée de pierre, celle du Nord-Est étant légèrement surélevée. Au-dessus, les baies plus étroites sont à simple traverse. Un escalier à rampe droite mène directement à l'étage. Il est soutenu par une colonne dont le chapiteau moderne porte aussi les armoiries de la famille de Pierres avec la devise: Pour soutenir loyauté, Ours lance pierres.
Dans son parc, une chapelle néo-gothique date du XIXe siècle.
A voir
- Le presbytère (XVIIIe siècle), acheté par la commune en 1812, fut agrandi d'un étage par l'architecte Noël Daviau en 1857.
- Le manoir privé des Basses-Brétignolles (1624): 4 rue du Peu.
- Le manoir privé du Peu (XVIe siècle ?).
- La ferme privée (6 rue du Moulin-de-la-Planche) présente un logis de la fin du XVe siècle, modifié en 1700 (agrandissement au sud). Le bâtiment perpendiculaire, orienté est-ouest, daterait du milieu du XVIIIe siècle.
- Au 3 rue de la Gautraye, une ferme privée est constituée d'une succession de logis accolés. Le premier (fin du XVe siècle) présente une pièce unique avec une cheminée de l'époque de la construction. Dans le second logis, une cheminée de 1790 a été élevée sur une autre cheminée du XVe siècle.
- La ferme privée de Torcé a été construite à la fin du XVe siècle.
- Le logis privé (2 rue du Village), de la première moitié du XVIe siècle, Le linteau de la porte ainsi que celui d'une des baies de l'étage est orné d'un arc en accolade. Sur la clé du linteau de l'autre fenêtre de l'étage, sont sculptés des outils de maçon: truelle, équerre et marteau.
- Le moulin de la Planche, sur la Veude, a un logis de la fin du XVe siècle, agrandi par l'Ouest au XVIIIe. Sur la façade, une fenêtre à croisée de pierre porte l'inscription rebâti en 1700. Sa machinerie date de la fin du XIXe siècle.
- Le moulin de Reigner (ou Renier), sur la Veude, connu dès le XIIe siècle.
- Le moulin de l'Arche, sur la Veude.
Patrimoine disparu
- Le moulin d'Argenson, sur la Veude.
Lieux-dits: Basse-Vigne, Bois-de-la-Roche, Bruyère-du-Vau, Château-des-Brétignolles, Bois-Semé, Clos-de-la-Thibaudière, Clos-des-Ferrandières, Clos-du-Bois-de-Veude, La Basse-Garde, La Basse-Gautraye, La Belle-Île, La Bruyère, La Coué-des-Bois, La Croix-Besnier, La Dogue, La Ferrandière, La Fontaine-à-Croquet, La Garde, La Grande-Pièce, La Haute-Garde, La Haute-Gautraye, La Maurinerie, La Papinière, La Planche, La Pointe-de-l'Arche, La Potée, La Thibaudière, Le Bois-Brûlé, Le Bois-de-Champ-Morin, Le Bois-de-Jaunay, Le Bois-de-Veude, Le Carroi-de-l'Ébaupin, Le Clos-Barberouge, Le Clos-Auvray, Le Clos-de-la-Cure, Le Clos-de-Torcé, Le Clos-Pouillet, Le Cul-d'Âne, Le Grand-Cimetière, Le Grand-Clos, Le Moulin-à-Vent, Le Peu, Le Vau, Les Audionnes, Les Basses-Brétignolles, Les Bédouères, Les Bournais, Les Brûlis, Les Champs-Roués, Les Chignolets, Les Cornes-de-Bœufs, Les Corvées, Les Coudriers, Les Foltières, Les Fosses-Brard, Les Fouraudières, Les Gains, Les Grands-Prés, Les Hautes-Brétignolles, Les Îles-de-Briançon, Les Îles-des-Planches, Les Maconnières, Les Milières, Les Neveaux, Les Perrières, Les Perrières-Besnier, Les Pouillets, Les Prateaux, Les Quarts, Les Rondières, Les Tribœufs, Les Voiries, Moulin-d'Argenson, Moulin-de-Beauvais, Moulin-de-la-Planche, Moulin-de-l'Arche, Pièce-du-Bois-de-la-Roche, Pont-de-l'Arche, Pré-de-l'Arche, Prés-des-Fontaines, Reigner, Sur-les-Gains, Taille-de-la-Plaise, Torcé
Anciens lieux-dits: Clos-du-Bois-Tourneau, Les Petits-Prés, Les Trois-Cheminées, Moulin-à-Tan, Port-de-la-Voie-Marguerite, Port-du-Petit-Bois
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