Saint-Genouph (prononciation locale Saint-G'nou) (Wikipedia) est une commune située à l'Ouest de Tours, entre la Loire et le Cher. Ses habitants sont appelés les Genulphiens, les Genulphiennes.
Le village a porté les noms de: Saint-Genoul (1561, Archives départementales), Saint-Genoulf (XVIIIe siècle, carte de Cassini), Saint-Genouph (1820, carte de l'état-major).
Jadis, il était une succursale de Berthenay mais il fut érigé en paroisse en 1758.
Le village a porté les noms de: Saint-Genoul (1561, Archives départementales), Saint-Genoulf (XVIIIe siècle, carte de Cassini), Saint-Genouph (1820, carte de l'état-major).
Jadis, il était une succursale de Berthenay mais il fut érigé en paroisse en 1758.
Le plus ancien registre paroissial date de 1564.
L'église Saint-Genouph a été reconstruite en 1899-1900 selon les plans de l'architecte Charles Guérin. De forme carrée, elle comporte une nef centrale, voûtée en lambris, avec abside voûtée en cul-de-four et deux collatéraux voûtés. Le clocher en charpente se trouve sur la partie Ouest du toit de la nef principale. L'église a été restaurée en 1988 (toiture), 1995 (autel) et 1996 (revêtement du sol).
Primitivement, il existait une chapelle à nef unique du Xe siècle qui fut remplacée, au XVIe siècle, par une église comprenant deux nefs dont une dédiée à saint Roch. Cette dernière est de nouveau rebâtie entre 1813 à 1822 avec, au Sud, une troisième nef. Elle a été détruite par une crue de la Loire.
Onze de ses vitraux sont signés par Joseph-Prosper Florence (Tours, 1899). Toutefois, un médaillon représentant saint Genouph, inséré dans la verrière figurant sainte Célestine, date des environs de 1500. Les autres verrières représentent: Sacré-Cœur de Jésus, saint François Borgia; sainte Rose de Viterbe; sainte Désirée; sainte Célestine (avec saint Genou); la Charité de saint Martin; sainte Marie-Jacobé, sainte Célestine; la roue de Fortune (cinq genoux); la devise de Saint-Genouph; saint Pierre et saint Victor.
Sur un vitrail, une femme à cinq genoux évoquerait un jeu de mot sur le nom de la commune.
Primitivement, il existait une chapelle à nef unique du Xe siècle qui fut remplacée, au XVIe siècle, par une église comprenant deux nefs dont une dédiée à saint Roch. Cette dernière est de nouveau rebâtie entre 1813 à 1822 avec, au Sud, une troisième nef. Elle a été détruite par une crue de la Loire.
Onze de ses vitraux sont signés par Joseph-Prosper Florence (Tours, 1899). Toutefois, un médaillon représentant saint Genouph, inséré dans la verrière figurant sainte Célestine, date des environs de 1500. Les autres verrières représentent: Sacré-Cœur de Jésus, saint François Borgia; sainte Rose de Viterbe; sainte Désirée; sainte Célestine (avec saint Genou); la Charité de saint Martin; sainte Marie-Jacobé, sainte Célestine; la roue de Fortune (cinq genoux); la devise de Saint-Genouph; saint Pierre et saint Victor.
Sur un vitrail, une femme à cinq genoux évoquerait un jeu de mot sur le nom de la commune.
La partie supérieure de sa porte en bois a été sculptée par l'abbé Blaive, curé de la paroisse de 1898 à 1902. L'épisode de la vie de saint Genouph représenté est celui où il récupère miraculeusement une poule volée par un renard.
Elle possède quelques modillons sculptés.
Le manoir privé du Morier (XIIe siècle), situé en contrebas de la levée du Cher, possède un pigeonnier circulaire (à gauche). Son entrée est composée d'une porte charretière et d'un guichet pour piétons.
Au hameau de Marsay (ou Marçay), un logis privé date du XVIIe siècle. Il a appartenu à la famille Pommyer de la Révolution jusqu'au milieu du XIXe siècle. Ce hameau fut donné, vers l'an 900, par Charles III le Simple au chapitre de la cathédrale de Tours.
Le manoir privé du Morier (XIIe siècle), situé en contrebas de la levée du Cher, possède un pigeonnier circulaire (à gauche). Son entrée est composée d'une porte charretière et d'un guichet pour piétons.
Au hameau de Marsay (ou Marçay), un logis privé date du XVIIe siècle. Il a appartenu à la famille Pommyer de la Révolution jusqu'au milieu du XIXe siècle. Ce hameau fut donné, vers l'an 900, par Charles III le Simple au chapitre de la cathédrale de Tours.
A voir
- Les maisons privées: aux Montils (XVe siècle) et au Bas-Chemin (1563).
- Les fermes anciennes des Nouies et de La Gaudinière.
Lieux-dits: Château-Gaillard, Clos-Boileau, Clos-des-Trois-Arpents, Clos-Fouquet, Île-aux-Bœufs, Île-Potet, La Bise, La Brandelle, La Gaudinière, La Gobinière, La Grande-Fosse, La Hallebardière, La Mitrace, La Queue-de-Merluche, La Rabinière, La Roche, L'Auberdière, La Vergerie, Le Bas-Chemin, Le Grand-Chemin, Le Grand-Moulin, Le Mauvrais, Le Morier, Le Parc, Le Patys, Le Petit-Morier, Le Port-de-Maillé, Les Barres, Les Bois-Robins, Les Brèches, Les Brigaudières, Les Champs-Renard, Les Chaumelleries, Les Closeaux, Les Gaudins, Les Grands-Prés, Les Jards, Les Martinières, Les Montils, Les Mottes, Les Mottes-Berges, Les Mottes-Fouquets, Les Nouies, Les Petits-Bets, Les Petits-Prés, Les Places, Les Sables, Les Terres-Fortes, Les Varennes, Les Vignes-Jacquemins, Marsay, Prés-des-Dances, Toucheronde
Anciens lieux-dits: Clos-de-l'Aubépin, Isle-Durand, La Brousillière, La Croix, La Pièce-Pion, La Touche, Le Batavoux, Le Bas-du-Bourg, Le Bec-de-Lile, Le Clos-des-Clercs, Le Clos-des-Meuniers, Le Clos-du-Bois, Le Clos-Pion, Le Clos-Saint-Pierre, Le Défroc, le Haut-Bourg, Les Chillonières, Les Froments, Les Procès, Les Vignes, Prés-Baillifs, Sous-le-Bourg
L'église de saint genouph a célébré son centenaire en 1999 et on peut consulter le livret édité à cette occasion(*) contact : Mr&Me ,ROGER MORICE ,les montils 37510 SAINT GENOUPH .On apprendra par là une partie de l'histoire de ce SAINT...........(*)Ce livret réalisé par un groupe de GENULPHIENS (nes)
RépondreSupprimer