Azay-sur-Cher

Azay-sur-Cher (Wikipedia) est une commune située à l'Est de Tours. Ses habitants sont appelés les Azayrois, les Azayroises.
Le village a porté les noms de: Aziacum et Azaium (1127, cartulaire du prieuré de Saint-Jean-du-Grais), Azayo super Carum (XIIe siècle, charte de Saint-Martin de Tours), Azaio (1236, cartulaire de l'abbaye de Villeloin), Azaio (1247), Azay super Carum (1290, pouillé de Tours), Azaium super Carum (XIIIe siècle, cartulaire de l'Archevêché de Tours), Azay sur Chier (1358, cartulaire de l'archevêché de Tours), Azé (XVIIIe siècle, carte de Cassini), Azay (1820, carte de l’État-major).
La châtellenie a appartenu successivement aux de Surgères, aux de Clermont puis à la collégiale Saint-Martin de Tours (du XVe siècle à la Révolution). Le bourg a été incendié au milieu du XIVe siècle.
Le plus ancien registre paroissial date de 1581.
Coordonnées GPS d'Azay-sur-Cher: 0°50'50"E - 47°20'57"N
Code INSEE: 37015 - Code postal: 37270 - Superficie: 2285 hectares
Altitudes: de 48 à 103 mètres
Cours d'eau: le Cher, le Filet
L'église Sainte-Marie-Madeleine, construite au XIIe siècle (murs de la nef et clocher), a été agrandie au XVe (chapelle seigneuriale et flèche du clocher). Sa nef a été rebâtie en 1790. Enfin, l'église a été agrandie et restaurée en 1856-1857 par les architectes Gustave Guérin et Auguste Alison: construction d'une nouvelle travée de la nef vers l'Ouest, modification de l'abside désormais éclairée par cinq fenêtres, réfection des murs gouttereaux de la nef et ajout d'un nouveau pignon à l'Ouest. En 1858, la tribune fut construite dans la première travée de la nef par le charpentier Barge. Cette tribune est supportée par deux poteaux octogonaux en bois dont la base repose sur un socle en pierre.
La nef unique, construite en moellons, comporte quatre travées éclairées au Nord et au Sud par des fenêtres en arc brisé. Cette nef est couverte par une fausse voûte lambrissée en berceau. Au Nord, la chapelle de la Vierge est séparée de la nef par deux arcades en plein cintre et est couverte par une fausse voûte lambrissée. Le chœur possède une travée droite et une abside à cinq pans. Au Sud, le clocher carré hors œuvre est épaulé par quatre contreforts d'angle et est couronné par une flèche octogonale accompagnée à la base de lucarnes. Il est desservi par un escalier à vis hors œuvre en pierre. Son rez-de-chaussée est occupé par la chapelle seigneuriale, voûtée sur une croisée d'ogives dont la clef porte les armoiries des seigneurs du Fau (Reignac). Cette chapelle est éclairée par deux fenêtres à remplage flamboyant, l'une à l'Est et l'autre au Sud.
De 1856 à 1881, l'abbé Henri-Prosper Guillot a réalisé le décor néo-gothique de cette église. Ainsi, la voûte du chœur a été sculptée. Les niches séparant les travées abritent les statues des douze apôtres et supportent les nervures festonnées des voûtes. Les autres sculptures sont composées de motifs géométriques et végétaux.
Les vitraux de cette église ont été réalisés par Joseph-Léopold Lobin (Tours): sainte Marie-Madeleine (vers 1854), le Couronnement de la Vierge (1854), saint Charlemagne et saint Henri (1861, 📷), la Présentation de Marie au Temple (1854) et onze verrières ornementales. Un vitrail, œuvre de Pierre Petit (Tours, 1944), représente Notre-Dame de Boulogne.
L'ancien prieuré de Saint-Jean-du-Grais a été fondé en 1127 par Foulque V, seigneur de Touraine, comte d'Anjou, et érigé en prieuré en 1163 par Barthélémy, doyen de la collégiale Saint-Martin de Tours. C'était une dépendance de l'abbaye bénédictine de Cormery. On peut y voir 39 verrières créées en 2004 par Sarkis.
L'église priorale, édifiée au début du XIIe siècle, a été démolie vers 1850, sauf le clocher au Sud de la façade Est. Ce dernier est une tour carrée, épaulée aux angles par d'épais contreforts, ouverte à l'étage du beffroi par deux baies en plein cintre au Nord et au Sud et par une seule à l'Est et à l'Ouest, et coiffée d'une flèche de pierre octogonale à pans brisé (en mitre). L'église était composée de trois travées de 10 mètres de long et terminée par trois absidioles.
Au Sud de l'église, se trouve la cour du prieuré avec son puits couvert du XIVe siècle, profond de 15 mètres. Cette cour est limitée par les bâtiments conventuels ayant subsisté.
A l'Est, un corps de bâtiment faisait suite au bras Sud du transept. Il comprend, au rez-de-chaussée, entre un escalier menant au premier étage et un passage voûté, la salle capitulaire ouverte sur la cour par trois baies formées chacun de deux fenestrelles en plein cintre, circonscrites par une arcade aussi en plein cintre, et séparées par des colonnettes géminées. La salle, éclairée à l'Est par trois étroites fenêtres en plein cintre, est voûtée sur croisées d'ogives profilées d'un tore qui retombent d'une part sur deux colonnes engagées, de l'autre, au centre de la pièce, sur deux colonnes cylindriques. Les chapiteaux sont ornés de motifs végétaux. Au-dessus de la porte, on peut voir des restes de fresque. Au delà de la salle capitulaire et du passage voûté, une pièce semble avoir été un cellier. L'étage est occupé par le dortoir, pavé de petits carreaux rouges et éclairé, sur les deux façades, par d'étroites fenêtres meurtrières. Au Sud, il était relié à la salle supérieure d'un bâtiment disparu dont le rez-de-chaussée était occupé par la cuisine.
Au Sud, s'étend le bâtiment du réfectoire, longue salle couverte d'une charpente, éclairée par sept hautes fenêtres en plein cintre ouvertes dans le mur Sud, où fait saillie, extérieurement la chaire du lecteur. Celle-ci est elle-même éclairée par trois fenêtres et couverte par une petite voûte sur deux nervures toriques. L'escalier et la chaire proprement dite ont disparu. Le mur Sud porte des vestiges d'une grande fresque du XVe siècle.
Le bâtiment du réfectoire se poursuit, à l'Ouest, par deux celliers voûtés de berceaux brisés. Fermant le préau du cloître à l'Ouest, un bâtiment du XVe siècle, restauré, surmonte une vaste cave voûtée d'un berceau brisé sur doubleaux.
Dans l'avant-cour, au Nord de l'emplacement de l'église, on voit un autre corps de bâtiment construit aussi au XVe siècle.
Près de l'église, ce donjon quadrangulaire flanqué, au Nord, d'une tourelle d'escalier, octogonale à la base et ronde au sommet, est un des rares vestiges du château seigneurial d'Azay (XIIe et XIVe siècles). Jadis, celui-ci était fortifié et entouré de douves. L'intérieur comprend trois étages et un comble éclairés par des fenêtres superposées, remaniées à diverses époques. Seule, l'une d'elles a gardé la marque de l'emplacement de sa traverse disparue. Ce donjon est couvert par un toit à quatre pans. La tourelle renferme un escalier à vis en bois dont le noyau est constitué d'un seul arbre dans lequel viennent s'encastrer les poutres formant les marches. Il devait jadis partir du rez-de-chaussée mais un remaniement l'a supprimé à ce niveau. Le premier étage est chauffé par une cheminée à hotte sur deux consoles, dont le foyer a été transformé au XVIIe siècle. Celle du second, très simple, avec corniche au plafond date de cette époque. Dans la cour, une construction transformée en habitation et terminée par une abside semi-circulaire serait une ancienne chapelle. Sa charpente en carène de navire inversée supportant la toiture semble le confirmer. Non loin, se trouve une tour circulaire dont la base est en petit appareil et qui fait partie, maintenant, d'un logis.
Le château privé du Coteau, bâti de 1864 à 1869 par l'architecte Jean-Charles Jacquemin, dans le style néo-classique, pour le baron de Lauverjat, a remplacé un logis seigneurial de la fin du XVIe siècle. Les communs sont construits en 1884-1885, puis une des ailes est agrandie entre 1931 et 1934. Cet édifice se trouve dans un parc de 9 hectares dessiné par le paysagiste Édouard André en 1869. Ce parc renferme trois arches de l'aqueduc gallo-romain de Fontenay. Son éolienne Bollée de 1891 a disparu.
Le château privé de Leugny a été édifié en 1779, dans le style néo-classique, par l'architecte Louis Denis Camus, pour Ambroise Ribot, receveur des gabelles d'Amboise, intendant de Choiseul. Ses façades sont couronnées par une balustrade de pierre. Le toit à quatre pans serait une addition très peu postérieure à la construction. Le premier étage de la façade Nord correspond au rez-de-chaussée sur la cour. Les sept fenêtres du premier étage sur chaque face, ainsi que les quatre sur les côtés, sont surmontés par une corniche saillante, soutenue par deux consoles cannelées et ornées d'une rosace. Un bandeau plat court au niveau des appuis, mais chacun de ceux-ci, au Sud, repose sur cinq balustres. Les baies de l'étage sont plus réduites en hauteur, alors que celles du sous-sol sont en plein cintre.
La cuisine, chauffée par une grande cheminée à jambages obliques, a conservé son évier de pierre et, dans un angle, un petit four à pâtisserie. Si les huisseries intérieures, la cheminée en marbre du salon avec trumeau garni d'une glace sous guirlande en feston sont d'époque, l'escalier en fer forgé semble avoir été déplacé. En effet, il devait prolongé celui descendant au sous-sol qu'un ancien plan indique à un autre emplacement.
A l'Ouest et à l'Est de la cour, les communs sont constitués par deux longs bâtiments parallèles, avec toit à la Mansard. Beaucoup de leurs ouvertures sont aveugles ou peintes en trompe l’œil. A l'Ouest, la grange occupe la partie centrale, alors qu'à l'autre bout, éclairée par trois grandes fenêtres semblables à celles du logis, était aménagée la chapelle. Les communs de l'Est devaient être réservés au logement du personnel et l'on y retrouve un escalier en bois au volées inégales. Ces deux ailes sont dorénavant reliées avec le principal corps de bâtiment par deux petites terrasses munies de balustrades, de chaque côté.
A proximité, d'autres servitudes présentent des portes en plein cintre et de grandes arcades en anse de panier. Elles dateraient de l'époque de la Restauration.
Dans son parc, on peut découvrir ce pigeonnier cylindrique dont les murs d'un mètre d'épaisseur gardent encore la trace des boulins détruits. Élevé au-dessus d'un puits, il fut transformé en château d'eau. Son toit percé par de grandes lucarnes et son couronnement où des briques composent un élément décoratif géométrique sont sans doute modernes.
Le château privé de Beauvais a été reconstruit vers 1764, restauré en 1852 dans le style néo-gothique puis modifié de 1903 à 1911 par l'architecte Marcel Rohard. Il appartint au sénateur d'Empire Dominique Clément de Ris dont l'enlèvement dans la soirée du 23 septembre 1800 fit beaucoup de bruit. Dans son parc, se trouve une éolienne Bollée de 1879.
Le château privé de La Gitonnière fut reconstruit au XVIIe siècle mais il renferme un escalier à vis de pierre du XVe siècle conservé jusqu'au niveau du premier étage dans une cage rectangulaire. Un escalier à rampe Louis XIII lui fait suite. Le bâtiment principal était entouré par deux pavillons. Celui de l'Est, à usage de chapelle, comportait une abside à cinq pans, éclairée par trois fenêtres en plein cintre, alors qu'une autre plus importante était aménagée dans chacun des murs latéraux. La porte en anse de panier est surmontée par un tympan circulaire, brisé au sommet par une niche à statuette. Le pavillon Ouest, plus massif, est couvert par une toiture en dôme, avec au sommet un lanterneau en pierre, terminé par un lanternon. Trois lucarnes à fronton courbe ont été restaurées à l'identique vers 1977. Tout le rez-de-chaussée voûté était en fait un pigeonnier dont les boulins furent retrouvés sous l'enduit qui les recouvrait. Une salle de réunion de construction moderne réunit désormais cette ancienne fuye à l'habitation. Une cheminée à hotte du XVe siècle y a été remontée.
La partie centrale de la façade Sud, limitée par des chaînages à refends, est terminée par un fronton triangulaire, percé par un oculus entouré de feuillage. La porte d'entrée, à encadrement mouluré, ouvre sur un large perron de quelques marches. Les pièces, éclairées par des fenêtres à petits carreaux, ont conservé quelques cheminées à linteau galbé avec coquille centrale. Au Nord, édifié sur le rebord d'une profonde dépression, le château apparaît beaucoup plus haut et le rez-de-chaussée, de ce côté, est devenu le premier étage.
Vers 1909, le moulin à eau de La Gitonnière, situé dans la partie basse du domaine, fut transformé en laiterie qui ferma vers 1960.
Le château privé de La Michelinière date du XVIe siècle. Un grand portail doublé d'une porte piétonne donne accès à la cour. Le logis principal, de plan rectangulaire, en pierres de moyen appareil, est surmonté par un comble élevé entre deux pignons. Les angles Nord-Ouest et Sud-Ouest sont flanqués par une tour cylindrique en moellons. Couvertes en poivrières, elles étaient ceinturées par des bandeaux qui subsistent en partie. Les baies de la façade, distribuées symétriquement, ont été remaniées. La porte d'entrée est encadrée par des pilastres à chapiteaux Renaissance. Son linteau en arc surbaissé est orné d'une moulure en S à la clef. Le large entablement qui le surmonte présente deux hautes ouvertures rectangulaires.
Au pignon Sud est accolé un bâtiment sans étage formant deux salles. La première est l'ancienne cuisine, on y voit une table rustique avec ses bancs, une poutre maîtresse sur deux corbeaux de pierre, un potager à quatre trous près d'une cheminée à hotte droite et jambages rectangulaires. Celle de la pièce voisine, à linteau de bois reposant sur deux consoles, abrite le four à pâtisserie et le grand four à pain. Le réduit contigu à celui-ci servait de magnanerie et a conservé quatorze petites niches pour l'élevage du ver à soie.
Sous le logis s'étend une grande cave voûtée sur couchis où l'on accède par un étroit escalier de pierre. Elle communique avec un caveau en équerre creusé dans le rocher à un niveau inférieur.
Construit au début du XVIIe siècle, le manoir privé de La Roche a été remanié à la fin du XIXe. Il se trouve sur une parcelle de terrain entourée par un mur en moellons percé par deux portails, l'un en plein cintre, l'autre composé de deux piliers ornés de cartouches verticaux. Le logis présente deux bâtiments, d'inégale hauteur, accolés au niveau des pignons. Le bâtiment Ouest comprend un rez-de-chaussée surmonté par un haut comble éclairé par une lucarne, refaite, à fronton triangulaire. Il a conservé un pignon en petits moellons avec chaînes d'angle en pierre de taille. La souche de cheminée est en brique. Le bâtiment Est, plus haut, possède un étage carré. Ces deux bâtiments sont protégés par des toits à longs pans et pignons découverts avec couvertures en ardoise.
Le logis privé de La Pescherie, XVIe et XVIIe siècles, est édifié en pierres de taille entre deux pignons à rondelis percés par des fenêtres à petits carreaux. Sa partie Nord-Est a été élargie et son sous-sol se trouve au niveau du jardin. De là, il faut gravir quinze marches pour atteindre la cour, sur laquelle donne une façade basse, aux percements symétriques. Au centre, la porte d'entrée au linteau cintré s'ouvre sur un perron de quatre marches et donne accès à un vestibule occupé, à son extrémité, par un escalier en bois à trois volées rectilignes et rampe à balustres tournés. De part et d'autres, chaque pièce du rez-de-chaussée est éclairée par une grande fenêtre à huisserie à petits carreaux. Les lucarnes à gâble aigu perçant le toit d'ardoises sont une restitution moderne. La cheminée de la cuisine à hotte droite sans corniche, dont le foyer a été modifié, mesure 2,35 mètres d'un jambage à l'autre. Une seconde devait exister dans le salon, appuyé au mur Ouest. Toutes deux étaient soutenues dans la cave, où l'on descend de l'extérieur par une dizaine de marches, par un important arc de décharge, reposant sur des corbeaux de pierre. Sous celui de l'Ouest, l'entrée d'un souterrain, passant sous la rue avec voûte appareillée, a été murée. Au Sud, le plancher est soutenu par quatre piliers massifs en maçonnerie.
Ce lavoir de 1888 se trouve place Besnard (près du Cher).
Son bassin est alimenté en eau par la fontaine Sainte-Tutrille (nom donné à cette fontaine par le cadastre de 1826, le même cadastre la nomme Sainte-Utrille en 1960. Cette fontaine était baptisée Saint-Aoustrille au XVIIIe siècle).
Au Sud-Est du bourg, cette tour serait ce qui reste d'un ancien moulin à vent.
Il existe encore quelques loges de vigne sur le territoire de cette commune comme celle située au lieu-dit Le Marchais.
Au lieu-dit Le Puits-d'Abas, un vieux puits désaffecté a été transformé, en 1954, en un oratoire dédié à la Vierge.
Au 12 rue de Cormery, une doloire (outil servant à travailler le bois) a été sculptée sur le linteau d'une fenêtre. Cela pouvait être l'enseigne d'un charpentier ou d'un tonnelier.

A voir
  • Les fermes anciennes: Le Petit-Mosny (XVe et XVIIIe siècles), Le Puits-d'Arcé (XVIe et XVIIIe), Les Augers (XVIIIe).

Patrimoine disparu

  • Le moulin à vent du Puits-d'Abas a été démoli en 1843.

Lieux-dits: Beauvais, Bois-d'Azay, Bouchélin, Chanceaux, Forges, La Baronnerie, La Baugellerie, La Bodine, La Bonninière, La Bretonnerie, La Brosse, La Canarderie, La Chapelle-Chandery, La Charbonnière, La Claie, La Cocarderie, La Cochonnerie, La Dauvernerie, La Douzellerie, La Duvallerie, La Fermalétrie, La Foi, La Folie, La Foltière, La Fontaine, La Fontaine-Morin, La Fosse-Rigolet, La Foutière, La Gitonnière, La Haute-Maison, La Herpinière, La Hubaillerie, La Jourdinerie, La Lambarderie, La Lucterie, La Maillardière, La Marquetrie, La Mercerie, La Michelinière, La Perrée-du-Roi, La Pescherie, La Piardière, La Pierre, La Prairie-de-Leugny, La Renardière, La Rigaudière, La Roche, La Roche-Morin, La Souche, La Tortinière, La Touche, La Trute, La Tuilerie, La Varenne, La Voie-Creuse, Le Bastereau, Le Bourg-Neuf, Le Buissonnet, Le Château-Buisson, Le Coteau, Le Fourneau, Le Fouteau, Le Grais, Le Grand-Falaise, Le Marchais, Le Marchais-de-la-Roche, Le Marigny, Le May, Le Moulin-à-Vent, Le Patouillard, Le Petit-Croule, Le Petit-Falaise, Le Petit-Grais, Le Petit-Mosny, Le Port, Le Puits-d'Abas, Le Puits-d'Arcé, Le Puy-Rosay, Le Teignard, Le Vau-de-Larçay, Le Village-des-Serraults, Le Vivier, Leugny, Les Augers, Les Boires-de-Mosny, Les Boutardières, Les Carnaux, Les Charpereaux, Les Coteaux-Perdus, Les Danges, Les Falaiseaux, Les Fourches, Les Granges-Rouges, Les Moreaux, Les Petits-Moreaux, Les Pièces-de-Saint-Louis, Les Prateaux, Les Prés-Brûlés, Les Rochardières, Les Sables, Les Serrauts, Les Ursulines, Prieuré-Saint-Jean-du-Gray, Rochecave, Saint-Louis, Tartifume
Ancien lieu-dit: La Rolandrie
    Communes voisines: Athée-sur-Cher, Esvres-sur-Indre, St-Martin-le-Beau, Truyes, Véretz
      Blason d'Azay-sur-Cher

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