Panzoult

Panzoult (Wikipedia) est un village du Sud de la Touraine. Ses habitants sont appelés les Panzoultais, les Panzoultaises.
Il a porté les noms de: Peiso, Pensot, Pensolt (XIIe siècle, respectivement dans des chartes de Turpenay, de Marmoutier et de Noyers), Parochia de Pensoto (1276, charte de Marmoutier), Pensotum (1290, pouillé de Tours), Panzostus (1344, charte de Marmoutier), Pensost (1367, cartulaire de l'archevêché de Tours), Panzoust (1535, Rabelais, Gargantua), Panzoult (XVIIIe siècle, carte de Cassini), Panzoult (1820, carte de l'état-major).
Ce fut une seigneurie relevant de L'Île-Bouchard et une possession de la famille Barjot du XVIIe siècle à la Révolution. Au XIIe siècle, l'église appartenait à l'abbaye de Marmoutier.
Le plus ancien registre paroissial date de 1615.
Coordonnées GPS de Panzoult: 0°24'10"E - 47°08'46"N
Code INSEE: 37178 - Code postal: 37220 - Superficie: 3461 hectares
Altitudes: de 27 à 119 mètres (au Sud de Saint-Hubert)
Cours d'eau: la Vienne, la Manse, le Ruau
L'église Saint-Vincent, construite au XIe siècle (façade Ouest), a été modifiée aux XIIIe (clocher et chœur) et XVIe siècles (nef, deux collatéraux, chapelle seigneuriale et portail).
La façade Ouest est parementée en petit appareil. Sa porte en plein cintre, sans mouluration, a été refaite mais la fenêtre qui la surmonte est de l'époque. A gauche de cette baie, se trouve une autre fenêtre, désormais condamnée, qui fut percée au XVIe siècle et qui présente un ébrasement oblique par rapport au parement.
La nef est accompagnée par deux collatéraux, chacun de trois travées, qui communiquent avec elle par trois arcades. Le collatéral Nord est plus étroit. Tous les deux sont voûtés sur des croisées de grosses ogives retombant sur des culs-de-lampe et sont terminés, l'un et l'autre, par un chevet plat.
Suivant la nef majeure, le chœur, terminé par un chevet plat, est couvert par une voûte angevine, sur ogives et liernes. Il est éclairé, uniquement à l'Est, par deux fenêtres en lancette dont les arcs moulurés de tores retombent sur des chapiteaux à feuillage de colonnettes engagées.
 
Latéralement, une arcature divise le mur en deux travées et retombe sur des colonnettes reposant sur des culs-de-lampe représentant des personnages à mi-corps. Les nervures de la voûte profilées d'un tore retombent, entre les arcs, sur des dais surmontant un ange. A droite, cet ange est soutenu par une colonnette reposant, elle-même, sur un autre dais surmontant un second personnage mutilé. Cette disposition se répétait entre les fenêtres mais la statue ancienne a été remplacée par une statue moderne. A gauche, seul l'ange supérieur fut conservé lors de l'ouverture, au XVIe siècle, d'une grande arcade en tiers-point donnant accès à la chapelle seigneuriale. Aux clefs de voûte, ornées, se voient un Agneau, un Christ bénissant et un saint Pierre.
La chapelle seigneuriale se compose de deux travées voûtées sur croisée d'ogives et lierne longitudinale avec trois écus blancs aux clefs. Ces nervures retombent sur des culs-de-lampe comme celles des collatéraux de la nef.
Le clocher, flanquant l'église au Sud du chœur, a vu ses fenêtres en plein cintre condamnées au XVe siècle. A cette époque, il fut surélevé d'un étage avec des bais géminées moulurées de tores. Sa flèche octogonale date du XIXe siècle.
Sur son mur Sud, deux cadrans solaires ont été gravés dans le tuffeau. La photo représente le plus important des deux.
Elle renferme plusieurs vitraux dont celui, signé Julien Fournier (Tours 1899), représentant saint Louis rendant la justice sous un chêne à Vincennes. Deux autres verrières de Julien Fournier (1885) montre saint Vincent et saint Roch. Un autre vitrail du même verrier (1888) représente le don du Rosaire à saint Dominique.
Sur une plaque funéraire en marbre blanc (1763), dans le collatéral Nord, la généalogie des seigneurs Barjot de Roncée et de leurs femmes a été gravée. Elle va de 1561 (Claude et sa femme, Anne d'Availloles) à 1763 (Alexis et sa femme, Geneviève-Alphonsine Borderie de Vernejoux).
Le château de Panzoult (XVe siècle) est l'ancien logis seigneurial. Le bâtiment rectangulaire est limité par deux hauts pignons. Il devait être prolongé par une aile en retour d'équerre dont les arrachements sont visibles sur la façade Nord qui garde la trace d'une grande ouverture en arc brisé. Les fenêtres de la façade Sud ont perdu leur croisée de pierre mais toutes ont conservé leur linteau orné d'une moulure retombant sur des culots sculptés plus ou moins intacts. Celui qui est intact représente un petit quadrupède à longue queue. Les baies du rez-de-chaussée ont été transformées en porte et l'une d'elles est doté d'un auvent. La tour pentagonale est en pierres de taille comme le reste de l'édifice. Arasée au sommet, elle a été couverte par un toit à cinq pans. Elle renferme un escalier à vis aux marches en partie revêtues de bois. La porte est surmontée par une accolade à crochets et fleuron encadrée de pinacles. Cette porte présente un seul jambage creusé par une moulure.
L'une des salles basses, avec son plafond aux poutres apparentes, possède une grande cheminée dont l'arc de décharge repose sur deux consoles. Une cheminée d'une époque bien postérieure, aménagée dans le foyer, a entraîné la disparition du linteau. La hotte d'une autre, dans une salle du premier étage, a disparu, mais les jambages demi-cylindriques sont intacts. Des banquettes de pierre garnissent l'embrasure de la baie regardant la cour. La charpente est d'origine.
Une petite pièce voûtée faisait la jonction avec le rocher où est creusée une sorte de chapelle souterraine formée de deux travées inégales: l'une voûtée sur croisée d'ogives aux nervures abattues par un chanfrein à la clef ornée d'une rosace, l'autre rectangulaire voûtée en arc brisé. La première ouvre sur une galerie irrégulière, au plafond élevé, taillée directement dans la roche et disposant d'une cheminée et d'un four à pain. Près de là, une construction à pignons aigus, présentant une fenêtre à croisée de pierre, sert de grange.
A l'Est de l'église, Le Pavillon, construction du XVIIe siècle, est composé d'un logis de plan trapézoïdal, aux murs épais de 80 centimètres, couvert par un comble élevé à quatre pans et éclairé par une lucarne à fronton courbe. L'angle Ouest est occupé par une tourelle rectangulaire renfermant un escalier de pierre tournant à deux noyaux dont la première volée ne comporte que quatre marches droites. Elle surmontée par un toit en pavillon couvert d'ardoises. Sur le palier, on voit une meurtrière pour armes à feu. La porte d'accès en anse de panier ouvre sur un couloir voûté qui mène à la salle basse qui a gardé sa fenêtre à petits carreaux. Elle est chauffée par une cheminée de la fin du XVIIe siècle, à linteau courbe, aux jambages légèrement galbés, cannelés et rudentés à la base. Cette maison a servi de presbytère à partir de 1673.
Il présente un cadran solaire circulaire en ardoise qui porte les inscriptions suivantes: en haut: Par Sir Janson, 1786; à gauche, dans le premier croissant de lune: Chambre à louer; à droite, sous le soleil: Sois bien faisant comme moi et en bas: Je ramène l' aurore et reviens sur mes pas. Passant tu vis tu meurs et tu n' y penses pas.
Le château de Roncé ou Roncée (XVIIe siècle), détruit à la Révolution, possédait un pigeonnier hexagonal mesurant 14 mètres de haut sur 10 de large et qui est, à l'intérieur, circulaire. Cette fuye, divisée à mi-hauteur en deux étages par un bandeau mouluré, est surmontée par un dôme à six pans accompagné, au milieu de chaque pans, par une lucarne à fronton triangulaire, aux piédroits en bossage, et d'un pinacle à chacun des angles. Ce dôme est couronné par un lanternon hexagonal en pierre ouvert par six petites fenêtres carrées. Au-dessus de l'arc bombé de la porte, une pierre devait porter un blason aujourd'hui mutilé.
Ce pigeonnier renferme 2400 boulins (nids de pigeons) en tuffeau. Les coupoles du dôme et du lanternon sont intactes. Acquise en 2005 par le Conseil départemental, cette fuye a été restaurée de 2019 à 2021.
Le château privé du Pressoir date de la fin du XVIe siècle. Le logis seigneurial occupait un vaste emplacement où l'on accédait par un pavillon fortifié derrière un fossé désormais comblé. Sa façade Ouest présente la triple rainure de son double pont-levis, protégé par une ligne de mâchicoulis. La grande porte charretière débouche dans la cour par une arcade en plein cintre mais, de ce côté, la poterne a été murée, comme la grande baie du premier étage à encadrement mouluré. Le toit à quatre pans est percé par une lucarne à fronton triangulaire.
L'ensemble des bâtiments formait un quadrilatère ordonné autour de la cour intérieure. Ceux situés de part et d'autre du châtelet d'entrée aboutissaient à chaque angle à un pavillon à comble élevé, mais celui du Nord, en bordure d'un reste de douves, est ruiné. Au rez-de-chaussée, des meurtrières pour armes à feu couvraient les fossés. L'aile Sud, en léger retrait, a eu tous ses percements murés à l'étage, alors que ceux des salles basses ont été remaniés. Sur la façade donnant sur la cour, on voit une haute fenêtre à meneaux ayant perdu un croisillon et, au-dessus, des feuillages, formant ailerons, accostent une lucarne à deux fenestrelles. Une seconde, n'ayant qu'une ouverture en plein cintre surmonte une baie étroite à simple traverse avec des pilastres Renaissance que l'on retrouve de part et d'autre d'une porte à linteau courbe qui est condamnée. Au pignon était adossé une chapelle qui a été démolie au début du XXe siècle. On y entrait par deux portes situées en vis-à-vis. Celle ouvrant sur l'extérieur est presque intacte, avec son arc en plein cintre, ses piédroits cannelés et le départ de son fronton triangulaire, mais de l'autre, il ne subsiste qu'un jambage.
L'aile Est, mieux conservée, est flanquée, au Nord, par un pavillon en forte saillie sur elle. Dans l'angle rentrant, une tourelle quadrangulaire renferme un escalier à deux rampes droites inégales, comptant respectivement douze et huit marches. La porte en anse de panier est surmontée par un oculus. Tout le rez-de-chaussée, en bossages continus, comportait sept grandes arcades dont chaque clef devait être ornée d'un masque grimaçant, mais un seul a subsisté. Toutes ces arcades ont été plus ou moins totalement aveuglée, laissant place à des portes rectangulaires donnant accès à la galerie couverte par une voûte en pierres de taille. On y voit, à chaque extrémité, une porte murée, à pilastres doriques, à fronton triangulaire avec entablement portant des diglyphes.
Le premier étage, entièrement pavé de petits carreaux de dix centimètres de côté, disposés en panneaux, est éclairé par des fenêtres à croisée de bois, à l'appui saillant et piédroits en bossage. La dernière, au Sud, a été transformée en porte de grenier. Un bandeau plat court au niveau du plancher et des appuis. L'interruption de la corniche sous le toit indique la présence de lucarnes qui ont presque toutes disparu, sauf aux extrémités où elles ont subsisté. Elles étaient en pierre et de forme circulaire. Celle du centre, qui sur la cour a été réédifiée en bois, est la seule qui existe sur le mur extérieur. Celui-ci, aveugle en sa partie basse avec des chaînages d'appareil, n'a conservé que cinq fenêtres à l'étage. L'angle rentrant Sud est occupé par une tourelle pleine en encorbellement. L'arrachement du mur qui la supporte d'un côté laisse supposer la présence d'une aile en retour d'équerre.
A l'Ouest, un portail (1593), comportant une porte charretière et une porte piétonnière, toutes deux en plein cintre, permettait d'accéder à une avant-cour. En entrant, à gauche, on trouve les communs.
A l'Est du château, son pigeonnier carré (fin du XVIe siècle), d'une dizaine de mètres de côté, renferme plus de 2000 boulins, disposés en cinq travées de six rangées chacune, la dernière n'en n'ayant que cinq. Édifié en pierres de taille, il est renforcé aux angles par de fins contreforts à ressauts, s'élargissant à la base et terminés au sommet par un pinacle. Le toit de tuiles plates, à quatre pans, repose sur une corniche soutenue par des corbeaux de mâchicoulis. Un double cordon ceinture la partie supérieure où s'ouvrait, sur chaque face, une fenêtre à meneaux. L'une d'elles, murée, est surmontée par un gâble Renaissance. A la base, étaient aménagées, sur chaque paroi, deux larges ouvertures à linteau cintré qui ont été condamnées. Par contre, au Sud, le mur a été éventré par un grand portail. L'intérieur a été coupé par un plancher.
Le château de Coulaine (XVe siècle) est en ruines. Au Sud, il reste un mur soutenu par des contreforts et, au Nord, une pièce voûtée en berceau surmontée par une pièce à feu dont il reste la cheminée. Coulaine était un fief relevant de L'Île-Bouchard.
Dans le faubourg de L'Île-Bouchard, au 1 rue de la Sibylle, le logis privé de La Garnauderie semble dater du XVIe siècle. Sa façade Est présente une fenêtre à croisée de pierre surmontée par une lucarne percée d'une baie elle aussi à croisée de pierre.
Le couvent des cordeliers (ou couvent du Croulay), déjà en ruines en 1791, a été fondé en 1439 par Jean Marquet et Marie de Gauberrière, seigneurs de La Rocheyon. En 1569, il fut incendié par les Protestants mais se releva ensuite. Il fut transféré au couvent de cordeliers de L'Île-Bouchard, créé en 1634.
Au Sud (à gauche), on distingue encore la chapelle qui était composée d'une nef unique et d'un chœur à chevet plat. Sa façade est ouverte par une porte en anse de panier surmontée par une croix de consécration et par une niche vide. Au Nord, deux autres portes, avec linteau mouluré d'une accolade, y donnaient accès. L'une de ces portes, percée à un niveau inférieur, est la porte accédant au cloître. Des quatre fenêtres latérales qui éclairaient la nef, une seule est complète. Le chevet est percé par une grande baie en tiers-point dont l'amorce des meneaux est encore visible. A l'intérieur, on remarque plusieurs niches et piscines ornées d'arcatures. Les murs sont munis de pots acoustiques. Au Nord de cette chapelle (à droite), le bâtiment conventuel est envahi par la végétation.
La chapelle de la Madeleine, située à Cravant-les-Coteaux, était une dépendance de ce couvent.
Les ruines du château du Vieux-Châtellier (ou du Vieux-Rodeau, ou du Vieux-Redeau) occupent un site de 30 mètres sur 22. On y découvre les restes d'une tour carrée effondrée par le milieu et d'un bâtiment formant un angle. En 1791, ce château du Moyen Âge appartenait au duc de Richelieu. En 1832, il était déjà signalé comme étant en ruines. (Photos World of Ruins)
A Chèzelet, un moulin-tour (XIXe siècle) a été transformé en habitation privée.
Le lavoir public du bourg est situé en bordure de la route menant à Cravant-les-Coteaux.
Le lavoir public de La Chauvinière date de la seconde moitié du XIXe siècle. Son bassin rectangulaire, mesurant 6,65 mètres sur 3,30 mètres, est alimenté par une source.
Il existe encore quelques loges de vigne sur le territoire de la commune (zone des vins AOC de Chinon), dont celle de la rue des Quarts.
Dans le vallon du Croulay, la grotte de la Sibylle fut aménagée aux XVIe et XVIIe siècles. Cette cave est fermée extérieurement par un mur percé par d'étroites fenêtres. C'est dans ce lieu que Rabelais situe un des épisodes du Tiers Livre au cours duquel Panurge et Epistémon viennent consulter une devineresse sur les conseils de Pantagruel.
Dans la forêt située au nord de Panzoult, il faut noter la présence d'un vieux et beau chêne rouvre appelé le chêne Robert Moleux. Il mesure environ 25 mètres de haut et son tronc a 4,50 mètres de circonférence.

A voir
  • Le manoir privé du Croulay (XVe siècle): cet ancien logis seigneurial, en partie troglodytique, présentait des fenêtres à croisée de pierre et un escalier de pierre extérieur, taillé partiellement dans le roc.
  • Les lavoirs des lieux-dits: Le Puits-du-Pain (1874), Le Moulin-de-Panzoult (1905), Bottereau (1905) et La Grange-aux-Moines (1905).
  • La loge de vigne (XVIIe siècle) des Terres-Rouges.

Lieux-dits: Beaupuits, Beauséjour, Belvau, Bois-de-Juche-Pie, Bois-des-Jarries, Bois-Moisin, Bois-Taupin, Bordebure, Bottreau, Carroi-de-Branche-Torse, Carroi-des-Bouillons, Chèzelet, Coulaine, Étilly, Fontaine-Blanche, Gueule-Noire, Île-du-Pont, Juche-Pie, La Barbauderie, La Baumoderie, La Blèterie, La Breuillette, La Caillerie, La Chasseraye, La Chauvinière, La Chenetterie, La Croix-de-Saint-Louis, La Croix-Palus, La Dartinière, La Foirêtrie, La Fontaine-du-Té, La Fuie-de-Roncé, La Galippe, La Garnauderie, La Gourdonnerie, La Grande-Noue, La Grande-Vente, La Grande-Vigne, La Grange-aux-Moines, La Haute-Borne, La Lande, L'Allée-de-Roncé, La Marinière, La Morandière, La Musardière, La Perruche, La Poilerie, La Pointe-Vignière, La Pottière, L'Arpentis, La Rue-de-Chèvre, La Sans-Fin, La Simonière, La Sourisserie, La Tranchée, La Treille, La Tuilerie, La Vacherie, La Varenne, Le Bas-Botterau, Le Bois-Girault, Le Château, Le Châtellier, Le Croulay, Le Grand-Marais, Le Haut-Galmain, Le Marais, Le Moulin, Le Négron, Le Parc-de-Roncé, Le Perré, Le Petit-Croulay, Le Petit-Marais, Le Pied-Moussu, Le Pont, Le Pottreau, Le Pressoir, Le Puits-du-Pain, Le Verdet, Le Vieux-Redeau, Le Vilseau, Les Basses-Bersaudières, Les Bergeronnettes, Les Égratigneaux, Les Folies, Les Garennes, Les Grosses-Louises, Les Hautes-Bersaudières, Les Joindières, Les Joncs, Les Petites-Roches, Les Portes-Rouges, Les Seillaudières, Les Talluelles, Les Terres-Rouges, Les Villeseaux, L'Oisillière, Maussifrotte, Montet, Plat-Loup, Roche-Chien, Roncé, Saint-Hubert, Talibin
    Blason de Panzoult

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