Le Grand-Pressigny (Wikipedia) est une ville du Sud de la Touraine. Ses habitants sont appelés les Pressignois, les Pressignoises.
Au VIe siècle, Grégoire de Tours la cite sous le nom de Prisciniacus. Par la suite, elle porta les noms de: Pressiniaco (1182), Précigné (1290, Pouillé de Tours), Pressigny-les-Quatre-Églises (XVe siècle), Pressigny-le-Grand (XVIe siècle), Le Grand Precygny (XVIIIe siècle, Carte de Cassini), Le Grand Pressigny (1820, Carte de l'état-major).
Au IXe siècle, c'était un fief des chanoines de Saint-Martin de Tours. La baronnie a appartenu aux de Pressigny jusqu'en 1302; aux de Craon; aux Chabot et aux de Beauveau au XVe siècle; aux de Prie en 1501; à Honorat de Savoie-Villars, comte de Tende, maréchal et amiral de France au XVIe siècle.
Le 31 janvier 1821, la commune d'Étableau fut réunie à celle du Grand-Pressigny.
Au VIe siècle, Grégoire de Tours la cite sous le nom de Prisciniacus. Par la suite, elle porta les noms de: Pressiniaco (1182), Précigné (1290, Pouillé de Tours), Pressigny-les-Quatre-Églises (XVe siècle), Pressigny-le-Grand (XVIe siècle), Le Grand Precygny (XVIIIe siècle, Carte de Cassini), Le Grand Pressigny (1820, Carte de l'état-major).
Au IXe siècle, c'était un fief des chanoines de Saint-Martin de Tours. La baronnie a appartenu aux de Pressigny jusqu'en 1302; aux de Craon; aux Chabot et aux de Beauveau au XVe siècle; aux de Prie en 1501; à Honorat de Savoie-Villars, comte de Tende, maréchal et amiral de France au XVIe siècle.
Le 31 janvier 1821, la commune d'Étableau fut réunie à celle du Grand-Pressigny.
Les registres paroissiaux commencent en 1578 pour Le Grand-Pressigny et en 1596 pour Étableau.
Coordonnées GPS du Grand-Pressigny: 0°48'11"E - 46°55'14"N
Code INSEE: 37113 - Code postal: 37350 - Superficie: 3955 hectares
Altitudes: de 52 à 135 mètres (au Bois-de-Favier)
Cours d'eau: la Claise, l'Aigronne, La Muanne
Code INSEE: 37113 - Code postal: 37350 - Superficie: 3955 hectares
Altitudes: de 52 à 135 mètres (au Bois-de-Favier)
Cours d'eau: la Claise, l'Aigronne, La Muanne
Son château a conservé son enceinte du XIVe siècle. On pénètre dans ce château par une porte fortifiée défendue par deux tours. Les rainures où glissait la herse sont encore visibles. Cette enceinte était entourée de douves et de glacis.
La tour Vironne, octogonale, est surmontée par une galerie à balustres, soutenue par des gros corbeaux sculptés, et est terminée par une tourelle couverte d'un dôme où se trouvait, jadis, la cloche d'alarme. Sur la face sud de la tour, la présence d'une trompe surmontée de deux rosaces suggère l'existence, autrefois, d'une tourelle adjacente. La tour Vironne renferme un escalier à vis.
Le logis fut reconstruit en 1550 par Honorat de Savoie, marquis de Villars. Il y décéda le 20 septembre 1580. Ce corps de logis rectangulaire est flanqué au Sud-Est par deux tours carrées dont une bâtie sur une tour de l'enceinte), moins élevées que lui et par une tourelle octogonale d'escalier coiffée par une flèche. La façade du Nord-Est est divisée en sept travées par des colonnes engagées à chapiteaux ioniques. Chaque travée comprend, au rez-de-chaussée, une arcade en plein cintre et une fenêtre à croisée de pierre à l'étage supérieur. La façade opposée présente une décoration plus simple et seul le couloir de passage possède une arcade. Un mur, surmontée par une balustrade relie le bâtiment, au Nord-Ouest, à la tour Vironne. Au delà, à gauche, se trouvent les ruines de la chapelle.
La construction du donjon carré de ce château a débuté vers 1193. Au XVe siècle, des mâchicoulis furent rajoutés à son sommet. Il mesurait 35 mètres de haut et 7 mètres de côté. Le donjon était divisé en quatre étages, non compris le rez-de-chaussée, reliés par un escalier à vis ménagé dans un angle. Le rez-de-chaussée, actuellement en sous-sol, est divisé en quatre petites pièces voûtées en berceau. Les premiers, second et troisième étage étaient aussi couverts de voûtes en berceau en plein cintre. Il n'existe pas de traces de cheminée. Le 6 février 1988, cette tour s'est en partie effondrée.
Dans la cour, ce puits couvert (XVIe siècle) se trouve dans un édicule de plan carré couvert par un toit en pavillon. Sur trois côtés, ses ouvertures sont en plein cintre.
Ce dessin de Lucien Porcheron montre le château tel qu'il devait être au XIVe siècle. Le donjon était alors couvert par un toit à quatre pans surmonté par un lanternon.
Dans l'enceinte du château, le musée de la préhistoire, conçu par l'architecte allemand Bernd Hoge, fut inauguré le 19 septembre 2009 après deux ans de travaux.
Dans les salles d'exposition de ce musée, on peut découvrir de nombreux objets de la préhistoire...
... comme, par exemple, ce polissoir du néolithique venant de La Borde (Neuillé-Pont-Pierre).
Les nucleus à grandes lames ont été baptisés livres de beurre par les agriculteurs du Grand-Pressigny et d'Abilly. Par leur forme, leur couleur et les dessins de leurs faces, ils ressemblent aux mottes de beurre fabriquées dans les fermes. Ils ont servi de décoration sur certaines façades de maison (ici, Grande-Rue) mais aussi, plantés dans la terre, à délimiter les parcelles des jardins.
Au lieu-dit La Tonnelle, cette tour partiellement ruinée était peut-être un ouvrage de défense avancé du château. Elle se trouve près de l'ancien fief de Chante-Grolle qui relevait de la baronnie du Grand-Pressigny.
Situé dans le parc du château, à l'Ouest, le nymphée (début du XVIIe siècle) présente une façade curviligne concave, divisée par des pilastres vermiculés en trois travées dont la médiane est percée d'une porte en arc surbaissé à clef ornée d'un écu bûché et dont les latérales sont occupées, chacune, par une niche avec coquille. La voussure de cette niche est surmontée par un cartouche, mutilé à gauche, portant à droite le monogramme composé de deux V et deux S d'Honorat de Savoie, marquis de Villars. A l'intérieur, il se compose d'une seule pièce octogonale couverte par une coupole à huit pans. Des niches, séparées par des pilastres, sont creusées dans les murs. Ces niches, ainsi que les tables et les chapiteaux, étaient peints en ocre, rouge, bleu et noir. Le Nymphée est aussi appelé la Grotte sculptée. Ce monument a été acheté par le département d'Indre-et-Loire en 2021.
La construction du donjon carré de ce château a débuté vers 1193. Au XVe siècle, des mâchicoulis furent rajoutés à son sommet. Il mesurait 35 mètres de haut et 7 mètres de côté. Le donjon était divisé en quatre étages, non compris le rez-de-chaussée, reliés par un escalier à vis ménagé dans un angle. Le rez-de-chaussée, actuellement en sous-sol, est divisé en quatre petites pièces voûtées en berceau. Les premiers, second et troisième étage étaient aussi couverts de voûtes en berceau en plein cintre. Il n'existe pas de traces de cheminée. Le 6 février 1988, cette tour s'est en partie effondrée.
Dans la cour, ce puits couvert (XVIe siècle) se trouve dans un édicule de plan carré couvert par un toit en pavillon. Sur trois côtés, ses ouvertures sont en plein cintre.
Ce dessin de Lucien Porcheron montre le château tel qu'il devait être au XIVe siècle. Le donjon était alors couvert par un toit à quatre pans surmonté par un lanternon.
Dans l'enceinte du château, le musée de la préhistoire, conçu par l'architecte allemand Bernd Hoge, fut inauguré le 19 septembre 2009 après deux ans de travaux.
Dans les salles d'exposition de ce musée, on peut découvrir de nombreux objets de la préhistoire...
... comme, par exemple, ce polissoir du néolithique venant de La Borde (Neuillé-Pont-Pierre).
Les nucleus à grandes lames ont été baptisés livres de beurre par les agriculteurs du Grand-Pressigny et d'Abilly. Par leur forme, leur couleur et les dessins de leurs faces, ils ressemblent aux mottes de beurre fabriquées dans les fermes. Ils ont servi de décoration sur certaines façades de maison (ici, Grande-Rue) mais aussi, plantés dans la terre, à délimiter les parcelles des jardins.
Au lieu-dit La Tonnelle, cette tour partiellement ruinée était peut-être un ouvrage de défense avancé du château. Elle se trouve près de l'ancien fief de Chante-Grolle qui relevait de la baronnie du Grand-Pressigny.
L'église Saint-Gervais-et-Saint-Protais a été construite au XIIe siècle. De cette époque, il subsiste le chœur d'une travée voûtée en berceau et l'abside semi-circulaire, voûtée en cul-de-four, et présentant cinq arceaux dont deux circonscrivent une fenêtre en plein cintre. Sous ce chœur se trouve une crypte dont l'entrée est condamnée par le dallage. Une travée carrée (XIIe siècle), couverte d'une coupole réunit le chœur à la nef.
Au XVe siècle la nef romane fut remplacée par un vaisseau plus large, couvert en charpente avec une ample voûte de bardeaux qui a subsisté. Secondairement, il fut divisé, dans sa longueur, en une nef majeure et un collatéral Nord, reliés entre eux par quatre arcades en arc brisé supportant un mur amorti sous les entraits de la charpente. Le bas-côté a été couvert de voûtes sur croisées d'ogives, non terminées dans la première travée. Le collatéral aboutit à une chapelle voûtée sur six nervures, avec clef portant des armoiries. Elle communique avec le chœur et la travée précédente par une et basse arcade en tiers-point. Au Nord du collatéral s'ouvre la chapelle Sainte-Anne, mais primitivement dédiée à sainte Barbe, datant de 1552. Au Sud s'ouvre sur la nef une chapelle du XVe siècle éclairée, jadis, à l'Ouest, par une baie qui a été condamnée.
La chapelle suivante constitua la première travée de la chapelle seigneuriale, construite au XVIe siècle, et dont la seconde travée fut isolée pour servir de sacristie. Une peinture murale, représentant l'Assomption peinte en 1619 par Claude Duhey, a été martelée pour être détruite après sa redécouverte en 1913. La Vierge a été repeinte en 1943. Sous cette chapelle se trouve un caveau destiné à recevoir les restes des seigneurs du Grand-Pressigny. Le clocher de l'église a été reconstruit en 1556.
Deux de ses vitraux ont été réalisés par François Fialeix (Manufacture du Mans) et posés par Pierre Guérithault (Poitiers): l'Annonciation (1846, 📷) et sainte Barbe. Charles Champigneulle (Paris, 1916) est l'auteur de deux verrières de l'abside: la Charité de saint Martin et Jeanne d'Arc entendant ses voix. Lucien-Léopold Lobin (Tours, 1890) a créé deux verrières ornementales. Lux Fournier (Tours, 1936) a réalisé deux vitraux: saint Pierre et saint Paul; sainte Thérèse et sainte Jeanne d'Arc. Enfin, deux verrières blanches à losanges sont anonymes (milieu du XIXe siècle). Elles sont dotées d'une bordure colorée et portent un symbole au centre de chaque lancette: des croix et les Sacré-cœurs de Jésus et de Marie.
A Étableau, le château a conservé la partie inférieure du donjon rectangulaire (XIIe siècle) ainsi que les restes de remparts et de deux tours rondes (XIIIe siècle). Sa chapelle, dédiée à sainte Catherine, a disparu.
Le prieuré Saint-Martin d'Étableau (d'abord appelé Saint-Martin de Pressigny) a été fondé en 1190 par l'abbaye de Pontlevoy. Son église a été construite, en moyen appareil, à la fin du XIIe siècle (de 1170 à 1190 environ). Sa nef unique, couverte en charpente, est accessible par une porte en plein cintre dont les trois voussures ont leur arête abattue par un chanfrein orné d'étoiles et de losange. Le second et le troisième rouleau retombent sur des colonnettes logées dans les retraits des jambages. Leurs chapiteaux sont ornés d'animaux d'un côté, de volutes de l'autre. Au-dessus, s'ouvre une petite fenêtre en plein cintre, à deux rouleaux moulurés d'un tore. Le mur Sud de la nef est percé par trois fenêtres en plein cintre. Une porte en plein y est condamnée. Le mur Nord est aveugle. La nef aboutit à un transept. La croisée fut couverte d'une voûte sur croisée d'ogives dont les retombées seules subsistent. Les croisillons sont peu profonds, celui du Nord étant réduit à un avant-corps faisant une légère saillie. Le mur pignon du croisillon Sud est percé d'une porte moderne au-dessus de laquelle on voit la trace d'une petite fenêtre à linteau échancré en plein cintre.
L'abside, convertie en logis, voûtée en cul-de-four, fait suite à une courte travée de chœur voûtée en berceau en plein cintre. Elle est semi-circulaire mais son parement extérieur a un contour trilobé logeant dans ses retrait des contreforts constitués par un dosseret où est engagée une colonne entourée par deux colonnettes. Le clocher s'est effondré malgré la réparation de 1778. Accolé au Nord de l'église, le presbytère est un bâtiment du XVIIe siècle, modifié au XVIIIe.
Dans la rue du même nom, on trouve ce four banal. Ce type de four est apparu au XIIIe siècle. Après avoir obtenu de la farine dans un moulin banal (le seigneur prenait alors un seizième de la farine), les gens fabriquaient leur pain mais devaient le cuire dans un four banal (le seigneur s'octroyait à nouveau un seizième de la farine). Ces privilèges furent abolis à la Révolution.
Le prieuré Saint-Martin d'Étableau (d'abord appelé Saint-Martin de Pressigny) a été fondé en 1190 par l'abbaye de Pontlevoy. Son église a été construite, en moyen appareil, à la fin du XIIe siècle (de 1170 à 1190 environ). Sa nef unique, couverte en charpente, est accessible par une porte en plein cintre dont les trois voussures ont leur arête abattue par un chanfrein orné d'étoiles et de losange. Le second et le troisième rouleau retombent sur des colonnettes logées dans les retraits des jambages. Leurs chapiteaux sont ornés d'animaux d'un côté, de volutes de l'autre. Au-dessus, s'ouvre une petite fenêtre en plein cintre, à deux rouleaux moulurés d'un tore. Le mur Sud de la nef est percé par trois fenêtres en plein cintre. Une porte en plein y est condamnée. Le mur Nord est aveugle. La nef aboutit à un transept. La croisée fut couverte d'une voûte sur croisée d'ogives dont les retombées seules subsistent. Les croisillons sont peu profonds, celui du Nord étant réduit à un avant-corps faisant une légère saillie. Le mur pignon du croisillon Sud est percé d'une porte moderne au-dessus de laquelle on voit la trace d'une petite fenêtre à linteau échancré en plein cintre.
L'abside, convertie en logis, voûtée en cul-de-four, fait suite à une courte travée de chœur voûtée en berceau en plein cintre. Elle est semi-circulaire mais son parement extérieur a un contour trilobé logeant dans ses retrait des contreforts constitués par un dosseret où est engagée une colonne entourée par deux colonnettes. Le clocher s'est effondré malgré la réparation de 1778. Accolé au Nord de l'église, le presbytère est un bâtiment du XVIIe siècle, modifié au XVIIIe.
Dans la rue du même nom, on trouve ce four banal. Ce type de four est apparu au XIIIe siècle. Après avoir obtenu de la farine dans un moulin banal (le seigneur prenait alors un seizième de la farine), les gens fabriquaient leur pain mais devaient le cuire dans un four banal (le seigneur s'octroyait à nouveau un seizième de la farine). Ces privilèges furent abolis à la Révolution.
... et, enfin, celui du hameau d'Étableau (XIXe siècle).
Il existe encore quelques loges de vigne aux alentours du Grand-Pressigny dont celle, du XIXe siècle, des Tailles.
Il existe encore quelques loges de vigne aux alentours du Grand-Pressigny dont celle, du XIXe siècle, des Tailles.
Dans le bourg, on peut observer, sur une maison de 1613, ce cadran solaire, place des Halles (il est signé P. Gajan).
Dans la rue du Donjon, à l'arrière de cette maison, on peut voir une tour polygonale d'escalier à vis (à gauche).
De l'autre côté de la rue du Donjon, un autre logis possède aussi une tour d'escalier à vis, carrée celle-là.
Sur cette tour, un nom (Turrault) et une date (1599) sont gravés.
Toujours dans la rue du Donjon, on peut voir plusieurs logis du XVIe siècle dont les fenêtres, à l'étage, sont particulièrement intéressantes.
Dans la rue du Donjon, à l'arrière de cette maison, on peut voir une tour polygonale d'escalier à vis (à gauche).
De l'autre côté de la rue du Donjon, un autre logis possède aussi une tour d'escalier à vis, carrée celle-là.
Sur cette tour, un nom (Turrault) et une date (1599) sont gravés.
Toujours dans la rue du Donjon, on peut voir plusieurs logis du XVIe siècle dont les fenêtres, à l'étage, sont particulièrement intéressantes.
Des cadrans solaires sont visibles: rue du donjon (en ardoise, il est signé René Radais et daté de 1823, la devise est: Les nues me tuent...
... et rue du Docteur-Léveillé (les heures sont effacées et la devise est Dans l'infini du temps les heures longues ou brèves emportent nos tourments nos désirs et nos rêves).
L'ancien café de la gare est désormais désaffecté.
Le château privé de La Vienne a été reconstruit et agrandi, après un incendie, en 1872 et 1873. Le bâtiment primitif datait de la seconde moitié du XVe siècle. C'était un fief relevant de la châtellenie de Sainte-Julitte.
Le château privé de Bouferré (ou Bouc-Ferré) a été édifié à la fin du XVIIIe siècle puis agrandi au XIXe siècle. Il possède un pigeonnier carré. C'était un fief relevant de la baronnie du Grand-Pressigny. Ce château a subi un important incendie le 25 mai 2016.
Au Nord-Ouest du château du Grand-Pressigny, la fontaine des Ferrus possède un bassin circulaire de 5 mètres de diamètre.
A voir
Lieux-dits: Bezuard, Bois-Bouc-Ferré, Bois-de-la-Duranderie, Bouc-Ferré, Chante-Grolle, Courvaux, Étableau, Faugoudron, Favier, Ferme-du-Bois-Favier, Gatault, Grand-Mont, Grignon, La Bacouette, La Barellerie, La Baudichonnerie, La Baudinière, L'Abbaye, La Belle-Mâlerie, La Bergauderie, La Bertauderie, La Bigotterie, La Blanchetière, La Borde, La Bourdinerie, La Bourlière, La Boussée, La Brémaudière, La Calonnière, La Chapraie, La Chauvellière, La Cave-Noire, La Clerjaudière, La Croix, La Croix-Blanche, La Croix-Marron, La Delanderie, La Doucetterie, La Duranderie, La Fauvellière, La Folie, La Fontaine, La Forge, La Goulardrie, La Groitière, La Grouaie, La Guereterie, La Guignoire, La Jarrie, La Joubardière, La Lèmerie, La Liée, La Maison-Neuve, La Malgache, Lancerie, La Perrière, La Perruche, La Pinettrie, La Plauderie, La Pointe, La Poterie, La Providence, La Raterie, La Résine, La Rifaudière, La Russellerie, La Tonnelle, La Vienne, La Vignerie, La Villatte, Le Bois-Barreau, Le Bois-Brevert, Le Bois-de-Favier, Le Bois-Mareau, Le Carroi, Le Chafaud, Le Châtaignier, Le Château, Le Croupion, Le Four-à-Chaux, Le Grand-Bois, Le Grand-Moulin, Le Grand-Ormeau, Le Grand-Puyrenault, Le Grand-Savigny, Le Marchais-Chartier, Le Pain, Le Parc-d’Étableau, L’Épargne, Le Petit-Favier, Le Petit-Moulin, Le Petit-Puyrenault, Le Petit-Savigny, L’Épinette, Le Pontereau, Le Pressoir, Le Riveau, Le Roullet, Le Verger, Les Benassons, Les Boutinières, Les Brouillaux, Les Champeignes, Les Ferrus, Les Fougères, Les Fronteaux, Les Gibaults, Les Grands-Prés, Les Gros-Chilloux, Les Grouaies, Les Imbertières, Les Limornières, Les Marnières, Les Penserots, Les Piverdières, Les Pivots, Les Plantes, Les Prés-du-Vivier, Les Raguins, Les Réaux, Les Richardières, Les Roches, Les Rouchoux, Les Sautinières, Livernière, L'Ormeau, L'Ourlière, Machelard, Malessart, Moisay, Moulin-d’Étableau, Passeray, Pièce-du-Buisson, Serre, Sus-Chêne, Valançais, Virallier
Anciens lieux-dits: Bourgogne, Chanceaux, La Guenaudière
Le château privé de La Vienne a été reconstruit et agrandi, après un incendie, en 1872 et 1873. Le bâtiment primitif datait de la seconde moitié du XVe siècle. C'était un fief relevant de la châtellenie de Sainte-Julitte.
Le château privé de Bouferré (ou Bouc-Ferré) a été édifié à la fin du XVIIIe siècle puis agrandi au XIXe siècle. Il possède un pigeonnier carré. C'était un fief relevant de la baronnie du Grand-Pressigny. Ce château a subi un important incendie le 25 mai 2016.
A voir
- Le château privé de La Groitière (XIXe siècle).
- Le pigeonnier hexagonal du Riveau (XIXe siècle). En fait, le portail de ce domaine est composé de deux tourelles hexagonales dont l'une est un pigeonnier.
- Le prieuré de Grandmontains de Clairfeuil fondé par les seigneurs du Grand-Pressigny vers 1209 à 4 km à l'Est du village, sur la rive droite de l'Aigronne. Il dépendait du prieuré de Bois-Rahier. La chapelle et les bâtiments étaient déjà en ruines en 1606. Il n'en reste que deux tourelles entourant la porte d'entrée.
- Le château de Chanceaux: cette forteresse fut détruite par les protestants en 1569.
- A Étableau, la maison du passeur (XVe siècle) avec une tourelle quadrangulaire.
- Le pigeonnier carré de Moisay (1581): démoli en 1991, il renfermait environ 460 boulins (nids de pigeons).
- Le moulin de La Bourgery, sur la Creuse, dont les bâtiments n'existaient plus en 1813.
- Le second lavoir d’Étableau.
Lieux-dits: Bezuard, Bois-Bouc-Ferré, Bois-de-la-Duranderie, Bouc-Ferré, Chante-Grolle, Courvaux, Étableau, Faugoudron, Favier, Ferme-du-Bois-Favier, Gatault, Grand-Mont, Grignon, La Bacouette, La Barellerie, La Baudichonnerie, La Baudinière, L'Abbaye, La Belle-Mâlerie, La Bergauderie, La Bertauderie, La Bigotterie, La Blanchetière, La Borde, La Bourdinerie, La Bourlière, La Boussée, La Brémaudière, La Calonnière, La Chapraie, La Chauvellière, La Cave-Noire, La Clerjaudière, La Croix, La Croix-Blanche, La Croix-Marron, La Delanderie, La Doucetterie, La Duranderie, La Fauvellière, La Folie, La Fontaine, La Forge, La Goulardrie, La Groitière, La Grouaie, La Guereterie, La Guignoire, La Jarrie, La Joubardière, La Lèmerie, La Liée, La Maison-Neuve, La Malgache, Lancerie, La Perrière, La Perruche, La Pinettrie, La Plauderie, La Pointe, La Poterie, La Providence, La Raterie, La Résine, La Rifaudière, La Russellerie, La Tonnelle, La Vienne, La Vignerie, La Villatte, Le Bois-Barreau, Le Bois-Brevert, Le Bois-de-Favier, Le Bois-Mareau, Le Carroi, Le Chafaud, Le Châtaignier, Le Château, Le Croupion, Le Four-à-Chaux, Le Grand-Bois, Le Grand-Moulin, Le Grand-Ormeau, Le Grand-Puyrenault, Le Grand-Savigny, Le Marchais-Chartier, Le Pain, Le Parc-d’Étableau, L’Épargne, Le Petit-Favier, Le Petit-Moulin, Le Petit-Puyrenault, Le Petit-Savigny, L’Épinette, Le Pontereau, Le Pressoir, Le Riveau, Le Roullet, Le Verger, Les Benassons, Les Boutinières, Les Brouillaux, Les Champeignes, Les Ferrus, Les Fougères, Les Fronteaux, Les Gibaults, Les Grands-Prés, Les Gros-Chilloux, Les Grouaies, Les Imbertières, Les Limornières, Les Marnières, Les Penserots, Les Piverdières, Les Pivots, Les Plantes, Les Prés-du-Vivier, Les Raguins, Les Réaux, Les Richardières, Les Roches, Les Rouchoux, Les Sautinières, Livernière, L'Ormeau, L'Ourlière, Machelard, Malessart, Moisay, Moulin-d’Étableau, Passeray, Pièce-du-Buisson, Serre, Sus-Chêne, Valançais, Virallier
Anciens lieux-dits: Bourgogne, Chanceaux, La Guenaudière
Communes voisines: Abilly, Barrou, Chaumussay, La Celle-Guenand, Le Petit-Pressigny, Neuilly-le-Brignon, Paulmy
Bonjour, très bonnes photos du Grand Pressigny, chef-lieu du Canton de Touraine du Sud et recommandé pour son musée excellent et rénové, son festival de théâtre les paysages nocturnes et la richesse de son patrimoine immobilier et préhistorique.
RépondreSupprimerSi je puis me permettre, les logis du XVIe pris en photos sont visibles rue du Four Banal (et non rue du Donjon)
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