Semblançay

Semblançay (Wikipedia) est un village situé au Nord de Tours. Ses habitants sont appelés les Semblancéens, les Semblancéennes.
Il a porté les noms de: Semblencaio (885, charte de Marmoutier), Semblaciacum (1020), Simpliciaco et Simpliciacum (XIe siècle, charte de Marmoutier), Semblanciaci (1221), Semblenceium (1290, Pouillé du diocèse de Tours) Simbliciaco, Semblancaio, Samblancai et Semblanceium (XIIIe siècle), Semblancaio (XIIIe siècle, cartulaire de l'archevêché de Tours), Semblançay (1336, cartulaire de l'archevêché de Tours), Saint-Blançay et Semblançay (XIVe siècle), Samblançay (XVIIIe siècle, Carte de Cassini), Semblançay (1820, carte de l'état-major).
Cette baronnie, relevant du château de Tours, a appartenu aux Montfort, aux d'Harcourt, aux ducs d'Alençon, aux Rohan. En 1516, elle fut acquise par Jacques de Beaune, surintendant des Finances de François 1er. Elle passa ensuite aux familles de La Trémoille puis de Luynes (en 1660). Par ordonnance royale du 8 mars 1821, la commune du Serrain fut réunie à celle de Semblançay.
Le plus ancien registre paroissial de Semblançay date de 1566, celui du Serrain de 1578.
Coordonnées GPS de Semblançay: 0'34'43"E - 47°29'52"N
Code INSEE: 37245 - Code postal: 37360 - Superficie: 3566 hectares
Altitudes: de 92 à 134 mètres
Cours d'eau: la Petite Choisille, la Bresme (source)
L'église Saint-Martin, construite au XIe siècle (nef), a été agrandie au XIIIe (travée barlongue de la nef, chœur, abside). En juin 1683, un orage fit s'écrouler le clocher et la charpente. En 1861, le clocher et deux collatéraux furent ajoutés.
De cette nef, qui était couverte d'une charpente refaite au XVIe siècle, subsistent, au-dessus de voûtes du XIXe siècle, quelques vestiges dans la partie terminale des murs goutterots. Une travée barlongue, appartenant à l'église romane, et qui supportait le clocher, fut voûtée au XIIIe siècle sur une croisée d'ogives profilée d'un tore, retombant sur des colonnes d'angle dont les chapiteaux datent du XIXe siècle. Le chœur est composé d'une travée barlongue et d'une abside à sept pans. Les voûtes ont été restaurées au XVIe siècle. Le chœur est éclairé par neuf fenêtres.
Le vitraux du chevet datent du XVIe siècle. La fenêtre médiane du chevet contient une verrière qui représente, en haut, le Christ en croix entre Marie et saint Jean et, en bas, dans un décor Renaissance, saint Jean-Baptiste portant l'Agneau.
A gauche de la fenêtre médiane, un vitrail représente, en bas, saint Jacques désignant le donateur Jacques de Beaune, agenouillé sur un prie-Dieu....
... et, au-dessus, un évêque guérissant un infirme.
A droite de la fenêtre médiane, une autre verrière réunit, en bas, saint Jean-Baptiste et la donatrice Jeanne de Ruzé, femme de Jacques de Beaune, agenouillée.
Au-dessus de cette scène, on voit saint Michel terrassant le démon, surmonté par les armes des Ruzé.
A droite de ce vitrail, une verrière représente, en haut, saint Martin partageant son manteau avec un infirme amputé de la jambe et, en bas, saint Blaise portant d'une main sa crosse et de l'autre une carde, instrument de son supplice.
Quatre vitraux sont signés par le maître-verrier Lucien-Léopold Lobin (Tours): Vie de saint Antoine le Grand (sans date), Vie de saint Martin de Tours (1888), saint Antoine de Padoue et saint Jean Chrysostome (1891), la bienheureuse Françoise d'Amboise présentée à la Vierge à l'Enfant par saint François d'Assise (1888). Une verrière est l’œuvre d’Étienne Lobin (Tours, 1921): la Montée au Calvaire et la Crucifixion (📷).
Six vitraux sont signés par Joseph-Prosper Florence (Tours): l'Annonciation et la Visitation (1899, 📷), le Couronnement de la Vierge et le don du Rosaire (1899), la Nativité et la Présentation au Temple (1899), la Pentecôte et l'Assomption de la Vierge (1900), Jésus parmi les Docteurs et l'Agonie au Jardin des oliviers (1899), la Résurrection et l'Ascension (1900). Enfin, une verrière, représentant saint Martin, est anonyme et sans date.
Cette statue du Christ mort (fin du XVIe siècle) est en terre cuite. Le Christ porte les stigmates de son supplice.
Cette statue en pierre peinte représentant la Vierge ou une Sainte Femme date aussi du XVIe siècle.
Un Christ en croix en bois polychrome a été sculpté au XVIIe siècle.
Ce tableau, représentant Jésus et Nicodème, est aussi une œuvre du XVIIe siècle.
La chapelle Jacques de Beaune (début du XVIe siècle) présente une porte en anse de panier encadrée de pilastres Renaissance soutenant un entablement surmonté par une niche. Rectangulaire, elle est couverte en charpente. Deux fenêtres au Sud et une grande baie flamboyante à l'Est, qui date du XIXe siècle, éclairent la nef. Cette chapelle remplaça un oratoire cité dans une charte en 1226.
A L'Hôpitau, la chapelle Saint-Jean et Saint-Loup (XIXe siècle) était un lieu de pèlerinages. Elle avait la réputation de guérir les enfants de la peur de la nuit et des maladies.
Des vêtements d'enfants y étaient accrochés comme ex-voto. A cet endroit, jadis, il existait la commanderie Saint-Jean-Baptiste appartenant à l'Ordre de Malte et datant de 1440. Cette commanderie devint, par la suite, un hôpital puis, en 1775, une bergerie. La Chapelle de l'époque, dédiée à Saint-Jean-de-la-Peur, est devenue un logis.
Le château fort du XIVe siècle est en ruines. A l'origine, un donjon en bois fut construit par Foulque Nerra à la fin du Xe siècle. Il a été remplacé par un donjon en pierre dans la seconde moitié du XIIe siècle. De plan carré, il mesure 13 mètres de haut. Au XIVe siècle, ce donjon a été entouré par une double enceinte dotée de tours d'angle rondes et, au Nord, fut construit un pont-levis fortifié. Au XVIe siècle, les enceintes et le pont furent réparés et un bâtiment fut bâti, au Sud-Est, entre le donjon et la seconde enceinte.
La première enceinte du XIVe siècle, de forme pentagonale, était flanquée par quatre tours circulaires et un bastion. Elle a disparu ainsi que les piles du pont. La seconde enceinte était flanquée par cinq tours dont subsistent celles du Nord et du Sud. Des bâtiments du XVIe siècle, ne demeurent que des pans de murs. Le donjon du XIIe siècle est épaulé, sur chaque face, par trois contreforts. Il n'en reste que le rez-de-chaussée et le premier étage. Les étages supérieurs ont disparu. Primitivement, on entrait dans ce donjon, au Sud-Est, par une porte située au premier étage. Par la suite, furent ouvertes deux portes donnant accès au rez-de-chaussée, l'une, au Sud-Est, au XIVe siècle, l'autre, au Nord-Ouest, au XVIe siècle. La salle du premier étage, éclairée par d'étroites fenêtres, était chauffée par une cheminée à hotte. Un escalier en bois, soutenu par une arcade brisée et appuyé au mur Sud-Est, reliait cette salle à l'étage la surmontant.
La courtine limitant l'ancien étang au Nord subsiste en grande partie. On y voit encore la saillie du massif d'où partait le pont permettant d'accéder au château.
Près de ce château, on découvre les vestiges de murs dont certains semblent dater du XVIe siècle. Pour l'anecdote, le petit morceau de fortification (à gauche) a été qualifié de menhir sur certaines cartes postales anciennes.
Isolée au Sud-Est du château fort, près de La Guillonnerie, cette tour était, peut-être, un élément défensif avancé de la forteresse.
Elle présente trois meurtrières de ce type.
Le château de La Source (XVIe siècle, mais très remanié) était le logis seigneurial de Jacques de Beaune. Des portes du XVIe siècle et un mur d'enceinte de la même époque subsistent au Nord ainsi qu'une tour ronde, en ruine, flanquant au Nord-Est l'enceinte du parc.
Le château privé de Dolbeau, bâti vers 1530, a été modifié aux XVIIIe et XIXe siècles. Ce fut au XIXe siècle que les douves furent comblées et qu'un pavillon fut construit au Nord (à gauche de la photo). Dolbeau était un fief sans justice relevant de la baronnie de Semblançay.
La chapelle de Dolbeau date du XVIe siècle. Elle a été utilisée jusqu'au début du XXe siècle.
Dans son parc, deux tours carrées ont été conservées. Celle du Sud (photo) était un pigeonnier renfermant environ 200 trous de boulins (nids de pigeons).
Le château privé du Grand-Launay a été construit à la fin du XVIe siècle. L'ensemble de ses bâtiments s'élève sur une plateforme rectangulaire entièrement entourée par de larges douves, avec un bras formant une pièce d'eau vers le Sud-Ouest. La douve Sud est traversée par une chaussée aboutissant à un guichet pour piétons et une grande porte charretière en anse de panier, protégée jadis par un pont-levis dont les deux rainures subsistent dans un pan de mur, épaulé à l'intérieur par trois contreforts. A celui de l'Ouest est accolée la logette circulaire d'un puits couverte par une coupole.
Plongeant directement leur soubassement évasé dans la douve, deux hauts pavillons de plan quadrangulaire, placés légèrement en oblique pour assurer un meilleur flanquement, limitent à ses extrémités le côté Est. Presque semblables, avec des murs en moellons, parfois de plus d'un mètre d'épaisseur, et des chaînages d'angle en pierres de taille, ils défendaient l'enceinte, sur laquelle ils sont en saillie, grâce à leurs meurtrières. Les embrasures de celles-ci, conçues pour utiliser des armes à feu de deux types distincts, sont intactes dans les salles du rez-de-chaussée, réelles casemates couvertes par une voûte d'arête. A l'extérieur, les meurtrières situées en vis-à-vis sont aménagées à des hauteurs différentes, et présentent une succession de quatre ouvertures rectangulaires en ressaut les unes par rapport aux autres.
Le pavillon de l'angle Sud-Est était, au premier étage, un pigeonnier dont les boulins intacts (environ 440) sont répartis en trois travées, la première d'une triple rangée, les autres d'une quadruple rangée d'une quarantaine de nids chacune. Le rez-de-chaussée, couvert d'une voûte d'arête, est équipé de meurtrières pour armes à feu. Les murs en moellons ont un mètre d'épaisseur, avec chaînage d'angle et larmier. Le comble à quatre pans, percé par deux lucarnes à fronton triangulaire, est surmonté par un lanternon octogonal en ardoise.
L'étage du pavillon du Nord-Est est chauffé par une cheminée à hotte sur larges jambages formant consoles. Près de cette tour s'élève un bâtiment dont certaines ouvertures ont été murées plus ou moins complètement. Selon un acte de 1856, il aurait servi jadis de chapelle. Son sous-sol est une cave formant une galerie voûtée en moellons sur couchis, sur laquelle s'ouvrent, sur chaque face, par une arcature en plein cintre, trois caveaux latéraux. Le premier, à gauche en entrant, devait communiquer autrefois avec l'escalier à vis de pierre dans une cage circulaire, débouchant aujourd'hui dans la cour. Il menait au comble par 14 marches de bois.
La maison seigneuriale est composée de deux corps de logis parallèles mais formant un net décrochement sur la douve pour assurer le flanquement de l'enceinte. Celui de l'angle Nord-Ouest est peut-être le vestige d'un édifice plus ancien au vu de l'épaisseur de ses murs atteignant parfois un mètre, le double de l'autre bâtiment. Les combles couverts de toits à quatre versants sont éclairés par de grandes lucarnes à tympan triangulaire et croisées de pierre. Au rez-de-chaussée, toutes les fenêtres sont à croisée de pierre et ont parfois leurs banquettes intérieures. Seules les baies du premier étage ont été dotées d'huisseries à petits carreaux. Les salles basses sont chauffées par des cheminées monumentales, l'une du XVe siècle, l'autre du XVIe, mais qui sont des restitutions. Dans la servitude voisine, la salle du rez-de-chaussé est entièrement couverte d'une voûte d'arête appareillée. La cuisine contiguë a conservé sa grande cheminée avec son four à pain.
L'angle Nord-Ouest de cet ensemble est désormais dépourvu de toute construction. Or, un acte de vente de 1654, y plaçait un autre vieil corps de logis.
Le château privé de La Barrière, bâti vers 1810, est composé d'un corps de logis en pierres de taille, élevé d'un étage et d'un comble, avec deux ailes en légère saillie qui lui sont postérieures. On le remarque par la façon dont les toits se raccordent à l'Ouest et par le pan de mur en arc de cercle qui relie l'angle de la façade au bâtiment primitif moins large qu'elle. La lucarne du pavillon Ouest porte une date en chiffres romains: MDCCCLI (1851) qui semble être celle de cet élargissement. Les cheminées de la partie principale ont les caractéristiques de leur époque avec leur trumeau occupé par une glace, encadré par des pilastres aux chapiteaux ioniques ou corinthiens, avec entablement triangulaire portant un motif décoratif: deux cygnes, ailes éployées, s'abreuvant à la même coupe ou une Diane assise en compagnie d'un cerf à la puissante ramure.
Ce lieu a été aussi appelé La Chasse-Saint-Hubert (en 1712), La Chasse-Royale (au XIXe siècle) et La Maison-Neuve (en 1818). Certains éléments de ses communs datent des XVIe et XVIIe siècle.
Le manoir privé de Beaufoux date des XVIIIe et XIXe siècles.
Le petit manoir privé de La Pailleterie a été bâti au XVe siècle. Il présente de hauts pignons recouverts d'ardoises. Celui du levant est percé par une fenêtre à croisée de pierre dont l'encadrement et les angles sont abattus par un chanfrein. La baie du dessus, possédant le même entablement saillant, est divisée en deux panneaux verticaux par un meneau de bois. Le logis est prolongé au Sud-Ouest par un bâtiment moins haut d'une époque postérieure. A l'intérieur, le linteau en bois mouluré d'une cheminée porte la date gravée de 1560. La salle plus récente est chauffée par une cheminée à faux manteau dont la hotte repose sur une simple pièce de bois.
Au Vau, un pigeonnier hexagonal en tuffeau du XVIe siècle renferme 1200 boulins (nids de pigeons) répartis sur les six murs intérieurs. Chaîné aux angles, il possède à mi-hauteur un larmier. Son toit à six pans en tuiles est surmonté par un lanternon hexagonal en ardoise.
Près de la fuie, cette grange, divisée en trois nefs par deux épines de poteaux soutenant la charpente, date de la même période. La ferme du Vau a été refaite au XIXe siècle, toutefois, elle a conservé du XVIe siècle un mur pignon ajouré par une fenêtre à croisée de pierre.
A l'Est du Vau, une autre grange du XVIe siècle n'a conservé que son mur pignon Ouest.
Au 1 rue de Belleville, ce logis privé, appelé le Pavillon, pourrait dater de 1545.
Le lavoir communal, situé près de la poste, est alimenté en eau par une source. Il a été restauré en 2017.
Dans la rue du Petit-Bercy, on trouve encore un vieux puits recouvert d'un toit en forme de dôme.
Un autre puits ancien est visible au hameau du Serrain.
Près du cimetière, ce puits à traction animale est quasi unique en Touraine. Il devait être actionné par un âne dont on voit, à droite, le joug métallique.
A l'arrière de la mairie, on remarque cet alambic itinérant (début du XXe siècle) qui appartenait à un bouilleur de cru ambulant. Depuis 1959, ce métier n'est plus transmissible par héritage.
Le mur de la mairie présente le blason du village inspiré de celui de Jacques de Beaune.
En face de la mairie, les outils d'un tailleur de pierre (compas, maillet et équerre) sont sculptés sur le mur d'une maison du milieu du XIXe siècle.
L'enseigne en mosaïque du bureau de poste (XXe siècle) est une œuvre de Sante Vallar (Tours).
Le château privé de La Gagnerie, construit au XVIIIe siècle, a été modifié au XIXe. Ce domaine était un fief relevant de La Roche-Behuart.

Patrimoine disparu
  • L'église Saint-Étienne du Serrain a été vendue comme bien national, le 8 janvier 1798. Elle existait encore en 1860 mais fut détruite peu de temps après.
  • Une église, dédiée à la Vierge, existait, au XIe siècle, à Semblançay.
  • Le prieuré Saint-Martin, fondé en 1075, dépendait de l'abbaye de Marmoutier.

Lieux-dits: Beaufou, Beaulieu, Beaulin, Belleville, Bellevue, Bois-de-Belleville, Bois-de-la-République, Bois-de-l’Écu, Bois-Piau, Bon-Accueil, Bresme, Carroi-des-Récompenses, Chahaigne, Châlais, Champ-Bêlé, Court-Gain, Dolbeau, Gobelleville, Haute-Porte, La Boissière, La Borde-Bertret, La Bretonnerie, La Bretonnière, La Caillautière, La Carrière, La Chambre-aux-Dames, La Clogellerie, La Croix-Blanche, La Dubinerie, La Dufourie, La Fosse-Pinaudière, La Gagnerie, La Gaillardière, La Gilberdière, La Guillonnerie, La Julottière, La Lande, La Loge, La Marandière, La Moisandière, La Mulonnière, La Nimaudière, La Noue-Guérinet, La Pailleterie, La Pécauderie, La Pesantière, La Petite-Bruère, La Petite-Marandière, La Pièce-du-Château, La Pièce-du-Veau, La Pierre-Ronde, La Poissonnerie, La Rainerie, La Renardière, La Roberdière, La Rouletterie, La Source, La Tremblaye, La Vélopperie, Lande-de-Tuane, Le Bois-des-Pinsardières, Le Carroi-Mêlier, Le Chêne-au-Loup, Le Fourneau, Le Grand-Launay, Le Grand-Moulin, Le Gué-Besnard, Le Gué-Douillet, Le Mortier-de-la-Roue, Le Petit-Launay, Le Petit-Louipé, Le Petit-Rillé, Le Pignon-Vert, Le Pilori, Le Plessis, Le Rond-Pineau, Le Roussay, Le Serrain, Le Vau, Le Village, Les Basses-Gobellevilles, Les Besnardières, Les Boisselières, Les Bordes, Les Bruyères, Les Cinq-Croix, Les Clergeries, Les Frandinières, Les Landes, Les Parchas, Les Pilonnières, Les Pinsardières, L'Espérance, Les Petites-Landes, Les Rubannières, Les Rues, Les Sables-d'Olonne, L'Hôpitau, Louipé, Maridois, Palet, Richebourg, Roche-Biette, Roule-Crotte, Touche-Ronde
Blason de Semblançay
Armorial de France

      4 commentaires:

      1. étant née a Semblançay,plus exactement au Serrain ,quel bonheur de tomber sur ce site.Merci beaucoup

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      2. Pour information "Beaufou" prend un "x".
        Merci de corriger.

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      3. Mon village de naissance, la même année que Francis Girod !
        Tous mes souvenirs d'enfance sont la bas, notamment au Grand Moulin ...

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      4. Pour les amoureux de l'histoire de semblançay, l'Association de Sauvegarde du Patrimoine Historique de SEMBLANÇAY créé en 2023, vous fait découvrir ce magnifique village.
        Venez les rejoindre
        Site: https://sauvegarde-semblancay.fr/index.php

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