Athée-sur-Cher

Athée-sur-Cher (Wikipedia) est une commune de l'Est de la Touraine. Ses habitants sont appelés les Athégiens, les Athégiennes.
Le village a porté les noms de: Villam Atteias (905), Athies et Atheis (Xe siècle), Atheis (1156 et 1229, chartes de Saint-Julien), Atheis (1272), Atheis (1286, cartulaire de Villeloin), Athées (1290, pouillé de Tours), Atheis (XIIIe siècle, cartulaire de l'archevêché de Tours), Athée (XVIIIe siècle, carte de Cassini). Sa désignation actuelle date du 13 août 1920.
Athée était un fief relevant de Montbazon, à foi et hommage simple. Au XVIIIe siècle, ce fut la seigneurie de Lucien-François Daen, chevalier.
Le plus ancien registre paroissial date de 1610.
Coordonnées GPS d'Athée-sur-Cher: 0°55'02"E - 47°19'14"N
Code INSEE: 37008 - Code postal: 37270 - Superficie: 3447 hectares
Altitudes: de 49 à 104 mètres
Cours d'eau: le Cher
L'église Saint-Romain, bâtie dans la seconde moitié du XIIe siècle (mur Sud de la nef et clocher), a été agrandie au XVIe (collatéral, chœur, abside et chapelle seigneuriale carrée). Ces agrandissements du XVIe siècle furent remaniés, vers 1635, par Philippe Sallier, seigneur de La Chesnaye.
La nef principale, couverte en charpente avec bardeaux, est accompagnée, au Nord, par un collatéral. Elle est suivie par un chœur de deux travées barlongues puis par une abside à cinq pans éclairée par trois fenêtres flamboyantes. La clef de voûte de la seconde travée du chœur porte des armoiries. Au Sud, le clocher carré, en appareil assez irrégulier, est surmonté par une flèche octogonale en pierre. Il comporte deux étages avec des fenêtres en plein cintre. Au milieu de XIXe siècle, le porche en bois précédant la nef fut détruit. Les baies du collatéral Nord ont été refaites en 1869. En 1879, une seconde sacristie est bâtie du côté Nord. En 1997, les charpentes du clocher, du transept Nord, du chœur et du chevet ont été remplacées.
En 1854, le maître-verrier Julien-Léopold Lobin a réalisé un vitrail représentant l'Adoration des rois mages (📷). Cette œuvre est entourée par deux verrières ornementales du même auteur. Son fils, Lucien-Léopold Lobin (Tours), a créé trois vitraux: une grisaille ornementale avec la Vierge à l'Enfant (1864), saint Romain (1869) et une grisaille ornementale avec le Baptême du Christ (1869). Enfin, les deux lancettes de la fenêtre de la façade Ouest sont aussi dotées de grisailles ornementales réalisées par Lux Fournier en 1912.
Le château de Nitray possède un logis de 1547 qui fut restauré en 1845 par l'architecte Gustave Guérin. Ce bâtiment est de plan rectangulaire entre deux pignons à rondelis. A la base des rampants à crochets de feuillage, veille un petit personnage debout. Un double bandeau limite les allèges et toutes les baies à croisée de pierre ou à simple traverse sont encadrées par des pilastres aux chapiteaux caractéristiques. Les lucarnes sont surmontées de gâbles décorés et de pinacles. Leur décor est composé de rinceaux et guirlande de feuillage entourant parfois des blasons. Le rez-de-chaussée est accessible, sur le parc, par un escalier à double volée convergente. L'intérieur est desservi par deux escaliers à vis, l'un de service assez étroit voit son clocheton carré émergé du toit à l'une de extrémités sur la cour. L'escalier principal, débutant par une volée rectiligne est terminé par un lanternon visible sur le jardin. Toutes les portes ouvrant sur les paliers n'ont qu'un seul jambage avec pilastre Renaissance, l'autre étant au nu du mur. Toutes présentent un riche décor. Des culs-de-lampe, avec têtes ailées d'angelots ou d'animaux, ornent certains angles de la cage.
La grande salle est chauffée par une cheminée monumentale. Au-dessus du linteau à double corniche, le devant de la hotte est partagé, entre deux registres séparés, par une niche surmontée par un dais à coquille pour abriter une statuette. Le panneau de gauche est occupé par un blason aux armes royales au-dessus d'une salamandre. Deux autres cheminées, ayant en partie les caractères du XVe siècle, existent au second étage.
Son entrée comporte un portail en anse de panier et un guichet pour piétons à linteau droit. Elle est protégée par deux tours, une ronde et une en fer à cheval, datant du XVe siècle. Ces tours sont ceinturées à mi-hauteur par une moulure en cavet. La tour en fer à cheval referme une chapelle voûtée sur croisée d'ogives. A la clef, dans un médaillon figurent les trois clous de la Passion, tandis que sur le mur a été peint, au XIXe siècle, le blason du général Liébert de Nitray. Cette chapelle est éclairée par deux fenêtres dont les vitraux sont signés par Lobin (1856). Le sol est pavé de carreaux de marbre rose et la porte Renaissance présente un linteau orné de masque. Au-dessus, une pièce est chauffée par une cheminée à hotte et large linteau à simple corniche. La tour ronde sert de fruitier. Ces deux tours sont ceinturées, à mi-hauteur, par une moulure en cavet.
Au Sud-Est de la cour, ce pavillon est aussi du XVe siècle. Son comble, très élancé, à quatre pans est éclairé par deux lucarnes inégales à gâble terminé par un fleuron, l'une à croisée de pierre, l'autre à simple traverse. La cheminée faisait toute la largeur de la construction et une autre, plus réduite, a été aménagée au centre de son foyer. Sa hotte, reposant sur une poutre de bois prenant appui à droite sur un corbeau, était occupée jadis par une grande fresque qui a été restaurée en août 1975. Le sujet en est une scène de chasse. On y voit un cerf poursuivi par un chien qu'un homme tient en laisse.
Au Nord-Ouest de la cour, son pigeonnier circulaire du XVe siècle a un diamètre de 6 mètres et une hauteur de 8 mètres sous poutre. Son toit est surmonté par un lanternon, couvert d'un dôme en ardoise, aux facettes ajourées permettant le passage des pigeons.
Il contient 1763 boulins (nids de pigeons), en pierre et brique. Son arbre de 7,95 mètres de haut et son échelle tournante ont été restaurés en 2000.
Le château privé de La Chesnaye fut édifié au XVIe siècle, agrandi au XVIIe, restauré et remanié au XIXe. Le château est construit sur des caves voûtées. Il est en moellons de calcaire enduits et en pierre de taille en tuffeau. Il présente un plan en L et comprend deux ailes perpendiculaires à l’angle desquelles se trouve, à l’Est, une haute tour carrée. Les ailes sont élevées d'un étage carré et d'un étage de comble éclairé par des lucarnes. L'aile orientée Nord-Sud est couverte d'un toit à longs pans brisés et croupes; l'autre d'un toit à longs pans et noues au niveau des lucarnes. Les toitures sont toutes en ardoise.
Cet ancien fief relevant du Brandon a conservé son pigeonnier cylindrique (📷) dont la salle basse est une pièce avec voûte sexpartite fleurdelisée. La chapelle, qui n'a pas subi la restauration du XIXe siècle, présente un mur de chevet ajouré par une fenêtre ayant gardé son remplage. Par contre son éolienne Bollée de 1878 a disparu.
Le manoir privé de La Halbutterie a été bâti en 1656 puis modifié au XXe siècle. Le bâtiment principal, de plan rectangulaire, est coiffé par un toit à quatre versants couvert d'ardoises cloutées à la pointe de cuivre. Le comble, aujourd'hui mansardé, est éclairé, de chaque côté, par trois lucarnes, celles des extrémités légèrement plus larges. Seule, celle du centre, au Nord, assez étroite, avec ces jambages en pierres de taille et son fronton triangulaire, est d'origine et a d'ailleurs servi de modèle pour la reconstruction à l'identique des cinq autres. Une symétrie régulière existe entre les lucarnes et les fenêtres du rez-de-chaussée. Elles ont été dotées d'huisseries à croisée de bois. Dans l'axe médian, au Sud, s'ouvre l'entrée qui a gardé son encadrement mouluré. L'appui de la petite fenêtre qui la surmonte porte une date: 1656.
A l'Est, un édifice adjacent, aux murs goutterots en léger retrait, date de la seconde moitié du XVe siècle mais a été remanié au XVIIe. Il fut sans doute gardé pour servir de cuisine au nouveau logis avec lequel il est relié par un passage étroit. Ce bâtiment possède des fenêtres à deux panneaux à traverse de pierre et une porte sommé d'une accolade. Tout à côté, treize marches, extérieurement, descendent à une petite cave d'environ 3,85 mètres de côté, voûtée en moellons sur couchis. On y voit le millésime de 1685 gravé sur une des parois.
Les salles basses sont chauffées par trois grandes cheminées à hotte droite sur larges jambages. L'escalier moderne, à trois volées rectilignes inégales, avec rampe de bois à gros balustres et mur d'échiffre en colombage, est dans le style du XVIIe siècle.
Ce manoir possède un pigeonnier carré d'environ 6,20 mètres de côté, au mur de 60 centimètres d'épaisseur, ceinturé à mi-hauteur par une moulure en cavet. A l'intérieur, il a perdu tous ses boulins.
Le manoir de La Boissière a été construit au XVe siècle (la façade Nord est de cette époque) et remanié au XVIIe. A l'angle Nord-Est, cet édifice est flanqué par une tourelle polygonale, à fenêtres étroites et en décalage, couverte par un toit pyramidal. Le comble est éclairé, sur chaque face, par deux lucarnes à fronton triangulaire encadrant un oculus placé légèrement en retrait. Un fleuron orne le sommet de chaque pignon. Au XVIIe siècle, les fenêtres ont été remaniées et agrandies. L'aile en retour d'équerre vers le Sud, qui se raccorde sur le pignon Ouest, a été bâtie après la première guerre mondiale.
La grande salle est chauffée par une grande cheminée dont la hotte reposait sur de simples consoles. Les jambages les supportant sont une addition du XXe siècle. Sur le côté, on voit deux dates gravées: 1643 et 1652. Le linteau est orné d'une double moulure et deux losanges encadrent, au centre, une couronne de feuillage entourant un motif d'où s'échappe, de part et d'autre, un ruban. Une plaque de cheminée, provenant d'un château du Loir-et-Cher détruit par un incendie, porte, avec comme support deux barbus armés d'une massue, les armoiries d'une des branches de la famille de la Rochefoucauld, avec comme devise: C'est mon plaisir. La porte d'entrée en plein cintre de cette salle a sa clef et ses sommiers en saillie.
Les douves ont été comblées et les communs détruits. Au XIXe siècle, il fut la propriété de l'historien Jacques-Xavier Carré de Busserolle.
Le manoir privé de La Boulaye a été édifié en moellons enduits au XVIe siècle selon un plan en L. Il présente un rez-de-chaussée surmonté par un comble à surcroît éclairé par de grandes lucarnes en pierre et à fronton triangulaire. Le domaine est entouré par un mur en moellons ouvert à l'Est par une porte piétonne et une porte charretière ayant perdu son sommet.
A l'angle Nord-Est du domaine, un petit pigeonnier circulaire (XVIe siècle) a été bâti en pierre de taille.
Le manoir privé de L'Alouettière (ou La Louetière) date de la fin du XVe siècle. Par un portail entre deux piliers, accompagné par une piétonne, on pénètre dans la cour dont le côté Sud est bordé par les bâtiments d'habitation. Le corps de logis principal, entre deux hauts pignons triangulaires, est élevé d'un étage et d'un comble. Le versant Nord a gardé sa toiture d'ardoises cloutées. Sur le parc, limité par une ligne de douves, la façade est flanquée par deux tours quadrangulaire qui furent rajoutées au XVIIe siècle. La porte, surmontée par un oculus ovale, la pointe en bas, débouche sur un escalier de cinq marches. De part et d'autre, court un large bandeau au niveau de l'appui des fenêtres. Il en est de même au Nord où, à côté du perron, quelques marches de pierre descendent à une vaste cave couverte par une voûte surbaissée.
La cheminée rapportée, dans la grande salle, avec ses jambages cannelés et rudentés, son trumeau encadré de feuillage, surmonté par une large corniche, date du début du XVIIIe siècle. A chaque pignon est accolée une aile sans étage. Celle de l'Ouest s'appuie sur un pavillon rectangulaire percé, à sa base, par un large porche et dont le premier étage servait de pigeonnier. Une quinzaine de poteries, disposées irrégulièrement dans le mur Sud, étaient utilisées comme nids de pigeons.
La tour circulaire du Brandon (XIIe siècle) mesure 19 mètres de haut. Au rez-de-chaussée, le diamètre intérieur est de 7,90 mètres alors que la muraille a une épaisseur de 2,35 mètres. Le chemin de ronde, garni de créneaux et de meurtrières, qui la surmontait a disparu. Cette tour comporte un rez-de-chaussée et deux étages non voûtés, le second de ceux-ci étant le seul éclairé par quatre fenêtres situées au fond de larges niches voûtées en plein cintre. Le premier étage était chauffé par une cheminée dont le conduit de fumée existe encore. Aucune porte ne donnait accès à la tour, la porte actuelle, ainsi qu'une fenêtre inférieure, sont modernes. On devait accéder à la tour par les souterrains. La tour était au centre d'une baille rectangulaire d'un demi-hectare de superficie, défendue par une muraille et des douves. La muraille d'enceinte était ouverte, à l'ouest, par une seule porte, fortifiée par deux tourelles carrées. La forteresse fut démantelée par les Anglais au XIVe siècle. Le Brandon était une châtellenie relevant de Montbazon.
La tour de l'ancienne magnanerie se situe au centre du village, près de l'église. Elle servait à l'élevage des vers à soie mais à sa construction, au XVIIe siècle, c'était un pigeonnier de 6 mètres de diamètre. En gros moellons, il possède deux larmiers, l'un en pierre et l'autre en ardoise. Son toit primitif, en fer à cheval, a disparu et a été remplacé par un toit plat en tuile. Vers 1900, cette fuye devint un bien communal.
Le pigeonnier-porche carré de Gâtinelle (XVIIe siècle) sert d'entrée à une vaste grange. Sa porte charretière plein cintre laissait passer les gerbières. Au-dessus de cette porte et du larmier plat, on aperçoit trois trous d'envol tournés vers le Sud. Son toit de tuiles plates présente quatre pans.
Le Pavillon (privé) de Vallet ou La Suraudière (fin XVIIe siècle) présente un corps de logis allongé composé d'un rez-de-chaussée et d'un comble éclairé, au Sud, par deux grandes lucarnes dont l'une est à fronton courbe et jambages en pierre de bossage, l'autre en bois est moderne. Toutes les baies à linteau cintré et à huisserie à petits carreaux ont une imposte avec double ligne de petits bois en arc de cercle. Un vestibule ayant encore gardé quelques larges dalles de pierre de son pavage originel sépare le logis en deux parties égales. Il débouche, côté jardin, sur un perron à deux volées droites convergentes et une porte surmontée par un tympan triangulaire monté sur une corniche du toit. On voit aussi dans cette entrée un escalier en bois à deux noyaux tournant à droite. De part et d'autre, chaque pièce, au plafond de chevrons apparents sur poutre maîtresse, est chauffée par une cheminée. Si l'une a eu son manteau modernisé, l'autre est intacte avec jambages rectilignes et linteau à coquille sous une hotte peu saillante avec trumeau. Le logis était prolongé à l'Ouest par un bâtiment en retour d'équerre ont une partie a disparu, mais dont l'escalier de 19 marches droites menant au niveau supérieur a été gardé le long de la route. Il est soutenu par plusieurs niches inégales. L'une, au milieu, abrite le puits avec son treuil, la plus grande un évier et un petit four à pâtisserie.
A l'arrière, le jardin est limité à l'angle Nord-Ouest par un petit pavillon carré et, à l'Est, par des dépendances dont une partie a été détruite, l'autre avec pignons à rondelis garde une grande cheminée rustique avec four à pain.
A Vallet, le logis privé de La Falaise a été construit au XIXe siècle dans le style néo-gothique.
Toujours à Vallet, le manoir privé de La Vigneraie, flanqué par une tour cylindrique, date de la fin du XIXe siècle.
Au Sud de la rue du Moulin-à-Vent, on découvre les vestiges d'un moulin-tour, le Moulin-Neuf, construit à la toute fin du XVIIIe siècle.
Il existe encore quelques loges de vigne sur le territoire de cette commune.
On y trouve aussi un ancien abri de cantonniers.
Dans la rue des Puits, on peut observer deux anciens puits recouverts par des pierres plates.
Sur le Cher, le barrage à aiguilles de Nitray, long de 43 mètres, date de 1841. Il a été construit sous la direction de l'ingénieur Camille Bailloud (pour plus de détails sur ce type de barrage, voir l'article sur Civray-de-Touraine).

A voir
  • Les vestiges du prieuré bénédictin de Bono (avec les ruines d'un bâtiment d'habitation, des granges, une fuie surmontée d'un lanternon et un puits à margelle). Cet ancien fief-prieuré appartenait, en 943, à l'abbaye Saint-Julien de Tours.

Lieux-dits: Baigneux, Beaudrouze, Beaulande, Beauregard, Bel-Air, Bellevue, Bois-Bidault, Bois-de-Beauregard, Bois-de-Bono, Bois-de-la-Blonnerie, Bois-de-la-Garenne, Bois-de-la-Mistignière, Bois-de-la-Vallée-Noire, Bois-de-Mansay, Bois-des-Grois, Bono, Bouzay, Bréviande, Brosse-Pelée, Bussière, Champ-Long, Chandon, Chaume-d'Ormeau, Ferrière, Fiale, Gandouet, Gâtinelle, Givry, Grandlay, La Blonnerie, La Boissière, La Bonninière, La Boulaye, La Caillaudière, La Chamoisière, La Chênelle, La Chesnaye, La Croix-de-Bussière, La Deumerie, La Gâche, La Gagnerie, La Gangnerie, La Gargaudière, La Goubinerie, La Halbutterie, La Jarrie, L'Alouettière, La Maison-Rouge, La Martinière, La Mistignière, La Petite-Gâche, La Pinonnerie, La Quellerie, La Rianderie, La Sciasserie, La Tour-du-Brandon, La Trépignerie, L'Aubinière, La Voie-Creuse, La Volandrie, Le Brandon, Le Breuil, Le Chêne-Blanc, Le Clos-Pigeonneau, Le Grand-Village, Le Gué-de-Baigneux, Le May, Le Petit-Chandon, Le Petit-May, Le Petit-Vau, Le Petit-Village, L’Érable, Le Tuyau, Le Vigneau, Les Bertinelles, Les Bruyères, Les Charbonnières, Les Énaudières, Les Gerbiers, Les Muloteries, Les Romichons, Les Ruelles, Les Sables-de-Touche-Morin, Les Sablons, Les Touches, Martigné, Moulins, Nitray, Pièce-de-Givry, Pièce-de-la-Colasserie, Pièce-des-Chêneaux, Pièce-des-Fougères, Pièce-du-Tuyau, Quentinne, Taille-de-Naues, Taille-des-Bournais, Taille-des-Paillards, Taille-des-Panneaux, Taille-du-Perron, Taille-Naveau, Tailles-de-Bussière, Touche-Morin, Tubois, Vallet
Ancien lieu-dit: La Malquinière
    Blason d'Athée-sur-Cher

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