Ballan-Miré

Ballan-Miré (Wikipedia) est une ville de la banlieue Sud-Ouest de Tours. Ses habitants sont appelés les Ballanais, les Ballanaises.
La commune de Miré fut réunie à celle de Ballan par Ordonnance Royale du 16 août 1818.
Au VIe siècle, Grégoire de Tours mentionne Ballan sous le nom de Balatedo. Ensuite, elle se nomma Balanum (1078, charte de l'abbaye de Marmoutier), Balatido, Balamuo, Balamus (XIIIe siècle, chartes de Saint-Martin), Ballam (XVIIIe siècle), Ballan-Miré (12 avril 1920).
Miré s'appela: Parochia de Miré (1400, Charte de l’abbaye de Beaumont-lès-Tours), Miray (1660), Miré (XVIIIe siècle, Carte de Cassini), Miré (1818, Archives nationales, Ordonnance royale), Miré (1820, Carte de l'état-major), Miré (1825, Cadastre), Miré (1935, Cadastre), Miré (2013, Carte IGN).
Les plus anciens registres paroissiaux datent de 1576 pour Ballan et de 1667 pour Miré.
Coordonnées GPS de Ballan-Miré: 0°36'48"E - 47°20'26"N
Code INSEE: 37018 - Code postal: 37510 - Superficie: 2616 hectares
Altitudes: de 43 (au Grand-Moulin) à 99 mètres
Cours d'eau: le Cher
L'église Saint-Venant, construite au XIe siècle (nef, clocher-porche carré et porte), a été agrandie à la fin du XVe siècle (chapelle latérale Sud avec une absidiole semi-circulaire, cette chapelle sert de transept) et en 1516 (chœur, chevet, abside à cinq pans, la chapelle latérale Nord avec une absidiole semi-circulaire). Cet édifice fut érigé à l'emplacement de l'église primitive fondée par saint Perpet vers 480.
La porte en plein cintre présente trois rouleaux qui ont été refaits. L'arc extérieur seul, mouluré de chevrons, est ancien. La voûte et les fenêtres de la nef furent refaites au XVIe siècle en même temps que le chœur était édifié. Le clocher, refait en 1845, 1871 (campanile pointu) et 1979, abrite trois cloches de 1647, 1872 et 1881.
Les vitraux de l'abside, des chapelles et des absidioles sont de 1516. Celui de l'abside représente la Crucifixion. En bas, à gauche, figure Jacques de Beaune, donateur du vitrail. Il est agenouillé près de la Vierge et de saint Jacques de Compostelle. A bas, à droite, se trouve son épouse, Jeanne Ruzé, présentée par saint Jean Baptiste et par saint Jean l’Évangéliste. Au centre, le Christ en Croix se détache sur un paysage de montagnes.
Le vitrail (début XVIe siècle) de l'absidiole Sud met en scène saint Michel terrassant le dragon.
Cette verrière (début XVIe siècle) représente quatre saints (saint Antoine, saint Jean-Baptiste, sainte Barbe et sainte Geneviève) dans un décor architectural. Quatre autres vitraux du début du XVIe siècle figurent: la Messe de saint Grégoire; saint Jean l’Évangéliste et sainte Marie-Madeleine; la Vierge à l'Enfant et saint Jacques le Majeur; saint Martin et saint Blaise.
Cet édifice possède aussi six vitraux de Max Ingrand (1954): Anges portant des gerbes de blé (deux verrières); le manteau du Christ: la charité; le manteau de saint Martin: la charité; le manteau du Christ et l'ancre: l'Espérance; le manteau du Christ et la croix: la Foi.
Cette église renferme aussi quatre clefs de voûtes sculptées et peintes.
Dans une niche du transept Nord, la statue en pierre de sainte Catherine d'Alexandrie (fin du XVe siècle) a été attribuée à Michel Colombe. Le sculpteur a représenté la sainte tenant une épée de la main droite et la palme du martyre de l'autre. Cette statue a une hauteur de 1,15 mètre.
La porte de la sacristie, en bois de chêne, comporte deux panneaux rectangulaires entourés de pilastres ornés de fines sculptures. Ces panneaux sont surmontés de deux têtes d'angelots ailés. Cette porte de 2,20 mètres sur 1,25 mètre date du XVIIe siècle.
Le Grand-Moulin a été bâti entre 1515 et 1520, sur l'ordre de Jacques de Beaune (surintendant des finances du roi Louis XII), sur la rive gauche du Cher. Il a cessé son activité en 1974.
La Commanderie (milieu du XIVe siècle) présente un logis flanqué d'une tour circulaire et d'une tour carrée. Après la Révolution, le château est démantelé, il n'en reste que la partie Sud. Au début du XXe siècle, les bâtiments furent surélevés d'un étage. La Commanderie a appartenu aux Templiers puis à l'Ordre de Malte. De 1951 à 1969, ce domaine a abrité une colonie de vacances.
Elle possède un pigeonnier cylindrique muni d'une toiture à lanternon. Au XIXe siècle, cette fuye devint un réservoir d'eau pour alimenter l'habitation grâce à un bélier hydraulique.
Le château de La Carte a été construit par Jacques de Beaune de 1497 à 1515 puis très restauré et remanié en 1879, en style néo-gothique, par l'architecte Guérin. Les armes du surintendant sont encore visibles sur la gâble d'une des lucarnes. Les douves qui entouraient le château subsistent en partie.
Dans sa chapelle, on peut voir deux vitraux signés par Valérie Moins (1986). Ils ont remplacé des verrières représentant l'Adoration des mages et l'Adoration des bergers, avec les portraits de Jacques de Beaune et de Jeanne Ruzé. Cette chapelle comprend deux travées voûtées d'ogives. Elle renferme aussi une fresque du XVIIIe siècle et une statue de la Vierge à l'Enfant (XVIe siècle) attribuée à Michel Colombe.
Au Nord de son parc, il a conservé une porte fortifiée (1515), remaniée, flanquée de deux tours circulaires.
Une autre porte fortifiée, appelée la porte de Charlemagne, se trouve au Sud-Ouest de ce parc. A l'Est, une porte n'a conservé qu'une des tours, arasée à mi-hauteur.
Le château privé de Beau-Soleil (ou de La Martinière), de style néo-Renaissance, date du XIXe siècle. Il est flanqué d'une tourelle en pierre de taille couverte d'une toiture en poivrière. Ses fenêtres et ses lucarnes sont entourées de pilastres sculptés en tuffeau.
Le château privé de Beauvais, à Miré, a été édifié au XVIIe siècle puis reconstruit en 1890. Cet ancien fief relevait de Colombiers (Villandry). Il y existait une chapelle.
Le manoir privé de La Pasqueraie a été construit au XVIIe siècle, agrandi en 1808 (1er étage) et en 1910 (2ème étage). Le logis rectangulaire présente, aux deux extrémités, un pavillon en avant-corps. A la fin du XVIIe siècle, il ne présentait qu'un rez-de-chaussée et un comble. Le premier étage a été élevé avant 1829, le second étage, avec sa toiture à la Mansart, fut construit sur la corniches à petits modillons vers 1908, en même temps que les pavillons étaient surélevés.
Par contre, les communs ont gardé tous leurs aspects du XVIIe siècle avec leurs portes à linteau droit ou courbe, mais toujours avec jambages à bossage, leurs lucarnes à fronton triangulaire, brisé au somment par un fleuron. L'aile Est se termine par un pavillon.
Le château privé des Carnaux a été bâti au XIXe siècle (après 1837) dans le style du premier Empire. Son aile mauresque en brique et pierre, rajoutée de 1848 à 1852, a été réalisée par l'architecte A. Boyer pour Charles-Alphonse Perrin. Il existait une chapelle dédiée à saint Michel qui avait été restaurée en 1710 mais qui était signalée en très mauvais état en 1791. Cette chapelle dépendait du Chapitre de l'église de Tours. Ce domaine était un fief relevant du trésorier de Saint-Martin de Tours.
De la construction primitive (XVIIIe siècle ?), il ne reste qu'une cave carrée voûtée d'environ 4,50 mètres de côté. Une ouverture dans le mur Sud donne accès à un long couloir en forte déclivité, taillé dans le rocher, d'une douzaine de mètres de long sur deux de large. Il aboutit à l'entrée en arc brisée d'une vaste salle composée d'une double galerie parallèle à la voûte soutenue par un pilier en pierres de taille. Dans les parois sont creusés de petits caveaux.
Dans son parc, un petit château d'eau (XIXe siècle) est aussi fait en briques et en pierre.
Le manoir privé de Bonrepos ou Bon-Repos (XVIe siècle) présente un logis à pignons aigus à rondelis. Au Nord, le comble est éclairé par deux grandes lucarnes inégales. La façade Nord est percée par une porte à linteau de bois, une grande baie (à gauche) ayant perdu sa croisée de pierre et une fenêtre étroite n'ayant plus sa traverse. A l'Est, la fuye carrée était édifiée sur quatre arcades en plein cintre. A l'Ouest, une petite aile en retour d'équerre est la chapelle. Bonrepos était un fief relevant de la commanderie de Ballan.
Au 5 boulevard Jean-Jaurès, le moulin à vent de Tournebride (un moulin-tour du XVIe siècle) a perdu ses ailes à toiles et sa queue d'orientation. Il a été transformé en habitation privée. Ce moulin a été exploité jusqu'à la fin du XVIIIe siècle.
Visible dans une propriété privée depuis la rue de Miré, cette croix en pierre de section octogonale était celle de l'ancien cimetière de Miré qui n'existe plus de nos jours.
Les deux lavoirs du parc proche de l'église ont été construits en 1865 et restaurés en 1982.
Cette choquette (loge de vigne) se trouvait au lieu-dit Le Champ Romain. Menacée par la construction de l'autoroute A85, elle a été démontée pierre par pierre puis reconstruite près du rond-point de Bois-Gibert.
Le puits Tessier, ou le puits Texier au XVIIe siècle, est un vieux puits-chapelle.
Près du puits Tessier, dans la rue du Moulin, cette tour circulaire doit être un ancien pigeonnier.
Au 1 boulevard Jean-Jaurès, Gustave Vergés, compagnon charpentier, a gravé une équerre et un compas en 1902 sur la maison Les Acacias. Les lettres U.V.G.T. signifient Union, Vertu, Génie, Travail.
Dans un parc, on découvre deux arbres remarquables: un platane à feuilles d'érables (à gauche) de 25 mètres de haut et dont le tronc a une circonférence de 4,70 mètres, ainsi qu'un séquoia géant (à droite) de 30 mètres de haut et dont le tronc a 6,75 mètres de circonférence.
Ballan-Miré possède son girouet dont la partie centrale représente le Grand-Moulin.
Le château privé de La Touche a été construit entre 1873 et 1875 pour Jean Schlomacher.
Le château privé de Bois-Renault a été édifié entre 1760 et 1770 pour la famille de soyeux Cartier-Roze. En 1869, il a été racheté par Victor-Édouard Dalloz. Le château est remanié vers 1950-1960, il sert alors de colonie de vacances. Ce domaine était un fief relevant du château de La Carte et de Colombiers (Villandry).
Le château privé de Rochefuret a été bâti en 1638 (pavillon central) et agrandi à la fin du XVIIIe siècle (les deux ailes). Le pavillon central, légèrement surélevé, est couvert par un toit à quatre pans surmonté par un clocheton. L'avant corps médian, en très légère saillie, est encadré au Sud par deux larges pilastres doriques supportant un fronton triangulaire orné d'une coquille flanquée, de part et d'autre, de faisceaux de drapeaux et d'un canon. De ce côté, toutes les corniches sont soulignées par une ligne de denticules et le comble est éclairé par deux lucarnes de pierre à linteau courbe. A la clef de chacune des baies, il y a un petit cartouche sculpté, plus ample au rez-de-chaussée. Celui qui surmonte la porte d'entrée, avec deux rameaux de feuillage, figure des instruments de musique: violon et flûte. Au Nord, le décor de l'avant-corps symétrique est plus simple: les pilastres sont remplacés par une chaîne à refends et le tympan est garni de corne d'abondance renversées, d'instruments aratoires et d'un écusson portant les initiales N.L. Dans le parc, on remarque une grande cave voûtée, une chapelle moderne avec clocheton carré et un pigeonnier.
Le château privé du Vau (initialement du XVIe siècle) a été reconstruit en 1774. C'était un fief qui relevait, à la fois, de la commanderie de Ballan et de La Carte.
Le château, de plan quadrangulaire, comporte deux étages sous un comble à la Mansard, éclairé de toutes parts par des lucarnes. Les angles sont raidis par des chaînages à refend qui limitent aussi un avant-corps central à fronton triangulaire et en léger relief. Au Nord, une rotonde a été ajoutée vers 1845. Au Sud, un logis plus ancien a été englobé dans le bâtiment. Il sert de cuisine chauffée par une grande cheminée et c'est la seule partie qui soit sur un sous-sol. On accède à celui-ci par un escalier tournant en pierre qui aboutit dans une cave dans les travées appareillées reposent sur un pilier central. Un peu à l'écart au Sud, un édifice comportant un rez-de-chaussée, avec des fenêtres à linteau cintré, pourrait dater de la fin du XVIIe siècle.
En 1776 et 1787, une chapelle est signalée au Vau. En 1787, plusieurs de ses fenêtres en arc brisé étaient murées. Les communs sont du XIXe siècle. Autour d'une cour centrale, se développent des bâtiments de servitudes flanqués, à chaque extrémité, d'un pavillon en saillie, dont les faces extérieures sont divisées par des arcades jumelles en plein cintre sous un toit à faible pente. Mentionné dans un acte de 1792, un pigeonnier, situé au Nord du parc, a disparu.
La gentilhommière de La Fuye (ou La Fuie) a été édifiée en 1610. Cet édifice, entièrement construit en pierres de taille sur une terrasse dominant la cour de ferme, est composé de deux ailes en retour d'équerre. Au Nord, la plus importante, élevé d'un rez-de-chaussée et d'un comble, présente une façade d'un rigoureuse symétrie. Au centre s'ouvre la porte surmontée par un tympan circulaire ajouré d'un oculus. De chaque côté de cette porte, une fenêtre à chaînages, chacune doublée par une baie moderne, est surmontée par une lucarne à fronton courbe et pieds droits en bossage. Celle du milieu, avec couronnement triangulaire, date de 1902. Toutes les huisseries sont à petits carreaux et espagnolettes. Le comble à quatre pans supporte un petit campanile sans cloche.
A l'Est, est adossée l'ancienne cuisine. Un escalier en bois à balustres, d'une seule volée tournant à droite, occupe l'angle Nord-Est. On remarque une grande cheminée à hotte droite sur jambages rectangulaires. Une lucarne à ailerons et linteau légèrement incurvé s'ouvre sur le jardin.
L'ancienne chapelle présente un fronton triangulaire identique au nord comme au sud. Elle faisait la jonction avec l'aile en retour d'équerre. On y accédait par une porte à fronton triangulaire.
Le bâtiment perpendiculaire est bâti sur une cave en berceau appareillé. Le pigeonnier, ayant donné son nom à ce lieu, a disparu au milieu du XVIIIe siècle.
La gentilhommière privée du Grand-Bouchet date du XVIIIe siècle.
Le manoir privé de La Fosse-Morin, bâti en1776, comprend un corps de logis principal élevé d'un étage et d'un comble. Sa façade Sud est symétrique. La porte médiane, ouvrant sur la cour, donne sur un large perron de quatre marches. De part et d'autre, les baies à encadrement mouluré et clef trapézoïdale, ont toutes conservées leurs huisseries à petits carreaux et leurs volets extérieurs. A l'angle Sud-Ouest, une niche en plein cintre abrite un puits. Un autre existe à l'angle opposé, mais à l'intérieur même. La chapelle, aménagée dans l'une des grandes salles, a disparu.
La cour ouvre sur la rue par une grille entre deux piliers, mais il n'y a plus qu'une petite partie des bâtiments à pignons à rondelis, la bordant de chaque côté, qui appartient encore à la maison. Ils abritaient les communs et le logis du closier. L'aile Est est interrompue par un portail à claire voie entre deux contreforts, accompagné par une porte piétonne à linteau droit. Dans le mur Sud qui borde cette entrée, une série de 23 boulins, avec pierres d'envol, forme un pigeonnier.
L'extrémité Est du principal corps de logis, élevée sur une important cave voûtée sur couchis, semble plus ancienne. Elle a conservé un escalier avec rampe à balustres à double poire du XVIIe siècle. La seconde volée comporte des marches de brique, sur une contremarche en bois. Une courte échelle de meunier permet de descendre dans un caveau en berceau appareillé.
Le manoir privé de La Goupillère, bâti au XVe siècle, a été restauré au début du XVIIIe siècle. C'était un fief relevant de la châtellenie de La Carte. Le manoir est une construction rectangulaire limitée par des pignons à rondelis. Tous ses percements ont été remaniés. Par contre, le comble a conservé ses lucarnes, trois au Nord et au Sud. Les premières sont inégales. La plus étroite, au centre, est encadrée, de part et d'autre, par une plus grande aussi à ailerons. Les frontons sont brisés au sommet par un fleuron et l'entablement est orné de triglyphes. Au Sud, les ouvertures sont égales et des pilastres doriques soutiennent un fronton triangulaire. Le linteau porte une moulure en S à la clef.
Au Sud-Est du logis, le pigeonnier cylindrique, d'environ 5 mètres de diamètre, est en moellons enduits. Il est ceinturé aux trois quarts de sa hauteur par un cordon rectangulaire. A l'intérieur, les boulins ont été détruits. Par contre, son éolienne Bollée de 1878 n'existe plus.

A voir

  • La gentilhommière privée de La Bardinière.
  • Le pigeonnier carré en colombage, avec remplissage de briques, (maintenu par deux piliers en bois) surmontant l'entrée de la grange du Pressoir, rue des Carnaux. Son toit de tuile à quatre pans est surmonté d'un lanternon (d'ardoise) octogonal, couvert en dôme. A l'Est, une petite lucarne perce le comble, mais à l'intérieur toute trace de boulins a disparu.
Patrimoine disparu
  • L'église Saint-Denis de Miré qui fut vendue comme bien national le 3 fructidor an IV (20 août 1796).
  • La chapelle Saint-Jean-de-la-Côte dont les ruines sont encore indiquées sur le cadastre de 1825.
  • Le pigeonnier de Bon-Repos dont il ne reste que la base carrée qui était construite sur quatre arcades en plein cintre.
  • La chapelle de Bon-Repos, signalée dans un acte de 1742, a probablement disparu à la fin du XVIIIe siècle.
  • Le moulin à farine de La Touche fut détruit en 1926.

    Lieux-dits: Beau-Soleil, Beauvais, Bois-Boutet, Bois-de-Beauvais, Bois-de-Bois-Gibert, Bois-de-la-Morandière, Bois-de-la-Motte, Bois-de-la-Place, Bois-de-la-Presle, Bois-de-l'Oucherie, Bois-des-Touches, Bois-du-Puits, Bois-Gautier, Bois-Gibert, Bois-Joli, Bois-Long, Bois-Moreau, Bois-Renault, Bois-Robert, Bon-Repos, Champ-Lay, Clos-des-Rosiers, Fosse-Bureau, La Bardinière, La Bonnetière, La Bouère, La Briaudière, La Bruère, La Butorderie, La Carte, La Chardrie, La Charterie, La Châtaigneraie, La Chauvinière, La Chesnaie, La Chevalerie, La Commanderie, La Cour-Verte, La Croix-Cassée, La Croix-Sauvineau, La Faulx, La Fosse-du-Carrosse, La Fosse-du-Saule, La Fosse-Morin, La Fourbisserie, La Freslonnière, La Fuie, La Gare, La Goupillère, La Grande-Maison, La Grande-Pièce, La Grange, La Grenouillère, La Haie-Loup, La Haute-Cour, La Haute-Lande, La Haute-Mignardière, La Haye, La Houdrillère, L'Aigrefin, La Jonchère, La Maison-Blanche, La Maison-Grise, La Maison-Rouge, La Malchute, La Martinière, La Mignonnière, L'Angelardière, La Noue, La Pasqueraie, La Peignanterie, La Piègerie, La Pierre-Sourde, Le Pin, La Pontonnière, La Rencontre, La Roncière, La Rousselière, La Sagetterie, La Salamandre, La Salle, La Savatterie, La Sublainerie, La Taillerie, La Touche, Le Ballandeau, Le Bois-de-la-Glace, Le Bois-des-Maris, Le Chamard, Le Champ-Romain, Le Coucou, Le Déchani, Le Forgeron, Le Grand-Bouchet, Le Grand-Chamard, Le Grand-Moulin, Le Millery, Le Moulin-à-Vent, Le Noyer-Chu, Le Petit-Bois-Renault, Le Petit-Bouchet, Le Petit-Port-Cordon, Le Pignon-Vert, Le Point-du-Jour, Le Pressoir, Le Rougemont, L’Étape, Le Vau, Les Aumônes, Les Bas-Carnaux, Les Brosses, Les Carnaux, Les Caves, Les Champs-de-Coué, Les Galbrunes, Les Grands-Champs, Les Granges, Les Hérissières, Les Millery, Les Perruches, Les Petites-Brosses, Les Prés-de-Ballan, Les Rosiers, Les Rottiers, Les Tourettes, Les Vallées, L'Ormeau, Miré, Parc-de-Beauvais, Pièce-de-Beaumont, Pièce-des-Perruches, Plain-Champ, Quincampoix, Rochefuret, Sainte-Rose, Saulu, Vau-Secret
    Anciens lieux-dits: Le Coteau, Les Petites-Robinières
      Communes voisines: Artannes-sur-Indre, Druye, Joué-lès-Tours, La Riche, Savonnières
      Blason de Ballan-Miré

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