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Ligré

Ligré (Wikipedia) est une commune du Sud-Ouest de la Touraine. Ses habitants sont appelés les Ligréens, les Ligréennes.
En 1169, le village apparait sous le nom de Ecclesia de Ligro dans une charte de l'abbaye de Beaumont-lès-Tours. Par la suite, il s'est appelé: Ligrei (1180, cartulaire de Cormery), Ligreio (1188, charte de Saint-Mexme), Ligreium (1290, pouillé de Tours), Ecclesia de Ligreio (XIIIe siècle, cartulaire de l'archevêché de Tours), Ligré (1314, cartulaire de l'archevêché de Tours), Ligré (XVIIIe siècle, carte de Cassini).
La paroisse de Ligré formait un fief appartenant, au XVIIe siècle, à la famille Picault et, au XVIIIe, à la famille Bouin de Noiré. Selon une bulle du pape Alexandre III, de 1180, son église dépendait de l'abbaye de Cormery.
Le plus ancien registre paroissial date de 1616.
Coordonnées GPS de Ligré: 0°16'41"E - 47°06'44"N
Code INSEE: 37129 - Code postal: 37500 - Superficie: 2770 hectares
Altitudes: de 31 à 111 mètres (dans le bois des Roches)
Cours d'eau: la Veude
Le dolmen du Carroir-Bon-Air mesure 7 mètres de long et 3,50 de large. Une de ses tables a une taille de 4,80 mètres sur 4,40. Les deux tables, de 0,50 mètre d'épaisseur, reposent sur huit supports plus ou moins déplacés. Devant l'entrée subsistent trois dalles dispersées. Le dolmen est entouré par un péristalithe, un cercle de pierres limitant le tumulus qui, à l'origine, recouvrait le monument.
L'église Saint-Martin, bâtie au XIIe siècle (transept, chœur en berceau, deux absidioles), a subi un incendie le 2 août 1876. Le clocher à flèche octogonale (XVe siècle), détruit par la foudre, a été reconstruit, en partie, en 1987. Chacune de ses faces présente deux baies jumelles en plein cintre. Sa flèche est accompagnée de pinacles d'angle. La croisée du transept est limitée par quatre arcades en plein cintre soutenues par de grosses piles avec impostes chanfreinées. Elle est voûtée par une coupoles à huit pans sur trompes. Les croisillons sont couverts d'un berceau en plein cintre et éclairés seulement par une fenêtre identique ouverte dans leur mur terminal. Chacun d'eux est accompagné d'une absidiole en cul-de-four. Une travée de chœur, voûtée d'un berceau en plein cintre, conduit à l'abside en cul-de-four éclairée par une unique fenêtre.
Cette église possède quelques modillons sculptés.
Elle ne renferme qu'un seul vitrail historié représentant saint Martin. Il est daté de 1880 et est signé par Lucien-Léopold Lobin (Tours). Les autres vitraux sont de simples verrières à compositions géométriques (chœur) ou à losanges (nef).
Dans le cimetière, près de l'église, une chapelle présente aussi plusieurs modillons sculptés.
Ce cimetière renferme la tombe de Jean-Louis Bouin de Noiré (1727-1782), seigneur de Noiré (Marigny-Marmande) et de Chezelles, ancien maire de Chinon de 1759 à 1770, qui, à sa demande, fut enterré debout.
Cette autre tombe est celle de Zélie-Amélie Bourgine, décédée en 1837, épouse de Moïse de Cougny, ancien maire de Ligré.
A l'arrière de ce monument, dans une plaque funéraire en ardoise est incrusté un fossile marin: un Tétracoralliaire du Carbonifère inférieur de 28 centimètres de long sur 3 de large.
Le château privé de Sassay a été édifié au début du XVIe siècle. Il est composé de deux corps de logis en équerre d'époques différentes. Celui du Nord, le plus ancien, est élevé sur un plan rectangulaire entre deux hauts pignons. Au Sud, il est flanqué par une tourelle polygonale percé par des petites fenêtres. Toutes sont surmontées par une moulure retombant sur des culots sculptés, les deux plus basses portent une accolade au linteau. Cette tourelle abrite un escalier tournant à rampe en fer forgé qui doit avoir remplacé la vis de pierre primitive.
Le portail d'entrée, en arc surbaissé, protégé par une étroite lucarne à bretèche, est aménagé à sa base par un petit pavillon accolé au pignon Ouest. L'arc extérieur retombe sur deux culots qui portent, celui de gauche en rentrant, un diable, et celui de droite, un ange présentant un blason aux armoiries effacées. Un autre écusson bûché, entouré par un collier, se trouve au-dessus du portail encadré par deux tourelles en encorbellement. Plus à l'Ouest, une construction rectangulaire plus récente, reliée à la précédente par une galerie, était occupée au rez-de-chaussée par la chapelle. Éclairée par un oculus et une grande fenêtre en arc brisé, elle communiquait avec l'extérieur par une porte aux sommiers en saillie.
L'aile Est, élevé d'un rez-de-chaussée et d'un comble à la Mansard, date du début du XVIIIe siècle. La porte est encadrée par de hauts pilastres ioniques avec un fronton courbe qui se retrouve sur les lucarnes ouvrant sur la cour intérieure. Le côté Sud de celle-ci comporte deux tours carrées. Ce château possède un pigeonnier cylindrique du XVIe siècle.
Le manoir privé de La Rajace ou La Rajasse (XVe et XVIe siècles) est le vestige d'une forteresse du XIIe siècle constituée par quatre tours disposées en carré. Il est composé de deux bâtiments d'inégales hauteurs. A l'angle Sud-Est, le manoir est flanqué par une tour dont la toiture en poivrière s'était effondrée en 1977. Il est éclairé par des fenêtres à croisée de pierre et par des baies superposées à deux panneaux. Au premier étage, une petite salle de plan quadrangulaire est chauffée par une cheminée à faux manteau dont la hotte n'est qu'à 90 centimètres du sol. Une autre, semblable, existe au niveau supérieur. Une petite meurtrière pour armes à feu protégeait le portail Sud à linteau droit, doublé par une porte piétonne.
L'intérieur a gardé plusieurs cheminées à hotte sur jambages rectangulaires moulurés. L'une d'elles, dans le comble, avec son foyer à 60 centimètres au-dessus du plancher, prouve le remaniement de l'édifice. Une grange plus récente, avec son portail en plein cintre, porte la date de 1858 accompagnée de la lettre C et par une couronne de marquis. En 1620, il y existait une chapelle.
Ce fut ici qu'aurait eu lieu la première rencontre du futur François Ier et de sa fiancée, Claude de France. La Rajace était un fief relevant de la châtellenie de Champigny et de Faye-la-Vineuse.
Le manoir privé de Villeneuve date des XVe et XVIe siècles. Son pigeonnier-porche du XVe siècle s'est écroulé en 1958.
L'accès à la cour se fait par une porte charretière à linteau de bois, près d'une ouverture murée qui devait être un guichet pour piétons. Le porche débouche sur la cour par une grande arcade en anse de panier, portant à la clef la date de 1733, et se raccorde au Sud à l'unique corps de bâtiment. Au pignon Nord de celui-ci est accolée une construction en appentis dont le niveau supérieur de la façade Nord est seul en colombage. L'angle rentrant formé par le pavillon d'entrée et le logis est occupé par une tour octogonale en moyen appareil qui renferme un escalier à vis de pierre d'environ 1,60 mètres d'emmarchement. Les fenêtres qui l'éclairent ont gardé leurs huisseries à petits carreaux. A l'Est, sur la rue, le mur goutterot est percé, au premier étage, par une baie étroite à simple traverse et une, plus petite, au linteau creusée d'une accolade. Cette dernière baie est située entre deux fenêtres à croisée de pierre, encadrées de baguettes. Sur la première, une lucarne à gâble aigu, avec banquette intérieure, éclaire le comble.
Toutes les pièces du premier étage sont chauffées par des cheminées à hotte. Deux sont à linteau à simple corniche sur jambage en forme de demi-colonne engagée, une est à faux manteau, une quatrième présente les caractères du XVIIe siècle. Dans la cheminée de la salle basse, très large, avec un évidemment formant tablette sous un arc de décharge, s'ouvre la bouche d'un four à pain. A l'Ouest, à part une petite baie à simple traverse tous les ouvertures ont été remaniées. Tout cet ensemble a conservé sa charpente d'origine et l'on voit à la porte du grenier cette inscription: Victor Mingotte 1788.
Dans la même rue, le manoir privé du Vau-Breton date du XVIe siècle. Il est composé d'un ensemble de constructions juxtaposées, édifiées en petits moellons formant des assises presque régulière. Sa façade Sud, dont une partie est en contrebas du chemin, se développe de part et d'autre d'une haute tour quadrangulaire, couverte en pavillon, au comble percé d'une lucarne. Légèrement en retrait, à l'Ouest, s'élève un bâtiment d'un étage, aux angles épaulés par des contreforts. Le bâtiment de l'Est, au contraire, s'aligne sur elle et ne présente qu'un rez-de-chaussée, éclairé par des fenêtres à croisée de pierre. Il est de plain-pied avec une terrasse accessible depuis la cour par une volée rectiligne d'une dizaine de marches de pierre. On peut voir un blason (photo de dessous) a été gravé sur le fronton de la lucarne de son toit en appentis qui s'appuie sur un corps de logis parallèle entre deux pignons à rondelis, dont l'un, à l'Est, s'ajoure d'une croisée pierre. Dans le mur goutterot Nord, une grande baie a aussi retrouvé sa croisée de pierre et une autre, plus étroite, sa traverse de pierre. Une aile perpendiculaire fait la jonction avec des servitudes très anciennes, placées en retour d'équerre et dont une partie est ruinée. Ce qui en reste a gardé une tourelle où se trouvait un escalier de bois, deux fenêtres dont l'une est murée alors que l'autre a perdu sa croisée de pierre, une cheminée à faux manteau avec la bouche d'un four disparu. A l'Est, une petite baie jumelle fait penser à une chapelle et, sur une pierre, on lit l'inscription: L'amour universel du Christ. Ces dernières encadrent une seconde cour débouchant sur le chemin descendant à La Galvaudrie par une entrée piétonne entre deux piliers quadrangulaires, doublée d'un guichet pour piétons à proximité d'une autre porte en plein cintre.
Le logis a gardé plusieurs cheminée du XVe siècle, avec jambages en forme de demi-colonne engagée. Celle du salon présente un cartouche fantaisie dans une couronne de feuillage et un linteau qui a été remaniée. Après l'avoir diminué de hauteur, une tête humaine a été sculptée à chacune de ses extrémités. Dans la pièce voisine, la hotte porte aussi, au cente d'une guirlande, un blason aux armoiries inconnues. Un escalier à vis de pierre dessert les différents niveaux, logé dans une cage éclairée par de petites baies. L'embrasure de l'une d'elles porte des graffiti relatifs à une grande mortalité à Chinon en l'an 1500. La partie supérieure est adjacente à une salle exiguë, adossée à la tour, qui garde, sur trois faces, six rangées de boulins formant peut-être le petit pigeonnier mentionné dans un acte de 1756.
Un blason est gravé sur une lucarne.
Le manoir privé des Hautes-Cours est une construction du XVe siècle. Sa façade Ouest présente une tour carrée d'escalier. Ce lieu est un ancien fief.
Le manoir privé de Beauvais date du XVIe siècle mais a été remanié au XVIIe (fenêtres). Sa façade est flanquée, au centre, par une tour polygonale élevée en moellons et aux angles raidis par des chaînages en pierres de taille. Elle est éclairée par de petites ouvertures rectangulaires. Elle abrite un escalier de bois à balustres tournés du XVIIe siècle. Chaque niveau est ainsi accessible par une volée à deux noyaux tournant à gauche. La porte d'entrée, remaniée à la même époque, est en plein cintre avec clef et sommiers en saillie. Cependant on voit quelques traces de l'ancien escalier à vis. L'intérieur du logis est éclairé par des baies disposées symétriquement et formant une double rangée. Le comble, entre deux pignons à rondelis, a gardé une lucarne de pierre à fronton triangulaire et pieds droits en bossage. Le corps de bâtiment principal est accosté, au Sud, d'une servitude et, au Nord, d'une aile d'habitation moins élevée.
L'une des salles, aux murs de pierre apparente, est chauffée par une cheminée du XVIIe siècle au manteau rectiligne et hotte peu saillante. Une autre, avec son linteau incurvé, date du début du siècle suivant. Les pièces de la partie Nord ont conservé plusieurs éléments de décoration: grande niche à coquille, cartouche avec les attributs de l'agriculture (charrue, herse, rouleau, bêche et fourche avec rameaux de feuillage) ou ceux de la chasse (fusil, dague et cor).
Près d'une porte charretière entre deux hauts piliers, le puits est protégé par une logette appareillée avec grande arcade demi-circulaire et fronton triangulaire. Le pigeonnier, encore signalé en 1827, a disparu.
Sur le bord de la Veude, le moulin de Beauvais date du XVIIe siècle.
La ferme à cour fermée de La Haute-Chancelée, ou Chancelée (XVIe et XVIIe siècles) est un ancien fief. Le logis est formé de deux ailes en retour d'équerre, dont l'une, à l'Est, se prolonge par une addition avec toit à la Mansart, au comble éclairé sur chaque face par une lucarne à fronton triangulaire au Sud, courbe au Nord. Les salles basses sont chauffées par de grandes cheminées: l'une avec ouverture du four murée et jambages en forme de consoles, l'autre à large linteau cintré dont le hotte et le manteau sont dans le prolongement l'un de l'autre sans aucune différenciation. Dans cette partie, on trouve un escalier à deux noyaux tournant à droite, avec main courante rectangulaire sur des balustres en bois à triple poire.
Le bâtiment principal, à l'Ouest, a conservé une porte d'entrée en anse de panier avec clef et sommiers en saillie et tympan triangulaire reposant sur des pilastres doriques. Elle donne sur un escalier, au mur d'échiffre plein, à quatre volées rectiligne. La première aboutit sur un palier ouvrant sur le jardin par un perron, alors qu'une cinquième descend à une cave sous plancher. Un couloir conduit à un petit caveau en voûte d'appareil en dehors de l'assise de la maison.
Au Sud-Ouest, un hangar abrite les vestiges de l'entrée primitive. Un ancien guichet pour piétons en arc surbaissé, surmonté par une moulure bûchée, accostait le portail et en était séparé par un contrefort amorti en glacis. Dans l'angle opposé, englobée dans d'autres servitudes et accessible par une porte latérale, a subsisté la chapelle rectangulaire (à gauche), dédiée à sainte Marie-Madeleine, qui était, en 1776, signalée en mauvais état et servait, à l'époque, de grange. Restaurée au XIXe siècle, elle possède un vitrail de l'atelier Lobin (Tours, 1870). Dans ce domaine, il y avait aussi la fontaine Tarjon ou Targeon.
De l'ancien manoir du Bas-Bray (XVe siècle), il subsiste une tour d'entrée, construction quadrangulaire entièrement bâtie en pierre de taille de moyen appareil. Une ouverture charretière à linteau courbe a été murée. Au-dessus, un petit panneau porte un écu aux armoiries effacées, entouré par une guirlande dont il subsiste quelques traces. Sous le porche voûté débouchant sur la cour, on voit une autre porte condamnée. C'était celle de la chapelle Notre-Dame qui occupe tout le rez-de-chaussée. Elle était composée de deux travées voûtées sur croisées d'ogives à nervures prismatiques. Le doubleau retombe d'un côté sur un culot, de l'autre sur une colonne engagée. L'une des clefs porte, dans un décor sculpté en partie disparu, un blason meublé de deux étoiles à sept branches, disposées de part et d'autre d'une épée dans son fourreau. Une baie en arc trilobé s'ouvre au Nord-Est et une autre semblable, mais plus petite, est percée à l'Est au-dessus d'une crédence ayant la même arcature. Deux contreforts, amortis en glacis, épaulent les angles extérieurs.
Au fond de la cour, le logis possède des fenêtres à linteau cintré et une porte à fronton triangulaire. L'une des salles basses est chauffée par une cheminée à manteau de bois, à large corniche au plafond et à hotte peu saillante portant deux pilastres à chapiteaux néo-corinthiens soutenant un entablement orné d'une frise. De part et d'autre d'un médaillon représentant une tête aux longs cheveux bouclés se développent des rinceaux de feuillage entourant, à chaque extrémité, un petit personnage.
Le manoir privé des Treilles (XVe siècle) était un fief relevant de La Roche-Clermault.
Le prieuré des Roches-Saint-Paul est composé de deux ailes perpendiculaires avec deux tours octogonales d'escalier à vis en pierre: une dans l'angle rentrant et une dans l'angle Sud-Est de l'aile Ouest qui présente, aussi, à l'angle Nord-Est, une tourelle ronde en encorbellement sur un cul de lampe (le tout datant du XVIe siècle) et un bâtiment au Sud de la cour (XVIIe siècle). Ce prieuré appartenait à l'abbaye de Cormery et fut supprimé en 1768 par l'archevêque de Tours. Il a conservé sa fuie.
Toujours aux Roches-Saint-Paul, la closerie Saint-Martin, ancienne dépendance du Prieuré, date des XIVe et XVIIe siècles.
Au lieu-dit La Fuye, on découvre un pigeonnier carré avec un toit à lanternon...
... mais aussi un cadran solaire gravé et peint. La devise Hora Ultima Deo signifie La dernière heure pour Dieu.
Un autre pigeonnier carré se trouve au lieu-dit Le Moribot.
Un troisième pigeonnier carré est situé dans la ferme privée de La Chênaie.
Aux Roches-Saint-Paul, il subsiste deux moulins à vent de type cavier du XIXe siècle. L'un d'entre eux a conservé sa hucherolle en bois.
Aux Renardières, les vestiges d'un autre moulin à vent de type cavier dominent le village d'Assay.

A voir
  • Le logis privé de La Milaudière (XVe siècle).
  • Le manoir privé du Rouilly (fin du XVe siècle) était un fief relevant de Chinon. On y accède par un porche en arc brisé et par une porte piétonne.
  • Le manoir privé du Haut-Vouguet (ou Le Grand-Logis), du XVe siècle, possède, au Sud, une tourelle polygonale écrêtée abritant un escalier à vis. Son portail est accompagné par une porte piétonne ornée d'un blason porté par deux lions.
  • Le souterrain-refuge du Quellay est composé de six salles reliées par d'étroits boyaux. Elles sont munies de puits d'aération, de niches, de banquettes et d'un silo creusé dans le sol. Dans la première salle, il y avait un graffito (de 38 centimètres de haut), gravé dans le tuffeau, représentant un personnage armé d'une épée et d'un bâton, chargé d'un sac et coiffé d'une mitre
  • Les moulins de l'Arche, sur la Veude, broyait encore, lors de la Seconde Guerre mondiale, des céréales pour l'alimentation des animaux. On y voit une échelle des crues de la Veude.
  • Le moulin de Thézé, sur la Veude
  • Les loges de vigne (Les Nardisons, Le Clos-de-la-Galvauderie, ...).

Patrimoine disparu
- L'église du prieuré des Roches-Saint-Paul dont le clocher carré (à gauche), datant du XIIe siècle, a été détruit vers 1942. Ce clocher était surmonté par un comble et une flèche en charpente refaits, et percé, au Nord, par une petite fenêtre en plein cintre et, au Sud, par une baie plus grande. Cette dernière donnait dans la nef qui était couverte par une voûte en berceau.
- Les lavoirs du bourg et de la fontaine d'Orgenne.

Lieux-dits: Aimé, Beauvais, Bois-des-Bruyères, Bois-des-Roches, Bois-de-Vindoux, Chancelée, Courbier, La Basse-Chancelée, La Briottière, La Chaperonnière, La Chênaie, La Chênaie-du-Quellay, La Corne-de-Cerf, La Croix-de-Berge, La Fontaine, La Fosse-aux-Merciers, La Fouasserie, La Fuye, La Galvauderie, La Garlière, La Grande-Cheminée, La Haute-Cormière, La Hégronnière, La Huberdellière, La Maison-Neuve, La Martinière, La Morinière, La Morlière, La Noblaie, La Petite-Borderie, La Pommardière, La Porte-du-Bois, La Rabottelière, La Rajasse, La Ribotterie, La Saintonnière, La Souche, La Vallée-Froide, La Villière, Le Bas-Bray, Le Bois-Piquet, Le Bourg-Joli, Le Carroi-Bon-Air, Le Carroi-des-Ourioux, Le Chapeau-de-Rose, Le Chiendent, Le Clos-Galon, Le Clos-Jaunais, Le Grand-Logis, Le Grand-Rouilly, Le Haut-Bray, Le Paradis, Le Pavillon, Le Haut-Bray, Le Moribot, Le Moulin-de-Beauvais, Le Moulin-de-l'Arche, Le Moulin-de-Reigner, Le Moulin-de-Thézé, Le Moulin-des-Planches, Le Petit-Vouguet, Le Quellay, Le Rouilly, Le Saut-du-Loup, Le Vau-Breton, Les Barbées, Les Basses-Auges, Les Beaugères, Les Berdillons, Les Bournais-d'Aimé, Les Champs-Blancs, Les Champs-Grands, Les Champs-Vignons, Les Chilloux, Les Clos-Neufs, Les Commanderies, Les Coteaux, Les Fabrices, Les Gaudins, Les Grands-Bois, Les Greluches, Les Hautes-Auges, Les Hautes-Cours, Les Jouisses, Les Limagnes, Les Lisons, Les Ménardières, Les Menuiseries, Les Morts-l'Âne, Les Moulins-à-Vent, Les Nardisons, Les Ormeaux, Les Patouilles, Les Perrés, Les Plauderies, Les Plaudières, Les Prés-Girard, Les Renardières, Les Roches-Saint-Paul, Les Selloirs, Les Terres-Froides, Les Treilles, Les Trois-Cheminées, L’Étang-Martin, Lusset, Moulin-de-Coutureau, Roche-Piché, Sassay, Touraine, Turpenay, Vallée-Borée, Ville-Neuve, Villeneuve, Vindoux, Vouguet

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