Il a porté les noms: Novicensis ecclesia (VIe siècle, Grégoire de Tours), Novus Vicus (845, acte de Charles le Chauve), Vicaria Novociense (895, charte de Saint-Martin), Parochia de Novo Vico (1236, charte de Marmoutier), Neuviz (1242, charte de la Clarté-Dieu), Novo Vico (1290, pouillé de Tours), Neuviz (1358-1401, cartulaire de l'archevêché de Tours), Neufviroy (1550, aveu de Jean de Bueil), Neuvirois (1705), Neuvy-Roy (XVIIIe siècle, carte de Cassini), Neuvy-la-Loi (de 1793 à 1816), Neuvy-le-Roi (1820, carte de l'état-major).
Ce fut une châtellenie dépendant de la famille de Bueil dès le XIVe siècle. La prévôté, quant à elle, a appartenu à Louise de Savoie, à Jacques de Beaune (surintendant des finances de François 1er), aux familles Bueil puis La Trémoille. Le fief fut acquis par Louis de Bueil, père du poète Racan.
Le plus ancien registre paroissial date de 1544.
Coordonnées GPS de Neuvy-le-Roi: 0°35'49"E - 47°36'14"N
Code INSEE: 37170 - Code postal: 37370 - Superficie: 4750 hectares
Altitudes: de 75 (au Moulin-à-Foulon) à 127 mètres (à Chante-Mesle)
Cours d'eau: le Long (ou la Vandœuvre), le Maunay
Code INSEE: 37170 - Code postal: 37370 - Superficie: 4750 hectares
Altitudes: de 75 (au Moulin-à-Foulon) à 127 mètres (à Chante-Mesle)
Cours d'eau: le Long (ou la Vandœuvre), le Maunay
L'église Saint-Vincent, construite aux XIIe (porte Sud) et XIIIe siècles (nef et chœur), a été modifiée au XVIe (collatéral Nord, chapelle seigneuriale Sud, abside et clocher).
La porte Sud, donnant accès à la seconde travée de la nef, est celle de la chapelle Saint-André remontée à la place d'une porte primitive en arc brisé. Cette porte a trois voussures en plein cintre, ornées de quatre feuilles de roses et de chevrons, et retombant de chaque côté sur trois colonnettes logées dans les retraits des jambages.
Les deux travées de la nef sont couvertes de voûtes angevines, la première sur ogives et liernes, la seconde sur ogives seulement. Le chœur, d'une travée, est le carré de l'ancien transept. L'abside semi-circulaire est éclairée par trois fenêtres en plein cintre et voûtée sur deux branches d'ogives.
Le collatéral Nord comprend trois travées. La première et la troisième présentent des voûtes divisées en caissons par des nervures formant des losanges, la seconde est voûtée sur ogives, liernes et tiercerons. Ces voûtes étaient ornées de pendentifs qui ont disparu dans la première travée. A l'Est, un chevet plat termine ce collatéral.
Au Sud du chœur, se trouve une chapelle seigneuriale voûtée sur ogives, liernes et tiercerons. Au Sud, et à l'Ouest de la porte, s'ouvrait la chapelle Saint-Nicolas, construite en 1543 et qui fut détruite au début du XIXe siècle.
Deux statues en pierre du XVIIe siècle représentent sainte Anne...
... et saint Joachim.
Situé au Nord de l'église, le presbytère a été bâti en 1792 par l'abbé Maillard. Il a été acheté par la commune en 1816. Cet édifice comprend quatre travées et un étage couvert d'un toit en croupe. On lui a accolé un petit bâtiment à une travée et un étage, mais d'une hauteur moindre, couvert d'un toit en demi croupe, et un autre bâtiment en rez-de-chaussée, couvert d'un toit à longs pans.
La chapelle Saint-André a remplacé un oratoire fondé en 573. Cet édifice, parementé en petit appareil, date des XIe (nef) et XIIe siècles (chœur). Jusqu'au XVe siècle, il présentait un chevet plat voûté, six contreforts et des fenêtres jumelées.
Cette chapelle comprend une nef unique et un chœur carré dont le chevet plat est ajouré par deux fenêtres en plein cintre dont l'une sert de porte. Deux fenêtres en plein cintre éclairent, latéralement, le chœur. La chapelle a été construite sur une cave. A l'étage, la salle Est est ornée de fresques presque effacées de nos jours: une troupe de cavaliers portant un oriflamme et un chevalier armé au-dessus d'un écu armorié et sous une silhouette humaine très simple.
La porte Sud, donnant accès à la seconde travée de la nef, est celle de la chapelle Saint-André remontée à la place d'une porte primitive en arc brisé. Cette porte a trois voussures en plein cintre, ornées de quatre feuilles de roses et de chevrons, et retombant de chaque côté sur trois colonnettes logées dans les retraits des jambages.
Les deux travées de la nef sont couvertes de voûtes angevines, la première sur ogives et liernes, la seconde sur ogives seulement. Le chœur, d'une travée, est le carré de l'ancien transept. L'abside semi-circulaire est éclairée par trois fenêtres en plein cintre et voûtée sur deux branches d'ogives.
Le collatéral Nord comprend trois travées. La première et la troisième présentent des voûtes divisées en caissons par des nervures formant des losanges, la seconde est voûtée sur ogives, liernes et tiercerons. Ces voûtes étaient ornées de pendentifs qui ont disparu dans la première travée. A l'Est, un chevet plat termine ce collatéral.
Au Sud du chœur, se trouve une chapelle seigneuriale voûtée sur ogives, liernes et tiercerons. Au Sud, et à l'Ouest de la porte, s'ouvrait la chapelle Saint-Nicolas, construite en 1543 et qui fut détruite au début du XIXe siècle.
Un de ses vitraux représente saint Vincent et est attribué à l'atelier Lobin (Tours, sans date et sans auteur). Lucien-Léopold Lobin (Tours) a réalisé cinq verrières: l'Annonciation (1876) dans laquelle est intégré le Christ du Jugement dernier (XVIe siècle), l'Adoration du Sacré-Cœur de Jésus (1876), sainte Marguerite et saint Louis (1892), l'Immaculée Conception (1878) et le Baptême de Clovis (1888, 📷). Quatre verrières sont des œuvres de Julien Fournier (Tours): saint Louis de Gonzague (1892), saint Alphonse de Liguori (1892), l'Assomption et le Couronnement de la Vierge (1891) et saint Michel archange (1887). Joseph-Prosper Florence (Tours, 1898) est l'auteur de deux verrières: saint Pierre et saint Martin; la Vénérable Jeanne d'Arc.
Une statue en albâtre anglais (XVe siècle) représente la Trinité. Dieu le père, assis sur un trône, les paumes ouvertes vers le ciel, tient devant lui le Christ en croix. La colombe, symbolisant le Saint-Esprit, devait être placée entre la tête de Dieu le Père et celle du Christ. Cette statue proviendrait de la chapelle du château du Bois.Deux statues en pierre du XVIIe siècle représentent sainte Anne...
... et saint Joachim.
Situé au Nord de l'église, le presbytère a été bâti en 1792 par l'abbé Maillard. Il a été acheté par la commune en 1816. Cet édifice comprend quatre travées et un étage couvert d'un toit en croupe. On lui a accolé un petit bâtiment à une travée et un étage, mais d'une hauteur moindre, couvert d'un toit en demi croupe, et un autre bâtiment en rez-de-chaussée, couvert d'un toit à longs pans.
La chapelle Saint-André a remplacé un oratoire fondé en 573. Cet édifice, parementé en petit appareil, date des XIe (nef) et XIIe siècles (chœur). Jusqu'au XVe siècle, il présentait un chevet plat voûté, six contreforts et des fenêtres jumelées.
Cette chapelle comprend une nef unique et un chœur carré dont le chevet plat est ajouré par deux fenêtres en plein cintre dont l'une sert de porte. Deux fenêtres en plein cintre éclairent, latéralement, le chœur. La chapelle a été construite sur une cave. A l'étage, la salle Est est ornée de fresques presque effacées de nos jours: une troupe de cavaliers portant un oriflamme et un chevalier armé au-dessus d'un écu armorié et sous une silhouette humaine très simple.
Cette chapelle, vendue comme bien national le 28 thermidor an IV (15 août 1796), devint alors un entrepôt.
Sa nef a été lambrissée au XVe siècle et restaurée à partir de 1994.
Un peu plus loin (rue de la Fontaine), la maison du grenier à sel a été bâtie au XVIe siècle.
Sa nef a été lambrissée au XVe siècle et restaurée à partir de 1994.
Un peu plus loin (rue de la Fontaine), la maison du grenier à sel a été bâtie au XVIe siècle.
Le château privé de La Martinerie a été édifié au XVIe siècle (sa partie Est) puis agrandi au XIXe (vers 1860). Son pigeonnier cylindrique est recouvert par un toit conique muni de deux lucarnes en pierre. Sa chapelle était signalée dès 1778.
Sur la route de Bueil-en-Touraine, le manoir privé de La Thivinière date de la seconde moitié du XVIe siècle. Au Nord de la cour, le logis présente un étage couvert d'un haut comble. La plupart de ses percements ont été modifiés mais les pilastres qui les encadrent ont subsisté. Seule, au centre de la façade, la petite fenêtre étroite du premier étage est demeurée dans son état primitif avec sa clef et son encadrement mouluré et ses pilastres aux chapiteaux presque intacts. Le bâtiment de plan rectangulaire, couvert par une haute charpente, est limité à l'Ouest par un pignon à rondelis terminé par un fleuron. Il rejoint à l'Est le mur de clôture où, dans les années 1970, fut réaménagé un guichet pour piétons en plein cintre, à côté de l'entrée charretière encadrée par des piliers quadrangulaires. Un escalier de pierre à deux volées rectilignes au mur d'échiffre plein mène au premier étage. La chambre Est y est chauffée par une cheminée à hotte droite sur jambages obliques. Celle qui lui correspond, dans la salle basse, présente un linteau de bois et la bouche d'un four détruit.
Ce manoir possède encore son pigeonnier-porche carré en moellons du XVIIIe siècle dont l'étage renferme des boulins sur trois murs. Ils sont disposés en travées inégales ayant respectivement cinq, sept et quatre rangées d'une douzaine de niches sur chaque face. Le rez-de-chaussée s'ouvre par une arcade en plein cintre portant à la clef un blason sans armoiries. A mi-hauteur, il est ceinturé par une moulure en cavet qui était appelée randière ou larmier. Cette fuye est couverte par un toit pyramidal.
Le château privé du Rouvre a été bâti au XVIe puis modifié aux XVIIe et XVIIIe siècles. On accède à la cour par une porte charretière en plein cintre, doublée d'un guichet pour piétons semblable. Le château est composé de plusieurs parties dont la plus ancienne (à gauche), du XVIe siècle, ne comporte qu'un rez-de-chaussée percé par trois fenêtres étroites à encadrement mouluré. Son comble, à deux versants, est éclairé par deux lucarnes de pierre à fronton triangulaire. On y trouve une grande cheminée à jambages rectangulaires avec les bouches de deux fours, l'un à pain, l'autre à pâtisserie. Au mur Est devait être accolée une servitude disparue, élevée sur une cave voûtée qui subsiste.
A l'Ouest, le bâtiment principal (début du XVIIe siècle), élevé d'un étage, est prolongé, au Sud, par une aile en retour d'équerre. Il est flanqué à l'Ouest par un pavillon en saillie, couvert d'un toit à quatre pans. Il renferme un escalier en bois à deux volées rectilignes avec gros balustres à corps quadrangulaires. Il dessert à l'étage une chambre avec cheminée en marbre, deux autres avec alcôve, un cabinet et une bibliothèque. Les percements à l'étage, sur la cour, forment trois lucarnes à fronton triangulaire. La chapelle figurant sur le registre de visites de 1776 a disparu.
La cour d'honneur est limitée au Sud par les communs formant deux bâtiments distincts percés chacun par un grand portail en plein cintre. Celui de l'Ouest présente trois portes du même type. L'une ouvre sur un escalier à vis de bois, à noyau mouluré, menant au grenier couvert d'une charpente en carène de navire inversée. L'autre donne accès à une cave voûtée qui s'étend sous toute la surface qu'il occupe et se prolonge sous la fuye.
Une tour circulaire de défense du XVIe siècle, en moellons enduits, a été transformée en pigeonnier renfermant 1300 boulins (nids de pigeons) disposés en trois travées au nombre inégal de rangées. Celle du centre en a huit, alors que la troisième n'en a que six et la première a été coupée par un plancher formant ainsi un cellier. Cette fuie a environ six mètres de diamètre. A mi-hauteur, elle est ceinturée par un bandeau qui empêchait l'escalade des petits animaux prédateurs. La partie inférieure des murs, de 80 centimètres d'épaisseur, est percée par des meurtrières pour armes à feu. A l'intérieur, l'arbre tournant a conservé son échelle.
A l'Ouest de la douve Nord, se trouve encore une tourelle défensive. Cylindrique, elle mesure environ trois mètres de diamètre et est couverte en poivrière. Elle est percée par trois meurtrières horizontales pour armes à feu.
Une tour circulaire de défense du XVIe siècle, en moellons enduits, a été transformée en pigeonnier renfermant 1300 boulins (nids de pigeons) disposés en trois travées au nombre inégal de rangées. Celle du centre en a huit, alors que la troisième n'en a que six et la première a été coupée par un plancher formant ainsi un cellier. Cette fuie a environ six mètres de diamètre. A mi-hauteur, elle est ceinturée par un bandeau qui empêchait l'escalade des petits animaux prédateurs. La partie inférieure des murs, de 80 centimètres d'épaisseur, est percée par des meurtrières pour armes à feu. A l'intérieur, l'arbre tournant a conservé son échelle.
A l'Ouest de la douve Nord, se trouve encore une tourelle défensive. Cylindrique, elle mesure environ trois mètres de diamètre et est couverte en poivrière. Elle est percée par trois meurtrières horizontales pour armes à feu.
Le château de Beauvais, construit au XVIe siècle, est en ruines. Il a conservé deux tours cylindriques d'enceinte, sans toit. La plus élancée présente, à mi-hauteur, trois archères en parement de pierres de taille. Un arrachement est le seul indice de la courtine qu'elle protégeait et un témoin semblable se voit sur la seconde, 20 mètres plus loin.
Le vestige le plus important est constitué par les vestiges du chœur d'une chapelle dont la construction a débuté vers 1536. Le chevet plat est percé au Sud par un oculus dont il ne reste que la circonférence. Dans la paroi Est, une haute baie romane surplombe une large brèche du mur. Trois arcs formerets se voient encore et retombent sur des culots cannelés. La nef, qui a disparu, devait être doublée par un collatéral dont le mur aveugle est en retour d'équerre. L'angle Sud-Est de cette chapelle est flanqué par une tour qui renfermait un escalier à vis dont on aperçoit les traces d'encastrement des marches. Une remise couverte en appentis utilise les trois côtés du choeur. On y trouve l'entrée d'une cave voûtée sur couchis, presque carrée, d'environ 4 mètres de côté, où l'on descend par quelques marches de pierre.
De l'ancien château de La Mauvissière, bâti en 1514 par Jean de Castelnau, il ne reste que le rez-de-chaussée d'un corps de logis dont la façade sud présente encore une fenêtre ornée de pilastres. Il fut transformé en ferme privée au XIXe siècle. Des fossés défensifs, creusés en 1577, il subsiste la partie sud.
Il a conservé une ancienne porte encadrée de pilastres et surmontée d'un fronton triangulaire coiffé de pinacles et orné d'une couronne de feuillages.
Le manoir privé de La Chapronnière, édifié au XVIe siècle, possédait une chapelle, fondée en 1519 et placée sous le vocable de saint Roch, qui fut vendue comme bien national le 9 février 1792, pour 120 livres.
La ferme privée du Coudray a été construite au XIXe siècle sur l'emplacement d'un château du XVIe siècle détruit en 1911. Cependant, la chapelle carrée, coiffée d'un lanternon, de ce château a été conservée. Deux des vitraux qu'elle renferme sont des œuvres de l'atelier Van Guy à Tours. Son chemin de croix date de 1885.
Ces anciennes photographies représentent le château du Coudray avant sa destruction en 1911.
Situé dans la rue de Rome, le manoir privé du Parc date du XVe siècle.
La ferme privée du Petit-Maugenest possède une petite tour ronde qui est, peut-être, un ancien pigeonnier.
La ferme industrielle de Platé (ou ferme modèle) a été conçue, de 1875 à 1885, par l'ingénieur Armand Moisant né à Neuillé-Pont-Pierre en 1838 (on lui doit aussi, à Paris, la gare de Lyon et le Grand-Palais).
L'exploitation agricole s'étendait sur 615 hectares (Aquarelle de Victor Rose).
Le moulin à eau (privé) de Pontlay, sur le Long, date du XIXe siècle.
Le moulin de Gruteau, sur le Long, s'appelait jadis le moulin de Crouteau. En 1618, il est cité dans un document du chapitre de la collégiale de Bueil. Ce moulin a été reconstruit au XIXe siècle.
Le moulin du Gué, sur le Long, était aussi appelé le moulin de La Limagne au XVIIe siècle. En 1854, il travaillait le blé.
De l'ancien château de La Mauvissière, bâti en 1514 par Jean de Castelnau, il ne reste que le rez-de-chaussée d'un corps de logis dont la façade sud présente encore une fenêtre ornée de pilastres. Il fut transformé en ferme privée au XIXe siècle. Des fossés défensifs, creusés en 1577, il subsiste la partie sud.
Il a conservé une ancienne porte encadrée de pilastres et surmontée d'un fronton triangulaire coiffé de pinacles et orné d'une couronne de feuillages.
Le manoir privé de La Chapronnière, édifié au XVIe siècle, possédait une chapelle, fondée en 1519 et placée sous le vocable de saint Roch, qui fut vendue comme bien national le 9 février 1792, pour 120 livres.
La ferme privée du Coudray a été construite au XIXe siècle sur l'emplacement d'un château du XVIe siècle détruit en 1911. Cependant, la chapelle carrée, coiffée d'un lanternon, de ce château a été conservée. Deux des vitraux qu'elle renferme sont des œuvres de l'atelier Van Guy à Tours. Son chemin de croix date de 1885.
Situé dans la rue de Rome, le manoir privé du Parc date du XVe siècle.
La ferme privée du Petit-Maugenest possède une petite tour ronde qui est, peut-être, un ancien pigeonnier.
La ferme industrielle de Platé (ou ferme modèle) a été conçue, de 1875 à 1885, par l'ingénieur Armand Moisant né à Neuillé-Pont-Pierre en 1838 (on lui doit aussi, à Paris, la gare de Lyon et le Grand-Palais).
L'exploitation agricole s'étendait sur 615 hectares (Aquarelle de Victor Rose).
Le moulin à eau (privé) de Pontlay, sur le Long, date du XIXe siècle.
Le moulin de Gruteau, sur le Long, s'appelait jadis le moulin de Crouteau. En 1618, il est cité dans un document du chapitre de la collégiale de Bueil. Ce moulin a été reconstruit au XIXe siècle.
Le moulin du Gué, sur le Long, était aussi appelé le moulin de La Limagne au XVIIe siècle. En 1854, il travaillait le blé.
Le kiosque à musique (années 1920) se trouve sur la place du Mail.
Place du mail, le monument aux morts, créé par le marbrier parisien Gourdon, a été inauguré en 1924. C'est une pyramide surmontée par un coq et ornée de bas-reliefs en bronze représentant la croix de guerre, une tête de poilu sur fond de laurier et le blason de Neuvy.
Place du mail, le monument aux morts, créé par le marbrier parisien Gourdon, a été inauguré en 1924. C'est une pyramide surmontée par un coq et ornée de bas-reliefs en bronze représentant la croix de guerre, une tête de poilu sur fond de laurier et le blason de Neuvy.
Le lavoir communal est situé à l'ouest du bourg.
Dans la rue de la Fontaine, une reproduction de la grotte de Lourdes a été construite, en 1876, en pierre de la Limetière. Elle mesure environ 2 mètres de haut et 5 mètres de long.
Au nord du bourg, au carrefour entre la D2 et la D33, ce calvaire fut béni en 1929 par Mgr Nègre, archevêque de Tours. Le Christ en croix est entouré par la Vierge et saint Jean.
Dans la rue de la Fontaine, une reproduction de la grotte de Lourdes a été construite, en 1876, en pierre de la Limetière. Elle mesure environ 2 mètres de haut et 5 mètres de long.
Au nord du bourg, au carrefour entre la D2 et la D33, ce calvaire fut béni en 1929 par Mgr Nègre, archevêque de Tours. Le Christ en croix est entouré par la Vierge et saint Jean.
Dans une rue, on peut observer la porte d'un garage et un pignon de maison peints en trompe-l'œil.
Le château privé de La Martinière a été édifié de 1835 à 1840, en style gothique vénitien, pour Louis Rondeau-Martinière, procureur du roi près du tribunal de première instance de Saumur. Ses plans ont été réalisés par l'architecte sarthois Pierre Félix Delarue. Dans son parc, on remarque un pavillon, une orangerie, un pigeonnier rectangulaire, une grange et un puits.
Le château privé de Beaulieu, bâti en 1867 dans le style néo-gothique, comprend deux corps de logis perpendiculaires, à l'angle desquels se trouve une tourelle d'escalier, couverte d'un toit polygonal. Une construction en rez-de-chaussée, couverte d'un toit en terrasse, bordé de balustres en pierre, est accolée au pignon Nord. La porte d'entrée est surmontée par un arc en tiers point mouluré, orné au centre par un blason soutenu par des lions ailés. Ce château possédait une chapelle.
Dans la rue Saint-Nicolas, le pignon d'une grange possède une mosaïque représentant une cigogne.
Le château privé de La Martinière a été édifié de 1835 à 1840, en style gothique vénitien, pour Louis Rondeau-Martinière, procureur du roi près du tribunal de première instance de Saumur. Ses plans ont été réalisés par l'architecte sarthois Pierre Félix Delarue. Dans son parc, on remarque un pavillon, une orangerie, un pigeonnier rectangulaire, une grange et un puits.
Le château privé de Beaulieu, bâti en 1867 dans le style néo-gothique, comprend deux corps de logis perpendiculaires, à l'angle desquels se trouve une tourelle d'escalier, couverte d'un toit polygonal. Une construction en rez-de-chaussée, couverte d'un toit en terrasse, bordé de balustres en pierre, est accolée au pignon Nord. La porte d'entrée est surmontée par un arc en tiers point mouluré, orné au centre par un blason soutenu par des lions ailés. Ce château possédait une chapelle.
Dans la rue Saint-Nicolas, le pignon d'une grange possède une mosaïque représentant une cigogne.
A voir
- Les maisons à caves superposées.
- Les moulins à eau sur le Long (ou la Vandœuvre): le moulin du Breuil (XIXe siècle), Le Moulin-Neuf (vestiges), le moulin de Vilaine et le moulin à Foulon (XIXe siècle, utilisé pour le chanvre jusqu'à 1929).
- Le château-fort du Bois (ou du Boys) avait été construit à partir de 1380 par Pierre du Bueil. Il fut ensuite fortifié grâce à l'autorisation de Charles VI datée du 1er mai 1386. Il fut en partie rebâti à la Renaissance. La chapelle du château fut démolie après la Révolution. Vers 1860, il restait le pignon nord du château. L'ensemble fut rasé à cette époque. Il n'en reste que quelques substructions et les douves des côtés Nord et Est.
- Les anciennes halles du XVIe siècle ont été achetées par la commune en 1814 puis détruites en 1850. A leur place, a été construite, en 1882, la mairie.
- Le moulin du Bas-Racan était situé sur le Long.
- Le dolmen du Brouillard, démoli avant 1914, présentait une table en grès d'environ 3 mètres qui semblait avoir servi de polissoir.
- Le lavoir public de la rue de la Fontaine a été détruit en 1970.
Lieux-dits: Beaulieu, Beauregard, Beauvais, Belle-Ville, Bellevue, Béroison, Bois-de-la-Fontaine-Saint-Martin, Bois-des-Haies, Bois-Girault, Bois-Grenier, Bois-Pommier, Chanteloup, Chante-Mesle, Chantepie, Cherelle, Christophe, Clobjeau, Culgrand, Huche-Pie, La Bardouillère, La Basse-Gitonnière, La Basse-Tivinière, La Baudellière, La Bécassière, La Bergeonnière, La Besnardière, La Blutière, La Borde, La Boucherie, La Boutinerie, La Brionnière, La Briquerie, La Buloine, La Butte, La Buvinière, La Carte, La Chapronnière, La Chevalerie, La Chevetterie, La Croix-Jarrias, La Dargenterie, La Deneuserie, La Folie, La Fontaine-Saint-Martin, La Fourbisserie, La Frogerie, La Galopperie, La Gougeonnière, La Grande-Fortinière, La Grande-Verderie, La Grand-Maison, La Guérétinière, La Guiauguière, La Guillotière, La Hardonnière, La Haute-Gitonnière, La Henrière, La Lande, La Limetière, La Lourderie, La Maison-Neuve, La Maladrerie, La Marmaudière, La Marottière, La Martinerie, La Martinière, La Mauvissière, La Meslinière, La Métairie, La Morillonnerie, La Moucherie, La Noue-Gaudin, La Perche, La Perrotière, La Petite-Roche, La Petite-Verderie, La Pichardière, La Pièce-de-la-Vigne, La Pièce-de-l’Étang, La Pièce-des-Bournais, La Pièce-des-Landes, La Pinottière, La Provenderie, La Roche, La Rocherie, La Rouillière, La Rue-Neuve, La Salière, La Siaudière, La Thomassière, La Tivinière, La Tremblaie, La Varenne, Launay-Merveille, Le Bournais, Le Brouillard, Le Château, Le Chêne, Le Chêne-des-Landes, Le Chêne-Gâteau, Le Clos, L’Écorche-Bœuf, Le Cormier, Le Coudray, Le Grand-Bessault, Le Gravier, Le Haut-Racan, Le Mortier, Le Moulin-à-Foulon, Le Moulin-de-Gruteau, Le Moulin-de-Pontlay, Le Moulin-de-Villaine, Le Moulin-du-Bas-Racan, Le Moulin-du-Breuil, Le Moulin-du-Gué, Le Moulin-Neuf, Le Pain, Le Petit-Bessault, Le Petit-Brouillard, Le Petit-Maugenest, Le Petit-Pinson, Le Petit-Puy, Le Plessis-Garnier, Le Puay, Le Rouvre, Le Tremblai, L'Être-Gougeon, Le Verger, Les Balvotières, Les Basses-Raries, Les Beuroches, Les Bournais, Les Bruères, Les Bruyères, Les Chouanières, Les Démanches, Les Folies, Les Garennes, Les Gâtines, Les Grandes-Bruères, Les Haies, Les Hautes-Raries, Les Huches, Les Maupilonnières, Les Ormeaux, Les Petites-Haies, Les Petites-Landes, Les Piverdières, Les Prés-de-la-Bécassière, Les Ribergères, Les Ridonneries, Les Tournevires, Les Vaux, Les Volissants, L'Oie, Malitourne, Maugenest, Mazy, Mirebeau, Montmarin, Monts, Moquebaril, Pièce-du-Grand-Bessault, Platé, Poissonnay, Pontlay, Rome, Sérigné, Soulaine, Touche-Ronde, Vailly, Valentinay, Villargon
Anciens lieux-dits: La Durandière, La Sablonnière, Pisse-Oison, Vauluisant
Communes voisines: Beaumont-la-Ronce, Bueil-en-Touraine, Chemillé-sur-Dême, Epeigné-sur-Dême, Louestault, Neuillé-Pont-Pierre, St-Paterne-Racan
Pour les journées portes ouvertures du patrimoine : Je suis à la recherche d'anciennes photos sur le Moulin de Gruteau et éventuellement l'historique
RépondreSupprimersur ce moulin . Qui peut m'aider !?...
Merci
Allez voir sur le lien existant sur la liste des lieux-dits
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