Montbazon (Wikipedia) est une ville de la banlieue Sud de Tours, située dans la vallée de l'Indre. Ses habitants sont appelés les Montbazonais, les Montbazonaises.
Elle a porté les noms de: Mons Basonis (vers 1000, cartulaire de Cormery), Monte Basonis (1070-1110, cartulaire de Cormery), Monte Bazonis (vers 1080, cartulaire de Noyers), Montisbasonis (1123, cartulaire de Cormery), Monte Bosonis (1180, cartulaire de Cormery), Montis Bazonis (1206, Archives nationales), Montis Basonis (1243, cartulaire de Cormery), Monte Basonii (1269, cartulaire de la Merci-Dieu), Mont Bazon (1277, cartulaire de Saint-Jean-du-Grais), Montebazonium (XIIIe siècle), Montbason (1358, cartulaire de l'archevêché de Tours), Montbazon (XVIIIe siècle, carte de Cassini), Montbazon (1820, carte de l'état-major).
Cette châtellenie appartint aux familles Craon, La Rochefoucault, du Fou et, enfin, de Rohan de 1492 jusqu'à la Révolution. Montbazon fut érigé en comté en 1569 en faveur de Louis VI de Rohan puis en duché-pairie en 1588 en faveur de Louis VII de Rohan.
Elle a porté les noms de: Mons Basonis (vers 1000, cartulaire de Cormery), Monte Basonis (1070-1110, cartulaire de Cormery), Monte Bazonis (vers 1080, cartulaire de Noyers), Montisbasonis (1123, cartulaire de Cormery), Monte Bosonis (1180, cartulaire de Cormery), Montis Bazonis (1206, Archives nationales), Montis Basonis (1243, cartulaire de Cormery), Monte Basonii (1269, cartulaire de la Merci-Dieu), Mont Bazon (1277, cartulaire de Saint-Jean-du-Grais), Montebazonium (XIIIe siècle), Montbason (1358, cartulaire de l'archevêché de Tours), Montbazon (XVIIIe siècle, carte de Cassini), Montbazon (1820, carte de l'état-major).
Cette châtellenie appartint aux familles Craon, La Rochefoucault, du Fou et, enfin, de Rohan de 1492 jusqu'à la Révolution. Montbazon fut érigé en comté en 1569 en faveur de Louis VI de Rohan puis en duché-pairie en 1588 en faveur de Louis VII de Rohan.
Montbazon, qui dépendait à l'origine de Veigné, fut érigé en paroisse en 1550.
Le plus ancien registre paroissial date de 1557.
Coordonnées GPS de Montbazon: 0°42'53"E - 47°17'12"N
Code INSEE: 37154 - Code postal: 37250 - Superficie: 650 hectares
Altitudes: de 52 à 94 mètres (à Bazonneau)
Cours d'eau: l'Indre, Le Bourdin
Code INSEE: 37154 - Code postal: 37250 - Superficie: 650 hectares
Altitudes: de 52 à 94 mètres (à Bazonneau)
Cours d'eau: l'Indre, Le Bourdin
De sa place centrale, on peut voir la mairie (1836, l'étage date de 1883), le donjon et l'église. La mairie est l’œuvre de l'architecte tourangeau Gustave Guérin.
Foulque Nerra, surnommé le Faucon Noir a ordonné la construction d'un donjon qui a duré de 991 à 994. C'est une tour rectangulaire d'une hauteur de 28 mètres, une longueur de 15,24 mètres et une largeur de 9,33 mètres. L'épaisseur de ses murs est de 2,40 mètres. A l'Ouest, le petit donjon, de 1050, n'a conservé que son mur occidental percé par deux fenêtres en plein cintre ouvertes au XIIe siècle. Autour, l'enceinte a été bâtie aux XIIe et XVe siècles. A l'angle Nord-Est, le donjon est surmonté par une statue de la Vierge en cuivre repoussé de 9 mètres de hauteur et de 8 tonnes. Elle a été mis en place le 3 novembre 1866. Un télégraphe Chappe y fonctionna de 1823 à 1852.
Les faces Ouest et Sud du grand donjon sont dépourvues de contreforts. La première, à laquelle s'adossait le petit donjon dont on remarque les arrachements sur le parement, est percée au rez-de-chaussée par une porte moderne. Au-dessus d'elle, on voit une baie en plein cintre, l'entrée primitive, et deux fenêtres étroites mais à large embrasure. La façade Sud n'a aucune ouverture, ni aucune saillie. Celle de l'Est est épaulée par trois importants contreforts cylindriques. La façade Nord est aussi soutenue par trois contreforts: un cylindrique, à l'Est, et les deux autres prismatiques. Cette façade présente, au premier étage, une baie en plein cintre et, plus haut, deux fenêtres géminées ouvertes au XVe siècle et restaurées au XXe.
A l'intérieur, il était divisé par des planchers en un rez-de-chaussée et trois étages dont le troisième a disparu. Au second étage, des latrines avaient été créées dans la muraille Est. Les escaliers reliant les étages entre eux n'existent plus.
A l'intérieur, il était divisé par des planchers en un rez-de-chaussée et trois étages dont le troisième a disparu. Au second étage, des latrines avaient été créées dans la muraille Est. Les escaliers reliant les étages entre eux n'existent plus.
Sous le donjon, il existe plusieurs souterrains dont l'un déboucherait dans l'église Notre-Dame.
Située à environ 500 mètres au Sud de ce donjon, la motte de Bazonneau (vers le milieu du XIe siècle) mesure 40 mètres de diamètre et 14 de hauteur. Elle est entourée par un fossé en eau. Plusieurs hypothèses sur son rôle ont été avancées: elle a pu supporter le premier donjon en bois érigé en 992 ou surélever une machine ou une tour de siège.
Située à environ 500 mètres au Sud de ce donjon, la motte de Bazonneau (vers le milieu du XIe siècle) mesure 40 mètres de diamètre et 14 de hauteur. Elle est entourée par un fossé en eau. Plusieurs hypothèses sur son rôle ont été avancées: elle a pu supporter le premier donjon en bois érigé en 992 ou surélever une machine ou une tour de siège.
L'église Notre-Dame-de-Bonne-Aide a été entièrement reconstruite entre 1851 et 1862 dans le style néo-roman selon les plans de l'architecte Gustave Guérin. Elle remplace l'édifice primitif de 1550 dont le clocher enjambait la rue de Moulins. Le clocher en bois actuel, surmontant le pignon, renferme une cloche obtenue par la refonte des quatre cloches de l'ancien sanctuaire.
Cette église renferme des peintures murales réalisées par Henri Grandin en 1862-1863: la Vierge, saint Jean-Baptiste, saint Martin, saint Gatien (📷) et une série d'arcades en trompe l’œil ayant pour but d'élargir cette église dépourvue de collatéraux.
Ses vitraux, réalisés par Julien Léopold Lobin (Tours), représentent: la Vie de la Vierge: l'Annonciation, la Nativité, la Crucifixion, la Pentecôte, le Couronnement (1852), la Vierge à l'Enfant (1852), saint Jean-Baptiste (1852), sainte Radegonde (1852, 📷), saint Louis (vers 1852, baie murée par l'adjonction d'une sacristie), la Vie du Christ: l'apparition à Marie-Madeleine, la Résurrection (1862), la Vie du Christ: le Jardin des Oliviers, la Flagellation (1862), la Vie du Christ: la Cène, le Sacré-Cœur (1862), la Vie du Christ: la Présentation au Temple, Jésus parmi les Docteurs (1862), la Vie de la Vierge: l'Éducation de la Vierge, la Présentation de la Vierge au Temple (1862), la Vie de la Vierge: la Visitation, l'Adoration des Mages (1862).
Cette église renferme des peintures murales réalisées par Henri Grandin en 1862-1863: la Vierge, saint Jean-Baptiste, saint Martin, saint Gatien (📷) et une série d'arcades en trompe l’œil ayant pour but d'élargir cette église dépourvue de collatéraux.
Ses vitraux, réalisés par Julien Léopold Lobin (Tours), représentent: la Vie de la Vierge: l'Annonciation, la Nativité, la Crucifixion, la Pentecôte, le Couronnement (1852), la Vierge à l'Enfant (1852), saint Jean-Baptiste (1852), sainte Radegonde (1852, 📷), saint Louis (vers 1852, baie murée par l'adjonction d'une sacristie), la Vie du Christ: l'apparition à Marie-Madeleine, la Résurrection (1862), la Vie du Christ: le Jardin des Oliviers, la Flagellation (1862), la Vie du Christ: la Cène, le Sacré-Cœur (1862), la Vie du Christ: la Présentation au Temple, Jésus parmi les Docteurs (1862), la Vie de la Vierge: l'Éducation de la Vierge, la Présentation de la Vierge au Temple (1862), la Vie de la Vierge: la Visitation, l'Adoration des Mages (1862).
Dans la rue des Moulins, une ancienne porte fortifiée de 1471 a été, en partie, détruite en 1790 (créneaux et mâchicoulis). Elle comprend deux arcades en plein cintre séparées par une large fente par où glissait la herse. Les trois autres portes ont été démolies: la porte de la Farté en 1746, la porte de Tours vers 1780 et la porte Saint-Jacques en 1794.
Aux 11 et 13 rue des Moulins, ce logis à colombage des XVe et XVIe siècles est appuyé contre la porte fortifiée.
Aux 11 et 13 rue des Moulins, ce logis à colombage des XVe et XVIe siècles est appuyé contre la porte fortifiée.
Au 10 rue Emmanuel-Brault, l'ancien Hôtel-Dieu, bâti vers 1476, a été fermé en 1698 et transformé en tannerie en 1799. La nef de la chapelle a été convertie en logis sauf la dernière travée, celle du chœur, terminée par un chevet plat. Trois fenêtres à remplage flamboyant et amorties en tiers-point éclairaient cette travée du chœur. Elles sont condamnées.
Il présente, sur sa façade, un bas-relief avec deux anges soutenant l'écu des La Rochefoucault et...
... dans une niche, une statue de saint Blaise surmontée par un dais ouvragé.
Le manoir de La Grange-Rouge, près du camping, date de 1872. Le 20 décembre 1958, il a été acheté par la commune.
Le manoir de La Grange-Rouge, près du camping, date de 1872. Le 20 décembre 1958, il a été acheté par la commune.
Dès le XVe siècle, il y avait ici un logis qui fut presque totalement démoli au XIXe siècle. Toutefois, il en reste une partie composée d'un simple rez-de-chaussée sur cave, accolée à la construction moderne et terminée à l'Ouest par un pignon à rondelis. Le mur Sud a conservé au centre une baie étroite avec encadrement mouluré et appui saillant. L'emplacement de la traverse de pierre est encore visible sur les piédroits. Le corps de logis principal du nouvel édifice, orné de panneaux de briques, est élevé d'un étage, avec balcon de fer forgé à la porte-fenêtre médiane, et couvert d'un toit à la Mansard. A l'Est, il est flanqué par un pavillon en léger décrochement, encore plus récent, avec comble très élancé à quatre pans, percé de lucarnes à fronton triangulaire.
Dans les rues de la villes, on peut observer plusieurs maisons anciennes: place Delaunay (1ère photo) et rue des Moulins (2ème photo).
Celle de la rue Putsinus possède une tourelle carrée d'escalier.
Son mur Nord (fin du XIIe siècle) présente une baie géminée percée au XVe siècle.
Dans la rue des Moulins, le grand moulin ducal a été reconstruit en 1772 après avoir été endommagé, en 1770, par une crue de l'Indre. Agrandi en 1859, il est devenu une minoterie qui a arrêté son activité en 1976. Il avait été restauré en 1938 et en 1954.
Un peu plus loin dans cette rue, on peut voir deux niveaux de crues de l'Indre: celle du 10 novembre 1910 et celle, plus haute, du 21 décembre 1982.
Le logis privé de La Bréanderie (ou de La Bréauderie) a été construit à la fin du XVe siècle. Il présente deux pignons à rondelis. Au Nord, le premier étage est éclairé par des fenêtres à croisée de pierre. L'une d'elles à son linteau souligné par une moulure retombant sur deux culots sculptés d'un dragon, d'une part, et de l'autre, d'un animal décapité (un lion ?). Au rez-de-chaussée, une grande baie, ouverte probablement au XVIIIe siècle, a été dotée de meneau de bois, une seconde plus étroite est à simple traverse comme sur la façade opposée. Dans le pignon Est sont percées trois petites ouvertures rectangulaires, celle du niveau intermédiaire porte gravée, sur la troisième assise, la date de 1537. L'escalier à vis est en bois avec un noyau constitué par un seul tronc d'arbre. La salle basse est chauffée par une cheminée dont la hotte, de 2,50 mètres de large, repose sur deux consoles de pierre. La bouche d'un four à pain intact s'ouvre au-dessus du foyer. Celle de la chambre haute est intéressante. Deux jambages en forme de colonnes engagées avec chapiteaux supportent un large linteau limité par deux corniches inégales. La clef porte une Crucifixion qui a été très mutilée. De la croix, seule la base est intacte, et les deux personnages agenouillés, mains croisés sur la poitrine, mais décapités, semblent être saint Jean et la Vierge, dont les plis de la robe sont bien dessinés. Chaque chevron de la charpente fait ferme, et le faîtage prend appui sur trois poinçons portant sur le sol carrelé. Le bâtiment est construit sur une cave sous plancher, prolongée à l'Est par un petit caveau voûté sous le jardin. Au XVIIIe siècle, il possédait un pigeonnier carré à toiture en tuiles et en ardoises qui n'existe plus de nos jours.
Au 63 rue Nationale, à l'angle du bureau de poste, la tête d'un homme en prière (fin du XVe siècle) est encastrée dans le trottoir. Cette tête sculptée proviendrait de l'ancien Hôtel-Dieu.
Celle de la rue Putsinus possède une tourelle carrée d'escalier.
Son mur Nord (fin du XIIe siècle) présente une baie géminée percée au XVe siècle.
Dans la rue des Moulins, le grand moulin ducal a été reconstruit en 1772 après avoir été endommagé, en 1770, par une crue de l'Indre. Agrandi en 1859, il est devenu une minoterie qui a arrêté son activité en 1976. Il avait été restauré en 1938 et en 1954.
Un peu plus loin dans cette rue, on peut voir deux niveaux de crues de l'Indre: celle du 10 novembre 1910 et celle, plus haute, du 21 décembre 1982.
Le logis privé de La Bréanderie (ou de La Bréauderie) a été construit à la fin du XVe siècle. Il présente deux pignons à rondelis. Au Nord, le premier étage est éclairé par des fenêtres à croisée de pierre. L'une d'elles à son linteau souligné par une moulure retombant sur deux culots sculptés d'un dragon, d'une part, et de l'autre, d'un animal décapité (un lion ?). Au rez-de-chaussée, une grande baie, ouverte probablement au XVIIIe siècle, a été dotée de meneau de bois, une seconde plus étroite est à simple traverse comme sur la façade opposée. Dans le pignon Est sont percées trois petites ouvertures rectangulaires, celle du niveau intermédiaire porte gravée, sur la troisième assise, la date de 1537. L'escalier à vis est en bois avec un noyau constitué par un seul tronc d'arbre. La salle basse est chauffée par une cheminée dont la hotte, de 2,50 mètres de large, repose sur deux consoles de pierre. La bouche d'un four à pain intact s'ouvre au-dessus du foyer. Celle de la chambre haute est intéressante. Deux jambages en forme de colonnes engagées avec chapiteaux supportent un large linteau limité par deux corniches inégales. La clef porte une Crucifixion qui a été très mutilée. De la croix, seule la base est intacte, et les deux personnages agenouillés, mains croisés sur la poitrine, mais décapités, semblent être saint Jean et la Vierge, dont les plis de la robe sont bien dessinés. Chaque chevron de la charpente fait ferme, et le faîtage prend appui sur trois poinçons portant sur le sol carrelé. Le bâtiment est construit sur une cave sous plancher, prolongée à l'Est par un petit caveau voûté sous le jardin. Au XVIIIe siècle, il possédait un pigeonnier carré à toiture en tuiles et en ardoises qui n'existe plus de nos jours.
Au 63 rue Nationale, à l'angle du bureau de poste, la tête d'un homme en prière (fin du XVe siècle) est encastrée dans le trottoir. Cette tête sculptée proviendrait de l'ancien Hôtel-Dieu.
Derrière la mairie, un lavoir de 1836 a été remanié en 1864 et restauré en 2006.
A Bazonneau, dans la cour d'un logis privé du XVIe siècle, ce puits, recouvert d'une pierre plate, présente une date gravée: 1570.
Le château d'Artigny, édifié de 1913 à 1921 dans le style Régence pour le parfumeur François Coty, est une réplique du château de Champlâtreux (Val-d'Oise). Les plans furent réalisés par l'architecte Emmanuel Pontrémoli. Les intérieurs ont été achevés entre 1924 et 1929. En 1959, il fut racheté par René Traversac, futur créateur de la chaîne hôtelière Relais et Châteaux.
Il a remplacé le manoir du Puy d'Artigny bâti en 1769 sur les ruines d'une ancienne forteresse.
Au 2 rue de la Butte-Rabault, le manoir privé de La Pommeraie, de style Louis XII, date de 1904.
A Bazonneau, dans la cour d'un logis privé du XVIe siècle, ce puits, recouvert d'une pierre plate, présente une date gravée: 1570.
Le château d'Artigny, édifié de 1913 à 1921 dans le style Régence pour le parfumeur François Coty, est une réplique du château de Champlâtreux (Val-d'Oise). Les plans furent réalisés par l'architecte Emmanuel Pontrémoli. Les intérieurs ont été achevés entre 1924 et 1929. En 1959, il fut racheté par René Traversac, futur créateur de la chaîne hôtelière Relais et Châteaux.
Il a remplacé le manoir du Puy d'Artigny bâti en 1769 sur les ruines d'une ancienne forteresse.
Au 2 rue de la Butte-Rabault, le manoir privé de La Pommeraie, de style Louis XII, date de 1904.
A voir
Lieux-dits: Bazonneau, Courance-Barbier, Derrière-le-Château, Étang-Baudet, Étang-de-la-Fleuriette, Fausse-Église, La Bafauderie, La Baraudière, La Bouchère, La Braye, La Bréanderie, La Bretonnière, La Butte-Rabault, Le Carrefour-de-l'Image, La Cocharde, La Courtille, La Farte, La Fleuriette, La Folie, La Fosse-des-Raguenaux, La Fuie, La Gare, La Grande-Îlette, La Grange-Barbier, La Grange-Rouge, La Moinerie, La Petite-Îlette, La Poitevinière, La Pommeraie, L'Arche-de-l'Effondrée, La Taille-Haute, La Vallée-Raintrue, La Vennetière, Le Champ-Ferrand, Le Château, Le Clos-de-l'Image, L'Effondrée, Le Grand-Bourroux, Le Grand-Moulin, Le Lièvre-d'Or, Le Petit-Bourroux, Le Puits-d'Artigny, Les Avrins, Les Courances-de-la-Moinerie, Les Courances-Saint-Blaise, Les Currées, Les Grillonnières, Les Lacs-d'Amour, Les Patis-de-la-Vennetière, Les Petits-Prés, Les Prés-Communaux, Les Prés-Leroy, Les Quarts, Les Varennes, Les Varennes-de-La-Bréanderie, L'Île-des-Pêcheurs, Moulin-de-la-Bouchère, Moulin-de-la-Braye, Pré-de-la-Prévalé, Pré-du-Grand-Moulin, Regains-de-la-Bréanderie, Regains-des-Varennes, Saint-Libert, Taille-aux-Renards, Taille-de-Montizon, Varenne-de-la-Bafaudrie, Varenne-du-Puy
- Le logis privé de La Vennetière (fin du XVIe siècle) a conservé deux fenêtres à croisée de pierre et trois baies étroites dont deux ont gardé leur traverse. Au rez-de-chaussée, la porte d'entrée en plein cintre est surmontée par un oculus. A l'intérieur, on voit un escalier en bois d'une volée droite et d'une seconde tournant à gauche, alors que quatre marches donnent accès au comble de l'aile voisine, adjacente et plus récente. Un abri de pierre de forme arrondie protège, à son extrémité, l'entrée d'une cave voûtée en moellons d'environ 3 mètres de largeur.
- Les moulins à eau des XIXe et XXe siècles sur l'Indre dont le moulin de La Braye ou moulin d'Artigny (1927) et le moulin Rouge.
- La chapelle Saint-Sébastien, située dans la ville, avait été fondée au XIIIe siècle. Elle est citée dans un aveu de 1583.
- La chapelle Saint-Georges, située près de la courtine Est de l'enceinte du château, est citée, pour la première fois, dans un titre de 1386.
- La chapelle Saint-Blaise de l'aumônerie.
- L'éolienne Bollée (1889) du château d'Artigny).
Lieux-dits: Bazonneau, Courance-Barbier, Derrière-le-Château, Étang-Baudet, Étang-de-la-Fleuriette, Fausse-Église, La Bafauderie, La Baraudière, La Bouchère, La Braye, La Bréanderie, La Bretonnière, La Butte-Rabault, Le Carrefour-de-l'Image, La Cocharde, La Courtille, La Farte, La Fleuriette, La Folie, La Fosse-des-Raguenaux, La Fuie, La Gare, La Grande-Îlette, La Grange-Barbier, La Grange-Rouge, La Moinerie, La Petite-Îlette, La Poitevinière, La Pommeraie, L'Arche-de-l'Effondrée, La Taille-Haute, La Vallée-Raintrue, La Vennetière, Le Champ-Ferrand, Le Château, Le Clos-de-l'Image, L'Effondrée, Le Grand-Bourroux, Le Grand-Moulin, Le Lièvre-d'Or, Le Petit-Bourroux, Le Puits-d'Artigny, Les Avrins, Les Courances-de-la-Moinerie, Les Courances-Saint-Blaise, Les Currées, Les Grillonnières, Les Lacs-d'Amour, Les Patis-de-la-Vennetière, Les Petits-Prés, Les Prés-Communaux, Les Prés-Leroy, Les Quarts, Les Varennes, Les Varennes-de-La-Bréanderie, L'Île-des-Pêcheurs, Moulin-de-la-Bouchère, Moulin-de-la-Braye, Pré-de-la-Prévalé, Pré-du-Grand-Moulin, Regains-de-la-Bréanderie, Regains-des-Varennes, Saint-Libert, Taille-aux-Renards, Taille-de-Montizon, Varenne-de-la-Bafaudrie, Varenne-du-Puy
Anciens lieux-dits: Bois-de-Couzières, Carrefour-Vaslin, Champ-de-Foire, La Fleuriette, La Fosse-Berton, La Garenne, La Perrée, Les Petits-Regains-des-Varennes, Les Varennes-des-Varennes, Prairie-de-l'Hospice
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