La Celle-Guenand (Wikipedia) est un village du Sud-Est de la Touraine. Ses habitants sont appelés les Cellois-Guenandais, les Celloises-Guenandaises.
Le 2 mai 1779, cette commune fut créée par la réunion de deux anciennes paroisses et châtellenies: La Celle-Guénand et La Celle-Draon.
La Celle-Guénand s'est appelée: La Celle-Guenand (1426), La Selle Guenan (1639, rôle des fiefs de Touraine, rôle de Preuilly), La Selle-Guenand (XVIIIe siècle, carte de Cassini), La Selle-Rémillon ou Lasselle-Rémillon (1793), La Celle-Guenand (1801).
La Celle-Draon a porté les noms de: Cella Droconis (1220, cartulaire de la Merci-Dieu), Cella Drogonis (1242-1245, cartulaire de l'archevêché de Tours), Cella Draconis (1290, pouillé de Tours), Cella Droconis (1372, pouillé de Tours), La Selledron (1639, rôle des fiefs de Touraine, rôle de Preuilly).
Le 2 mai 1779, cette commune fut créée par la réunion de deux anciennes paroisses et châtellenies: La Celle-Guénand et La Celle-Draon.
La Celle-Guénand s'est appelée: La Celle-Guenand (1426), La Selle Guenan (1639, rôle des fiefs de Touraine, rôle de Preuilly), La Selle-Guenand (XVIIIe siècle, carte de Cassini), La Selle-Rémillon ou Lasselle-Rémillon (1793), La Celle-Guenand (1801).
La Celle-Draon a porté les noms de: Cella Droconis (1220, cartulaire de la Merci-Dieu), Cella Drogonis (1242-1245, cartulaire de l'archevêché de Tours), Cella Draconis (1290, pouillé de Tours), Cella Droconis (1372, pouillé de Tours), La Selledron (1639, rôle des fiefs de Touraine, rôle de Preuilly).
Le plus ancien registre paroissial date de 1584.
Coordonnées GPS de La Celle-Guenand: 0°53'47"E - 46°56'48"N
Code INSEE: 37044 - Code postal: 37350 - Superficie: 3670 hectares
Altitudes: de 70 à 144 mètres (près des Poteries)
Cours d'eau: le Rémillon, l'Aigronne
Code INSEE: 37044 - Code postal: 37350 - Superficie: 3670 hectares
Altitudes: de 70 à 144 mètres (près des Poteries)
Cours d'eau: le Rémillon, l'Aigronne
L'église Notre-Dame, construite au XIIe siècle (nef unique, porte Ouest et clocher), a été agrandie aux XVe (chœur) et XVIe siècles (chapelle seigneuriale remplaçant l'absidiole Sud). Elle a été restaurée au XIXe siècle.
Au XIIe siècle, l'église, édifiée sur le plan d'une croix latine, comprenait une nef unique, un transept avec croisillons munis d'absidioles et un chœur terminé par une abside. Au XIIIe siècle, la nef fut voûtée et divisée en une nef principale et deux collatéraux.
Les murs goutterots de la nef sont surmontés par une corniche moulurée d'une ligne de chevrons. Ces murs sont percés, chacun, par trois fenêtres inégales, en plein cintre. La plus décorée est la première du côté Nord. Son arc retombe sur deux colonnettes. Une porte latérale en plein cintre s'ouvre dans le mur Sud, au milieu d'un massif de maçonnerie faisant saillie sur le parement. Du même côté a été ajouté, aux XIIIe siècle, lors de la construction des voûtes, un avant-corps contenant un escalier accédant au comble. Sur le parement du mur Sud, on remarque le clavage d'une porte latérale condamnée.
La nef, primitivement unique et couverte en charpente, fut, pour être voûtée divisée en une nef principale et en deux étroits collatéraux. Ces trois parties comprennent, chacune, trois travées inégales. Trois arcades en arc brisé relient la nef aux bas-côtés. Les supports sont des piles constituées par un massif, carré sur trois faces, duquel fait saillie un dosseret où une colonne est engagée pour la retombée des grandes arcades et des doubleaux. Les chapiteaux des premiers supports sont cubiques. Aux seconde et troisième piles, leurs corbeilles sont ornées de feuilles d'acacia ou de volutes et de rinceaux.
La première travée de la nef a été revoûtée au XVe siècle, en gardant les formerets primitifs, sur une croisée d'ogives à moulure prismatique. La seconde travée a conservé sa voûte du XIIIe siècle, sur ogives profilées d'un tore. La troisième travée, sur plan oblong, longue de 10 mètres et large de 6, est couverte par une coupole, sur pendentifs, ovale et dissymétrique, en forme de haricot.
Les deux collatéraux ont leurs travées séparées par de très courts demi-berceaux longitudinaux, épaulant les piles et soutenant des murs diaphragmes. Elles sont couvertes par d'étroits berceaux brisés transversaux. Le premier demi-berceau Sud soutient le passage d'un escalier montant au comble et est renforcé, à l'Ouest, par une trompe ornée d'un masque humain.
Une courte travée voûtée en berceau relie la nef au carré du transept limité par quatre arcades en plein cintre dont les colonnes engagées sont amorties par des chapiteaux épannelés à tailloirs chanfreinés ornés de billettes ou de rinceaux. Ce carré est couvert par une coupole sur trompes à huit pans. Les croisillons sont couverts de voûtes en berceau en plein cintre du XIXe siècle. Une arcature aveugle décore les murs Sud et Ouest du croisillon méridional. Ces croisillons étaient accompagnés par des absidioles semi-circulaires dont, seule, celle du Nord a subsisté mais a été condamnée.
Le chœur, sur plan rectangulaire, est voûté d'ogives et éclairé, au Nord, par une lancette et, à l'Est, par une fenêtre en tiers-point à remplage rayonnant. Il est accompagné, au Sud, par une chapelle seigneuriale rectangulaire qui remplaça, au XVIe siècle, l'absidiole. Cette chapelle sert de sacristie. Les deux travées sont voûtées d'ogives. Elle est éclairée par une fenêtre flamboyante à l'Est et une baie sans meneaux au Sud.
Au XIIe siècle, l'église, édifiée sur le plan d'une croix latine, comprenait une nef unique, un transept avec croisillons munis d'absidioles et un chœur terminé par une abside. Au XIIIe siècle, la nef fut voûtée et divisée en une nef principale et deux collatéraux.
Les murs goutterots de la nef sont surmontés par une corniche moulurée d'une ligne de chevrons. Ces murs sont percés, chacun, par trois fenêtres inégales, en plein cintre. La plus décorée est la première du côté Nord. Son arc retombe sur deux colonnettes. Une porte latérale en plein cintre s'ouvre dans le mur Sud, au milieu d'un massif de maçonnerie faisant saillie sur le parement. Du même côté a été ajouté, aux XIIIe siècle, lors de la construction des voûtes, un avant-corps contenant un escalier accédant au comble. Sur le parement du mur Sud, on remarque le clavage d'une porte latérale condamnée.
La nef, primitivement unique et couverte en charpente, fut, pour être voûtée divisée en une nef principale et en deux étroits collatéraux. Ces trois parties comprennent, chacune, trois travées inégales. Trois arcades en arc brisé relient la nef aux bas-côtés. Les supports sont des piles constituées par un massif, carré sur trois faces, duquel fait saillie un dosseret où une colonne est engagée pour la retombée des grandes arcades et des doubleaux. Les chapiteaux des premiers supports sont cubiques. Aux seconde et troisième piles, leurs corbeilles sont ornées de feuilles d'acacia ou de volutes et de rinceaux.
La première travée de la nef a été revoûtée au XVe siècle, en gardant les formerets primitifs, sur une croisée d'ogives à moulure prismatique. La seconde travée a conservé sa voûte du XIIIe siècle, sur ogives profilées d'un tore. La troisième travée, sur plan oblong, longue de 10 mètres et large de 6, est couverte par une coupole, sur pendentifs, ovale et dissymétrique, en forme de haricot.
Les deux collatéraux ont leurs travées séparées par de très courts demi-berceaux longitudinaux, épaulant les piles et soutenant des murs diaphragmes. Elles sont couvertes par d'étroits berceaux brisés transversaux. Le premier demi-berceau Sud soutient le passage d'un escalier montant au comble et est renforcé, à l'Ouest, par une trompe ornée d'un masque humain.
Une courte travée voûtée en berceau relie la nef au carré du transept limité par quatre arcades en plein cintre dont les colonnes engagées sont amorties par des chapiteaux épannelés à tailloirs chanfreinés ornés de billettes ou de rinceaux. Ce carré est couvert par une coupole sur trompes à huit pans. Les croisillons sont couverts de voûtes en berceau en plein cintre du XIXe siècle. Une arcature aveugle décore les murs Sud et Ouest du croisillon méridional. Ces croisillons étaient accompagnés par des absidioles semi-circulaires dont, seule, celle du Nord a subsisté mais a été condamnée.
Le chœur, sur plan rectangulaire, est voûté d'ogives et éclairé, au Nord, par une lancette et, à l'Est, par une fenêtre en tiers-point à remplage rayonnant. Il est accompagné, au Sud, par une chapelle seigneuriale rectangulaire qui remplaça, au XVIe siècle, l'absidiole. Cette chapelle sert de sacristie. Les deux travées sont voûtées d'ogives. Elle est éclairée par une fenêtre flamboyante à l'Est et une baie sans meneaux au Sud.
La façade Ouest, du XIIe siècle, présente une porte en plein cintre à quatre voussures retombant latéralement sur trois chapiteaux de colonnettes logées dans les retraits des jambages. La voussure inférieure est plane, la seconde est ornée de personnages mutilés, nus pour la plupart, la troisième porte des feuilles. Chacun des claveaux de la quatrième voussure est décoré d'une face humaine couronnée. Cette porte est surmontée par une fenêtre en plein cintre, entourée par des colonnettes dont l'arc est circonscrit par une archivolte prolongée horizontalement jusqu'aux contreforts voisins. La porte est accompagnée latéralement par deux arcades aveugles plus petites qu'elle, à un seul rouleau, dont la décoration est très mutilée.
Le clocher carré, érigé sur la croisée du transept, a été restauré au XIXe siècle. Chacune de ses faces est divisée, par une colonnette engagée, en deux travées ajourée, chacune, par une baie en plein cintre. Cette tour est accompagnée, au Nord-Est, par une tourelle d'escalier du XIIe siècle et est couverte par une flèche en charpente octogonale.
Cette église renferme une cuve baptismale du XIIe siècle taillée dans un unique bloc de pierre. Elle présente extérieurement une forme hexagonale alors que le bassin est creusé par huit cannelures irrégulières. Le bord externe de la cuve est orné de têtes humaines sculptées en demi-relief.
Trois vitraux sont signés par Joseph-Prosper Florence (Tours, 1901): l'Apparition du Sacré-Cœur à sainte Marguerite-Marie Alacocque, saint Gatien et, situé au-dessus du porche d'entrée, celui figurant l'Immaculée Conception (📷). Julien-Léopold Lobin (Tours, vers 1850) a réalisé une verrière représentant Joseph et Marie penchés au-dessus du berceau de l'Enfant Jésus dans l'étable de Bethléem. Enfin, neuf grisailles ornementales du milieu du XIXe siècle pourraient être attribuées à l'atelier Lobin.
Près de l'église, l'ancien presbytère possède, au Nord, une tour polygonale d'escalier construite en briques et chaînages de tuffeau. Jadis, cet édifice a abrité le bureau de poste.
Cette église renferme une cuve baptismale du XIIe siècle taillée dans un unique bloc de pierre. Elle présente extérieurement une forme hexagonale alors que le bassin est creusé par huit cannelures irrégulières. Le bord externe de la cuve est orné de têtes humaines sculptées en demi-relief.
Trois vitraux sont signés par Joseph-Prosper Florence (Tours, 1901): l'Apparition du Sacré-Cœur à sainte Marguerite-Marie Alacocque, saint Gatien et, situé au-dessus du porche d'entrée, celui figurant l'Immaculée Conception (📷). Julien-Léopold Lobin (Tours, vers 1850) a réalisé une verrière représentant Joseph et Marie penchés au-dessus du berceau de l'Enfant Jésus dans l'étable de Bethléem. Enfin, neuf grisailles ornementales du milieu du XIXe siècle pourraient être attribuées à l'atelier Lobin.
Près de l'église, l'ancien presbytère possède, au Nord, une tour polygonale d'escalier construite en briques et chaînages de tuffeau. Jadis, cet édifice a abrité le bureau de poste.
L'ancienne chapelle des Genêts, bâtie au XVe siècle par les seigneurs de La Celle-Guenand, est devenue une grange. Elle se compose d'une nef unique, d'un chevet plat percé d'une fenêtre flamboyante au meneaux mutilés et, au Nord, d'une porte en arc surbaissé surmontée, jadis, par une accolade disparue. La nef comporte deux travées voûtées sur croisée d'ogives à moulures prismatiques retombant sur des culs-de-lampe. Dans les angles, ceux-ci sont ornés d'écus aux armoiries effacées. Sur les culs-de-lampe médians figurent un agneau à gauche et une colombe à droite.
Le château privé a été reconstruit au XVe siècle sur l'emplacement d'une maison forte, remanié et agrandi au XVIIe siècle, puis modifié au XIXe. Son châtelet d'entrée présente deux tours polygonales.
Le corps de bâtiment principal est élevé, au-dessus du rez-de-chaussée, de trois étages et d'un comble. Il est flanqué, au Sud, par deux grosses tours cylindriques. Celle du Sud-Est a son étage supérieur en encorbellement sur une rangée de corbeaux reliés par des arcatures trilobées. Celui du donjon carré a été surélevé au XVIIe siècle sur la ligne des mâchicoulis, époque à laquelle fut bâtie l'aile Nord et où tous les percements furent refaits avec des linteaux cintrés. Les combles furent éclairés par des lucarnes à ailerons et fronton courbe. Au-dessus de la porte, l'allège de la fenêtre est occupée par trois balustres à double poire soutenant l'appui. Un cartouche sous l'ouverture supérieure, munie à l'intérieur d'une banquette, aurait peut-être du recevoir un blason.
Les différents niveaux sont desservis par un escalier à vis de pierre de 1,40 mètre d'emmarchement, recouvert de bois en sa partie médiane. A sa base, une porte s'ouvre sur six marches droites descendant à un caveau voûté en plein cintre en pierres d'appareil.
Au Sud-Ouest, un châtelet a été restauré. Il est relié au château par une galerie soutenue par deux arcades en plein cintre et éclairée, sur chaque face, par trois petites fenêtres à linteau courbe. La façade Sud du châtelet est flanquée par deux tourelles en encorbellement, couvertes en poivrière. Une autre, à l'angle Est, est polygonale et abrite un escalier à vis de pierre. Elle est doublée par une tour cylindrique avec escalier de bois donnant accès directement à la cour. A la jonction avec la galerie au Sud, il existe aussi une petite tourelle. Le deux ouvertures en arc brisé se correspondant sur chaque face démontre qu'il s'agissait jadis de l'entrée du château. Elles furent murées au XVIIIe siècle pour faire une chapelle. Ensuite, celle-ci fut désaffectée et transformée en écurie. Au Sud, le comble est percé par une grande lucarne à fronton massif, montée sur trois corbeaux de pierre.
Au Sud-Ouest, un châtelet a été restauré. Il est relié au château par une galerie soutenue par deux arcades en plein cintre et éclairée, sur chaque face, par trois petites fenêtres à linteau courbe. La façade Sud du châtelet est flanquée par deux tourelles en encorbellement, couvertes en poivrière. Une autre, à l'angle Est, est polygonale et abrite un escalier à vis de pierre. Elle est doublée par une tour cylindrique avec escalier de bois donnant accès directement à la cour. A la jonction avec la galerie au Sud, il existe aussi une petite tourelle. Le deux ouvertures en arc brisé se correspondant sur chaque face démontre qu'il s'agissait jadis de l'entrée du château. Elles furent murées au XVIIIe siècle pour faire une chapelle. Ensuite, celle-ci fut désaffectée et transformée en écurie. Au Sud, le comble est percé par une grande lucarne à fronton massif, montée sur trois corbeaux de pierre.
Une cheminée à hotte du XVe siècle aux jambages demi-cylindriques, avec large linteau à double corniche, chauffe l'une des salles basses d'un bâtiment de servitudes limitant la cour d'honneur à l'Est. Ce bâtiment arrive jusqu'à la base d'une tour isolée à toiture polygonale qui pourrait être l'un des vestiges de l'enceinte primitive.
Sous le château et ses dépendances, des souterrains ont été creusés au XVe siècle. Ils ont fourni les pierres pour la construction du château et ont servi aussi de refuges.
Les vestiges du château seigneurial de La Celle-Draon (XIe ou XIIe siècle) sont visibles depuis la rue du Chien-Vert. Ce château était déjà en ruines en 1671. La châtellenie de La Celle-Draon était connue depuis le XIIIe siècle sous le nom de Cella Drogonis. Elle relevait, pour une partie, du château des Bordes et, pour l'autre, du baron de Preuilly.
Dans la rue de la Juiverie, il existe plusieurs maisons anciennes. Celle-ci date du XVe siècle. Ses fenêtres ont été refaites à plusieurs reprises: en 1627, puis aux XVIIIe et XIXe siècles.
Une autre demeure (de 1627) présente une petit tour carrée d'angle avec étage en encorbellement, surmontée d'un toit en pavillon couvert de tuiles plates.
Les vestiges du château seigneurial de La Celle-Draon (XIe ou XIIe siècle) sont visibles depuis la rue du Chien-Vert. Ce château était déjà en ruines en 1671. La châtellenie de La Celle-Draon était connue depuis le XIIIe siècle sous le nom de Cella Drogonis. Elle relevait, pour une partie, du château des Bordes et, pour l'autre, du baron de Preuilly.
Dans la rue de la Juiverie, il existe plusieurs maisons anciennes. Celle-ci date du XVe siècle. Ses fenêtres ont été refaites à plusieurs reprises: en 1627, puis aux XVIIIe et XIXe siècles.
Une autre demeure (de 1627) présente une petit tour carrée d'angle avec étage en encorbellement, surmontée d'un toit en pavillon couvert de tuiles plates.
Le logis privé de La Garenne date de la première moitié du XIXe siècle.
L'ancien lavoir communal se trouve à l'arrière du 22 Grande-Rue.
L'ancien lavoir communal se trouve à l'arrière du 22 Grande-Rue.
Sur le Remillon, un autre lavoir, en ruines, peut être aperçu, au milieu de la végétation, dans la rue du Stade (près du plan d'eau municipal).
A voir
- Le pigeonnier de La Gachère (ferme édifiée en 1653) bâti sur un four à pain.
- Le moulin de Civray, sur le Rémillon, a conservé sa roue.
- Le moulin Neuf, sur l'Aigronne, a été transformé en ferme.
Patrimoine disparu
- L'enceinte fortifiée, avec tours, qui protégeait le village.
- Le moulin de La Mouline sur le Rémillon signalé en 1779.
- La chapelle Saint-Gatien, signalée dès 1329, se trouvait dans le périmètre du cimetière.
Lieux-dits: Arnon, Beauvais, Bel-Air, Bois-à-Léger, Bois-des-Clous, Bois-du-Plessis, Bréviande, Carrefour-du-Champ-aux-Biches, Chêne-Laurier, Civray, Crançay, Crotet, Ferme-du-Cimetière, Foncluse, Forêt-de-la-Celle, Forêt-de-Sainte-Julitte, Forêt-du-Grand-Pressigny, Fosse-de-Bertoin, Fosse-des-Jeux, Garenne-de-Razilly, Gué-de-Beau, La Bernardière, La Bertonnerie, La Borde, La Brèche, La Brunelière, La Caltière, La Croix-Rouge, La Déguenetière, La Fosse-Rouge, La Gablinière, La Gachère, La Galerie, La Garderie, La Garenne, La Gaubernière, La Godetterie, La Grande-Fosse, La Haute-Borne, La Landerie, La Loge, La Malgagne, La Mignonière, La Mouline, La Pillaudière, La Poterie, La Poupelière, La Psaudière, La Rallière, La Touche, La Tremblaie, La Tuilerie, Le Champbertault, Le Champ-du-Chêne, Le Chêne-du-Courgeon, Le Follet, Le Moulin-Neuf, Le Petit-Crançay, Le Piprou, Les Bois-de-Betz, Les Bourdonnières, Les Brandes-du-Lac, Les Caves-de-Foncluse, Les Cervelines, Les Chaumes, Les Clous, Les Davières, Les Gagneux, Les Genêts, Les Minetières, Les Poteries, Les Ruisseaux, Les Tailles-Poitou, Malessart, Marnay, Moulin-de-Civray, Pièce-de-la-Maigrière, Pré, Razilly, Rechinchat, Repinçay, Salé, Taille-de-la-Vente, Taille-des-Bourdonnières, Viauvy
Communes voisines: Betz-le-Château, Charnizay, Ferrière-Larçon, Le Grand-Pressigny, Le Petit-Pressigny, Paulmy, St-Flovier
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