Chinon (La ville)

La construction du château a débuté au Xe siècle. Il est formé par trois forts (d'Ouest en Est: le fort du Coudray, le château du Milieu et le fort Saint-Georges).
Dans ce château, Jeanne d'Arc rencontra pour la première fois Charles VII, roi de France, le 8 mars 1429. C'est ici que Henri II Plantagenêt, roi d'Angleterre, résida et mourut le 7 juillet 1189.
A l'Est, se trouve la tour de l'Horloge (XIVe siècle), porte fortifiée contenant une cloche de 1399 (nommée Marie-Javelle).
Le château du Milieu est visible depuis la rue Haute-Saint-Maurice...
... tout comme la tour du Moulin.
Ce dessin de la collection Gaignières représent Chinon en 1699. On peut voir, sur la Vienne, deux bateaux-moulins.
L'ancienne collégiale Saint-Mexme a été bâtie au Xe siècle (nef à murs en petit appareil), ...
... au XIe (narthex entourés par deux tours) et XIIe siècles (transept et chœur entouré d'un déambulatoire avec trois chapelles rayonnantes). Par contre, son clocher s'est effondré sur le chevet en 1817.
Les murs de ces tours présentent de nombreuses pierres sculptées.
Cette collégiale a été transformée en musée. A l'étage du narthex, cette peinture murale (XIIe siècle et fin du XIIIe) représente le Christ dans un médaillon entouré par deux anges.
Au même endroit, ce bas-relief du XIe siècle (la Crucifixion) se trouvait sur la façade primitive de la collégiale. Le Christ en Croix est entouré par saint Jean (en bas, à droite), Longin, le porteur de lace (en bas, à gauche), la lune (en haut, à droite) et le soleil (en haut, à gauche).
Dans la chapelle Sud, on observe plusieurs peintures murales du XVe siècle dont celle-ci: le Jugement dernier.
Quatre verrières abstraites ont été réalisées en 2006 par l'atelier Vitrail-France (Le Mans) selon des dessins du peintre Olivier Debré. Elles sont inaugurées en octobre 2006.
Avant son effondrement partiel de 1817, la collégiale Saint-Mexme mesurait 80 mètres de long et 20 mètres de large. Elle était composée d'un narthex, d'une nef principale accompagnée de deux nefs latérales, d'un transept, dont la croisée était surmontée par un clocher et dont les bras recevaient chacun une absidiole, et d'un chœur entouré d'un déambulatoire avec trois chapelles rayonnantes.

Au Nord de cette collégiale, rue du Pitoche, la chapelle Saint-Joseph se trouve dans la cour d'un établissement scolaire. Elle renferme quatre verrières ornementales réalisées par les Frères Guérithault (Poitiers, 1875) et deux vitraux abstraits (Van-Guy ?).
Au 1 rue de Buffon, l'hôtel du Chevecier du chapitre de Saint-Mexme a été édifié au XVe siècle.
L'église Saint-Maurice, construite au XIIe siècle (nef de trois travées à voûtes angevines, chœur carré à chevet plat, une chapelle latérale et la base carrée du clocher), a été modifiée aux XIVe (seconde chapelle latérale), XVe (flèche octogonale du clocher) et XVIe siècles (collatéral).
Trois des vitraux du mur Sud de la nef avait était soufflés lors du dynamitage du pont sur la Vienne par l'armée allemande, le 19 août 1944. Ils furent remplacés en 1954 par des vitraux réalisés par le maître-verrier orléanais Louis Gouffault selon des dessins de Théodore-Gérard Hanssen. Ces verrières représentent saint Jacques le Majeur, saint Maurice et Jeanne d'Arc (📷). Six verrières ont pour auteur Julien-Léopold Lobin (Tours, 1863): l'Enfance du Christ; la Vie publique et la Passion du Christ; la Vie de saint Pierre; le Don du Rosaire à saint Dominique; sainte Radegonde et saint Louis; saint Paul, saint Augustin et saint Charles. Au Nord de la nef, deux vitraux abstraits sont anonymes et sans date.
Cette statue de Jeanne d'Arc a été sculptée en 1900 par Jules Dechin.
L'église Saint-Maurice possède de très belles clefs de voûte.
L'église Saint-Étienne a été reconstruite entre 1460 et 1490 pour remplacer un édifice religieux du XIe siècle qui avait été détruit. Elle comprend une nef de cinq travées, deux chapelles latérales, un chœur de deux travées et une abside polygonale. La base de son clocher est du XIe siècle alors que le sommet date du XVe siècle.
Quatre de ses vitraux sont des œuvres de Julien-Léopold Lobin (Tours): la Lapidation de saint Étienne (1858), la Vie de saint Étienne (sans date), la Vie de saint Étienne et de saint Paul (1861) et des Anges portant les instruments de la Passion (sans date). Son fils, Lucien-Léopold Lobin (Tours) est l'auteur de de quatre verrières: Sainte Radegonde rencontre saint Jean de Moûtier, ermite de Chinon, en 544 (1879), Saint Mexme libère Chinon des Wisigoths, en 446 (1876), sainte Jeanne d'Arc reconnaît Charles VII à Chinon (1881) et la Mort de saint Martin à Candes (1883). Joseph-Prosper Florence (Tours) a réalisé deux vitraux: le Don du Rosaire à saint Dominique (1895), le Baptême de Clovis (1897) et les cinq grisailles de la nef.
Sur le mur de la chapelle Sud de l'église, visible depuis la rue Urbain-Grandier, ce cadran solaire provient de la collégiale Saint-Mexme. Deux têtes de fantaisie en profil, motifs décoratifs typiques du début de la Renaissance, sont sculptées. La numérotation des heures utilise encore des caractères gothiques.
Cette église renferme une statue en marbre blanc de Jeanne d'Arc, œuvre du sculpteur François Sicard, qui a été inaugurée le 16 avril 1900.
La chapelle troglodytique Sainte-Radegonde date du XIIe siècle. Au VIe siècle, ce lieu était l'ermitage de Jean le Reclus (dénommé aussi saint Jean de Chinon ou Jean de Moûtier). Venu de Grande-Bretagne, cet ermite allait acquérir une telle réputation que la reine Radegonde, épouse de Clotaire 1er, vint lui rendre visite.
Elle renferme les vestiges d'une remarquable fresque de la fin du XIIe siècle représentant un chasse royale (chasse au faucon) avec Jean sans Terre, sa femme Isabelle d'Angoulême et sa mère Aliénor d'Aquitaine. Elle a été découverte en 1964 sous un enduit.
D'autres peintures murales (du XVIIe siècle) racontent l'histoire de sainte Radegonde et de saint Jean.
Un puits, creusé au IIe siècle, est à l'origine du site. On y descend grâce à trois séries de marches séparées par des paliers. Il a environ 15 mètres de profondeur.
Au 7 rue Saint-Jean, l'ancienne chapelle Saint-Jean (XIIe siècle), chapelle de la maladrerie royale de Saint-Jean-du-Désert, a été convertie en maison d'habitation. C'est un bâtiment rectangulaire épaulé par des contreforts. La plupart de ses ouvertures ont été refaites. Le mur du chevet était ajouré par une grande fenêtre percée au XIVe ou au XVe siècle et qui est à demi condamnée.
Située au 5 rue de la Chapelle, la petite chapelle Saint-Jean (XVe siècle) a été transformée en garage.
Fondée en 410 par saint Brice, l'église Saint-Martin (coteau Saint-Martin) a été reconstruite au XIIe siècle. C'était l'église de la première paroisse de Chinon qui fut réunie, en 1680, à la paroisse saint Étienne. De nos jours, il ne reste que la base de l'abside.
Au 19 rue Voltaire, cette maison à pans de bois date de la fin du XVe siècle.
Au 34 rue Voltaire (à l'angle avec la rue Jeanne-d'Arc), une maison du XIVe siècle est recouverte d'ardoises.
Près de cette maison, un puits à margelle a été reconstitué. Jeanne d'Arc y aurait posé le pied pour descendre de cheval, le 6 mars 1429.
Au 38 rue Voltaire, la maison rouge (XIVe siècle) est construite en pans de bois avec un remplissage, entre les pans, en brique.
Cette demeure possède un ancien cadran solaire.
Au 44 rue Voltaire (désormais rue Haute-Saint-Maurice), la maison des états généraux a été reconstruite au XVe siècle sur les restes d'un logis des XIIIe et XIVe siècles. En 1428, Charles VII y aurait réuni les états généraux afin de financer la reprise de la guerre contre les Anglais. Par la suite, elle devient l'hôtellerie du Lion Vert.
Aujourd'hui, cette maison abrite le musée d'Art et d'Histoire (anciennement musée des Amis du Vieux Chinon). On peut y voir, entre autre, des coiffes tourangelles.
Au 45 rue Voltaire, cette maison à pans de bois date du XVe siècle.
Au 48 rue Haute-Saint-Maurice (48 rue Voltaire), l'hôtel du Gouverneur (ou hôtel du Gouvernement) date du XVe siècle (les deux bâtiments latéraux) et de 1699 (l'aile centrale reliant les deux bâtiments plus anciens). Cette partie du XVIIe siècle présente un escalier à double volée muni d'une rampe en fer forgé. Le gouverneur, officier représentant le roi, était jadis logé au château.
Au 58 rue Haute-Saint-Maurice (jadis 58 rue Voltaire), le pignon l'hôtel Poirier de Beauvais (XVIe siècle) présente trois fenêtres à meneaux. A l'angle sud-ouest, une tourelle repose sur un cul de lampe mouluré. En 1793, le Conventionnel Jean-Lambert Tallien y séjourna pendant six semaines.
Au 62 rue Voltaire (rue Haute-Saint-Maurice), cet ancien hôtel particulier (XVe siècle) renferma, un temps (au XIXe siècle), la loge maçonnique du Grand Orient de France, puis l'association des Enfants de Rabelais.
Des emblèmes maçonniques ont été sculptés sur sa façade à la fin du XIXe siècle.
Au 73 rue Voltaire (rue Haute-Saint-Maurice), l'ancien palais du Bailliage (XVe siècle, remanié au XVIIe siècle) a été transformé en hôtel.
Au 77 rue Voltaire (77 rue Haute-Saint-Maurice), cet hôtel particulier a été bâti dans la seconde partie du XVIe siècle. Son intérieur a été modifié au XVIIIe siècle. Il a été habité par Chesnon de Baigneux, maire de Chinon en 1789.
Au 81 rue Voltaire, l'hôtel Bodard de la Jacopière (maire de Chinon de 1813 à 1816) date des XVe et XVIe siècles. Ses ailes sont du XVIIe siècle. Acheté par la ville en 1820, il fut transformé en école communale. Au XVe siècle, il appartenait à l'abbaye de Turpenay.
Sa façade sud, au 6 quai Charles VII, présente une tour d'escalier polygonale et des lucarnes qui ont été refaites au XIXe siècle sur le modèle de celles de l'hôtel situé au 77 rue Haute-Saint-Maurice.
Au 85 rue Voltaire, cet hôtel particulier du XVe siècle a été très remanié. A l'ouest, il s'appuie sur les vestiges de l'enceinte de la ville (XIVe siècle). La façade nord est entourée par deux échauguettes.
Au 3 rue Jeanne-d'Arc, l'hôtel Torterue de Langardière a été construit après 1760 pour Pierre-Joseph Torterue de Langardière, officier de justice au bailliage de Chinon. Il a été restauré vers 1975.
Au 4 rue Jeanne-d'Arc, cette maison du XVe siècle possède un escalier tournant à balustres en bois du XVIIe siècle. Son aile sud a été démolie au XIXe siècle.
Au 14 quai Charles-VII, l'hôtel des abbés de Turpenay (XVe siècle) a été partiellement remanié au XIXe siècle dans un style néo-gothique. Sa façade Sud, en pierres de taille, présente à l'étage des fenêtres qui ont conservé leur encadrement de baguettes mais perdu leurs meneaux. Le comble à double versant est éclairé par deux lucarnes inégales avec baguettes intérieures dans les embrasures. L'une est à croisée de pierre, l'autre à simple traverse. Les deux lucarnes sont surmontées par un gâble aigu à crochets de feuillage et petit animal à la base des rampants.
L'angle Sud-Ouest est flanqué par une tour quadrangulaire presque aveugle, de ce côté, à l'exception de deux petites baies rectangulaires. La partie supérieure était un pigeonnier renfermant deux travées de boulins séparées par un cordon en saillie. A l'arrière, le pignon Ouest, en fort décrochement, a vu ses ouvertures inférieures remaniées. Au niveau supérieur, une grande fenêtre a perdu ses meneaux mais une autre, à la hauteur de la tour, a gardé les siens. Au-dessus, une pierre encastrée dans le mur porte un blason inscrit dans une étoile.
Rue Beaurepaire, la portion de la façade Nord encore visible présente, au premier étage, une fenêtre à croisée de pierre dont les quatre panneaux ont été murés. Elle est surmontée par une autre fenêtre qui a perdu sa croisée de pierre et est presque totalement aveuglée. Au-dessus, le fronton de la lucarne est abimé mais il reste quelques éléments de la décoration du linteau.
A l'arrière de cet hôtel, une passerelle, enjambant la rue Beaurepaire, aboutissait à un pavillon renfermant un escalier à vis de pierre. Sa face Ouest, en moyen appareil, présente deux fenêtres superposées. Elle repose sur une arcature. Le côté opposé possède un premier niveau en pierres de taille et un second en colombage avec remplissage de briques horizontales. Le troisième, en fort retrait et de hauteur réduite, les briques y composent quelquefois des motifs décoratifs.
Au 24 rue du Grand-Carroi, cette demeure du XVe siècle a été remaniée au XIXe siècle.
Au 1 rue Hébert, cette maison du XVe siècle a été remaniée au XIXe siècle dans le style néo-Renaissance. Sa façade a été décorée géométriquement.
Au 41 rue Jean-Jacques Rousseau, ce logis à pans de bois (XVIe siècle) présente, côté cour, une façade en pierre avec une galerie.
Au 44 rue Jean-Jacques-Rousseau, une maison à pans de bois date du XVe siècle.
Au 59 rue Jean-Jacques-Rousseau, cette maison a été construite au XIXe siècle.
Au 71 rue Jean-Jacques-Rousseau, ce logis à pans de bois a été bâti au XVe siècle.
Au 73 rue Jean-Jacques-Rousseau, une autre maison à pans de bois est, aussi, du XVe siècle.
Au 88 rue Jean-Jacques-Rousseau, ce logis du XVe siècle possède une gargouille.
Au 98 rue Jean-Jacques-Rousseau, cette demeure a été bâtie au XVe siècle.
Au 15 rue Philippe-de-Commines, cette maison a été édifiée au XVe siècle.
Au 38 rue Philippe-de-Commines, ce logis (XVIe siècle) a conservé ses fenêtres à meneaux.
Au 17 rue Marceau, une maison date du XVe siècle. Mais sa façade sur rue a été restaurée au XIXe siècle dans un style néo-gothique.
Les maisons à pans de bois des 26 et 28 rue Marceau datent du XVe siècle.
Aux 3 et 5 de la rue de la Lamproie, ces logis à pans de bois ont été édifiés au XVe siècle. Celui du n°3, qui fait angle, a été restauré en 1980.
Dans la rue Kleber, on peut voir le manoir de Satis-Morituro (début du XIXe siècle)...
... et entrevoir le château de Blackfort (vers 1850).
Le château des Fontenils date du XIXe siècle.
Dans l'avenue François-Mitterand, une porte du XVIIe siècle est exposée. C'était celle de l'ancien couvent des Calvairiennes puis de l'hôpital Saint-Michel.
La statue équestre de Jeanne d'Arc, réalisée par le sculpteur Jules Roulleau, a été inaugurée le 13 août 1893. Elle est en bronze et pèse sept tonnes.
Quai Jeanne d'Arc, cette statue de Rabelais a été créée en 1882 par le sculpteur Émile Hébert.
Au début du XIIe siècle, un pont en bois est bâti sur la Vienne à l'emplacement d'un gué. A la fin du XIIe siècle, il est remplacé par un pont en pierre qui a été élargi en 1853-1854. Le 19 août 1944, l'armée allemande a procédé à la destruction des arches situées au nord qui seront reconstruites après la guerre.
Chinon possède son girouet dont la partie centrale représente les tours du château.

A voir
  • Au 82 rue Haute-Saint-Maurice: la maison de la Maîtrise des Eaux et Forêts (XVIe siècle).
  • La maison des associations (XVIIIe siècle, restauré au XIXe siècle): 45 rue Jean-Jacques-Rousseau.
  • L'ancien couvent des Augustins (1 rue Philippe-de-Commines) qui est, aujourd'hui, la sous-préfecture. Ce couvent date des XIVe et XVe siècles (son église a été consacrée en 1445).
  • Les Caves Painctes (impasse des Caves-Painctes): il s'agit d'anciennes carrières de pierres qui ont fonctionné jusqu'à la fin du XVIIIe siècle. Elle est utilisée par la Confrérie des entonneurs rabelaisiens.
Patrimoine disparu
1- L'église Saint-Jacques avait été construite au milieu du XVe siècle à la place d'une chapelle de la fin du XIe siècle. Elle était située quai Danton, sur la rive gauche de la Vienne. Son clocher carré a été édifié en 1670. Elle est devenue une habitation en 1792 et a été détruite en 1933-1934. A noter que sur une pierre de l'église, une inscription relative au tremblement de terre du 8 avril 1593 (à 9 heures du soir) avait été gravée.
2- La maison Beauvais et la cave de Blanquefleur (XVe siècle) étaient situées au 17 rue de l'Ours. Elles ont été démolies vers 1940.
3- Le théâtre (à droite), situé au 22 rue Jean-Jacques-Rousseau, a été rasé en 1968. A cet emplacement, se trouvait l'Hôtel-Dieu, mentionné dès 1575, puis détruit en 1637. Il fut reconstruit en 1641 et présentait un campanile portant la date de 1748. Il est devenu le marché à blé en 1793 puis la gendarmerie en 1803. L'ancienne chapelle Saint-Blaise de l'Hôtel-Dieu fut démolie après 1863. En 1863-1864, il fut transformé en théâtre par l'architecte N. Daviau. Le campanile a été détruit en 1930.
4- Vestiges de la muraille qui entourait la ville, la porte de L'Île-Bouchard et sa tour, dite tour de la Parerie, ont été démolies en 1909.
5- Situé sur la rive gauche de la Vienne, le château Tisserand a été démoli en 1966 pour construire, à sa place, le lycée Rabelais. Primitivement, c'était un couvent des Ursulines.

    7 commentaires:

    1. Remarquable travail descriptif et documentaire. Merci aussi pour ces photos dont certaines sont rares.

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    2. très jolie l'histoire des bâtiments de notre ville

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    3. Très beau blog, intéressant, je vais le mettre en lien sur mon futur reportage sur Chinon (http://lammc.e-monsite.com/pages/mes-voyages-en-2016/) sauf avis contraire de votre part

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    4. Tout au début de l'article vous décrivez la forteresse avec ses 3 châteaux de l'Ouest vers l'Est - mais vous les nommez de l'Est vers l'Ouest !

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