Fondettes (Wikipedia) est une ville située à l'Ouest de Tours. Ses habitants sont appelés les Fondettois, les Fondettoises.
Elle a porté les noms de: Ecclesia de Fundeta (1080, charte de l'abbaye de Marmoutier), Ecclesia de Fundetis (1149, charte d'Engebaud, archevêque de Tours), Parochia de Fundetis (1230, cartulaire de l'abbaye de Beaumont-lès-Tours), Fondetes (1290, pouillé du diocèse de Tours), Fondette (XVIIIe siècle, carte de Cassini), Fondettes (1820, carte de l'état-major).
Le fief relevait de Maillé (Luynes). La paroisse de Vallières fut rattachée à Fondettes par décret impérial du 9 janvier 1805 (19 nivôse an XIII).
Elle a porté les noms de: Ecclesia de Fundeta (1080, charte de l'abbaye de Marmoutier), Ecclesia de Fundetis (1149, charte d'Engebaud, archevêque de Tours), Parochia de Fundetis (1230, cartulaire de l'abbaye de Beaumont-lès-Tours), Fondetes (1290, pouillé du diocèse de Tours), Fondette (XVIIIe siècle, carte de Cassini), Fondettes (1820, carte de l'état-major).
Le fief relevait de Maillé (Luynes). La paroisse de Vallières fut rattachée à Fondettes par décret impérial du 9 janvier 1805 (19 nivôse an XIII).
Les registres paroissiaux commencent en 1539 pour Fondettes et en 1571 pour Vallières.
Coordonnées GPS de Fondettes: 0°36'07"E - 47°24'11"N
Code INSEE: 37109 - Code postal: 37230 - Superficie: 3183 hectares
Altitudes: de 42 à 100 mètres ( à La Croix-du-Vau-d'Avril)
Cours d'eau: la Loire, la Choisille, le ruisseau de Chantelouse
Code INSEE: 37109 - Code postal: 37230 - Superficie: 3183 hectares
Altitudes: de 42 à 100 mètres ( à La Croix-du-Vau-d'Avril)
Cours d'eau: la Loire, la Choisille, le ruisseau de Chantelouse
L'église Saint-Symphorien, construite à la fin du XIIe siècle (une partie de la nef, abside, deux absidioles), a été agrandie aux XIIIe (collatéraux), XVe (l'autre partie de la nef) et XVIIIe siècles (la double porte de 1732 et la sacristie rectangulaire de 1748). Elle a été restaurée en 1863. Cet édifice a remplacé l'église primitive, dédiée à sainte Marie, qui avait été bâtie vers 1040-1050.
Précédée par une façade du XVe siècle dont la porte et la fenêtre ont été restaurées, la nef majeure a deux collatéraux comprenant, comme elle, trois travées. Le mur goutterot Nord est entièrement du XIIIe siècle, tandis que celui du Sud est du XIIIe dans la seconde et troisième travée et du XVe dans la première. Une fenêtre du XIVe éclaire la seconde, une fenêtre en lancette du XIIIe et une porte moderne percent la troisième. La première travée des trois nefs date du XVe siècle et leurs voûtes, sur croisées d'ogives à moulures prismatiques, ont été restaurées en 1863. Les six autres travées datent du début du XIIIe siècle. Les supports sont des piles cruciformes avec colonnes engagées dans les dosserets pour soutenir les doubleaux et les arcades, et colonnettes logées dans les retraits des dosserets pour la retombée des ogives et des formerets. Les corbeilles des chapiteaux sont garnis de crochets.
Une travée droite, couverte par une voûte angevine sans liernes, réunit la nef à l'abside semi-circulaire, éclairée par trois fenêtres en plein cintre et couverte d'une voûte en cul-de-four renforcée par dix branches d'ogives retombant sur des colonnettes soutenues par des culots, voûte de type angevin comme celle de la travée du chœur. Cette abside est accompagnée par deux absidioles précédées, elle aussi, par une travée les reliant aux deux collatéraux. L'absidiole Sud est plus large que la nef correspondante, la travée qui la précède ayant un plan trapézoïdal et non rectangulaire. Cette absidiole est éclairée par trois fenêtres en plein cintre et voûtée sur deux branches d'ogives profilées d'un tore.
L'absidiole Nord a été en partie incluse dans une sacristie rectangulaire. Sa voûte est soutenue par cinq branches d'ogives. La travée droite qui la précède est voûtée sur une croisée d'ogives et une lierne longitudinale de section carrée avec arêtes abattues par un chanfrein.
Un clocher en charpente avec flèche octogonale domine le toit au-dessus de la troisième travée de la nef.
Près de son portail (XVIe siècle), un bateau de Loire a été sculpté sur le mur du pignon Ouest.
Précédée par une façade du XVe siècle dont la porte et la fenêtre ont été restaurées, la nef majeure a deux collatéraux comprenant, comme elle, trois travées. Le mur goutterot Nord est entièrement du XIIIe siècle, tandis que celui du Sud est du XIIIe dans la seconde et troisième travée et du XVe dans la première. Une fenêtre du XIVe éclaire la seconde, une fenêtre en lancette du XIIIe et une porte moderne percent la troisième. La première travée des trois nefs date du XVe siècle et leurs voûtes, sur croisées d'ogives à moulures prismatiques, ont été restaurées en 1863. Les six autres travées datent du début du XIIIe siècle. Les supports sont des piles cruciformes avec colonnes engagées dans les dosserets pour soutenir les doubleaux et les arcades, et colonnettes logées dans les retraits des dosserets pour la retombée des ogives et des formerets. Les corbeilles des chapiteaux sont garnis de crochets.
Une travée droite, couverte par une voûte angevine sans liernes, réunit la nef à l'abside semi-circulaire, éclairée par trois fenêtres en plein cintre et couverte d'une voûte en cul-de-four renforcée par dix branches d'ogives retombant sur des colonnettes soutenues par des culots, voûte de type angevin comme celle de la travée du chœur. Cette abside est accompagnée par deux absidioles précédées, elle aussi, par une travée les reliant aux deux collatéraux. L'absidiole Sud est plus large que la nef correspondante, la travée qui la précède ayant un plan trapézoïdal et non rectangulaire. Cette absidiole est éclairée par trois fenêtres en plein cintre et voûtée sur deux branches d'ogives profilées d'un tore.
L'absidiole Nord a été en partie incluse dans une sacristie rectangulaire. Sa voûte est soutenue par cinq branches d'ogives. La travée droite qui la précède est voûtée sur une croisée d'ogives et une lierne longitudinale de section carrée avec arêtes abattues par un chanfrein.
Un clocher en charpente avec flèche octogonale domine le toit au-dessus de la troisième travée de la nef.
Près de son portail (XVIe siècle), un bateau de Loire a été sculpté sur le mur du pignon Ouest.
Trois de ses vitraux, œuvres de François Fialeix (Manufacture du Mans, 1844), sont situés dans le chœur et représentent: saint Symphorien, sainte Barbe et saint Vincent. Julien-Léopold Lobin (Tours, 1853) a signé trois vitraux figurant la Vie de la Vierge, installés dans la chapelle de la Vierge, côté Sud. Ces trois vitraux représentent: la Présentation au Temple, l'Annonciation et la Nativité (📷); la Pentecôte, la Dormition et le Couronnement de la Vierge; la Fuite en Égypte, les Noces de Cana et la Crucifixion. Le même peintre-verrier a aussi créé deux verrières ornementales (1853). Son fils, Lucien-Léopold Lobin (Tours, 1896) est l'auteur de huit grisailles ornementales.
Cette peinture du XVIe siècle est une des rares représentations de l'adoration de l'hostie.
A Vallières, la chapelle Notre-Dame-de-la-Chevalette (ou Notre-Dame-de-Recouvrance) a été reconstruite en 1608 et modifiée en 1714 (chevet et charpente). Les fenêtres de cette chapelle sont dotées de verrières à oves légèrement teintés. Elle a remplacé une première chapelle dédiée à la Vierge qui avait été bâtie au XIIIe siècle. Jadis, une messe y était célébrée tous les ans, le 8 septembre.Cette peinture du XVIe siècle est une des rares représentations de l'adoration de l'hostie.
L'agencement des ardoises de la partie Ouest de son clocheton est original.
Cette chapelle renferme une statue en pierre polychrome du XIIIe siècle représentant la Vierge à l'Enfant, dite Notre-Dame de la Recouvrance. Selon la tradition, cette statue aurait été trouvée dans la souche d'un orme.
Cette chapelle renferme une statue en pierre polychrome du XIIIe siècle représentant la Vierge à l'Enfant, dite Notre-Dame de la Recouvrance. Selon la tradition, cette statue aurait été trouvée dans la souche d'un orme.
A Vallières, une ancienne grange des dîmes a été construite vers 1485. Son pignon Sud fut surélevé vers 1550 afin de maintenir une toiture à versants plus inclinés. Il est percé par une porte en plein cintre surmontée par deux étroites fenêtres rectangulaires. Cette grange a été rachetée par la commune en 1991.
Derrière la grange, on trouve les vestiges du logis seigneurial (et ancien prieuré) de Vallières dont un portail d'entrée, plein cintre, construit vers 1550.
Du logis lui-même, il ne reste que le pignon Ouest (le premier étage du XVe siècle, avec tourelles d'angle soutenues par des culs-de-lampe, a été détruit en 1918), le rez-de-chaussée, voûté d'une berceau en plein cintre, servant de cellier et un bâtiment annexe, situé à l'Ouest du pignon, du XVIIe siècle. Dès 1290, ce logis appartint à l'abbaye Saint-Julien de Tours. Au XVe siècle, il servait de maison de campagne à ses abbés.
Le prieuré de Lavaré (ou Lavaray) a été fondé vers 1110 par Geoffroy de Preuilly, par les seigneurs de Maillé (Luynes) et par Geoffroy de la Tour. Il a été cédé à l'abbaye de Marmoutier au XIVe siècle. Ce prieuré était fortifié. L'entrée se trouvait au Nord-Ouest, protégée par une douve en avant de laquelle subsistent les jambages ruinés d'une porte. Le mur d'enceinte, épaulé par des contreforts, a été conservé seulement de ce côté. A l'angle Nord de cette enceinte se dresse une haute tour circulaire du XIIIe siècle qui comprend quatre étages que séparaient des planchers, au-dessus d'un rez-de-chaussée voûté d'un berceau en plein cintre. Certaines fenêtres de cette tour furent remaniées au XVe siècle. Deux bâtiments lui étaient contigus. Celui du Nord-Ouest a presque totalement disparu. Il n'en reste que le mur Nord utilisé dans une construction moderne et percé par une fenêtre géminée dont les fenestrelles sont séparées par une colonnette. Un arc en plein cintre visible dans le parement devait, peut-être, circonscrire une baie. Au-dessous de lui, une porte donne accès à un souterrain. L'autre bâtiment, au Nord-Est de la cour, était plus haut et l'on voit la trace de son pignon sur le parement de la tour. Ses étages communiquaient avec ceux de cette tour par des portes encore visibles. Il a complètement disparu. De ce côté n'a été conservé qu'un corps de logis du XVIe siècle, modernisé sur la cour, mais dont la façade extérieur est intacte et flanquée d'une tourelle renfermant une vis de pierre.
La grange dîmière date du XIIIe siècle. Sa façade présente un avant-corps, surmonté par un fronton triangulaire, qui était percé par une porte en plein cintre à trois voussures. Des épis couronnent le pignon.
Son pigeonnier cylindrique (milieu du XVIe siècle) contient 1100 trous de boulins (nids de pigeons). Vers 1746, il devint une moutonnerie et, au XIXe siècle, un laboratoire de charcuterie.
Du logis lui-même, il ne reste que le pignon Ouest (le premier étage du XVe siècle, avec tourelles d'angle soutenues par des culs-de-lampe, a été détruit en 1918), le rez-de-chaussée, voûté d'une berceau en plein cintre, servant de cellier et un bâtiment annexe, situé à l'Ouest du pignon, du XVIIe siècle. Dès 1290, ce logis appartint à l'abbaye Saint-Julien de Tours. Au XVe siècle, il servait de maison de campagne à ses abbés.
La grange dîmière date du XIIIe siècle. Sa façade présente un avant-corps, surmonté par un fronton triangulaire, qui était percé par une porte en plein cintre à trois voussures. Des épis couronnent le pignon.
Son pigeonnier cylindrique (milieu du XVIe siècle) contient 1100 trous de boulins (nids de pigeons). Vers 1746, il devint une moutonnerie et, au XIXe siècle, un laboratoire de charcuterie.
La château privé de Chatigny (1487) est construit en brique et pierre de tuffeau. Il est composé d'un logis principal, d'une aile en retour d'équerre et de deux tours rondes à toits coniques. Au XVIe siècle, l'aile Nord a été prolongée par un bâtiment plus élevé d'un étage. Les courtines et la partie inférieure des tours du XVe sont parementées en moyen appareil. La partie supérieure est en brique et pierre. Le château a été restauré au milieu du XIXe siècle. Les bâtiments qui limitent la cour au Nord sont modernes. Châtigny était un fief relevant de Martigny et de Maillé (Luynes). Ce château fut habité, entre autre, par le Duc d'Ulceda et d'Escalona, grand d'Espagne, et, jusqu'en 1936, par la famille de Beaumont. Son pigeonnier octogonal, signalé en 1758, était déjà détruit en 1801 (l'an IX). Sa chapelle est placée sous le vocable de Notre-Dame de l'Immaculée-Conception.
A l'Ouest de la cour, les vestiges d'une villa gallo-romaine du IIIe siècle ont été découverts en 1890 par le comte de Beaumont. Sa partie thermale comprenait une douzaine de salles.
Le manoir privé de La Fontaine date du XVIe siècle. Cet endroit, relevant du fief de Vallières, a aussi porté les noms de Fontaine-Belouze (1650) et Fontaine-du-Verger (1771).
Le château de La Plaine a été édifié de 1872 à 1874 pour Eugène Gouin, maire de Tours. Il est l’œuvre de l'architecte tourangeau Edmond Meffre. La chapelle Saint-Michel a été fondée en 1709. Ce château a remplacé une closerie du XVIIe siècle détruite par un incendie causé par les Prussiens en 1871. Depuis 1950, il abrite le siège du Lycée agricole de Fondettes. Le fief de La Plaine dépendait de Charcenay et de Beaumont.
Le manoir privé des Hamardières ou des Amardières (XVIIIe siècle) est composé d'un logis avec une aile en retour formant un angle sur la cour. La travée centrale
des deux façades du bâtiment principal est occupée par un avant-corps de
faible saillie, amorti par un fronton triangulaire percé par un oculus.
L'aile en retour est prolongée par un bâtiment de communs dont la façade
est surmontée par un fronton triangulaire. En 1716, cette propriété appartenait à Nicolas-Christophe Patas, maire de Tours.
Il possède une chapelle rectangulaire du XVIIIe siècle qui renferme un vitrail signé par Léopold Lobin (Tours, 1850). Sa nef unique est couverte d'un lambris en plein cintre.
Son pigeonnier carré date du XIXe siècle.
Le manoir privé de Guesne était un fief relevant de Martigny et de Maillé (Luynes). Son mur d'enceinte présente deux tourelles en damier de pierre et de brique (datant de 1850), surmontées de fines toitures en poivrière d'ardoise. Ce mur est ouvert en son centre par un portail en large retrait, encadré de pilastres à chapiteaux avec décoration néo-Renaissance.
A l'Ouest de la cour, les vestiges d'une villa gallo-romaine du IIIe siècle ont été découverts en 1890 par le comte de Beaumont. Sa partie thermale comprenait une douzaine de salles.
Le manoir privé de La Fontaine date du XVIe siècle. Cet endroit, relevant du fief de Vallières, a aussi porté les noms de Fontaine-Belouze (1650) et Fontaine-du-Verger (1771).
Le château de La Plaine a été édifié de 1872 à 1874 pour Eugène Gouin, maire de Tours. Il est l’œuvre de l'architecte tourangeau Edmond Meffre. La chapelle Saint-Michel a été fondée en 1709. Ce château a remplacé une closerie du XVIIe siècle détruite par un incendie causé par les Prussiens en 1871. Depuis 1950, il abrite le siège du Lycée agricole de Fondettes. Le fief de La Plaine dépendait de Charcenay et de Beaumont.
Il possède une chapelle rectangulaire du XVIIIe siècle qui renferme un vitrail signé par Léopold Lobin (Tours, 1850). Sa nef unique est couverte d'un lambris en plein cintre.
Le manoir privé de Guesne était un fief relevant de Martigny et de Maillé (Luynes). Son mur d'enceinte présente deux tourelles en damier de pierre et de brique (datant de 1850), surmontées de fines toitures en poivrière d'ardoise. Ce mur est ouvert en son centre par un portail en large retrait, encadré de pilastres à chapiteaux avec décoration néo-Renaissance.
Le logis de plan quadrangulaire a été reconstruit vers 1810 en prenant pour assise les anciens murs du bâtiment primitif (fin du XVe siècle ou début du XVIe), qui fut alors agrandi vers le Nord. Il est resté dans la paroi Ouest, à droite de la porte, deux baies étroites à encadrement mouluré.
Au Nord du logis, une petite chapelle présente deux pignons à rondelis. L'ouverture au-dessus de l'autel était à deux fenestrelles dont le meneau a disparu. Sa charpente est en carène de navire inversée. Une croix est peinte sur le pignon Ouest.
Dans le parc, on remarque une grange en colombage très ancienne et l'entrée primitive entre deux piliers. Dans le coteau sont creusées deux caves. Sur les parois de brique et de pierre de celle du logis, voûtée en berceau appareillé, on peut lire la date de 1523. Celle du closier, d'environ 12 mètres de profondeur, comporte deux caveaux en plein cintre qui ne sont pas tout à fait dans le même axe et séparés par un morceau de rocher.
Le château privé de Taillé a été construit au XIXe siècle mais il reste quelques éléments du logis seigneurial des XVe et XVIe siècles. Le pavillon Sud-Est date de 1600 et celui du Sud-Ouest de 1735.
Il possède un pigeonnier cylindrique qui a été transformé en toilettes. Par contre, sa chapelle a disparu. Depuis 1959, ce château appartient à la ville de Saint-Denis (93).
Le château de Bel-Air a été édifié entre 1882 et 1890. Par contre, son ancien cellier a été bâti au milieu du XVIIIe siècle.
La closerie des Pivottières a été bâtie au XVIIe siècle. Elle possède une petite tour carrée, en pierres et en briques, ayant servi de fuye et de chapelle. Le musicien Georges Migot y a composé plusieurs de ses œuvres.
La closerie du Morier est une construction du milieu du XVIIe siècle. Elle a été transformée en ferme au début du XXe siècle.
Le château privé de Taillé a été construit au XIXe siècle mais il reste quelques éléments du logis seigneurial des XVe et XVIe siècles. Le pavillon Sud-Est date de 1600 et celui du Sud-Ouest de 1735.
Il possède un pigeonnier cylindrique qui a été transformé en toilettes. Par contre, sa chapelle a disparu. Depuis 1959, ce château appartient à la ville de Saint-Denis (93).
Le château de Bel-Air a été édifié entre 1882 et 1890. Par contre, son ancien cellier a été bâti au milieu du XVIIIe siècle.
La closerie des Pivottières a été bâtie au XVIIe siècle. Elle possède une petite tour carrée, en pierres et en briques, ayant servi de fuye et de chapelle. Le musicien Georges Migot y a composé plusieurs de ses œuvres.
La closerie du Morier est une construction du milieu du XVIIe siècle. Elle a été transformée en ferme au début du XXe siècle.
Le manoir privé de Bois-Jésus (XVIe siècle) possède un pigeonnier cylindrique du milieu du XVIIIe siècle (rue de La Morienne). En 1786, installé au-dessus d'un pressoir, il abritait alors 120 pigeons. Par la suite, il fut transformé. Le rez-de-chaussée servit de cellier, le premier étage de chambre carrelée et le second de fuie. Restauré, il a retrouvé son toit d'ardoise, son double larmier et ses deux lucarnes.
Ce manoir comprend un logis rectangulaire, qui fut agrandi à l'Est, édifié entre deux hauts pignons triangulaires et flanqué, à l'angle Nord-Est, par une tour circulaire couverte en poivrière et portant un cordon mouluré à la hauteur de l'étage. A l'extrémité Sud-Est, une tour a été détruite en 1780. A l'intérieur du logis, la porte qui y accédait a été murée. Toutes les ouvertures de la façade Est ont été remaniées. Mais, l'une des fenêtres du premier étage a gardé une partie des piédroits d'une croisée de pierre disparue, façonnés en forme de colonnettes. Le linteau de la porte à encadrement mouluré est surmonté par une large corniche. La terrasse étroite, séparant le logis de la rivière, est limitée en amont par un bâtiment orienté en sen contraire, mais qui doit être de la même époque. On y voit au pignon Ouest un four à pain. Le mur Nord est percé par une fenêtre à croisée de pierre murée et une porte en plein cintre. Sa chapelle, qui n'était plus utilisée au XVIIIe siècle, a disparu.
Située au Grand-Beauchêne, cette tour est peut-être un élément défensif de l'ancienne châtellenie de Beauchêne qui appartenait en 1525 à Gilles de Laval, baron de Maillé (Luynes). En 1658, elle était la possession de Charles Cherbonnier. Le fief de Bréhémont relevait de Beauchêne. En 1785, cette châtellenie fut annexée au duché de Luynes.
Dans la rue de Gannay, on peut apercevoir les vestiges d'un pigeonnier ou d'une magnanerie troglodytique.
Située au Grand-Beauchêne, cette tour est peut-être un élément défensif de l'ancienne châtellenie de Beauchêne qui appartenait en 1525 à Gilles de Laval, baron de Maillé (Luynes). En 1658, elle était la possession de Charles Cherbonnier. Le fief de Bréhémont relevait de Beauchêne. En 1785, cette châtellenie fut annexée au duché de Luynes.
Dans la rue de Gannay, on peut apercevoir les vestiges d'un pigeonnier ou d'une magnanerie troglodytique.
A La Guignière, la chapelle Saint-François-d'Assise a été construite en 1950 du côté Est de la rue Jean-Inglessi. Elle a remplacée la
chapelle Saint-Sébastien, détruite par les bombardements de juin
1944, qui se trouvait du côté Ouest de cette rue. Cette dernière était signalée dès 1712.
Au lieu-dit La Frémaudière, on découvre ce grand et vieux puits.
A La Guignière, des pieux sont visibles dans le lit de la Loire. Il s'agit des restes d'un "pont" romain datant du Ier siècle avant Jésus-Christ. Plus exactement, ces pieux servaient à maintenir les pierres d'un gué utilisé lors de la période des basses eaux. Un bac aurait été en service en dehors de cette période. La voie romaine Poitiers-Tours-Le Mans empruntait ce passage.
Sur la rive droite de la Loire, dans le prolongement du pont, l'oppidum gaulois de Montboyau est encore visible. Situé près de la confluence de la Choisille et de la Loire, il était protégé à l'Est par une falaise abrupte (photo). Sur le coteau, des fossés de 20 mètres de large et un talus de 7 mètres de haut servaient de fortifications.
Fondettes possède son girouet dont la partie centrale représente l'église Saint-Symphorien, le château de Chatigny et un bateau de Loire.
Le château privé des Tourelles fut reconstruit vers 1640, augmenté de deux ailes vers 1750 puis modifié en 1820. En grande partie détruit (à 80%) par un bombardement, le 2 mai 1944, il été restauré à l'identique par la suite. Il est composé d'un grand bâtiment avec avant-corps central à fronton triangulaire percé d'un oculus, élevé d'un rez-de-chaussée, d'un étage et d'un comble éclairé par des lucarnes à linteau courbe sur le modèle de celle de l'Est restée intacte. A l'Est et à l'Ouest, deux ailes le prolongent en retour d'équerre: la première avec un toit à la Mansard, la seconde servant comme jadis de remise. Devant celle-ci se trouve un puits de 40 mètres de profondeur. Il est surmonté par quatre colonnes quadrangulaires sur un soubassement carré de 1,30 mètre de côté, supportant une plateforme ornée d'une sphère en pierre. Sous le logis, une grande cave voûtée se termine par un caveau communiquant avec la rue par un boyau étroit. Au Sud, une vaste terrasse est entourée de balustres, mais la plupart sont modernes.
A l'angle Nord-Ouest de son parc, la tour-chapelle carrée en pierres de taille (XVIIIe siècle), ceinturée à mi-hauteur par un cordon et couverte d'un toit à l'impériale, domine la rue Jean-Inglessi. La porte en plein cintre, avec clef en saillie, est encadrée par deux pilastres doriques. Le tympan triangulaire est creusé d'une niche abritant une statuette de saint Jean. Cette chapelle fait le pendant avec la tour-pigeonnier (au Nord-Est).
Le château privé de La Billetrie est une construction du XIXe siècle.
Le manoir privé du Grand-Martigny (ou Le Haut-Martigny) date des XVe et XVIe siècles mais il a été remanié au début du XVIIe et restauré au XIXe.
Au lieu-dit La Frémaudière, on découvre ce grand et vieux puits.
A La Guignière, des pieux sont visibles dans le lit de la Loire. Il s'agit des restes d'un "pont" romain datant du Ier siècle avant Jésus-Christ. Plus exactement, ces pieux servaient à maintenir les pierres d'un gué utilisé lors de la période des basses eaux. Un bac aurait été en service en dehors de cette période. La voie romaine Poitiers-Tours-Le Mans empruntait ce passage.
Sur la rive droite de la Loire, dans le prolongement du pont, l'oppidum gaulois de Montboyau est encore visible. Situé près de la confluence de la Choisille et de la Loire, il était protégé à l'Est par une falaise abrupte (photo). Sur le coteau, des fossés de 20 mètres de large et un talus de 7 mètres de haut servaient de fortifications.
Fondettes possède son girouet dont la partie centrale représente l'église Saint-Symphorien, le château de Chatigny et un bateau de Loire.
A l'angle Nord-Ouest de son parc, la tour-chapelle carrée en pierres de taille (XVIIIe siècle), ceinturée à mi-hauteur par un cordon et couverte d'un toit à l'impériale, domine la rue Jean-Inglessi. La porte en plein cintre, avec clef en saillie, est encadrée par deux pilastres doriques. Le tympan triangulaire est creusé d'une niche abritant une statuette de saint Jean. Cette chapelle fait le pendant avec la tour-pigeonnier (au Nord-Est).
La tour Nord-Est, ayant servie de chapelle, remonte à la fin du XVe siècle. La partie principale du logis peut dater de la fin du XVe siècle avec son rez-de-chaussée en damier de pierre et de brique. Le niveau supérieur est en pierres de taille comme le pavillon quadrangulaire abritant jadis un escalier à vis. Toutes les ouvertures de la façade Sud ont été remaniées. Par contre, le pignon Est a conservé, à l'étage, une fenêtre à croisée de pierre, et le rampant à rondelis est orné de têtes d'animaux. Toute cette partie a gardé sa charpente en carène de navire inversée se a été construite sur un double étage de caves voûtées en berceau appareillé.
Au XVIIe siècle, une aile en retour d'équerre fut ajoutée à l'Ouest. En 1905, sa partie Nord a été remaniée, surélevée et élargie. En même temps, l'escalier à vis fut supprimé, ses ouvertures aveuglées, remplacées par des baies éclairant les nouvelles pièces prolongeant chaque niveau. Un escalier en bois à volées rectilignes, plus central, fut aménagé.
A l'angle Nord-Ouest se dresse une tour divisée par des bandeaux plats en trois niveaux, les deux supérieurs en pierres de taille percés de meurtrières horizontales permettent de la dater du milieu du XVIe siècle. Le toit conique couvert en ardoise repose sur une corniche à petits modillons. Les encadrements en bossage des ouvertures et les deux cheminées sont les témoins d'un réaménagement de la première moitié du XVIIe qui créa deux chambres superposées reliées par un escalier dans l'épaisseur du mur.
Cet ensemble est construit sur une terrasse dominant le parc, limitée par deux tourelles en encorbellement (vers 1840) dont les culs-de-lampe sont d'origine. Leurs poivrières reposent aussi sur une ligne de petits modillons.
Dans son parc, au Nord, un pigeonnier carré, sans toit, renferme 1500 boulins (nids de pigeons) en brique disposés en travées de cinq rangées chacune.
Le manoir privé du Thouadé a été construit à la fin du XVIIe siècle ou au début du XVIIIe. Le corps de logis de plan rectangulaire, édifié entièrement en pierres de taille, présente un avant-corps en léger relief limité par des bossages. Les percements sont à linteau cintré au rez-de-chaussée, mais rectiligne au premier étage où la porte-fenêtre centrale donne sur un balcon à rampe de fer forgé du XVIIIe siècle avec rosace médiane, portant un masque entouré de rayons. Le haut comble à quatre pans est percé par trois lucarnes à fronton courbe, celle du milieu plus ample, les autres accostés d'ailerons. L'intérieur à gardé plusieurs cheminées d'époque et dans une chambre subsistent de boiseries ornées de guirlande de feuillage en feston ou de couronnes avec carquois et flèches. Le plus ancien escalier est en charpente à noyau avec appui à balustres. Un autre escalier à rampe métallique, menant seulement au premier étage, semble dater du XIXe siècle.
Le manoir privé du Thouadé a été construit à la fin du XVIIe siècle ou au début du XVIIIe. Le corps de logis de plan rectangulaire, édifié entièrement en pierres de taille, présente un avant-corps en léger relief limité par des bossages. Les percements sont à linteau cintré au rez-de-chaussée, mais rectiligne au premier étage où la porte-fenêtre centrale donne sur un balcon à rampe de fer forgé du XVIIIe siècle avec rosace médiane, portant un masque entouré de rayons. Le haut comble à quatre pans est percé par trois lucarnes à fronton courbe, celle du milieu plus ample, les autres accostés d'ailerons. L'intérieur à gardé plusieurs cheminées d'époque et dans une chambre subsistent de boiseries ornées de guirlande de feuillage en feston ou de couronnes avec carquois et flèches. Le plus ancien escalier est en charpente à noyau avec appui à balustres. Un autre escalier à rampe métallique, menant seulement au premier étage, semble dater du XIXe siècle.
De la terrasse, on domine une vaste pelouse s'étendant jusqu'à la levée de la Loire. On y descend par un escalier à double volée droite d'une quinzaine de marches avec rampe de fer forgé Louis XV. Sur cette pelouse, on voit un groupe sculpté, une Diane au repos de Clésinger. A l'Ouest, le bâtiment des communs limite la terrasse, percé en son centre par un porche à fronton triangulaire avec oculus. Dans le coteau, un passage voûté de quelques mètres conduit à une porte en arc outrepassé donnant sur une longue galerie creusée dans le rocher. Le pigeonnier, signalé sur la terrasse dans tous les actes du XVIIIe siècle, a disparu.
Le logis privé du Boulay se compose d'un corps de bâtiment dont la façade est à l'Ouest, d'un simple rez-de-chaussée et d'un comble à pavillon. Celui-ci est éclairé par quatre lucarnes de pierre à fronton courbe. Une cinquième, semblable, existe au Nord. L'entrée principale, qui est excentrée, donne sur un perron de sept marches arrondies. De part et d'autre, une porte étroite s'ouvre sur un degré rectiligne. L'édifice est élevé sur un sous-sol formé de trois caves en voûte appareillée, parallèles, mais d'inégale longueur. Deux pièces ont conservé leur cheminée de la fin du XVIIe siècle, avec corniche au plafond et trumeau rectangulaire. L'escalier, de la même époque, est en bois, d'une seule volée tournant à droite avec rampe de balustres en poire. Il est logé à l'Est dans une tourelle en pierre de taille dont l'angle Sud-Est fut englobé par une aile en retour d'équerre construite postérieurement et plus basse renfermant la cuisine. Une chapelle, dédiée à Saint-Louis, avait été construite par Louis Souard et bénite le 15 septembre 1746. Le côté Nord de la cour est presque totalement occupée par une grange aux pignons à rondelis. A l'opposé, une autre dépendance contiguë à ce qui était la maison du fermier, présente une face en colombage avec un coq en épi sur un clocheton. Ce logis possède un pigeonnier.
Le moulin à vent de Bois-Thoreau est un moulin-tour construit vers 1836 sur les fondations d'un moulin-cavier. Il fut désaffecté en 1865 et restauré en 1978. De nos jours, il sert de logis privé.
Le moulin à vent de Bois-Thoreau est un moulin-tour construit vers 1836 sur les fondations d'un moulin-cavier. Il fut désaffecté en 1865 et restauré en 1978. De nos jours, il sert de logis privé.
A voir
- Le moulin des Roches (Les Coudrières en 1515), sur la Choisille, a appartenu au prieuré Saint-Côme (La Riche). Rebâti en 1943, il est ensuite devenu une minoterie.
- Le moulin de Bois-Jésus (moulin de Dec en 1437) est situé sur une dérivation de la Choisille appelée Le Boisseau (existant avant le XVe siècle). Reconstruit en 1838, il a cessé son activité en 1980.
Patrimoine disparu
- L'église Saint-Pierre de Vallières construite en 940 par l'archevêque Théotolon. Effondrée avant la Révolution, elle fut vendue en 1793.
- La chapelle Saint-Vincent de Vallières édifiée en 1240.
- La chapelle de La Petit-Plaine fut détruite par un incendie, fin août 1871.
- La chapelle du Plessis qui existait au XIVe siècle.
- Le dolmen de Maumont fut détruit vers 1895.
- Le moulin de Charcenay, sur la Choisille, construit en 914 par les religieuses de Beaumont-lès-Tours, a été arrêté en 1854 puis a disparu peu après cette date.
- Le moulin de Taillé, sur la Choisille, a été arrêté vers 1750. Il en reste des pans de murs.
- Le moulin de Quincampoix, dans le parc de la Billetrie, moulin à vernis après 1818, a disparu.
- Le moulin à vent de Bel-Air avait été construit en 1834 et détruit avant 1880.
- Le moulin à vent de La Moussardière dont la tour, servant de pigeonnier en 1758, était encore signalée en 1811, avait disparu en 1937.
- L'éolienne Bollée (1881) du château de Bel-Air.
Lieux-dits: Barbarie, Barcelone, Beaujardin, Beaumanoir, Bel-Air, Belle-Vue, Bois-Farault, Bois-Jésus, Bois-Soulage, Bois-Thoreau, Chaillemont, Chantelouze, Charcenay, Château-de-Bel-Air, Château-Gaillard, Chatigny, Chaufour, Chaussée-de-Chatigny, Clos-Poulet, Criabé, Ganay, Garreau, Gratte-Chien, Guesne, Île-de-Port-Foucault, La Barre, La Basse-Justerie, La Basse-Moussardière, La Baste, La Berthellerie, La Billetrie, La Bodinière, La Bonde, La Boucardière, La Bourdonnière, La Brosse, La Bruère, La Bruzette, La Butte, La Chaise, La Chaise-au-Diable, La Charmoise, La Chauvellière, La Cheminée-Ronde, La Chevalette, La Coquerie, La Croix-Chaufour, La Croix-Galifer, La Folie, La Fontaine, La Fontaine-des-Ruettes, La Forge, La Fortellerie, La Fosse-des-Grands-Champs, La Frémaudière, La Grande-Cour, La Grande-Fosse, La Grande-Laise, La Grosse-Pierre, La Guignière, La Haute-Limougère, La Haute-Moussardière, La Huberdière, La Joncherie, La Limougère, La Maison-d'Ardoise, La Margaudière, La Martinière, La Morandière, La Perrée, La Petite-Barre, La Petite-Bodinière, La Petite-Bruzette, La Petite-Plaine, La Picardie, La Pinsonnerie, La Pisseuse, La Plaine, La Planche, La Roulière, La Thibaudière, La Tourtellerie, Lavaray, Le Bordeau, Le Boulay, Le Chaussé, Le Chêneau, Le Chêne-Vert, Le Clos-Mignon, Le Crucifix, Le Four-Blanc, Le Gournet, Le Grand-Barré, Le Grand-Beauchêne, Le Grand-Martigny, Le Grand-Ormeau, Le Jardin, Le Morier, Le Moulin-à-Vent, Le Paradis, Le Pavillon, Le Petit-Barré, Le Petit-Beauchêne, Le Petit-Locher, Le Petit-Martigny, Le Petit-Plessis, Le Petit-Tréché, Le Plessis-d'Enfer, Le Pont-de-la-Motte, Le Portail, Le Ruisseau, Le Soreau, L'Essey, Le Thouadé, Le Tison, Le Treuil, Le Val-Joli, Le Verger, Les Aubuis, Les Aulnaies, Les Baudes, Les Bordes, Les Brosses, Les Cartes, Les Chairières, Les Cochardières, Les Cossons, Les Fontaines, Les Fourneaux, Les Galardons, Les Grands-Champs, Les Guillets, Les Hamardières, Les Hémeris, Les Houdris, Les Landes-Blanches, Les Lochers, Les Maisons-Rouges, Les Mussetteries, Les Patouillaux, Les Pernelles, Les Pivotières, Les Rabatteries, Les Renardières, Les Roches, Les Roulets, Les Ruettes, Les Tombes, Les Tourelles, Les Trois-Maries, Les Vallées, L'Île-de-Quinquengrogne, Malabris, Mareuil, Marsan, Mazère, Morienne, Moulin-de-Bois-Jésus, Moulin-des-Roches, Pampenelle, Port-de-Vallières, Port-Foucault, Roule-Crotte, Taillé, Tartifume, Tréché, Vallières, Veau-Liard, Ville-Blanche
Dans le texte, est écrit ayant servie au lieu de ayant servi.
RépondreSupprimerExact. Merci.
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