Saint-Paterne-Racan

Saint-Paterne-Racan (Wikipedia) est une commune du Nord de la Touraine. Ses habitants sont appelés les Saint-Paternois, les Saint-Paternoises.
Au VIe siècle, Grégoire de Tours mentionne le village sous le nom de Parochia Paternensis. Ensuite, il porta les noms de: Sanctus Paternus (849, charte de Saint-Martin de Tours), ecclesia Sancti Paterni (XIVe siècle, cartulaire de l'archevêché de Tours), Saint-Pater (1402, cartulaire de l'archevêché de Tours), Les Bains (1793), Saint-Paterne (XVIIIe siècle, carte de Cassini), Saint-Paterne (1820, carte de l'état-major), Saint-Paterne-Racan (décision municipale du 29 février 1932 puis décret du 3 décembre 1936).
Saint-Paterne formait une châtellenie appartenant à la collégiale Saint-Martin de Tours et qui était attachée à la dignité du prévôt d'Oé. Le fief de La Roche-au-Majeur appartint à la famille de Bueil.
Le plus ancien registre paroissial date de 1544.
Coordonnées GPS de St-Paterne-Racan: 0°29'01"E - 47°36'07"N
Code INSEE: 37231 - Code postal: 37370 - Superficie: 4777 hectares
Altitudes: 65 à 133 mètres (dans le bois de Huppe-Loup)
Cours d'eau: l'Escotais, la Duie
L'église Saint-Paterne a été reconstruite au XVIIIe siècle (après l'incendie du 22 mars 1768) mais il reste des traces de l'édifice primitif des XIe (les murs, parementés en petit appareil, Nord de la nef et du chœur, la base du mur du chevet) et XVe siècles (la façade Ouest et le clocher). Le mur Nord est encore percé par une fenêtre en plein cintre primitive, diminuée dans sa hauteur, en 1860, par la construction de la sacristie. La trace d'une autre baie de la même époque se trouve dans le mur pignon Est.
La façade Ouest possédait une porte en anse de panier, maintenant condamnée. Le clocher occupe Nord de cette façade. Au rez-de-chaussée de ce clocher, occupant la moitié de la première travée de la nef, se trouve une chapelle voûtée d'ogives.
La nef est longée, au Sud, par un collatéral formé de trois travées reliées par des arcades en tiers-point. De fausses voûtes ont remplacé les bardeaux mais les tirants sont demeurés.
Cette église renferme un groupe sculpté en terre cuite (XVIIe siècle) représentant L'Adoration des Mages: la Vierge à l'Enfant est entourée par saint Joseph et les trois rois mages. Ces statues ont été modelées, vers 1619, par Gervais Delabarre (Le Mans).
Un vitrail est signé par Lucien-Léopold Lobin (Tours): sainte Hélène et saint Gontran (1869, 📷). Un autre, le Sacré-Cœur du Christ et le Sacré-Cœur de la Vierge, est une œuvre de Julien Fournier et Amand Clément (Tours, 1878). En 1887, Julien Fournier seul réalisa huit grisailles ornementales.
Son orgue a été construit par Philippe Legeay entre 1830 et 1845 et agrandi par Louis Bonn entre 1845 et 1855.
L'ancienne abbaye cistercienne de La Clarté-Dieu a été fondée en 1239 par l'évêque de Winchester, Pierre des Roches. Cette fondation a été autorisée le 22 juillet 1240 par l'archevêque de Tours.
Le pavillon des convers (XIIIe siècle) était située à l'Ouest de l'église et du cloître qui ont été démolis. On aperçoit encore l'arrachement d'un mur à l'angle Nord-Est du bâtiment des convers (à droite de la photo).
Dans les combles de ce pavillon, le dortoir des convers est recouvert par une charpente en carène de navire inversée.
Le rez-de-chaussée, la salle située à l'Est est voûtée en berceau en plein cintre avec quatre arcs doubleaux.
Le logis dit abbatial, achevé en 1733, était plutôt le logement des religieux du noviciat. Il comprend quatre niveaux surmontés d'un toit en pavillon couvert d'ardoises. Au sommet du mur Sud, un fronton triangulaire est percé par deux oculus entourant les armes de l'abbaye.
Située au Sud de l'abbaye, la chapelle des étrangers (XIIIe siècle) a perdu son toit, encore visible dans les années 1960. C'était un bâtiment couvert en charpente. Son mur Sud était ajouré par trois petites fenêtres à linteau avec évidement rectiligne et chanfreiné et par deux portes en plein cintre condamnées. Au Nord furent aussi murées deux grandes baies en arc brisé. Une porte de même dessin et deux baies jumelles percent le pignon Est. Au mur Ouest fut contigu un bâtiment disparu qui était chauffé par une cheminée dont subsiste le conduit de fumée.
Le château privé de La Roche-Racan, construit de 1636 à 1651 par l'architecte Jacques Gabriel, a été modifié au XIXe siècle. Le poète Honorat de Bueil de Racan y habita de nombreuses années. Il a remplacé un logis seigneurial souterrain appelé La Roche-au-Majeur.
Primitivement, le château comprenait deux pavillons à grand axe Nord-Sud, celui de l'Ouest bâti dans la vallée, celui de l'Est sur le coteau, et un bâtiment transversal les réunissant et dont le rez-de-chaussée présentait une porte reliant la cour Nord à la cour d'honneur. Ce dernier bâtiment, qui abritait au rez-de-chaussée la salle à manger, a perdu ses deux tiers du côté de l'Est. Le pavillon Est, qui a aussi disparu, comprenait à premier étage la chapelle où l'on accédait par l'escalier dit du Fer à Cheval qui subsiste. Cette chapelle, dédiée à Saint-Louis, fut bénie le 1er novembre 1636.
Le pavillon Ouest et le tiers de l'aile transversale constitue le château actuel. Ce pavillon est élevé, au-dessus de deux étages de salles de servitudes voûtées d'arêtes, de trois étages d'appartements dont le premier forme le rez-de-chaussée sur la terrasse. Les fenêtres supérieures coupent la corniche et sont surmontées par des frontons. L'angle Nord-Ouest est accompagné par une tourelle polygonale. La lucarne médiane de la façade Ouest, occupée par une horloge, porte les armes des Racan. A l'intérieur, se trouve un escalier de pierre à rampe droite.
Le bâtiment du jardin d'hiver a été rajouté à la façade Sud en 1895. La terrasse précédant le château de ce côté fut créée en 1880 sur les substructions du château primitif auquel ont appartenu un mur de soutènement et la base d'une tour. Cette terrasse a été refaite et élargie en 1895.
Ce château possède un petit pigeonnier octogonal du XIXe siècle. A l'intérieur, le rez-de-chaussée est occupé par un escalier qui conduit à l'étage constituant la fuie elle-même. Les plages d'envol sont soutenues par huit consoles sculptées en forme de pigeons qui s'envolent. Un lanternon d'ardoise surmonte le toit.
On peut aussi y voir quelques gargouilles.
Au pied du château, cette petite construction renferme un bélier hydraulique de la firme Bollée. Ce mécanisme, installé en 1887, permettait de faire monter de l'eau jusqu'au logis.
Une statue du poète Racan a été érigée devant la mairie.
Le château privé d'Hodebert date du XVIIe siècle. Il est constitué d'un corps de logis central à comble élevé percé par trois lucarnes, entouré, de part et d'autre, par deux pavillons (fin du XVIIIe) étroits s'alignant sur le logis à l'arrière mais formant une légère saillie sur la cour. Chacun a été doublé par un autre pavillon qui est en décrochement plus marqué sur les jardins. Toutes les ouvertures, placées d'une façon symétrique, ont gardé leurs huisseries à petits carreaux. Le côté Nord de la cour est occupé par des servitudes du XIXe siècle présentant quatre grandes et autant de petites portes en plein cintre. Ces dépendances, contiguës d'un côté à une orangerie, sont de l'autre reliées au château par une aile mansardée percée à sa base par un porche voûté. Celui-ci communique avec la cour des communs sur laquelle donnent plusieurs caves creusées dans le rocher. A l'Ouest, un grand bâtiment, couvert par un toit à plusieurs pans, est ouvert à sa base par quatre grandes arcades en anse de panier.
Le château privé du Breuil a été reconstruit en 1860. Les portes de l'enceinte au Nord et au Sud, ont des crénelages modernes. Jadis, Le Breuil était un fief.
De l'enceinte féodale disparue, il subsiste au Nord deux tours cylindriques en moellons de 1471 qui ont perdu leur toiture en poivrière. Elles défendaient les abords grâce à des petites meurtrières horizontales pour armes à feu. A l'angle Sud-Est, s'élève un pigeonnier circulaire du XVIIe siècle qui est semi-enterré sur 3 mètres environ. Son toit d'ardoise repose sur une corniche. Entre celle-ci et le cordon plat de la partie supérieure, s'ouvrent deux baies en plein cintre pour le passage des pigeons. L'intérieur renferme environ 800 boulins disposés en quatre travées de cinq rangées. Son arbre tournant existe toujours mais son échelle a disparu. Les embrasures de quelques meurtrières montrent que cette fuie faisait partie du système défensif. Celui-ci devait être complété par une quatrième tour dont l'emplacement est peut-être celui se la tour qui, au Sud, flanque le château moderne.
Le manoir privé de Saché, bâti au XVIe siècle, a été remanié au XIXe. Ce manoir comprend deux bâtiments accolés d'époques différentes. Au Sud, le plus ancien ne possède qu'un seul pignon triangulaire aigu visible. Au Nord-Est, on voit une fenêtre étroite qui a gardé sa traverse et une autre, plus grande, qui a perdu sa croisée de pierre. Le mur goutterot, de ce côté, s'aligne sur celui du pavillon du XVII siècle qui est en forte saillie sur la façade Sud. Son comble élancé à quatre pans est éclairé, de chaque côté, par une lucarne de pierre à fronton triangulaire. Le rez-de-chaussée est chauffé par une cheminée à hotte droite sur des jambages rectangulaires avec corniche au plafond. Celle du premier étage est plus simple avec un linteau de bois. A l'entrée de la cour, se dresse une tour quadrangulaire couronnée par une mince corniche.
Le manoir privé de La Grange-Saint-Martin est composé d'un bâtiment central du XVe siècle prolongé de chaque côté par deux corps de logis ajoutés dans le second quart du XIXe. Au Sud, les toitures reposent en grande partie sur une longue corniche à petits modillons. On pénètre dans le domaine au Sud, entre deux piliers, par un pont enjambant les fossés. On y voit aux deux extrémités l'infrastructure de tourelles appartenant peut-être, jadis, à un système défensif totalement disparu. A l'extrémité Est du logis, la chapelle daterait du milieu du XVIIe siècle. Une pierre du mur Est, à l'intérieur porte une date gravée: 1654. En 1885, elle fut transformée en pressoir puis en bergerie. Une ouverture rectangulaire, percée dans le mur Est, permettait le passage des animaux, alors que la porte d'entrée, au Nord, était murée. A l'intérieur, une grande baie en plein cintre condamnées, quelques vestiges de la voûte en lambris, une petite niche à fond creux qui devait être un bénitier, rappelle seuls l'origine primitive du bâtiment.
Au Nord, sous la cour existent des restes de souterrains. Une galerie, soutenue au départ par une croisée d'ogives aux nervures abattues par un chanfrein et en son centre par un doubleau, est prolongée perpendiculairement par une autre voûtée en plein cintre. Il s'agirait d'anciennes prisons signalées dans un document de 1782.
En 1793, le manoir est acheté par Michel-Louis Bergey, ancien capitaine des dragons du roi à Saint-Domingue. En 1795, il y accueille sa nièce Julie Bouchaud des Hérettes, mariée le 25 juillet 1804, dans l'église de Saint-Paterne, au physicien Jacques Charles, mais qui devint célèbre, en 1816, à la suite de sa rencontre avec Lamartine, à Aix. Elle sera alors la muse inspiratrice du poète sous le nom d'Elvire.
Au 15 rue des Écoles, le collège de Rougemont (début du XVIe siècle) est devenu un logis privé. Ce collège fut fondé en 1552. Cette fondation fut confirmée en 1637 par le prévôt d'Oé. A l'Ouest, le logis a gardé un haut pignon à rondelis. La partie Est, couverte par une croupe, est un agrandissement adossé à un mur intérieur de 60 centimètres d'épaisseur qui est peut-être l'ancien pignon. Le linteau de la porte d'entrée est garni d'une guirlande de feuillage retombant sur les piédroits où elle se termine par deux masques dont l'un montre ses dents et l'autre tire la langue. Au-dessus, la fenêtre à croisée de pierre est surmontée par une accolade sans fleuron prenant appui sur deux culots représentant des petits anges. Sous l'appui de chaque fenêtre du premier étage sont sculptées des séries d'animaux: au centre, trois chiens se mordant la queue, à gauche des canards, à droite des poulets dans différentes attitudes. Le même décor se retrouve aussi sur la rue et sur la corniche. Au-dessus de chaque baie existe une frise de feuillage de même longueur qu'elle. A l'angle Sud-Ouest, un renard tient un oiseau dans sa gueule, alors qu'au Sud-Est sont gravées des initiales dont un J.
La gare de Saint-Paterne, située au Nord du bourg, se trouve sur la ligne Tours-Le Mans qui fut inaugurée en 1858. Mise en service le 19 juillet 1858, cette gare, déclassée en 1990, est devenue la bibliothèque municipale.
Sur son pignon Sud, une inscription indique qu'elle était aussi la gare de Saint-Christophe-sur-le-Nais.
Le menhir en grès de la Pierre Levée, à 600 mètres au Nord-Est du lieu-dit La Grange, mesure 3 mètres de haut, 2,65 mètres de large et 0,65 mètre d'épaisseur.
Dominant Saint-Paterne, ce calvaire a été béni le 2 juin 1912 par Mgr Métreau.
Un petit lavoir privé est visible de la route à La Fontaine-Aux-Bains.
Il existe encore quelques loges de vignes sur le territoire de Saint-Paterne.
Au lieu-dit Les Caves-le-Feu, un abri troglodytique présente plusieurs personnages sculptés dans la roche et peints. A gauche de l'entrée, ce personnage est nommé Monsieur le directeur Vincentzo (vin sans eau).
A droite de la même entrée, on trouve six bustes (un texte est gravé sous les trois bustes accolés)...
... puis deux autres bustes dont les moustaches en guidon de vélo permettent de penser que ces sculptures datent des années 1930. En dessous, un autre texte est gravé sur une plaque triangulaire.
Dans l'avenue du Maréchal-Leclerc, le pignon d'une maison présente un pigeonnier mural de style néo-classique. Au centre du triangle, une petite tour cylindrique à deux niveaux est encadrée par deux pavillons à fronton triangulaire. Les huit ouvertures sont en plein cintre.
Sur la place de la République, le claveau en pierre d'une porte cochère, de 1920, est sculpté. C'est une enseigne de maréchal-ferrant sur laquelle on distingue, dans un fer à cheval, des tricoises (tenailles) et un brochoir (marteau à ferrer).
Le château privé de La Fougeraie a été édifié en 1855 par Ernest Le More mais sa ferme date de 1847.

A voir
  • Le polissoir d'Hodebert, situé à 240 mètres au Nord-Est du château, est un bloc de grès éocène mesurant 3,60 mètres de long, 2,40 mètres de large et 1,50 mètre d'épaisseur. Il présente dix rainures de polissage et onze cuvettes (ou plages)
  • Au hameau de Berry, jadis Le Grand-Berry, un grand bâtiment renferme une chapelle dédiée à saint Louis et fondée, vers 1541, par Louis Floremont, protonotaire apostolique. Elle comprend deux travées voûtées sur croisées d'ogives à nervures moulurées d'un tore. Elle était éclairée par une fenêtre en plein cintre et on y accédait par une porte en plein cintre surmontée par une petite niche.
  • Le moulin de la Clarté-Dieu (XIVe siècle), ancien moulin banal, a été reconstruit en 1850 mais a conservé des parties plus anciennes.
  • Les habitations troglodytiques de la vallée des Besnards.
Patrimoine disparu
- Le moulin de l'Image ou du Gué avait été reconstruit en 1854 et agrandi en 1877 (ajout d'un hangar). Il a été détruit en août 1999. Le moulin primitif, datant de 1232, était cité dans un acte de 1455 lors d'une transaction entre le chapitre de Saint-Martin de Tours et la veuve de Jean Pavin, seigneur de Saché.
- Le moulin du bourg, construit dans la seconde moitié du XVIe siècle, fut rebâti au XIXe siècle puis détruit vers 1973. Auparavant, un moulin, cité dès 1395, existait déjà dans le bourg.
- Le moulin de Gravot a été mentionné en 1231. Il était actionné par la Duie.
- Le Moulin-Fondu était situé à proximité du moulin de Gravot. Son bief a subsisté.
- Le moulin de la Roche était un moulin banal. Actionné par l'Escotais, il fonctionnait déjà en 1630. Il fut vendu à la Révolution comme bien national et détruit en 1876.
- Au lieu de Pont-Joubert, sur la rive gauche de la Duie, un peu en aval du Breuil, il y avait un moulin à tan (en 1554) puis à foulon (en 1724). Il relevait de la prévôté de d'Oé.
- Le moulin de la Duie, relevant de la prévôté d'Oé, est cité en 1317. Ce moulin a été détruit en 1895 par le passage de la route.
- Situé en contrebas du château d'Hodebert, un moulin à tan puis à foulon, dont la première mention date de 1249, fut détruit vers 1880. Il relevait de la prévôté d'Oé.
- Le moulin de Berry, édifié au XVIIIe siècle, fonctionnait grâce à l'eau de plusieurs sources et de celle de l'étang de Braye, asséché depuis longtemps.
- Le ruisseau de la Clarté faisait mouvoir le Moulin-Neuf, ou moulin de La Jolinière, ancienne propriété de la collégiale Saint-Martin. Il était encore présent sur le cadastre napoléonien de 1834 mais fut détruit par la suite.
- Le menhir de Carême-Prenant, situé à 1,8 km au Sud-Sud-Est du bourg, mesurait 1,10 mètre de haut et 1 mètre de large.

Lieux-dits: Arceveau, Beau-Soulage, Beauvoix, Bel-Air, Bellevue, Berry, Biéné, Bois-de-la-Fougeraie, Bois-Rond, Brault, Carême-Prenant, Clairville, Forge, Gravot, Guimont, Hodebert, Huppe-Loup, La Bélueterie, La Bénauderie, La Bénéraye, La Bernettière, La Besnardière, La Blonnière, La Boisardière, La Bonne-Valtière, La Borde-aux-Oiseaux, La Bouchaudière, La Boutraye, La Bouvinière, La Cantée, La Charbonnerie, La Chevalerie, La Clarté-Dieu, La Collassière, La Contancière, La Croix, La Dorenière, La Fauperie, La Fontaine, La Forêt, La Fougeraie, La Fripière, La Gaudine, La Gillottière, La Glandée, La Grande-Revaserie, La Grange, La Gringolerie, La Guillotière, La Guionneraie, La Haute-Pinaudière, La Huraudière, La Jaunay, La Jolinière, La Juilloterie, La Juperie, La Laudraye, La Lune, La Maison-Rouge, La Maurenière, La Ménardière, La Mignonnerie, La Morinière, La Mortière, La Noiraie, La Pasquèlerie, La Pellerie, La Peltière, La Perrée, La Petite-Boutraye, La Petite-Revaserie, La Pézeraie, La Pichardière, La Pierre-Levée, La Pincellière, La Piraudière, La Plainerie, La Prée, La Racotterie, La Raguennerie, La Ridellière, La Roche-Bertrand, La Roche-Racan, La Roizerie, La Suze, La Taillerie, La Tremblaye, La Vallée, La Vallée-de-la-Forêt, La Vallée-de-la-Roche, La Vallée-des-Besnards, La Verrerie, Le Bois-du-Clos, Le Bouffay, Le Breuil, Le Château, Le Chauchy, Le Fief-l'Abbé, Le Grand-Thuré, Le Gravier, Le Guignier, Le Haut-Vigneau, Le Houx, Le Ménage, Le Moulin-Neuf, L'Enferterie, Le Pavillon, Le Petit-Bouffay, Le Petit-Maiseron, Le Petit-Thuré, Le Ripré, L'Ermitage, Le Sapin, Le Saugeais, L’Étang-de-Braye, Le Tertre-Poirier, Le Tremblay, Le Vigneau, Le Vivier, Les Bains, Les Belles-Caves, Les Buffières, Les Caves-le-Feu, Les Crachouses, Les Crochetières, Les Exemples, Les Gaudières, Les Hetres, Les Isembardières, Les Landes, Les Ormeaux, Les Petites-Gaudières, Les Sachés, L’Espérance, Les Tardines, Les Vallées, L'Ormeau, L'Oucherat, Lucé, Maiseron, Mortier-du-Pêchoir, Moulin-de-la-Clarté-Dieu, Moulin-de-l'Image, Moulin-Harteau, Passe-temps, Poirier, Rocheboit, Saché, Saint-Hubert, Soreau, Terchey, Vaumargot, Vitray
    Blason de Saint-Paterne-Racan

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