Saint-Cyr-sur-Loire (Wikipedia) est une ville de la banlieue Nord-Ouest de Tours. Ses habitants sont appelés les Saint-Cyriens, les Saint-Cyriennes.
Elle a porté les noms de: S. Ciricus (886, diplôme de Charles le Gros), Ciriacus (929), Sancti Ciricii (XIIIe siècle, cartulaire de l'archevêché de Tours), Sainct Syre sur Loire (1552, Charles Estienne, Guide des chemins), Saint-Cyr-sur-Loire (1610, 1691 et 1719, titres de la cure de Saint-Cyr), Saint-Cyr (XVIIIe siècle, carte de Cassini), Belle-Côte (1793), Saint-Cyr (1820, carte de l'état-major).
La paroisse fut créée en 418 par saint Brice. C'est un ancien fief, appelé Chaumont, ayant appartenu successivement aux archevêques de Tours, à la famille d'Amboise et au chapitre de Saint-Martin de Tours.
Elle a porté les noms de: S. Ciricus (886, diplôme de Charles le Gros), Ciriacus (929), Sancti Ciricii (XIIIe siècle, cartulaire de l'archevêché de Tours), Sainct Syre sur Loire (1552, Charles Estienne, Guide des chemins), Saint-Cyr-sur-Loire (1610, 1691 et 1719, titres de la cure de Saint-Cyr), Saint-Cyr (XVIIIe siècle, carte de Cassini), Belle-Côte (1793), Saint-Cyr (1820, carte de l'état-major).
La paroisse fut créée en 418 par saint Brice. C'est un ancien fief, appelé Chaumont, ayant appartenu successivement aux archevêques de Tours, à la famille d'Amboise et au chapitre de Saint-Martin de Tours.
Le plus ancien registre paroissial date de 1547.
Coordonnées GPS de St-Cyr-sur-Loire: 0°39'50"E - 47°24'09"N
Code INSEE: 37214 - Code postal: 37540 - Superficie: 1350 hectares
Altitudes: de 45 à 101 mètres
Cours d'eau: la Loire, la Choisille, le ruisseau de la Perrée, la Petite Gironde, le ruisseau de Saint-Roch, la Petite Choisille Sur cette photo, on peut voir l'église Saint-Cyr-et-Sainte-Julitte avec, à droite, La Péraudière (actuelle mairie) et, à gauche, l'ancienne mairie construite de 1934 à 1936 et dominée par un beffroi..
Code INSEE: 37214 - Code postal: 37540 - Superficie: 1350 hectares
Altitudes: de 45 à 101 mètres
Cours d'eau: la Loire, la Choisille, le ruisseau de la Perrée, la Petite Gironde, le ruisseau de Saint-Roch, la Petite Choisille Sur cette photo, on peut voir l'église Saint-Cyr-et-Sainte-Julitte avec, à droite, La Péraudière (actuelle mairie) et, à gauche, l'ancienne mairie construite de 1934 à 1936 et dominée par un beffroi..
L'église Saint-Cyr-et-Sainte-Julitte, reconstruite à la fin du XVe siècle, fut fortement restaurée en 1868 et en 1877. Elle conserve quelques vestiges de l'église romane primitive, plus petite, du XIIe siècle: les murs Nord et Est de la chapelle nord, la moitié Nord du mur de l'abside qui était alors semi-circulaire, le mur oriental de la chapelle Sud et le contrefort gauche de la façade Ouest. La flèche octogonale surmontant l'église, haute de 34 mètres, date du XVIe siècle.
La nef comprend deux travées inégales voûtées sur une croisée d'ogives et une nervure longitudinale. Les ogives, les doubleaux et les formerets s'insèrent directement, à leur retombée, dans le parement des colonnes engagées. Le chœur occupe la travée suivante, voûtée comme celles de la nef, et se prolonge par l'abside semi-octogonale, éclairée par trois fenêtres en arc brisé. Seule, celle du milieu présente des meneaux flamboyants. A droite et à gauche du chœur, se trouvent les chapelles latérales, voûtées sur croisées d'ogives et éclairées, l'une et l'autre, par deux fenêtres.
Primitivement, le portail se trouvait à la façade Ouest, surmonté par une grande fenêtre encore visible. Il fut fermé en 1740 et remplacé par une baie en anse de panier flanquée de pilastres. Il ne resta alors comme entrée que le porche Sud-Ouest édifié au début du XVIe siècle. A sa façade, entre deux contreforts d'angle sculptés et surmontés d'un clocheton, un arc en accolade, orné de crochets, circonscrit l'ouverture en arc brisé et forme, à sa partie supérieure, un cul-de-lampe décoré d'un écusson aux armes de France et supportant une niche renfermant un statue de la Vierge, au milieu du fronton triangulaire. Entre ses branches, un second écusson porte les armes des Ruzé. A l'intérieur, couvert d'une voûte à huit compartiments, une autre accolade, surmontée aussi d'une statue, circonscrit la porte de l'église.
A gauche du porche, on voit une tourelle d'escalier. A droite, le contrefort Sud-Ouest de la chapelle Sud est orné par une statue, du XIXe siècle, de sainte Eulalie.
Dans le chœur, deux statues en bois (début du XIIIe siècle) représentent la Vierge (ou sainte Apolline) et saint Jean l’Évangéliste. Elles ont conservé des traces de polychromie. En 1875, elles furent retrouvées au-dessus des voûtes de l'église, dans des gravats.
Cette statue de la Vierge à l'Enfant (début du XVIIe siècle), en terre cuite polychrome, a été restaurée en 1994.
Cette église renferme huit vitraux signés par Van-Guy (Tours): la Résurrection de Lazare (1977, 📷) et sept verrières abstraites (1975-1977). Un vitrail est une œuvre de Dominique Monsaingeon (Paris, 1949): La Vierge, avec saint Pierre, saint Cyr, saint Jacques et saint Alain. Julien-Léopold Lobin (Tours, 1862) a réalisé une grisaille ornementale.
L'orgue de cette église, conçu par Bernard Aubertin, facteur à Courtefontaine (Jura), a été installé en mars 2000. Il est équipé de 776 tuyaux.
La nef comprend deux travées inégales voûtées sur une croisée d'ogives et une nervure longitudinale. Les ogives, les doubleaux et les formerets s'insèrent directement, à leur retombée, dans le parement des colonnes engagées. Le chœur occupe la travée suivante, voûtée comme celles de la nef, et se prolonge par l'abside semi-octogonale, éclairée par trois fenêtres en arc brisé. Seule, celle du milieu présente des meneaux flamboyants. A droite et à gauche du chœur, se trouvent les chapelles latérales, voûtées sur croisées d'ogives et éclairées, l'une et l'autre, par deux fenêtres.
Primitivement, le portail se trouvait à la façade Ouest, surmonté par une grande fenêtre encore visible. Il fut fermé en 1740 et remplacé par une baie en anse de panier flanquée de pilastres. Il ne resta alors comme entrée que le porche Sud-Ouest édifié au début du XVIe siècle. A sa façade, entre deux contreforts d'angle sculptés et surmontés d'un clocheton, un arc en accolade, orné de crochets, circonscrit l'ouverture en arc brisé et forme, à sa partie supérieure, un cul-de-lampe décoré d'un écusson aux armes de France et supportant une niche renfermant un statue de la Vierge, au milieu du fronton triangulaire. Entre ses branches, un second écusson porte les armes des Ruzé. A l'intérieur, couvert d'une voûte à huit compartiments, une autre accolade, surmontée aussi d'une statue, circonscrit la porte de l'église.
A gauche du porche, on voit une tourelle d'escalier. A droite, le contrefort Sud-Ouest de la chapelle Sud est orné par une statue, du XIXe siècle, de sainte Eulalie.
Dans le chœur, deux statues en bois (début du XIIIe siècle) représentent la Vierge (ou sainte Apolline) et saint Jean l’Évangéliste. Elles ont conservé des traces de polychromie. En 1875, elles furent retrouvées au-dessus des voûtes de l'église, dans des gravats.
Cette statue de la Vierge à l'Enfant (début du XVIIe siècle), en terre cuite polychrome, a été restaurée en 1994.
Cette église renferme huit vitraux signés par Van-Guy (Tours): la Résurrection de Lazare (1977, 📷) et sept verrières abstraites (1975-1977). Un vitrail est une œuvre de Dominique Monsaingeon (Paris, 1949): La Vierge, avec saint Pierre, saint Cyr, saint Jacques et saint Alain. Julien-Léopold Lobin (Tours, 1862) a réalisé une grisaille ornementale.
L'orgue de cette église, conçu par Bernard Aubertin, facteur à Courtefontaine (Jura), a été installé en mars 2000. Il est équipé de 776 tuyaux.
Une autre église, moderne celle-ci, existe dans la rue Fleurie: l'église Saint-Pie X, édifiée de 1966 (pause de la première pierre le 14 juin) à 1968, selon les plans de l'architecte Jacques Barthélemy. Son clocher-baptistère à flèche pointue, abrite deux cloches provenant d'anciennes églises d'Algérie. Cette église ne renferme qu'une seule verrière (une composition symbolique) réalisée en 1966 par Van-Guy (Tours).
Son orgue, inauguré le 20 mars 2010, a été construit à Londres dans les années 1830 pour l'église de Wallsend près de Newcastle. En 1897, il est transféré en l'église méthodiste de Murton et transformé par la maison anglaise Harrison and Harrison. Il a été restauré par Martin Renshaw en association avec le facteur tourangeau David Bradesi. Cet orgue est complet (14 registres sur deux claviers et un pédalier).
Son orgue, inauguré le 20 mars 2010, a été construit à Londres dans les années 1830 pour l'église de Wallsend près de Newcastle. En 1897, il est transféré en l'église méthodiste de Murton et transformé par la maison anglaise Harrison and Harrison. Il a été restauré par Martin Renshaw en association avec le facteur tourangeau David Bradesi. Cet orgue est complet (14 registres sur deux claviers et un pédalier).
Une partie de l'Hôtel de ville est constituée par le château de La Perraudière ou La Péraudière (XVIIe siècle). Une chapelle y était signalée en 1787. Cet édifice, acheté en 1981 par la ville, est devenu la mairie en 1986.
Incorporé dans une construction plus récente, l'ancien château possède encore son pignon Nord à rondelis. Il est flanqué à l'angle Nord-Ouest, sur un cul-de-lampe mouluré, par une tourelle en encorbellement où quelques assises de briques alternent avec la pierre de taille. Celle qui lui faisait pendant au Sud-Ouest, encore signalée en 1785, a disparu. Les ouvertures Nord ont été modifiées. Celles qui étaient à l'étage devaient être des fenêtres à croisée de pierre. A la base du mur Ouest se trouve un escalier de pierre qui descend dans une cave voûtée qui communique avec une autre qui est sous la cour. Ce sont les seuls vestiges de l'édifice primitif qui fut enclavé, avant 1785, dans une construction quadrangulaire plus vaste présentant à l'Est une petite cour qui a disparu. Le bâtiment était construit sur une petite terrasse d'où l'on descendait que un plus grande par un perron de deux rampes. Un escalier de pierre conduisait à deux autres plus basses.
Deux bustes, des reproductions, sont visibles dans des niches creusées dans son mur nord. Ils représentent Louise de Savoie et le chancelier Antoine Duprat. Les bustes originaux, du début du XVIe siècle, avaient été retrouvés par un jardinier, en 1880, dans le parc du château. Ils ont été offerts, en 1949, au musée du Louvre.
Sur le mur Est de l'Hôtel de ville, deux cadrans solaires ont été scellés. Ils datent d'octobre 1979.
Construite de 1934 à 1936, l'ancienne mairie (rue de la Mairie et rue Tonnellé) est formée par deux corps de logis perpendiculaires: l'un dont la façade est tournée vers le Nord (photo), l'autre vers le Sud-Est. Des briques jaunes, pour la mairie, et des briques rouges émaillées, pour les communs, furent utilisées pour cette construction.
Au Sud-Ouest se trouve un beffroi renfermant un escalier. Le sommet est occupé par une pendule, de marque Lussault, à plusieurs cadrans.
Le long de la Loire, on peut découvrir des maisons dont les constructions s'étalent du XVIe siècle (photo: 48 quai des Maisons-Blanches) au XIXe siècle.
Dans la rue du Coq, il existe une maison à colombages du XVe ou du XVIe siècle.
Le long de la Loire, on peut découvrir des maisons dont les constructions s'étalent du XVIe siècle (photo: 48 quai des Maisons-Blanches) au XIXe siècle.
Dans la rue du Coq, il existe une maison à colombages du XVe ou du XVIe siècle.
Le manoir de La Béchellerie a été bâti vers 1619 par M. Beschel puis modifié au XIXe siècle. Il abrita l'écrivain Anatole France de 1914 à 1924. C'est lui qui transforma la chapelle en bibliothèque.
En face (9 rue de la Gaudinière) de ce manoir, le logis de La Gaudinière (XVIIIe et XIXe siècles) appartint au philosophe Henri Bergson qui l'acheta en 1937 et y vécut, les étés, jusqu'en octobre 1940.
Le château de La Clarté (XIXe siècle) est devenu une école de musique.
Au 85 rue Tonnellé, le château privé de La Grenadière (vers 1866) est un bâtiment à trois niveaux, couvert par un toit à la Mansart. Au centre de la façade Sud, se trouve une importante tour.
Rue Victo-Hugo, le parc du manoir de La Tour (XVe siècle mais très remanié au XIXe siècle) a été transformé en un sympathique jardin public dont le thème est la littérature. La tourelle de briques et pierre, dont le crénelage date du XIXe siècle, sépare le logis ancien, à hauts pignons, et un commun moderne.
Le manoir privé de La Gagnerie, XVIIe et XVIIIe siècles, est composée de deux parties: l'une à l'Est, plus haute, date de la première moitié du XVIIIe siècle, et la seconde, à l'Ouest, plus basse, comporte un fronton triangulaire au-dessus d'une porte à imposte semi-circulaire. A l'Est, les lucarnes sont à ailerons; à l'Ouest, les ailerons sont seulement esquissés. Entre ces deux parties, une étroite tour en briques plates supporte un petit belvédère.. Le mur de clôture est flanqué de tours d'angle plus anciennes (XVe siècle). Il y existait une chapelle.
Alexis de Tocqueville habita, de juin 1853 à avril 1854, au logis privé des Trésorières (XVIIIe et XIXe siècles). Il y a écrit Les Origines de l'Ancien Régime et la Révolution (édité en 1856). Dans la première moitié du XIXe siècle, deux petits pavillons sont accolés de chaque côté du logis principal. Au sud de l'entrée, une tour, couverte d'ardoises, de section quadrangulaire, étroite au sommet et à pentes égales s'élargissant vers le sol, camoufle un ancien château d'eau. Cette demeure a succédé à une maison plus ancienne, entourée de fossés et de hauts murs. Une closerie se trouve immédiatement au Nord.
Près de la mairie, la maison des Apprentis Tonnellé, achevée de construire en 1868, était destinée à loger de jeunes apprentis issus du milieu ouvrier. Cette institution a été fondée par madame Pauline Tonnellé, veuve du docteur Louis Tonnellé. Elle a été inaugurée le 10 novembre 1870.
L'ancienne maison de campagne des Trois-Tonneaux (XVe siècle) a été très remaniée vers 1850. Cet étroit logis à trois étages est dotée d'une charpente ancienne. Sa façade est ornée de motifs représentant trois tonneaux en triangle sous un arc tréflé. En 1970, la façade Nord a été munie d'une tour d'escalier et d'une construction accolée. Sa cave, restaurée en 1791, renferme non pas trois fûts mais, en fait, six tonneaux gallo-romains creusés dans la roche. Au XIXe siècle, ce logis appartenait au maître-verrier Julien Fournier.
Au 44 rue Henri-Lebrun, le logis privé de Montéclat (fin du XIXe siècle) possède une haute tourelle d'angle.
La Villa Sainte-Marie a été construite au début du XVIIIe siècle puis modifiée au XIXe siècle. Jadis, elle portait le nom de La Galanderie. Elle fut léguée par Mme Tonnellé aux Oratoriens. En 1937, elle a été achetée par le ministère de la guerre pour loger le général d'aviation commandant la 3ème division aérienne.
Au 85 rue Tonnellé, le château privé de La Grenadière (vers 1866) est un bâtiment à trois niveaux, couvert par un toit à la Mansart. Au centre de la façade Sud, se trouve une importante tour.
Rue Victo-Hugo, le parc du manoir de La Tour (XVe siècle mais très remanié au XIXe siècle) a été transformé en un sympathique jardin public dont le thème est la littérature. La tourelle de briques et pierre, dont le crénelage date du XIXe siècle, sépare le logis ancien, à hauts pignons, et un commun moderne.
Le manoir privé de La Gagnerie, XVIIe et XVIIIe siècles, est composée de deux parties: l'une à l'Est, plus haute, date de la première moitié du XVIIIe siècle, et la seconde, à l'Ouest, plus basse, comporte un fronton triangulaire au-dessus d'une porte à imposte semi-circulaire. A l'Est, les lucarnes sont à ailerons; à l'Ouest, les ailerons sont seulement esquissés. Entre ces deux parties, une étroite tour en briques plates supporte un petit belvédère.. Le mur de clôture est flanqué de tours d'angle plus anciennes (XVe siècle). Il y existait une chapelle.
Alexis de Tocqueville habita, de juin 1853 à avril 1854, au logis privé des Trésorières (XVIIIe et XIXe siècles). Il y a écrit Les Origines de l'Ancien Régime et la Révolution (édité en 1856). Dans la première moitié du XIXe siècle, deux petits pavillons sont accolés de chaque côté du logis principal. Au sud de l'entrée, une tour, couverte d'ardoises, de section quadrangulaire, étroite au sommet et à pentes égales s'élargissant vers le sol, camoufle un ancien château d'eau. Cette demeure a succédé à une maison plus ancienne, entourée de fossés et de hauts murs. Une closerie se trouve immédiatement au Nord.
Près de la mairie, la maison des Apprentis Tonnellé, achevée de construire en 1868, était destinée à loger de jeunes apprentis issus du milieu ouvrier. Cette institution a été fondée par madame Pauline Tonnellé, veuve du docteur Louis Tonnellé. Elle a été inaugurée le 10 novembre 1870.
L'ancienne maison de campagne des Trois-Tonneaux (XVe siècle) a été très remaniée vers 1850. Cet étroit logis à trois étages est dotée d'une charpente ancienne. Sa façade est ornée de motifs représentant trois tonneaux en triangle sous un arc tréflé. En 1970, la façade Nord a été munie d'une tour d'escalier et d'une construction accolée. Sa cave, restaurée en 1791, renferme non pas trois fûts mais, en fait, six tonneaux gallo-romains creusés dans la roche. Au XIXe siècle, ce logis appartenait au maître-verrier Julien Fournier.
Au 44 rue Henri-Lebrun, le logis privé de Montéclat (fin du XIXe siècle) possède une haute tourelle d'angle.
La Villa Sainte-Marie a été construite au début du XVIIIe siècle puis modifiée au XIXe siècle. Jadis, elle portait le nom de La Galanderie. Elle fut léguée par Mme Tonnellé aux Oratoriens. En 1937, elle a été achetée par le ministère de la guerre pour loger le général d'aviation commandant la 3ème division aérienne.
Au nord de la ville, à La Voie-Romaine, une partie des pavés d'une ancienne voie royale a été conservée. La voie romaine Tours - Le Mans passait beaucoup plus à l'ouest.
Dans la rue de Mondoux, un antique pont, que longe un gué pavé, traverse la Choisille.
En rentrant dans Saint-Cyr via l'avenue Maginot ou l'avenue de La Tranchée (à Tours), au début de l'avenue du Général-de-Gaulle, cette peinture en trompe-l'œil vous souhaite la bienvenue.
Il existe d'autres peintures en trompe-l'œil dans la ville, dans l'avenue de la République...
... et dans cette même artère, à l'arrière du bâtiment du Crédit Mutuel.
Il existe d'autres peintures en trompe-l'œil dans la ville, dans l'avenue de la République...
... et dans cette même artère, à l'arrière du bâtiment du Crédit Mutuel.
Plusieurs parcs sont accessibles aux promeneurs, dont celui de La Perraudière (son sol est recouvert, en automne, de cyclamens roses et blancs).
Dans la rue du Vau-Ardau, on peut voir ce vieux puits-chapelle.
Dans la rue du Vau-Ardau, on peut voir ce vieux puits-chapelle.
Saint-Cyr possède son girouet dont la partie centrale représente l'église Saint-Cyr-et-Sainte-Julitte.
Le château de Charentais (15 rue Henri-Bergson) a été édifié en 1858 selon les plans de l'architecte Jean-Charles Jacquemin. Ce château est composé d'un grand corps de bâtiment à cinq rangées de fenêtres, encadré par deux bâtiments ornés chacun de deux poivrières en encorbellement et nanties d’œils-de-bœuf ovales. La chapelle est située au Sud-Est du château.
Au 31 rue de Palluau, le château privé de Palluau (1842) a été construit dans le style néo-Renaissance, en brique et pierre, par le docteur Pierre-Fidèle Bretonneau. En 1787, une chapelle y existait.
Ce médecin est enterré dans le cimetière de Saint-Cyr. Son tombeau, coiffé par un dôme à plan barlong, est inspiré de l'architecture antique avec des corniches à acrotères et denticules et des colonnes ioniques.
Un autre médecin, Louis Tonnellé (1803-1860), est enseveli dans ce cimetière. Son tombeau est surmonté par un ange en marbre.
Cette tombe, surmontée d'une lanterne des morts de style charentais, est celle de Roland Engerand. Cet ancien militaire d'origine normande était devenu écrivain. On lui doit une douzaine d'ouvrages dont Adorable Touraine.
Au 38 rue Tonnellé, Montfleuri est un logis privé du XVIIIe siècle qui comprenait deux bâtiments. Au XXe siècle, ils furent unifiés par un logis central encadré par deux tours d'escalier carrées. L'aile Sud, de style classique, a été rajoutée en 1901.
Au 19, rue Victor-Hugo, La Moisanderie (milieu du XIXe siècle) est une demeure privée de trois étages, le troisième étant dans les combles, qui est entourée par deux constructions plus basses du XVIIIe siècle. L'une, à un étage, se trouve à l'Ouest. L'autre, située perpendiculairement, a sa façade tournée vers l'Est.
Le logis privé de La Dorissière (XVIIIe siècle) possède une petite chapelle citée en 1787.
Le manoir privé de La Gâtinière (début du XVIIIe siècle) a remplacé un château du XVe siècle. Il comprend un logis central, couvert d'un toit à la Mansart avec de grandes lucarnes, dont la façade sud présente un balcon en fer forgé Régence. Il est prolongé, à l'est et à l'ouest, par deux ailes basses du XIXe siècle. Le manoir a conservé un escalier de bois à balustres et des boiseries Louis XV. En 1787, on y signalait une chapelle.
Au 31 rue de Palluau, le château privé de Palluau (1842) a été construit dans le style néo-Renaissance, en brique et pierre, par le docteur Pierre-Fidèle Bretonneau. En 1787, une chapelle y existait.
Ce médecin est enterré dans le cimetière de Saint-Cyr. Son tombeau, coiffé par un dôme à plan barlong, est inspiré de l'architecture antique avec des corniches à acrotères et denticules et des colonnes ioniques.
Un autre médecin, Louis Tonnellé (1803-1860), est enseveli dans ce cimetière. Son tombeau est surmonté par un ange en marbre.
Cette tombe, surmontée d'une lanterne des morts de style charentais, est celle de Roland Engerand. Cet ancien militaire d'origine normande était devenu écrivain. On lui doit une douzaine d'ouvrages dont Adorable Touraine.
Au 38 rue Tonnellé, Montfleuri est un logis privé du XVIIIe siècle qui comprenait deux bâtiments. Au XXe siècle, ils furent unifiés par un logis central encadré par deux tours d'escalier carrées. L'aile Sud, de style classique, a été rajoutée en 1901.
Au 19, rue Victor-Hugo, La Moisanderie (milieu du XIXe siècle) est une demeure privée de trois étages, le troisième étant dans les combles, qui est entourée par deux constructions plus basses du XVIIIe siècle. L'une, à un étage, se trouve à l'Ouest. L'autre, située perpendiculairement, a sa façade tournée vers l'Est.
Le logis privé de La Dorissière (XVIIIe siècle) possède une petite chapelle citée en 1787.
Le manoir privé de La Gâtinière (début du XVIIIe siècle) a remplacé un château du XVe siècle. Il comprend un logis central, couvert d'un toit à la Mansart avec de grandes lucarnes, dont la façade sud présente un balcon en fer forgé Régence. Il est prolongé, à l'est et à l'ouest, par deux ailes basses du XIXe siècle. Le manoir a conservé un escalier de bois à balustres et des boiseries Louis XV. En 1787, on y signalait une chapelle.
A voir
- Le manoir privé du Vau-Ardau (XVIe et XVIIIe siècles) montre, au Nord, des murs à colombages et hourdis de briques. Il possède une chapelle.
- Le manoir privé de La Boissière (XVIIIe siècle).
- La gentilhommière privée de La Gruette a été construite en 1753 par l'architecte Audebert Cartier. Le bâtiment est doté, en son centre, d'une porte d'entrée à baie arquée et ornée d'une motif sculpté. Cette porte est surmontée par un fronton triangulaire percé par un œil de bœuf e est encadrée par deux bandeaux d'appareil en relief. Aux quatre baies réparties, deux à deux, de chaque côté de la porte correspondent quatre lucarnes à ailerons. Ce logis possède deux pavillons latéraux dont l'un présente, contre son mur, une fontaine ornée d'une tête de femme. Au Sud-Est de la cour d'honneur, une chapelle en tuffeau fut bâtie en 1761 et dédiée à Notre-Dame.
- Le logis privé de Beauvoir (XIXe et XXe siècles), 6-8 rue de Beauvoir, est composé de trois parties accolées successivement construites. Au Sud, la partie la plus ancienne a été bâtie en 1834. En 1912 et 1913, l'édifice est agrandi au Nord. De 1929 à 1934, il est développé vers l'Ouest avec la création d'une entrée encadrée par deux colonnes à l'antique terminées par un chapiteau ionique.
- La Petite-Grenadière est une ancienne closerie des XVIe et XIXe siècles. Elle a été habitée, en 1830 et 1832, par Balzac et, de décembre 1836 à mai 1839, par Pierre-Jean Béranger.
- Les deux tours cylindriques (XVe siècle) du portail de l'école Saint-Joseph, rue Fleurie.
- Le presbytère (XVIIIe siècle) de l'église Saint-Pie X est orné de sculptures de fleurs.
- Le moulin de Garot, sur la Choisille, tourna jusqu'en 1939 puis devint une usine à aliments pour chevaux jusqu'en 1978.
- Le moulin de Nué, sur la Choisille.
- Le moulin de Mondoux, sur la Choisille, s'est arrêté en 1887.
- Le moulin Graffin, sur la Choisille, cessa son activité vers 1912.
Patrimoine disparu
- Le logis seigneurial, appelé hôtel ou manoir de Chaumont, était situé près
de l'église. Il était composé de plusieurs bâtiments dont un, construit
sur un pivot, pouvait être tourné comme un moulin à vent. Le 12 décembre
1653, René Bouault l'acheta au Chapitre de Saint-Martin. Par la suite,
il le fit démolir.
- Le manoir du Coq datait des XVIIe et XVIIIe siècles. Le logis et sa terrasse étaient bâtis sur une importante cave dont la pièce principale était voûtée. Au XIXe siècle, il fut habité par le peintre-verrier Léopold Lobin. Le manoir a été détruit lors des bombardements anglo-américains de l'été 1944. Une de ses portes, avec un coq sculpté, a été conservée.
- Le pigeonnier cylindrique de la place de l'Homme-Noir (au centre de la photo) est en ruines.
Lieux-dits: Beauvoir, Champ-Grimont, Charentais, En Vienne, Graffin, La Béchellerie, La Benoiserie, La Chanterie, La Charlotière, La Clarté, La Croix-Chidaine, La Croix-de-Périgourd, La Croix-de-Pierre, La Gagnerie, La Gâtinière, La Gaudinière, La Grenadière, La Gruette, La Haute-Vesprée, La Lande, La Lignière, La Ménardière, La Mésangerie, La Mignonnerie, La Moisanderie, La Pelouse, La Péraudière, La Pinauderie, La Rabelais, La Renardière, La Roujolle, La Sibotière, La Tour, La Vindrinière, Le Bois-Livière, Le Buisson-Bouet, Le Clos-Besnard, Le Clos-Bouet, Le Haut-Bourg, Le Louvre, Le Pot-de-Fer, Le Préau, Le Pressoir-Viot, Le Riabelais, Le Riffay, Le Vau-Ardeau, Les Augustins, Les Fontaines, Les Maisons-Blanches, Les Perrets, Les Trésorières, Mondoux, Mon Repos, Moulin-de-Garot, Nué, Pain-Perdu, Palluau, Périgourd, Portillon, Preney
Anciens lieux-dits: Beau-Clos, Casse-Droit, La Carrée, La Galanderie, La Haye, Le Petit-Charentais, Le Pressoir-Fondu, L'Homme-Noir, Lutèce, Ménage, Petite-Boitrie
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