Nazelles-Négron (Wikipedia) est une commune de l'Est de la Touraine, sur la rive droite de la Loire. Elle a été formée par la réunion de Nazelles et de Négron le 1er juillet 1971. Ses habitants sont appelés les Nazelliens, les Nazelliennes.
Nazelles a porté les noms de: Navicellis (VIe siècle, Grégoire de Tours, Vie de saint Martin), Nazelis (1218 et 1236, cartulaire de Villeloin), Nazelles (1336, 1348-1398, cartulaire de l'archevêché de Tours).
Nazelles a porté les noms de: Navicellis (VIe siècle, Grégoire de Tours, Vie de saint Martin), Nazelis (1218 et 1236, cartulaire de Villeloin), Nazelles (1336, 1348-1398, cartulaire de l'archevêché de Tours).
Au Ve siècle, Nazelles appartenait à la collégiale Saint-Martin de Tours puis fut érigée en châtellenie relevant d'Azay-le-Rideau, à foi et hommage lige, et un roussin de service évalué à un écu.
Négron s'est appelé: Nigronio (XIIe siècle et 1271-1278), Negron (1278, charte de Moncé).
Négron s'est appelé: Nigronio (XIIe siècle et 1271-1278), Negron (1278, charte de Moncé).
Le fief de Négron dépendait de l'abbaye de Marmoutier.
Le plus ancien registre paroissial de Nazelles date de 1548, celui de Négron de 1633.
Coordonnées GPS de Nazelles-Négron: 0°57'16"E - 47°25'54"N
Code INSEE: 37163 - Code postal: 37530 - Superficie: 2232 hectares
Altitudes: de 51 à 114 mètres (au Moulin-à-Vent)
Code INSEE: 37163 - Code postal: 37530 - Superficie: 2232 hectares
Altitudes: de 51 à 114 mètres (au Moulin-à-Vent)
L'église Saint-Pierre de Nazelles a été construite au XIIe siècle. La nef unique, lambrissée, aux entraits ornés d'engoulants, se poursuit par un chœur à chevet plat éclairé par trois hautes fenêtres en arc brisé à remplage flamboyant. Du côté Sud, on entre dans la nef par une porte du XVIe siècle flanquée de deux pilastres à chapiteaux sculptés et abritée par un auvent prolongeant le toit. Le mur Sud de la nef est percé par des fenêtres à remplage flamboyant. Il y avait dans l'église de Nazelles une chapelle, dite la Chapelle-Verdier, qui fut détruite vers 1745.
Sous le clocher en bâtière du XIIIe siècle s'ouvre un porche dont les claveaux sont ornés, de gauche à droite, par un sagittaire, deux têtes jumelles, une tête de lion, deux têtes d'hommes barbus et cornus, un homme buvant à la bonde d'un tonnelet, l'Agneau pascal, un homme debout, deux musiciens , dont l'un joue de l'olifant et le suivant de la harpe, une sirène et une femme levant les bras. Au-dessus de l'archivolte, ornée de perles, se trouve une ligne de corbeaux mutilés.
Le vitrail du chevet plat (XVIe siècle) représente la Crucifixion. Le Christ en croix entre les deux larrons domine une foule. A gauche, figure un donateur priant, vêtu d'une pèlerine rouge. A droite, agenouillée, une donatrice en robe violet foncé. Au-dessus de cette scène principale, on voit le Portement de croix et, plus haut, dans les flammes, Dieu le Père bénissant et les anges de la Passion.
Le vitrail du chevet plat (XVIe siècle) représente la Crucifixion. Le Christ en croix entre les deux larrons domine une foule. A gauche, figure un donateur priant, vêtu d'une pèlerine rouge. A droite, agenouillée, une donatrice en robe violet foncé. Au-dessus de cette scène principale, on voit le Portement de croix et, plus haut, dans les flammes, Dieu le Père bénissant et les anges de la Passion.
Les autres verrières sont des grisailles ornementales signées par Julien Fournier et Amand Clément (Tours, 1874 et 1875).
L'église Saint-Symphorien de Négron, bâtie au XIe siècle (nef), a été agrandie vers 1440 (chœur, deux collatéraux et chapelle seigneuriale). La flèche du clocher a été refaite en 1749. Le chœur est couvert de voûtes retombant sur des culots ornés d'anges ou de feuillages. Il est accompagné, au Sud, par une chapelle seigneuriale servant de sacristie. Selon certains historiens, ses trois autels proviendraient de l'église Notre-Dame-de-l’Écrignole, à Tours.
Cette église renferme un vitrail de la première moitié du XVIe siècle (📷) représentant saint Michel (en haut, dans la flamme), saint Clément en chape rouge et coiffé de la tiare, portant d'une main la croix à double croisillon et de l'autre une ancre (à gauche) et saint Sébastien martyrisé (à droite). En bas, se trouvent deux donateurs et leurs femmes.
Il existe trois autres verrières dans cet édifice. Un vitrail, signé par Lucien-Léopold Lobin (Tours, 1890) représente saint Gilles. Un autre, œuvre de Joseph-Prosper Florence et Louis Heinrich (Tours, 1904) figure Notre-Dame de Lourdes. Enfin, L. Petit (Tours, 1901) est l'auteur d'une grisaille.
Elle possède plusieurs stalles en bois sculpté (XVIe siècle).
Une ancienne aumônerie (ou maladrerie), des XIIe et XVe siècles, est devenue la mairie annexe de Négron après avoir servi de presbytère jusqu'en 1905. Au premier étage, deux fenêtres sont formées par deux arcades en plein cintre retombant sur une colonne prismatique, restauration d'une colonnette disparue, et surmontées d'un arc de décharge, en plein cintre, orné de chevrons. Les deux fenêtres du rez-de-chaussée furent refaites au XVe siècle. A l'intérieur, une pièce du premier étage a conservé des traces de décor pictural. Cette maladrerie fut réunie à l'Hôtel-Dieu d'Amboise en 1698.
A côté, cette grange des XIIe et XVe siècles dépendait de l'aumônerie. Au Sud, le pignon, dont le sommet est en colombage, est percé par deux portes en tiers-point (une piétonnière et une charretière) et est divisée en trois nefs par deux rangées de poteaux.
Le château privé de Nazelles (16 rue Tue-la-Soif), édifié en 1518, a été remanié en 1765 (escalier extérieur et passage au rez-de-chaussée). A l'Ouest, l'autre escalier a été rajouté en 1914.
Au Sud, le comble est éclairé par trois lucarnes à croisée de pierre surmontées chacune par un gâble à fronton triangulaire. L'ancienne chapelle seigneuriale se trouvait dans les caves creusées au Nord du château.
Comme beaucoup de logis ancien, ce château possédait des bassies (ou pierres d'évier) qui étaient des bassins peu profonds creusés dans un bloc de pierre. Les eaux usées étaient évacuées par le bec de la bassie vers la cour ou vers la rue.
Le château privé de Nazelles (16 rue Tue-la-Soif), édifié en 1518, a été remanié en 1765 (escalier extérieur et passage au rez-de-chaussée). A l'Ouest, l'autre escalier a été rajouté en 1914.
Au Sud, le comble est éclairé par trois lucarnes à croisée de pierre surmontées chacune par un gâble à fronton triangulaire. L'ancienne chapelle seigneuriale se trouvait dans les caves creusées au Nord du château.
Comme beaucoup de logis ancien, ce château possédait des bassies (ou pierres d'évier) qui étaient des bassins peu profonds creusés dans un bloc de pierre. Les eaux usées étaient évacuées par le bec de la bassie vers la cour ou vers la rue.
Le château privé de La Vallière date de la fin du XVe siècle. Il a été remanié et agrandi au XVIe siècle et en 1865. Ce domaine était un fief relevant de de la châtellenie de Chenonceau. Aux XVIIe et XVIIIe siècles, il appartenait à la famille Scarron. Selon la tradition locale, Paul Scarron aurait habité le manoir en 1652-1653 en compagnie de sa femme, Françoise d'Aubigné, la future Mme de Maintenon.
Ce château est constitué par la juxtaposition de constructions de différentes époques. La partie la plus ancienne, datant de la fin du XVe siècle, est celle située au Sud de cet ensemble.Sa façade, épaulée par des contreforts coupés à mi-hauteur par un ressaut, a eu toutes ses ouvertures remaniées. Mais au Nord, où le mur primitif a été totalement dissimulé, entre autre, par une addition en pierres de taille, on retrouve dans le comble une ouverture dont le pilastre à chapiteau est Renaissance. Les différents étages sont accessibles par un escalier à vis de pierre situé dans une tour quadrangulaire en damier de pierre et de brique. Ce type de mur a servi de modèle à deux agrandissements ultérieurs. Le plus ancien est doté d'un escalier à vis de bois dans une tour en colombage dont on ne voit que le toit pyramidal. Le rez-de-chaussée de l'extrémité orientale est une cave voûtée en berceau appareillée, dont le mur Est, épaulé par trois contreforts, devait appartenir au premier édifice. Le pavillon Ouest à toiture à quatre pans n'existait pas en 1849. Il en est de même, à l'autre extrémité, de l'avant-corps encadré par des tourelles en encorbellement.
Le château privé de Perreux a été bâti au début en 1701 puis agrandi, en 1838, par l'architecte Willemin. De 1859 à 1861, il fut complètement remanié par l'entrepreneur François-Valentin Thomas. Le rez-de-chaussée est troglodytique. Deux tours polygonales, dont l'une contient un escalier, encadrent la façade. Dans son parc, on remarque une éolienne Bollée de 1895. Au XXe siècle, ce château a servi de colonie de vacances à la ville d'Asnières.
Le château privé de Mondomaine a été édifié de 1832 à 1834, dans le style Charles X, selon les plans de l'architecte Sylvain-Philippe Châteignier. Le bâtiment, de plan rectangulaire, est en pierres de taille de Pontlevoy. La façade Sud présente un avant-corps à fronton triangulaire, une entrée en plein cintre accessible par un escalier de cinq marches en pierre de Sainte-Maure. Au premier étage, la porte-fenêtre s'ouvre sur un balcon encadré par deux niches contenant les bustes en terre cuite plâtrée représentant La Fontaine et Franklin. Une corniche à petits modillons supporte le toit qui a un petit campanile au centre de sa ligne de faîte. De chaque côté du pavillon central se trouve une aile basse en léger retrait.
Le château privé de Perreux a été bâti au début en 1701 puis agrandi, en 1838, par l'architecte Willemin. De 1859 à 1861, il fut complètement remanié par l'entrepreneur François-Valentin Thomas. Le rez-de-chaussée est troglodytique. Deux tours polygonales, dont l'une contient un escalier, encadrent la façade. Dans son parc, on remarque une éolienne Bollée de 1895. Au XXe siècle, ce château a servi de colonie de vacances à la ville d'Asnières.
Le château privé de Mondomaine a été édifié de 1832 à 1834, dans le style Charles X, selon les plans de l'architecte Sylvain-Philippe Châteignier. Le bâtiment, de plan rectangulaire, est en pierres de taille de Pontlevoy. La façade Sud présente un avant-corps à fronton triangulaire, une entrée en plein cintre accessible par un escalier de cinq marches en pierre de Sainte-Maure. Au premier étage, la porte-fenêtre s'ouvre sur un balcon encadré par deux niches contenant les bustes en terre cuite plâtrée représentant La Fontaine et Franklin. Une corniche à petits modillons supporte le toit qui a un petit campanile au centre de sa ligne de faîte. De chaque côté du pavillon central se trouve une aile basse en léger retrait.
L'édifice est dominé, à l'Est, par une falaise calcaire où l'on remarque trois rangées de six à sept boulins creusés dans le rocher, vestiges de l'ancienne fuye.
Le château privé des Ormeaux date du XIXe siècle, ...
... comme le château privé de la Source.
Situé en contrebas de ce château, le moulin privé d'Andigny a été construit au milieu du XVIe siècle. Sa tour carrée, qui renferme un escalier, est en pierre pour la partie basse et en colombage pour la partie haute. Ses pignons Est et Ouest sont aussi en colombage.
La partie la plus ancienne du château privé de La Huberdière est sa tour carrée (XVIIe siècle), un ancien pigeonnier, qui possède une charpente à double enrayure. Le château a été modifié au XVIIIe siècle puis en 1882 par Pierre Launay. C'était un rendez-vous de chasse.
Le manoir privé de Villefrault (XVIe siècle) comprend deux bâtiments construits dans le prolongement l'un de l'autre. Ils ont conservé leurs fenêtres à croisée de pierre. Une salle est chauffée par une cheminée à hotte verticale, ornée de pilastres cannelées et d'une double arcature de deux formes. C'était un ancien fief relevant d'Amboise. Au XVIe siècle, il appartenait à la famille de Lavardin.
Le manoir privé de La Guespière (XVIIe siècle) a été remanié en 1938 (fenêtres en ciment). Seule, une lucarne de la façade ouest a été conservée. Sa chapelle semi-troglodytique est en ruines.
Le château privé de La Bardouillère fut construit au XIXe siècle pour Anne-Amable Minette (née Gournail), couturière. Ses plans sont de l'architecte Sylvain-Philippe Chateignier. Le logis privé des Ormes (ou des Ormeaux, avant 1971) date du XVIe siècle. Sa façade Sud présente une fenêtre à croisée de pierre. L'autre ouverture a été partiellement murée. En 1545, Jean Lory était qualifié de seigneur des Ormeaux. Par la suite, cette maison appartint à l'abbaye de Moncé.
Dans la vallée de Vaubrault, il reste des vestiges du logis seigneurial construit aux XVe et XVIe siècles. Ce bâtiment, avec une fenêtre à meneau vertical, en est un. Par contre le mur d'enceinte, avec une tourelle à chaque angle, a disparu.
De ce logis, dépendait une importante fuye cylindrique seigneuriale (XVIe siècle) qui a été transformée en habitation privée. Son diamètre extérieur est de 11 mètres. Son mur mesure 10 mètres de haut. Elle renfermait 3200 boulins (nids de pigeons) en terre cuite blanche. On peut encore voir une partie de son larmier.
Vers 1965, elle a été partiellement détruite par un orage.
Le château privé des Ormeaux date du XIXe siècle, ...
... comme le château privé de la Source.
Situé en contrebas de ce château, le moulin privé d'Andigny a été construit au milieu du XVIe siècle. Sa tour carrée, qui renferme un escalier, est en pierre pour la partie basse et en colombage pour la partie haute. Ses pignons Est et Ouest sont aussi en colombage.
La partie la plus ancienne du château privé de La Huberdière est sa tour carrée (XVIIe siècle), un ancien pigeonnier, qui possède une charpente à double enrayure. Le château a été modifié au XVIIIe siècle puis en 1882 par Pierre Launay. C'était un rendez-vous de chasse.
Le manoir privé de Villefrault (XVIe siècle) comprend deux bâtiments construits dans le prolongement l'un de l'autre. Ils ont conservé leurs fenêtres à croisée de pierre. Une salle est chauffée par une cheminée à hotte verticale, ornée de pilastres cannelées et d'une double arcature de deux formes. C'était un ancien fief relevant d'Amboise. Au XVIe siècle, il appartenait à la famille de Lavardin.
Le manoir privé de La Guespière (XVIIe siècle) a été remanié en 1938 (fenêtres en ciment). Seule, une lucarne de la façade ouest a été conservée. Sa chapelle semi-troglodytique est en ruines.
Le château privé de La Bardouillère fut construit au XIXe siècle pour Anne-Amable Minette (née Gournail), couturière. Ses plans sont de l'architecte Sylvain-Philippe Chateignier. Le logis privé des Ormes (ou des Ormeaux, avant 1971) date du XVIe siècle. Sa façade Sud présente une fenêtre à croisée de pierre. L'autre ouverture a été partiellement murée. En 1545, Jean Lory était qualifié de seigneur des Ormeaux. Par la suite, cette maison appartint à l'abbaye de Moncé.
Dans la vallée de Vaubrault, il reste des vestiges du logis seigneurial construit aux XVe et XVIe siècles. Ce bâtiment, avec une fenêtre à meneau vertical, en est un. Par contre le mur d'enceinte, avec une tourelle à chaque angle, a disparu.
Vers 1965, elle a été partiellement détruite par un orage.
La mairie du XIXe siècle est constituée d'un corps de logis de style néo-classique auquel l'architecte Gustave Guérin a ajouté, vers 1870, des ailes en retour d'équerre qui servirent d'école primaire. Un perron donne accès au rez-de-chaussée surélevé. La salle du conseil est ornée par une peinture d’Édouard Debat-Ponsan représentant la Cisse.
Le lavoir de Nazelles, situé place Francis-Poulenc, est alimenté en eau par une fontaine.
Le vieux puits en briques des Grandes-Tailles est un puits-chapelle.
Nazelles-Négron possède son girouet dont la partie centrale représente le blason du village.
Le vieux puits en briques des Grandes-Tailles est un puits-chapelle.
Nazelles-Négron possède son girouet dont la partie centrale représente le blason du village.
A voir
- Le moulin de Roche-Fleury (début du XVIIIe siècle), 46 rue Louis-Viset, fonctionnait encore au début du XXe siècle. Son bief fut supprimé vers 1970.
- Les habitations troglodytiques.
Patrimoine disparu
- La chapelle Saint-Maurice était situé au lieu-dit du même nom.
- Le logis seigneurial avait été bâti dans le bourg de Nazelles, vers 1520, par Thomas Bohier.
Lieux-dits: Bodet, Bréviande, Buisson-Barbe, Champorcher, Chemin-des-Poulains, Clos-Bertaud, Fort-Vent, Friche-Marié, Gralle-Poix, Haute-Crevée, Haute-Source, Île-de-la-Noiraye, Île-de-Négron, La Bardouillère, La Barre, La Bertinière, La Bicetterie, La Cailletterie, La Calmeleterie, La Chapelle-Verdun, La Chapelotte, La Colinetterie, La Côte-Rôtie, La Croix-Chesneau, La Croix-de-Vaubrault, La Fontaine-Gravoure, La Francarderie, La Gaité, La Garenne, La Grande-Maison, La Grange-Champion, La Grange-Rouge, La Griaire, La Guêpière, La Haie-de-la-Pile, La Huberdière, La Lézardière, La Maison-Brûlée, La Mazère, La Moutonnerie, La Pommetterie, La Prée, La Rablette, La Souchardière, La Source, La Vallière, Le Bazonneau, Le Bois-Denier, Le Chailloux, Le Chêne-Gaudon, Le Clos-Saint-Jean, Le Grand-Clos, Le Grand-Coudreau, Le Moulin-à-Vent (2), Le Parc-Moreau, Le Pas-d'Âne, Le Petit-Lussault, Le Sevrage, Les Auverdières, Les Chaintres, Les Chevelus, Les Cours, Les Épinettes, Les Fonds-Morin, Les Gâtinières, Les Girois, Les Grandes-Tailles, Les Guillotières, Les Hermites, Les Hodais, Les Huneaudières, Les Jarriers, Les Justices, Les Montants, Les Moulins-à-Vent, Les Ormeaux, Les Ormes, Les Perrons, Les Picards, Le Pilory, Les Pommelais, Les Poujeaux, Les Poulains, Les Regains, Les Ribaudières, Les Rues, Les Sables, Les Tailles-de-Vaubrault, Les Talus, Les Tuffeaux, Les Vallées, Les Vaux-Renault, L'Île-de-la-Mazère, Mondomaine, Moulin-de-Moque-Souris, Négron, Parc-de-Nazelles, Perreux, Pierre-Aiguette, Prairie-de-Négron, Rosnay, Saint-Maurice, Vaubrault, Vaugadeland, Vaumartin, Vaumort, Vauriflé, Vernelle, Villefrault, Villetissard, Vilvent
Navicellae :de nava (vallée encaissée, ravin)?
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