Monts (Wikipedia) est une cité située au Sud-Ouest de l'agglomération de Tours. Ses habitants sont appelés les Montois, les Montoises.
Elle a porté les noms de: Mons villa (915, charte de Saint-Martin), Ecclesia de Montibus (1147, bulle du pape Célestin II), Parochia de Monts (1234), Mons (1290, pouillé de Tours), Monts-sur-Indre (XVIIIe siècle, carte de Cassini), Monts (1820, carte de l'état-major).
C'était un bourg fortifié dont l'église dépendait de l'abbaye Saint-Julien de Tours. C'est à Monts que fut ouvert le premier centre Croix-Rouge de France.
Elle a porté les noms de: Mons villa (915, charte de Saint-Martin), Ecclesia de Montibus (1147, bulle du pape Célestin II), Parochia de Monts (1234), Mons (1290, pouillé de Tours), Monts-sur-Indre (XVIIIe siècle, carte de Cassini), Monts (1820, carte de l'état-major).
C'était un bourg fortifié dont l'église dépendait de l'abbaye Saint-Julien de Tours. C'est à Monts que fut ouvert le premier centre Croix-Rouge de France.
Le plus ancien registre paroissial date de 1547.
Ce vitrail, imitant des verrières anciennes, représente, du haut vers le bas, Jésus ou Marie entouré de saints, la cène et le baptême du Christ. Il est signé par Lucien-Léopold Lobin (Tours, 1888). Le même peintre verrier est aussi l'auteur d'un autre vitrail: la sainte reine de France, saint Jean-Baptiste, saint Henri et saint Victor (Tours, 1887). Son père, Julien-Léopold Lobin, avait réalisé en 1860 une verrière figurant sainte Hélène et la Vraie Croix, la Généalogie du Christ (Jessé, David, Salomon, Joachim, Joseph et Marie). Trois autres vitraux sont des œuvres de Julien Fournier (Tours, 1879): La Crucifixion, saint Pierre, saint Paul. Le fils de ce dernier, Lux Fournier (Tours, 1891) a réalisé une verrière représentant saint Jacques apparaissant au roi Dom Ramyre.
Coordonnées GPS de Monts: 0°37'32"E - 47°16'32"N
Code INSEE: 37159 - Code postal: 37260 - Superficie: 2728 hectares
Altitudes: de 47 à 99 mètres
Cours d'eau: l'Indre, le MontisonL'église Saint-Pierre-ès-Liens a été reconstruite en 1877-1879 (pose de la première pierre en juin 1877) dans le style néo-roman selon les plans de l'architecte diocésain Gustave Guérin: nef et agrandissement vers l'Est de la chapelle latérale. De l'église romane primitive (XIIe siècle), il reste le chœur, l'abside et la chapelle latérale. La travée du chœur est couverte par une voûte très bombée sur croisée d'ogives moulurées de deux tores séparés par un méplat. L'abside semi-circulaire est éclairée par trois fenêtres en plein cintre. Sa voûte est soutenue par deux branches d'ogives profilées d'un tore.
A la douelle de la voûte, on peut voir les vestiges d'une fresque du XIIe siècle représentant le Christ en majesté entouré par les symboles des évangélistes: un lion ailé pour saint Marc, un ange pour saint Mathieu, un aigle pour saint Jean et un taureau pour saint Luc. Cette fresque a été très restaurée dans les années 1880. Au Nord, le chœur est relié à une chapelle latérale voûtée sur croisée d'ogives. La sacristie est ornée de boiseries du XVIIIe siècle. En 1882, l'arc triomphal séparant la nef du chœur a été décoré par une fresque, œuvre du peintre Edgar, représentant le Jugement Dernier.Code INSEE: 37159 - Code postal: 37260 - Superficie: 2728 hectares
Altitudes: de 47 à 99 mètres
Cours d'eau: l'Indre, le MontisonL'église Saint-Pierre-ès-Liens a été reconstruite en 1877-1879 (pose de la première pierre en juin 1877) dans le style néo-roman selon les plans de l'architecte diocésain Gustave Guérin: nef et agrandissement vers l'Est de la chapelle latérale. De l'église romane primitive (XIIe siècle), il reste le chœur, l'abside et la chapelle latérale. La travée du chœur est couverte par une voûte très bombée sur croisée d'ogives moulurées de deux tores séparés par un méplat. L'abside semi-circulaire est éclairée par trois fenêtres en plein cintre. Sa voûte est soutenue par deux branches d'ogives profilées d'un tore.
Ce vitrail, imitant des verrières anciennes, représente, du haut vers le bas, Jésus ou Marie entouré de saints, la cène et le baptême du Christ. Il est signé par Lucien-Léopold Lobin (Tours, 1888). Le même peintre verrier est aussi l'auteur d'un autre vitrail: la sainte reine de France, saint Jean-Baptiste, saint Henri et saint Victor (Tours, 1887). Son père, Julien-Léopold Lobin, avait réalisé en 1860 une verrière figurant sainte Hélène et la Vraie Croix, la Généalogie du Christ (Jessé, David, Salomon, Joachim, Joseph et Marie). Trois autres vitraux sont des œuvres de Julien Fournier (Tours, 1879): La Crucifixion, saint Pierre, saint Paul. Le fils de ce dernier, Lux Fournier (Tours, 1891) a réalisé une verrière représentant saint Jacques apparaissant au roi Dom Ramyre.
Ce décor (1864) se trouve dans une niche en plein cintre, encadrée par deux pinacles surmontés par des pommes de pin et située au-dessus de la porte d'entrée de la tour carrée. Réalisée à l'aide de cinq carreaux en faïence par Giuseppe Devers, il représente la Charité de saint Martin: le saint, à cheval, coupe son manteau avec son épée pour en offrir la moitié à un pauvre homme assis sur le sol.
C'est dans ce château que s'est déroulé, le 3 juin 1937, le mariage du duc de Windsor (ex-roi Édouard VIII) avec Mme Wallis Simpson après son abdication du trône d'Angleterre le 10 décembre 1936.
Dans son parc de 250 hectares, on peut découvrir ce lavoir.
Le manoir privé de La Fresnaye a été construit au XVIe siècle. Sur le coteau le dominant, il subsiste un pan de mur d'une forteresse des XVe et XVIe siècles.
Le manoir privé du du Clot ou du Clos fut construit, en 1629, par l'avocat Pierre Lasneau. Il a été remanié en 1691.
Dans son parc de 250 hectares, on peut découvrir ce lavoir.
Le manoir privé de La Fresnaye a été construit au XVIe siècle. Sur le coteau le dominant, il subsiste un pan de mur d'une forteresse des XVe et XVIe siècles.
Le manoir privé du du Clot ou du Clos fut construit, en 1629, par l'avocat Pierre Lasneau. Il a été remanié en 1691.
Un toit à quatre pans, portant un petit campanile, couvre le corps de logis principal élevé seulement d'un étage. Au Nord-Est, il est prolongé par une aile plus basse, alors qu'à l'autre extrémité, il est accolé à une longue ligne de dépendances terminée par un pignon à rondelis. Dans le grenier, une cloison montre, imprégnée dans son torchis, la date de 1691. Une des cheminées à l'étage, dont le manteau a été refait, a gardé une hotte de cette époque. Une autre, au rez-de-chaussée, est nantie d'une taque en fonte aux armes de Gilles Boutault (1594-1661), chanoine de Tours, qui devint évêque d’Évreux.
La façade Ouest donne sur une terrasse d'où l'on descend par un degré de pierre de quelques marches dans un jardin. Près de l'entrée de la propriété, se trouve une tour carrée (à gauche). Un acte de vente de 1769 signale une chapelle et un pigeonnier qui ont disparu.
Le manoir privé d'Ortières a conservé dans son intégralité, à l'extérieur comme à l'intérieur, son architecture de la fin du XVe siècle, à l'exception de la toiture d'ardoises à plusieurs pans de sa tour pentagonale d'escalier à vis. Celle-ci est éclairée par des petites fenêtres et est ceinturée par un cordon endommagé à la partie supérieure. La porte à linteau droit est encadrée par une baguette ronde. Les salles basses ont gardé leur cheminée à hotte. L'une présente la bouche d'un four accolé au pignon Est, l'autre, aux jambages rectangulaires, est ornée d'une corniche au plafond, soulignée par une ligne de denticules. Deux salles du premier étage sont chauffées par des cheminées à hotte, avec colonnettes inégales et linteau à simple ou double corniche. Certaines cloisons intérieures sont encore en pisé. Au début des années 2000, une restauration a démuré ses fenêtres à croisée de pierre et le mur d'enceinte a été réparé. Dans la cour, un puits du XVe siècle possède une margelle moulurée.
Au 14 rue Tortevoie, l'ancienne auberge du Lion d'Or a été installée, au XVIIIe siècle, dans un ancien manoir de la fin du XVe siècle (remanié au XIXe). Elle possède une tourelle d'escalier.
Au 3 place Jacques-Drake, ce logis privé à colombages date du XVe siècle. Il a été restauré au début des années 2000.
Le manoir privé d'Ortières a conservé dans son intégralité, à l'extérieur comme à l'intérieur, son architecture de la fin du XVe siècle, à l'exception de la toiture d'ardoises à plusieurs pans de sa tour pentagonale d'escalier à vis. Celle-ci est éclairée par des petites fenêtres et est ceinturée par un cordon endommagé à la partie supérieure. La porte à linteau droit est encadrée par une baguette ronde. Les salles basses ont gardé leur cheminée à hotte. L'une présente la bouche d'un four accolé au pignon Est, l'autre, aux jambages rectangulaires, est ornée d'une corniche au plafond, soulignée par une ligne de denticules. Deux salles du premier étage sont chauffées par des cheminées à hotte, avec colonnettes inégales et linteau à simple ou double corniche. Certaines cloisons intérieures sont encore en pisé. Au début des années 2000, une restauration a démuré ses fenêtres à croisée de pierre et le mur d'enceinte a été réparé. Dans la cour, un puits du XVe siècle possède une margelle moulurée.
Au 14 rue Tortevoie, l'ancienne auberge du Lion d'Or a été installée, au XVIIIe siècle, dans un ancien manoir de la fin du XVe siècle (remanié au XIXe). Elle possède une tourelle d'escalier.
Au 3 place Jacques-Drake, ce logis privé à colombages date du XVe siècle. Il a été restauré au début des années 2000.
Au 29 rue de la Croix-Habert, on peut observer cette ancienne maison du XVIIe siècle. Sa porte d'entrée est surmontée par un visage sculpté encadré par une accolade retombant sur des culots ornés de dragons.
Le moulin de Beaumer (XIXe siècle) a été transformé en minoterie en 1867. L'ancien moulin (bâtiment carré avec une roue à chaque pignon), cité dès 1525, a été démoli en 1837.
Le moulin carré des Fleuriaux ou des Fleuriots (XVIIIe siècle), situé sur la rive droite de l'Indre (rue du Pâtis), a conservé sa roue. Il a été restauré en 1822 et recouvert d'un crépi rose. En 1986, il est transformé en habitation.
En face, sur la rive gaude de l'Indre, on peut voir le moulin du Breuil (XVIIIe siècle) de forme triangulaire (en étrave de bateau). C'est un ancien moulin banal. En 1777, il est équipé de deux roues. Il a cessé son activité en 1904.
Près du pont sur l'Indre, le moulin de la Croix-Rouge (milieu du XVIIIe siècle et 1881) présente des chaînages de briques. Il abrite un bélier hydraulique servant à alimenter en eau le château du Breuil.
Le moulin de La Fresnaye a été reconstruit, en 1928, avec de faux colombages verts, par le parfumeur François-René Coty. Sur ce site, deux moulins banaux existaient au XIVe siècle.
Le moulin de Beaumer (XIXe siècle) a été transformé en minoterie en 1867. L'ancien moulin (bâtiment carré avec une roue à chaque pignon), cité dès 1525, a été démoli en 1837.
Le moulin carré des Fleuriaux ou des Fleuriots (XVIIIe siècle), situé sur la rive droite de l'Indre (rue du Pâtis), a conservé sa roue. Il a été restauré en 1822 et recouvert d'un crépi rose. En 1986, il est transformé en habitation.
En face, sur la rive gaude de l'Indre, on peut voir le moulin du Breuil (XVIIIe siècle) de forme triangulaire (en étrave de bateau). C'est un ancien moulin banal. En 1777, il est équipé de deux roues. Il a cessé son activité en 1904.
Près du pont sur l'Indre, le moulin de la Croix-Rouge (milieu du XVIIIe siècle et 1881) présente des chaînages de briques. Il abrite un bélier hydraulique servant à alimenter en eau le château du Breuil.
Le moulin de La Fresnaye a été reconstruit, en 1928, avec de faux colombages verts, par le parfumeur François-René Coty. Sur ce site, deux moulins banaux existaient au XIVe siècle.
Une maison de la rue Jean-Colin possède une pierre sur laquelle a été gravée une inscription en vieux français: Ce logis a este faict bastir par Louis Severeau 1626.
Le viaduc de chemins de fer de La Horaie, achevé en 1851, mesure 751 mètres de long. Il permet à la ligne Paris-Bordeaux de franchir la vallée de l'Indre grâce à 59 arches. En 1990, il a été doté du plus long aiguillage de France.
Le château privé du Breuil a été édifié en 1881 dans le style néo-Renaissance.
Dans le parc de ce château, le manoir du Vieux-Breuil (XVIIe siècle) a subsisté. Il a conservé ses multiples toitures et une cheminée monumentale, datant de la première Renaissance, qui provient du manoir disparu de La Tardivière.
Le château privé de La Roche a été rebâti au XVIIIe siècle et agrandi en 1856. Il se trouve sur l'emplacement d'une ancienne forteresse dite, au XVIe siècle, La Roche-Preston.
Le viaduc de chemins de fer de La Horaie, achevé en 1851, mesure 751 mètres de long. Il permet à la ligne Paris-Bordeaux de franchir la vallée de l'Indre grâce à 59 arches. En 1990, il a été doté du plus long aiguillage de France.
Le château privé du Breuil a été édifié en 1881 dans le style néo-Renaissance.
Dans le parc de ce château, le manoir du Vieux-Breuil (XVIIe siècle) a subsisté. Il a conservé ses multiples toitures et une cheminée monumentale, datant de la première Renaissance, qui provient du manoir disparu de La Tardivière.
Le château privé de La Roche a été rebâti au XVIIIe siècle et agrandi en 1856. Il se trouve sur l'emplacement d'une ancienne forteresse dite, au XVIe siècle, La Roche-Preston.
A voir
- Le manoir privé de Cigogne (fin du XVe siècle, très remanié au XIXe) possède une chapelle avec un campanile et une fenêtre en arc brisé (XVIe siècle). En 1629, il était entouré de douves. C'était un fief relevant de Colombiers (Villandry). Sa fuie a disparu.
- La maison du Puy (rue du Puy) date du XVIIe siècle.
Patrimoine disparu
- La forteresse de La Fresnaye (XV et XVIe siècles) qui relevait de la châtellenie de Gizeux. Dans un aveu de 1508, elle était décrite comme un logis seigneurial avec, à son centre, un donjon. Elle était entourée de murailles crénelées défendues par des douves sur lesquelles passait un pont-levis. En 1780, la forteresse existait encore, seules les douves venaient d'être récemment comblées.
- La chapelle Notre-Dame du prieuré de Rançay a été détruite en 1750. Il reste quelques pans de murs du logis du prieur. Ce prieuré appartenait à l'abbaye Saint-Julien de Tours.
- Le manoir de La Tardivière (début du XVIe siècle) avait un étage supérieur en colombages. Sa grange présente une porte en plein cintre.
- La chapelle Sainte-Croix, située dans le bourg, fut vendue comme bien national en 1791.
- La chapelle Notre-Dame du prieuré de Rançay a été détruite en 1750. Il reste quelques pans de murs du logis du prieur. Ce prieuré appartenait à l'abbaye Saint-Julien de Tours.
- Le manoir de La Tardivière (début du XVIe siècle) avait un étage supérieur en colombages. Sa grange présente une porte en plein cintre.
- La chapelle Sainte-Croix, située dans le bourg, fut vendue comme bien national en 1791.
- La boucherie A. Plantin (années 1930) était située au 8 rue Jean-Collin. Sa façade en mosaïque rouge présentait le nom du boucher, des représentations de têtes de bœufs et deux portes en trompe l’œil. Un petit auvent la protégeait de la pluie (📷 Jean-Michel Rafin).
Lieux-dits: Baillé, Beaumer, Beauregard, Bellevue, Bois-Cantin, Bois-de-la-Bruère, Bois-de-la-Roche, Bois-de-Longue-Plaine, Bois-de-Tireloup, Bois-du-Petit-Moulin, Bois-Foucher, Bois-Joli, Bois-Mulet, Boulaine, Bray, Champs-Perrons, Château-de-Candé, Cigogne, Épiray, Ferme-de-Candé, La Bade, La Billette, La Blonnière, La Bouchardière, La Chapelle-de-Candé, La Chênaie, La Colinière, La Coquerie, La Craye, La Croix, La Croix-Chauveau, La Croix-de-Monts, La Croix-Habert, La Croix-Rouge, La Folie-aux-Moines, La Fouasserie, La Fresnaye, La Fuie, La Gagneraie, La Gare, La Gavellerie, La Guérie, La Haute-Métairie, La Haute-Vasselière, La Horaie, La Lande, La Laye, La Liborie, La Lionnière, La Macquinière, La Martellière, La Maugerie, La Morinière, La Niverdière, La Perrée, La Pichauderie, La Piétrie, La Pinsonnière, La Rauderie, La Roche, La Taperie, La Tardivière, La Toullerie, La Vasselière, Le Bois, Le Bois-d'Azay, Le Breuil, Le Buisson, Le Clos-Perain, Le Clot, Le Coteau-du-Puits, Le Grand-Bois, Le Marchais, Le Moulin-Couché, Le Moulin-de-Beaumer, Le Parc, Le Pavillon, Le Petit-Moulin, Le Petit-Natilly, Le Platriou, Le Puits, Le Ripault, Les Belles-Landes, Les Caves, Les Fleuriaux, Les Gasniers, Les Girardières, Les Glanneries, Les Goubins, Les Granges, Les Hautes-Varennes, Les Lionneries, Les Pâtis, Les Prateaux, Les Trois-Guigniers, Les Trois-Cheminées, Les Usages, Longue-Plaine, Malicorne, Moulins-de-Monts, Ortières, Pesse-Oison, Pâtis-de-la-Horaie, Prairie-de-Candé, Prairie-d’Épiray, Prairie-du-Breuil, Pré-Jagu, Rançay, Servolet, Tujot, Vauxibault, Vontes
Anciens lieux-dits: La Brosse, La Drouaudière, La Sénégonnière
Anciens lieux-dits: La Brosse, La Drouaudière, La Sénégonnière
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire