Montlouis-sur-Loire (Wikipedia) est une ville de la rive gauche de la Loire, à l'Est de Tours, connue pour son vignoble. Ses habitants sont appelés les Montlouisiens, les Montlouisiennes.
Elle a porté les noms de: Mons Laudium (VIe siècle, Grégoire de Tours), Mons Laudatus (XIIe siècle), Montloué (1336, cartulaire de l'archevêché de Tours), Montlouis (XVIIIe siècle, carte de Cassini), Montlibre (1789), Montloire (de 1793 à 1805), Montlouis (1820, carte de l'état-major), Montlouis-sur-Loire (décret du 13 août 1920).
Aux Xe et XIe siècles, Montlouis était le chef-lieu d'une viguerie. En 1717, elle fait partie du marquisat de la Bourdaisière érigé au profit de Philippe de Courcillon, marquis de Dangeau. Elle appartint aux familles de Luynes, Choiseul-Stainville et Bourbon-Penthièvre.
Elle a porté les noms de: Mons Laudium (VIe siècle, Grégoire de Tours), Mons Laudatus (XIIe siècle), Montloué (1336, cartulaire de l'archevêché de Tours), Montlouis (XVIIIe siècle, carte de Cassini), Montlibre (1789), Montloire (de 1793 à 1805), Montlouis (1820, carte de l'état-major), Montlouis-sur-Loire (décret du 13 août 1920).
Aux Xe et XIe siècles, Montlouis était le chef-lieu d'une viguerie. En 1717, elle fait partie du marquisat de la Bourdaisière érigé au profit de Philippe de Courcillon, marquis de Dangeau. Elle appartint aux familles de Luynes, Choiseul-Stainville et Bourbon-Penthièvre.
Le plus ancien registre paroissial date de 1587.
L'église Saint-Laurent, construite au XIIe siècle (chœur, abside et base du clocher), a été modifiée au XVe (chapelle seigneuriale Nord), au XVIe (nef, deux collatéraux et chapelle Sud) et en 1870 (clocher et façade Ouest). Ce sanctuaire a remplacé l'église bâtie en 485 par saint Perpet.
La façade Ouest, divisée en trois pignons de hauteurs inégales, correspondant à la nef et aux deux collatéraux, a été refaite en 1870, sauf le pignon Nord. De ce côté, la porte en arc surbaissé est surmontée par un cartouche mutilé. Accolé au Sud du chœur, le clocher carré, restauré aussi, est couronné par une terrasse à galerie soutenue par une ligne d'arceaux trilobés retombant sur des culs-de-lampe. L'étage du beffroi est ouvert, sur chaque face, par deux fenêtres jumelles en plein cintre. Au-dessus, se trouve une flèche en charpente. L'extérieur de l'abside semi-circulaire, épaulée par de colonnes-contreforts et surmontée par une corniche à modillons grotesques, a été également restauré.
A l'intérieur, la nef et les deux collatéraux sont composés de quatre travées voûtées sur croisée d'ogives retombant sur des culots. Les collatéraux sont d'inégales dimensions: les quatre travées Nord sont plus larges que celles du Sud. Le chœur, comprenant deux travées voûtées d'un berceau en plein cintre, se termine par l'abside voûtée en cul-de-four et éclairée par trois fenêtres en plein cintre. Au Nord se trouve la chapelle seigneuriale. La clef de sa voûte, sur croisée d'ogives, porte un blason meublé par trois rosaces à huit feuilles. Au Sud, une chapelle, voûtée d'un berceau en plein cintre, sert de sacristie.
La façade Ouest, divisée en trois pignons de hauteurs inégales, correspondant à la nef et aux deux collatéraux, a été refaite en 1870, sauf le pignon Nord. De ce côté, la porte en arc surbaissé est surmontée par un cartouche mutilé. Accolé au Sud du chœur, le clocher carré, restauré aussi, est couronné par une terrasse à galerie soutenue par une ligne d'arceaux trilobés retombant sur des culs-de-lampe. L'étage du beffroi est ouvert, sur chaque face, par deux fenêtres jumelles en plein cintre. Au-dessus, se trouve une flèche en charpente. L'extérieur de l'abside semi-circulaire, épaulée par de colonnes-contreforts et surmontée par une corniche à modillons grotesques, a été également restauré.
A l'intérieur, la nef et les deux collatéraux sont composés de quatre travées voûtées sur croisée d'ogives retombant sur des culots. Les collatéraux sont d'inégales dimensions: les quatre travées Nord sont plus larges que celles du Sud. Le chœur, comprenant deux travées voûtées d'un berceau en plein cintre, se termine par l'abside voûtée en cul-de-four et éclairée par trois fenêtres en plein cintre. Au Nord se trouve la chapelle seigneuriale. La clef de sa voûte, sur croisée d'ogives, porte un blason meublé par trois rosaces à huit feuilles. Au Sud, une chapelle, voûtée d'un berceau en plein cintre, sert de sacristie.
Sur son mur Sud, on trouve ce cadran solaire en ardoise. Il porte la date de 1610 et une phrase: "faict par messire Jacques Gasnier".
Sur sa façade Ouest, ce graffiti de 1793 est un ex-voto de marinier de Loire représentant une gabare.
Les deux collatéraux de cette église renferment huit vitraux du maître-verrier Lux Fournier. Ils représentent: la fondation de l'église de Montlouis par saint Perpet en 485 (1904, 📷), le Don du Rosaire à saint Dominique (1903), le séjour de saint Brice à Montlouis à son retour de Rome (1903), les Mystères Joyeux du Rosaire: l'Annonciation, la Visitation, la Nativité, la Présentation au Temple, Jésus parmi les docteurs (1903), le Miracle au tombeau de saint Martin de Tours (1904), les Mystères Douloureux du Rosaire: l'Agonie au Jardin des Oliviers, la Flagellation, le Couronnement d'épines, le Portement de croix, la Crucifixion (1903), le Baptême du Christ (1903), les Mystères Glorieux du Rosaire: la Résurrection, l'Ascension, la Pentecôte, l'Assomption et le Couronnement de la Vierge (1903). Les trois verrières du chœur sont signées par Julien-Léopold Lobin (Tours, 1859): la Cène et la Crucifixion; l'assassinat de Thomas Becket le 29 décembre 1170; la réconciliation entre Thomas Becket et Henri II à Montlouis le 12 octobre 1170.
Au-dessus de la porte d'entrée, cette verrière, signée Lux Fournier (Tours, 1947), commémore les bombardements du pont ferroviaire de Montlouis en mai-juin 1944. On y voit l'Immaculée Conception, saint Vincent, saint Laurent, les bombardements du pont de Montlouis et les messes célébrées dans les caves Courtemanche transformées en abris (juin-juillet 1944).
Les deux collatéraux de cette église renferment huit vitraux du maître-verrier Lux Fournier. Ils représentent: la fondation de l'église de Montlouis par saint Perpet en 485 (1904, 📷), le Don du Rosaire à saint Dominique (1903), le séjour de saint Brice à Montlouis à son retour de Rome (1903), les Mystères Joyeux du Rosaire: l'Annonciation, la Visitation, la Nativité, la Présentation au Temple, Jésus parmi les docteurs (1903), le Miracle au tombeau de saint Martin de Tours (1904), les Mystères Douloureux du Rosaire: l'Agonie au Jardin des Oliviers, la Flagellation, le Couronnement d'épines, le Portement de croix, la Crucifixion (1903), le Baptême du Christ (1903), les Mystères Glorieux du Rosaire: la Résurrection, l'Ascension, la Pentecôte, l'Assomption et le Couronnement de la Vierge (1903). Les trois verrières du chœur sont signées par Julien-Léopold Lobin (Tours, 1859): la Cène et la Crucifixion; l'assassinat de Thomas Becket le 29 décembre 1170; la réconciliation entre Thomas Becket et Henri II à Montlouis le 12 octobre 1170.
Au-dessus de la porte d'entrée, cette verrière, signée Lux Fournier (Tours, 1947), commémore les bombardements du pont ferroviaire de Montlouis en mai-juin 1944. On y voit l'Immaculée Conception, saint Vincent, saint Laurent, les bombardements du pont de Montlouis et les messes célébrées dans les caves Courtemanche transformées en abris (juin-juillet 1944).
Le château de la Bourdaisière a été modifié de 1839 à 1843 par le baron Joseph Angelier, selon les plans de l'architecte Jean-Charles Jacquemin, à partir des restes d'un château de 1520 bâti pour Philibert Babou, grand argentier de François Ier. C'est ici que serait née, vers 1565, Gabrielle d'Estrées, future favorite d'Henri IV.
En retour d'équerre sur le château, les écuries du marquis de Crèvecœur datent de 1646.
Au début du XIXe siècle, une maison de jardinier fut transformée en une chapelle de style néo-gothique Tudor.
Son parc et ses jardins se visitent. Il renferme un conservatoire de la tomate (environ 650 variétés) et des plantes médicinales. On peut aussi y observer 100 variétés de dahlias.
Il possède encore une éolienne Bollée datant de 1905.
Au début du XIXe siècle, une maison de jardinier fut transformée en une chapelle de style néo-gothique Tudor.
Son parc et ses jardins se visitent. Il renferme un conservatoire de la tomate (environ 650 variétés) et des plantes médicinales. On peut aussi y observer 100 variétés de dahlias.
Il possède encore une éolienne Bollée datant de 1905.
Au 3 rue Courtemanche, le presbytère, bâti au XVIe siècle mais remanié au XIXe, présente deux lucarnes couronnées d'un gâble orné d'une coquille. Selon la tradition, il aurait abrité les amours de Gabrielle d'Estrèes et d'Henri IV.
Le château privé de Thuisseau, bâti au XIXe siècle dans un style néo-Renaissance, comporte une partie centrale à un étage ouvert par trois baies surmontées par un toit pointu. Le rez-de-chaussée possède une fenêtre centrale plus large que les deux autres. Ce logis est encadré par deux ailes dissymétriques avec deux étages de fenêtre dans le toit pour celle de l'Ouest. De hautes cheminées dominent le toit. Thuisseau était un fief relevant de l'archevêché de Tours.
Le manoir privé de Bondésir, dominant la Loire, date du XVIe siècle mais a été remanié au XIXe (ajout d'un étage en 1847 et d'un belvédère en 1854). Il possède un petit pigeonnier en brique de la fin du XVIIIe siècle (à gauche). Cette fuye est couverte par un toit en bâtière et présente trois trous d'envol vers l'Ouest. Ce manoir a eu comme propriétaires le comte de Fersen, fils du chevalier servant de Marie-Antoinette, et le prince Radziwill, grand chambellan du Tsar. Sa chapelle Notre-Dame, fondée en 1554 par Philibert Babou et sa femme Marie Gaudin, a disparu après la Révolution.
Le manoir privé de La Pousterie (ou La Posterie) date, pour une partie, de la fin du XVe siècle et, pour l'autre, du début du XVIe. C'est un ancien relais de poste dépendant de l'archevêché de Tours.
Le manoir privé de Belle-Roche, à La Vallée, servit de relais de poste sous Henri IV (XVIe et XVIIe siècles).
Le manoir privé de La Barre a été construit au XVIIIe siècle (vers 1786). Un important portail en anse de panier donne accès à une cour encadrée de bâtiments sur ses quatre côtés. Au Nord, le logis comprend une rez-de-chaussée et un comble. A l'Est, il se prolonge par une aile plus longue en retour d'équerre. Son toit à quatre pans est orné de lucarnes de pierre à fronton courbe comme l'est aussi l'extrémité Sud de l'aile. La porte centrale présente un linteau incurvé surmonté par un tympan triangulaire portant la date de 1786. Cette porte est encadrée par des pilastres à chapiteaux ioniques. Fermant la cour au Sud, un petit bâtiment à fronton triangulaire, construit de 1748 à 1788, servait jadis de chapelle. La Barre était un fief relevant d'Amboise.
Le manoir privé de La Miltière a été construit au début du XVIIe siècle. On accède à sa cour par un portail en anse de panier accompagné par une porte piétonne à linteau droit où l'on peut lire la date de 1744. Le logis de plan rectangulaire est composé d'un rez-de-chaussée aux ouvertures symétriques munies d'huisseries à petits carreaux et d'un comble. Entre deux oculus de pierre, se dresse une haute lucarne à tympan triangulaire, aux jambages formant ailerons à la base. Elle donne de nos jours sur un balcon ajouté postérieurement. Il prend appui sur deux colonnes à cannelures torses, jadis ornées de fleurs de lis ou d'hermines. L'édifice semble avoir été prolongé à l'Est par une addition qui présente une lucarne moins importante et à fronton courbe. Une seule lucarne existe au Nord, semblable à la première. Le linteau de sa porte-fenêtre, en retrait par rapport à l'encadrement, est orné de branches avec feuillage et fruits de part et d'autre d'un grand motif représentant des initiales entrelacées.
Le manoir privé de Bondésir, dominant la Loire, date du XVIe siècle mais a été remanié au XIXe (ajout d'un étage en 1847 et d'un belvédère en 1854). Il possède un petit pigeonnier en brique de la fin du XVIIIe siècle (à gauche). Cette fuye est couverte par un toit en bâtière et présente trois trous d'envol vers l'Ouest. Ce manoir a eu comme propriétaires le comte de Fersen, fils du chevalier servant de Marie-Antoinette, et le prince Radziwill, grand chambellan du Tsar. Sa chapelle Notre-Dame, fondée en 1554 par Philibert Babou et sa femme Marie Gaudin, a disparu après la Révolution.
Le manoir privé de La Pousterie (ou La Posterie) date, pour une partie, de la fin du XVe siècle et, pour l'autre, du début du XVIe. C'est un ancien relais de poste dépendant de l'archevêché de Tours.
Le manoir privé de Belle-Roche, à La Vallée, servit de relais de poste sous Henri IV (XVIe et XVIIe siècles).
Le manoir privé de La Barre a été construit au XVIIIe siècle (vers 1786). Un important portail en anse de panier donne accès à une cour encadrée de bâtiments sur ses quatre côtés. Au Nord, le logis comprend une rez-de-chaussée et un comble. A l'Est, il se prolonge par une aile plus longue en retour d'équerre. Son toit à quatre pans est orné de lucarnes de pierre à fronton courbe comme l'est aussi l'extrémité Sud de l'aile. La porte centrale présente un linteau incurvé surmonté par un tympan triangulaire portant la date de 1786. Cette porte est encadrée par des pilastres à chapiteaux ioniques. Fermant la cour au Sud, un petit bâtiment à fronton triangulaire, construit de 1748 à 1788, servait jadis de chapelle. La Barre était un fief relevant d'Amboise.
Le manoir privé de La Miltière a été construit au début du XVIIe siècle. On accède à sa cour par un portail en anse de panier accompagné par une porte piétonne à linteau droit où l'on peut lire la date de 1744. Le logis de plan rectangulaire est composé d'un rez-de-chaussée aux ouvertures symétriques munies d'huisseries à petits carreaux et d'un comble. Entre deux oculus de pierre, se dresse une haute lucarne à tympan triangulaire, aux jambages formant ailerons à la base. Elle donne de nos jours sur un balcon ajouté postérieurement. Il prend appui sur deux colonnes à cannelures torses, jadis ornées de fleurs de lis ou d'hermines. L'édifice semble avoir été prolongé à l'Est par une addition qui présente une lucarne moins importante et à fronton courbe. Une seule lucarne existe au Nord, semblable à la première. Le linteau de sa porte-fenêtre, en retrait par rapport à l'encadrement, est orné de branches avec feuillage et fruits de part et d'autre d'un grand motif représentant des initiales entrelacées.
Dans la grande salle Ouest, au plafond de chevrons apparents, reposant sur deux maîtresses poutres, subsiste un four à pain et à pâtisserie. De l'autre côté du vestibule, un pièce ayant conservé une partie de ses boiseries est chauffée par une cheminée dont le linteau abrite cinq petits tiroirs destinés à l'éclosion des vers à soie. Sous l'escalier de bois, une quinzaine de marches descendent dans un couloir étroit qui débouche dans une longue galerie orientée Nord-Sud. L'extrémité Nord est couverte d'une voûte en berceau appareillée. La date de 1731 est gravée sur une pierre. L'autre partie est taillée dans le rocher, avec quelques niches creusées dans la paroi. Un petit caveau voûté servait de boulangerie avec ses deux fours près de la sortie Sud. Celle-ci débouche dans la cour non loin du pigeonnier.
Au Nord du logis, dans le mur de clôture du jardin, est aménagé un puits, commun sur une face avec la propriété voisine et couvert d'une logette à fronton triangulaire.
Au Sud-Est de la cour, son pigeonnier carré est surmonté d'un toit en pavillon. A l'intérieur, il reste quelques traces de boulins et de cordon d'appui.
Visible depuis la place Abraham-Courtemanche, le manoir privé de Beauregard a été construit en 1888 par Antoine-Jules Dubois. Il a remplacé une maison de vigneron.
Quai de la Loire, le manoir privé de Roc-en-Val date de 1730. Il est élevé d'un rez-de-chaussée, d'un étage et d'un comble éclairé par des lucarnes et dominé par de hautes cheminées. Jadis, il a abrité un restaurant.
L'hôtel de la Ramée, au 36 quai Albert-Baillet, est un logis du XVIe siècle. Il est élevé d'un rez-de-chaussée, d'un étage et d'un comble éclairé, au Nord, par deux lucarnes surmontées par un gâble sculpté accompagné de pinacles. Les fenêtres de la façade Nord et les deux fenêtres de la travée Ouest de la façade Sud ont conservé la décoration de leur encadrement. La façade Sud est accompagnée par une tour rectangulaire d'escalier dont la porte d'accès est encadrée par des pilastres soutenant un fronton courbe meublé par des armoiries bûchées, ornés de crochets et supportant des vases.
Au Sud-Est de la cour, son pigeonnier carré est surmonté d'un toit en pavillon. A l'intérieur, il reste quelques traces de boulins et de cordon d'appui.
Visible depuis la place Abraham-Courtemanche, le manoir privé de Beauregard a été construit en 1888 par Antoine-Jules Dubois. Il a remplacé une maison de vigneron.
L'hôtel de la Ramée, au 36 quai Albert-Baillet, est un logis du XVIe siècle. Il est élevé d'un rez-de-chaussée, d'un étage et d'un comble éclairé, au Nord, par deux lucarnes surmontées par un gâble sculpté accompagné de pinacles. Les fenêtres de la façade Nord et les deux fenêtres de la travée Ouest de la façade Sud ont conservé la décoration de leur encadrement. La façade Sud est accompagnée par une tour rectangulaire d'escalier dont la porte d'accès est encadrée par des pilastres soutenant un fronton courbe meublé par des armoiries bûchées, ornés de crochets et supportant des vases.
Dans les rues, des maisons anciennes peuvent être observées (25 quai Albert-Baillet).
Sur la façade d'une maison Art Nouveau (1900), au 2 quai Albert Baillet, deux figures de Chinois (selon la tradition locale) ont été sculptées: l'un qui rit et l'autre qui pleure.
Le manoir privé du Tertre, à Husseau, a été bâti au XVIIe siècle. C'était un fief relevant de la baronnie d'Amboise. En 1768, il fut acheté par le duc de Choiseul.
- Le moulin à vent des Bodets signalé par un acte de 1774 et le cadastre de 1813.
Sur la façade d'une maison Art Nouveau (1900), au 2 quai Albert Baillet, deux figures de Chinois (selon la tradition locale) ont été sculptées: l'un qui rit et l'autre qui pleure.
Le manoir privé du Tertre, à Husseau, a été bâti au XVIIe siècle. C'était un fief relevant de la baronnie d'Amboise. En 1768, il fut acheté par le duc de Choiseul.
Son pigeonnier carré (XVIIe siècle) a été transformé en chambre d'hôtes. Il possède trois niveaux auxquels on accède par un escalier extérieur. A l'intérieur, les boulins ont été conservés.
Toujours à Husseau, chemin de Cours, un ancien logis d'habitation a été transformé en chapelle dotée d'un petit clocheton couvert d'ardoises surmontant son pignon Ouest.
Le cadastre napoléonien de 1813 signalait la présence, à Montlouis, de cinq moulins à vent. De nos jours, il ne reste que le massereau d'un moulin de type cavier (XVIIIe siècle) qui est situé dans une propriété privée.
Au cœur de l'aire des vins AOC portant son nom, le territoire de Montlouis est riche en loges de vigne. Près du hameau de Husseau, on découvre celle-ci de 1901, appelée L'Espérance,...
... qui possède une pierre sculptée, ce qui est rare sur ce type d'édifice.
Sa voisine est plus simple.
D'autres loges de vigne sont éparpillées sur le territoire de la commune.
Ce vieux puits à chapelle, situé au 7 rue du Chemin-Creux, présente encore, protégées par une grille une poulie de bois et la manivelle servant à remonter l'eau se trouvant à 30 mètres de profondeur.
Toujours à Husseau, chemin de Cours, un ancien logis d'habitation a été transformé en chapelle dotée d'un petit clocheton couvert d'ardoises surmontant son pignon Ouest.
Le cadastre napoléonien de 1813 signalait la présence, à Montlouis, de cinq moulins à vent. De nos jours, il ne reste que le massereau d'un moulin de type cavier (XVIIIe siècle) qui est situé dans une propriété privée.
Au cœur de l'aire des vins AOC portant son nom, le territoire de Montlouis est riche en loges de vigne. Près du hameau de Husseau, on découvre celle-ci de 1901, appelée L'Espérance,...
... qui possède une pierre sculptée, ce qui est rare sur ce type d'édifice.
Sa voisine est plus simple.
D'autres loges de vigne sont éparpillées sur le territoire de la commune.
Ce vieux puits à chapelle, situé au 7 rue du Chemin-Creux, présente encore, protégées par une grille une poulie de bois et la manivelle servant à remonter l'eau se trouvant à 30 mètres de profondeur.
Une ancienne plaque routière de l'Automobile Club de l'Ouest (créé en 1906), don du café Mirault, est visible au 18 rue du Maréchal-Foch. La maison Mirault de Joué-lès-Tours était une épicerie en gros mais, aussi, un torréfacteur et un fabricant de rillettes.
Montlouis possède son girouet dont la partie centrale représente l'église Saint-Laurent, un pont sur la Loire et une grappe de raisin.
Patrimoine disparu
Montlouis possède son girouet dont la partie centrale représente l'église Saint-Laurent, un pont sur la Loire et une grappe de raisin.
Patrimoine disparu
- Le moulin à vent des Bodets signalé par un acte de 1774 et le cadastre de 1813.
- L'éolienne Bollée (1888) du manoir de Beauregard.
Lieux-dits: Belle-Roche, Boisdenier, Bondésir, Clos-des-Granges, Conneuil, Gratte-Chien, Greux, Husseau, La Barre, La Béchellerie, La Bonde, La Bouillarderie, La Bourdaisière, La Bourellière, La Brunette, La Chevrette, La Closerie, La Croix-Blanche, La Croix-Cassée, La Folie, La Fosse-Alouette, La Fosse-aux-Joncs, La Frelonnerie, La Garenne, La Gaudellerie, La Geneserie, La Gravelle, La Grenouillère, La Miltière, La Pousterie, La Prestrise, La Printanière, La Tuilerie, La Vallée, La Vallée-Moret, La Varenne, Le Bas-Rocher, Le Buisson, Le Chapitre, Le Chemin-About, Le Clos-au-Renard, Le Clos-du-Houx, Le Clos-du-Lin, Le Cormier, Le Grand-Carroi, Le Haut-du-Thet, Le Jeu, L’Épine-Fleurie, Le Saule-Michaud, Le Saunay, Les Aubœufs, Les Aujoux, Les Bâtisses, Les Bodets, Les Bouvineries, Les Bredins, Les Coteaux-de-Montlouis, Les Épinais, Les Fosses-Bouteilles, Les Grands-Rangs, Les Gravuches, Les Grillonnières, Les Justices, Les Landes, Les Marronniers, Les Moques-Bouteil, Les Ormeaux, Les Pilliers, Les Piquetteries, Les Pointereaux, Les Ralluères, Les Renardières, Les Robinières, Les Roussières, Les Sablons, L'Oie-Blanche, Lorbinais, Montaigu, Parc-de-la-Bourdaisière, Rillé, Rochepinard, Saint-Brice, Saint-Ermé, Saint-Hilaire, Taille-de-Nouy, Thuisseau, Vaumorin, Velauger
Anciens lieux-dits: Coutard, La Voirie
Anciens lieux-dits: Coutard, La Voirie
Communes voisines: Larçay, La Ville-aux-Dames, Lussault-sur-Loire, St-Martin-le-Beau, Véretz, Vouvray
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