Beaumont-la-Ronce (Wikipedia) est un village du Nord Touraine. Ses habitants sont appelés les Beaumontois, les Beaumontoises.
Le Ier janvier 2017, Beaumont-la-Ronce et Louestault ont fusionné pour former la nouvelle commune de Beaumont-Louestault.
Il a porté les noms de: Runcia (1119, bulle du pape Calixte II), Ecclesia de Bello monte (1144, charte de l'abbaye de Saint-Julien), Bellus Mons de Runcia (1270, cartulaire de l'abbaye de Fontevraud), Parochia Belli montis de Roncia (XIIIe siècle, cartulaire de l'archevêché de Tours), Beaumont la Ronce (XVIIIe siècle, carte de Cassini), Beaumont la Ronce (1820, carte de l'état-major).
La châtellenie, relevant, à foi et hommage lige, de la baronnie de Maillé (Luynes), fut érigée en marquisat en avril 1757 au profit de Jean-Claude Bonnin de La Bonninière de Beaumont.
Le Ier janvier 2017, Beaumont-la-Ronce et Louestault ont fusionné pour former la nouvelle commune de Beaumont-Louestault.
Il a porté les noms de: Runcia (1119, bulle du pape Calixte II), Ecclesia de Bello monte (1144, charte de l'abbaye de Saint-Julien), Bellus Mons de Runcia (1270, cartulaire de l'abbaye de Fontevraud), Parochia Belli montis de Roncia (XIIIe siècle, cartulaire de l'archevêché de Tours), Beaumont la Ronce (XVIIIe siècle, carte de Cassini), Beaumont la Ronce (1820, carte de l'état-major).
La châtellenie, relevant, à foi et hommage lige, de la baronnie de Maillé (Luynes), fut érigée en marquisat en avril 1757 au profit de Jean-Claude Bonnin de La Bonninière de Beaumont.
Le plus ancien registre paroissial date de 1532.
Coordonnées GPS de Beaumont-la-Ronce: 0°40'20"E - 47°34'15"N
Code INSEE: 37021 - Code postal: 37360 - Superficie: 3904 hectares
Altitudes: de 85 à 175 mètres
Cours d'eau: la Choisille de Beaumont, le Long (ou la Vandœuvre)
Code INSEE: 37021 - Code postal: 37360 - Superficie: 3904 hectares
Altitudes: de 85 à 175 mètres
Cours d'eau: la Choisille de Beaumont, le Long (ou la Vandœuvre)
L'église Saint-Martin a été bâtie en style néo-gothique selon les plans de l'architecte Gustave Guérin. Inaugurée en 1893, elle a remplacé un édifice du XIIe siècle démoli en 1879.
La verrière située au-dessus de l'entrée principale, est signée par Lux Fournier (Tours, 1955). Elle représente, à gauche, une messe de saint Martin et, à droite, la mort de saint Martin à Candes (📷). Six autres baies sont dotées de vitraux créés par le même Lux Fournier: la Vie de la Vierge: Mystères Joyeux du Rosaire (1953), la Vie de la Vierge: Mystères Glorieux du Rosaire (1953), la Vie de la Vierge: Mystères Joyeux du Rosaire (1953), la Vie de la Vierge: Mystères Glorieux du Rosaire (1954), la Vie de la Vierge: Mystères Douloureux du Rosaire (1954) et la Vie de la Vierge: Mystères Douloureux du Rosaire (1954).
La verrière située au-dessus de l'entrée principale, est signée par Lux Fournier (Tours, 1955). Elle représente, à gauche, une messe de saint Martin et, à droite, la mort de saint Martin à Candes (📷). Six autres baies sont dotées de vitraux créés par le même Lux Fournier: la Vie de la Vierge: Mystères Joyeux du Rosaire (1953), la Vie de la Vierge: Mystères Glorieux du Rosaire (1953), la Vie de la Vierge: Mystères Joyeux du Rosaire (1953), la Vie de la Vierge: Mystères Glorieux du Rosaire (1954), la Vie de la Vierge: Mystères Douloureux du Rosaire (1954) et la Vie de la Vierge: Mystères Douloureux du Rosaire (1954).
Dans le bras Nord du transept, un vitrail, œuvre de Charles Champigneulle (Paris, après 1880), figure saint Jean l’Évangéliste à Patmos. Joseph-Prosper Florence (Tours) a réalisé quatre verrières: la Vierge à l'Enfant (1900), saint Martin (1900), saint Armel (1900) et saint Louis (1893).
Une statue en terre cuite polychrome (XVIIe siècle) représente saint Armel terrassant le dragon.
Près de l'église, rue Saint-Armel, l'ancien presbytère a été construit au XIIIe siècle mais sa façade a été remaniée au XVIIIe. Il est bâti sur d'importants souterrains qui devaient faire partie des moyens de défense du château voisin. On y remarque des silos à grain.
Près de l'église, rue Saint-Armel, l'ancien presbytère a été construit au XIIIe siècle mais sa façade a été remaniée au XVIIIe. Il est bâti sur d'importants souterrains qui devaient faire partie des moyens de défense du château voisin. On y remarque des silos à grain.
Dans le cimetière, la chapelle Saint-Armel, reconstruite en 1869 selon les plans de l'architecte Gustave Guérin, a remplacé un ancien oratoire qui était un but de pèlerinages. Cette chapelle possède trois vitraux réalisés par Lucien-Léopold Lobin (Tours, vers 1867). L'un d'entre eux représente la Vie du Christ, les deux autres la Vie de saint Armel.
Le château de Beaumont possède un donjon carré du XIIIe siècle. Jadis, à chacun de ses angles se trouvait une tourelle cylindrique en encorbellement soutenue par un cul-de-lampe. De nos jours, il ne subsiste plus que la tourelle du Nord-Est. Au XVIe siècle, ses murs Est et Sud furent percés, à chaque étage, d'une fenêtre au chambranle orné de pilastres. En même temps, à l'angle Nord, fut édifiée une tour octogonale, d'abord en pierres puis en briques, renfermant un escalier à vis de pierre de 164 marches (en y comprenant celles de la tourelle). Au rez-de-chaussée, cette tour d'escalier possède une porte dont le linteau portait des armoiries qui ont été bûchées. En 1780, le donjon a perdu son chemin de ronde et son étage supérieur.
Au XIIIe siècle, un corps de logis rectangulaire se développait perpendiculairement à la face Nord du donjon. Ce logis existe encore mais sa façade est a été totalement refaite au XVIIIe siècle. De 1874 à 1880, des constructions furent ajoutées au Nord et au Sud-Ouest du château. Parmi elles, se trouve un pigeonnier cylindrique de 1786 renfermant 240 boulins (nids de pigeons).
Aujourd'hui dans le parc du château de Beaumont, la colonne du bois des Chalonges est constituée de treize colonnettes. Elle a été érigée le 12 octobre 1810, par les treize enfants (et les soixante petits-enfants) d'Anne-Claude de la Bonninière, comte de Beaumont, et de Marguerite de Gauville dont l'union avait été consacrée le 7 janvier 1761.
Au XIIIe siècle, un corps de logis rectangulaire se développait perpendiculairement à la face Nord du donjon. Ce logis existe encore mais sa façade est a été totalement refaite au XVIIIe siècle. De 1874 à 1880, des constructions furent ajoutées au Nord et au Sud-Ouest du château. Parmi elles, se trouve un pigeonnier cylindrique de 1786 renfermant 240 boulins (nids de pigeons).
Aujourd'hui dans le parc du château de Beaumont, la colonne du bois des Chalonges est constituée de treize colonnettes. Elle a été érigée le 12 octobre 1810, par les treize enfants (et les soixante petits-enfants) d'Anne-Claude de la Bonninière, comte de Beaumont, et de Marguerite de Gauville dont l'union avait été consacrée le 7 janvier 1761.
Le château privé de La Cantinière (fin du XVIe siècle) a encore ses douves entourant une terrasse rectangulaire. Celle-ci était bordée par l'enceinte primitive qui a disparu sur trois côtés ne laissant comme témoin qu'une tour à l'angle Nord-Est.
Au Sud de la terrasse, les bâtiments défendant l'entrée ont totalement subsisté. Une porte charretière et une poterne munies chacune de leur pont-levis, dont peut voir les trois rainures verticales, s'ouvraient à la base d'un pavillon carré à la toiture élancée, situé au centre d'un corps de logis rectangulaire. Une passerelle en bois aboutit aujourd'hui à la porte piétonne. Au-dessus du porche en arc brisé, on voit, sculpté dans le mur, un double blason dont la partie supérieure est encadrée par des petites arcatures aveugles. La façade est percée, de part et d'autre, par des fenêtres à croisée de pierre. Les lucarnes sont une addition moderne. Cette façade est protégée, à chaque extrémité, par une tour circulaire alors qu'à l'opposé deux tours moins élevées sont reliées à l'édifice par une petite courtine. L'intérieur possède des grandes cheminées. Celles du rez-de-chaussée ont une hotte droite avec corniche au plafond reposant sur des jambages obliques. Le départ d'un escalier à vis se voit dans la cave voûtée. A l'Ouest, un pont dormant donne accès à la cour intérieure.
Dans le parc, une tour cylindrique isolée protégeait jadis l'angle Nord-Est de l'enceinte défensive grâce à quatre meurtrières pour armes à feu perçant ses murs de 70 centimètres d'épaisseur. Le linteau droit de l'entrée porte deux écus mutilés. Au XVIIe siècle, on y aménagea une chapelle. La salle unique fut, alors, couverte par une coupole soulignée par une ligne de denticules et divisée en quatre registres par des têtes d'angelots. Cette coupole est soutenue par quatre pilastres doriques. Sous leurs chapiteaux, des blasons avaient été peints, mais il sont désormais trop effacés pour deviner les armoiries. La lumière pénètre par trois fenêtres en plein cintre, l'autel devait être devant la plus grande. Le toit se termine par un très haut lanternon octogonal d'ardoises.
Le château privé de Montifray (XVIe siècle) est composé d'un corps de logis avec un étage en brique. Il a été agrandi au XIXe siècle de deux ailes inégales en retour d'équerre vers le Nord-Est. La porte centrale, au linteau et piédroits appareillés en bossage, est surmontée par un entablement orné de diglyphes et de triglyphes avec une corniche rectiligne soulignée par des denticules. Dans son axe, le comble est éclairé par une haute fenêtre à croisée de pierre. Deux ailerons accostent la partie supérieure et supportent une horloge encadrée par des pilastres sur lesquels repose un fronton triangulaire.
Sa chapelle (à droite) fut édifiée en 1878 par la famille Roque. Ce petit édifice élancé, bâti en style néo-gothique, est limité par un haut pignon triangulaire et une abside à trois pans. L'intérieur, voûté sur croisées d'ogives, présente une série de blasons et d'écussons peints.
En 1884, ce château possédait un vignoble de 55 hectares qui avait été planté après l'épidémie de phylloxera. Le chais, bâti en 1885-1886, mesure 60 mètres de long, 12 mètres de large et 7 mètres de haut. Il abritait alors deux pressoirs et 32 foudres de 120 à 300 hectolitres. Il cessa son activité avant la Première Guerre mondiale et, en 1960, devenait le hangar d'une exploitation céréalière.
Le menhir en poudingue de Montifray (ou pierre du Pont-Champion) mesure 2,80 mètres de haut, 1,40 mètre de large et 1 mètre d'épaisseur. Jadis, il était entouré par un cromlech.
Près du château de Montifray, un chêne pédonculé a une hauteur de 20 mètres.
A 1 mètre du sol, son tronc a une circonférence de 4,90 mètres.
Près du château de Montifray, un chêne pédonculé a une hauteur de 20 mètres.
A 1 mètre du sol, son tronc a une circonférence de 4,90 mètres.
Le château privé de la Haute-Barde (1906) a été bâti pour abriter un orphelinat (de 1906 à 1940). Il fut la propriété de L'Avenir du Prolétariat. Par la suite, et jusqu'en 1991, il devint une maison de retraite dépendant de l'hôpital de Tours.
Dans la cour de ce château, on peut encore voir le dolmen de la Pierre-Levée. Sa table mesure 2,20 mètres sur 1,70 mètre, et les deux supports, 3,30 mètres et 3,50 mètres de long. Le fond a 2,10 mètres de long.
Le véritable château de La Haute-Barde (XIXe siècle) se trouve au Nord-Est de l'ancien orphelinat.
Le château de Mirandol ou Mirandolle (XIXe siècle) a été transformé en clinique.
Il a conservé une éolienne Bollée (1894), de 24 mètres de hauteur, dont la turbine mesure 3,50 mètres de diamètre. Elle pouvait remonter 500 litres d'eau par heure d'un puits de 30 mètres de profondeur.
La mairie (2 rue des Près) a été construite en 1891 selon les plans de l'architecte Paul Raffet. Sa façade présente deux fenêtres à croisée de pierre néo-gothiques surmontées par deux œils-de-bœuf. Son toit soutient deux hauts conduits de cheminée. Elle renferme une grande cheminée aux armes de la République.
Dans le bourg, il reste quelques maisons anciennes comme celle-ci qui est située rue des Prés.
Près du château, Le Plessis est un logis privé qui semble dater du XVIe siècle. C'était un fief relevant de Beaumont-la-Ronce. Il portait le nom de Plessis-Bouchard au XVIIIe siècle.
Le château de Mirandol ou Mirandolle (XIXe siècle) a été transformé en clinique.
Il a conservé une éolienne Bollée (1894), de 24 mètres de hauteur, dont la turbine mesure 3,50 mètres de diamètre. Elle pouvait remonter 500 litres d'eau par heure d'un puits de 30 mètres de profondeur.
La mairie (2 rue des Près) a été construite en 1891 selon les plans de l'architecte Paul Raffet. Sa façade présente deux fenêtres à croisée de pierre néo-gothiques surmontées par deux œils-de-bœuf. Son toit soutient deux hauts conduits de cheminée. Elle renferme une grande cheminée aux armes de la République.
Dans le bourg, il reste quelques maisons anciennes comme celle-ci qui est située rue des Prés.
Près du château, Le Plessis est un logis privé qui semble dater du XVIe siècle. C'était un fief relevant de Beaumont-la-Ronce. Il portait le nom de Plessis-Bouchard au XVIIIe siècle.
Sur la Choisille, le lavoir communal des Dix-Selles (1860) a été restauré en 2005. Jadis, Beaumont avait quatre autres lavoirs: en contrebas de La Rocherie, à La Monderie, aux Giberts et à l'entrée Nord du bourg (ce dernier existe encore).
Au Nord du parc du château, la ferme privée de La Louisière, placée sous la protection de saint Louis et de la Vierge Marie, a été construite en 1870 pour loger le régisseur du château. Elle a conservé la tour carrée en brique de son éolienne Bollée de 1894, démontée en 1958.
Près de la ferme de La Champlonnière, cette tour hexagonale en brique est signalée comme étant un pigeonnier sur la carte IGN. Mais, elle ressemble aussi à la tour d'une éolienne aujourd'hui disparue. La Champlonnière était un fief relevant de Boisvignon.
Par contre, la tour cylindrique de La Chauvellière semble bien être un pigeonnier.
De même, cette tour circulaire accolée à la ferme privée de La Thibauderie, doit être une ancienne fuie. En 1626, ce lieu appartenait à Jean Goyet, fourrier du logis du roi.
Il existe de nombreuses habitations troglodytiques à Beaumont-la-Ronce dont celle-ci, route de Marray.
Au Nord du parc du château, la ferme privée de La Louisière, placée sous la protection de saint Louis et de la Vierge Marie, a été construite en 1870 pour loger le régisseur du château. Elle a conservé la tour carrée en brique de son éolienne Bollée de 1894, démontée en 1958.
Près de la ferme de La Champlonnière, cette tour hexagonale en brique est signalée comme étant un pigeonnier sur la carte IGN. Mais, elle ressemble aussi à la tour d'une éolienne aujourd'hui disparue. La Champlonnière était un fief relevant de Boisvignon.
Par contre, la tour cylindrique de La Chauvellière semble bien être un pigeonnier.
De même, cette tour circulaire accolée à la ferme privée de La Thibauderie, doit être une ancienne fuie. En 1626, ce lieu appartenait à Jean Goyet, fourrier du logis du roi.
Il existe de nombreuses habitations troglodytiques à Beaumont-la-Ronce dont celle-ci, route de Marray.
A voir
- Le manoir privé de La Guillonnière (XVIIIe siècle).
Lieux-dits: Bois-Bourdeil, Bois-Clair, Bois-de-la-Pâtonnerie, Carroi-Ferdoué, Croix-de-la-Pâtonnerie, Gaudis, Gripouilleau, La Barde, La Barre, La Béguerrerie, La Bézardière, La Blancherie, La Blinière, La Blonderie, La Bonnefemmerie, La Brindelinière, La Burérie, La Buvinière, La Cantinière, La Champlonnière, La Chauvellière, La Chênaie, La Corderie, La Coudre, La Courtrie, La Croix-Rouge, La Culoderie, La Dausserrerie, La Flonnière, La Folie, La Françoisière, La Ganachère, La Georgerie, La Grande-Carrerie, La Grange, La Guillonnière, La Hallandière, La Haute-Barde, La Huberdière, La Jallière, La Logerie, La Louisattière, La Louisière, La Maison-Neuve, La Mondinerie, La Monvaletterie, La Paillasse, La Patonnerie, La Perrière, La Petite-Carrérie, La Plotinière, La Rainière, L'Arche, L'Arche-de-la-Roche-Bourdeil, La Riaudière, La Ribondière, La Richerie, La Roche-Bourdeil, La Rocherie, La Ronce, La Rougerie, La Saultrie, La Sévraudière, La Thibauderie, La Touche, La Trémaillère, La Tuilerie, La Tupinière, L'Aubuis, Le Boulay, Le Caveau, Le Château, Le Chêne, Le Fourneau, Le Grand-Coudray, L'Hêtre, Le Moulivert, L'Encloître, Le Perthus, Le Petit-Boulay, Le Petit-Coudray, Le Petit-Hêtre, Le Plessis, Le Pommier-Vert, Le Pont-Champion, Le Porteau, Le Vivier, Les Boudegourds, Les Carrières, Les Caves-de-Valarault, Les Chalonges, Les Châtelliers, Les Chotards, Les Commaillères, Les Créneaux, Les Fonds-de-la-Roche-Bourdeil, Les Gilberts, Les Hayes, Les Petites-Tailles, Les Poupinières, Les Tailles-Dérobées, Les Vallois, Les Vaux, Les Vaux-Gâtés, L'Hêtre, Mauny, Mirandolle, Mon-Nom, Montifray, Moulin-de-Beaumont, Plaine-des-Commaillères, Sécheresse, Vauchouan, Verneuil
Ancien lieu-dit: La Forêt
Communes voisines: Louestault, Marray, Neuillé-Pont-Pierre, Neuvy-le-Roi, Nouzilly, Rouziers-de-Touraine, St-Laurent-en-Gâtines
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