Château-la-Vallière (Wikipedia), est une ville du Nord-Ouest de la Touraine. Ses habitants sont appelés les Castelvalériens, les Castelvalériennes.
Elle a porté les noms de: Castelli (978, charte de donation à l'abbaye de Saint-Père-en-Vallée à Chartres), Castellum (1062, cartulaire de la Trinité de Vendôme), Castellis (vers 1117, cartulaire de Noyers), Castelli (1233, cartulaire de la Trinité de Vendôme), Chasteaux (1306 et 1425, chartes de la Clarté-Dieu), Château la Vallière (mai 1667, lettres patentes), Chasteaux (1668, registres de l'état-civil), Châteaux-la-Vallière (XVIIIe siècle, carte de Cassini), Val-Joyeux (1793), Château-la-Vallière (1815).
La baronnie de Château, possession des d'Alluye puis des de Bueil, fut érigée en duché-pairie, en mai 1667, par Louis XIV, au profit de sa favorite Louise de La Vallière.
Elle a porté les noms de: Castelli (978, charte de donation à l'abbaye de Saint-Père-en-Vallée à Chartres), Castellum (1062, cartulaire de la Trinité de Vendôme), Castellis (vers 1117, cartulaire de Noyers), Castelli (1233, cartulaire de la Trinité de Vendôme), Chasteaux (1306 et 1425, chartes de la Clarté-Dieu), Château la Vallière (mai 1667, lettres patentes), Chasteaux (1668, registres de l'état-civil), Châteaux-la-Vallière (XVIIIe siècle, carte de Cassini), Val-Joyeux (1793), Château-la-Vallière (1815).
La baronnie de Château, possession des d'Alluye puis des de Bueil, fut érigée en duché-pairie, en mai 1667, par Louis XIV, au profit de sa favorite Louise de La Vallière.
Le 31 décembre 1817, la paroisse de Chouzé-le-Sec fut rattachée à Château-la-Vallière.
Les registres paroissiaux commencent en 1529 pour Château-la-Vallière et en 1617 pour Chouzé-le-Sec.
L'église Notre-Dame a été reconstruite en 1840, selon les plans de l'architecte Gustave Guérin, puis restaurée en 1877-1881. Elle comporte trois nefs voûtées avec transept et abside, et dix colonnes soutenant les voûtes. L'église primitive, fondée par Hugues II d'Alluye vers 1040, était celle d'un prieuré, aujourd'hui disparu, appartenant à la Trinité de Vendôme.
Dans son mur Sud, on peut voir une porte en plein cintre, condamnée, et un oculus de l'ancienne église de la fin du XIe siècle. Les voussures, moulurées de tores et de festons, retombent sur les chapiteaux de deux colonnettes dont les fûts sont noyés dans un massif de maçonnerie.
Le maître-verrier Julien Fournier (Tours) a réalisé trois vitraux du chœur en 1880 (l'Assomption de la Vierge, saint Joseph à l'Enfant, saint Martin) et un vitrail de la chapelle baptismale en 1896 (le Baptême du Christ). Son fils, Lux Fournier (Tours), est l'auteur de quatre verrières du côté Nord de la nef (la Pentecôte de 1928, l'Apparition de la Vierge à sainte Bernadette de 1927, sainte Thérèse de l'Enfant Jésus de 1927 📷, l'Apparition du Sacré-Cœur à sainte Marguerite-Marie Alacoque de 1928). Étienne-Joseph Lobin a signé trois vitraux du côté Sud de la nef (la Résurrection de Lazare et le Retour du Fils prodigue de 1925, La Sainte famille à Nazareth et Jésus parmi les docteurs de 1926, la Mission de saint Pierre et la Prédication de saint Paul de 1925). Un oculus est muni d'un vitrail de Maurice Buffet (Tours, vers 1934) représentant saint Nicolas. A l'entrée de la nef, deux verrières anonymes et sans date pourraient être attribuées à l'abbé Étienne-Roch Damnet (Courcelles-de-Touraine).
Ce Christ en croix du XVIIe siècle est en bois (noyer). Le corps du Christ a été restauré en 1994. La remise en place des bras et la fixation de l'ensemble dans l'église se sont déroulées en 1996. Lors de la restauration, il a été trouvé des traces de polychromie sur le Christ. Il s'agit d'un Christ de chaire. Au XVIIe siècle, après le concile de Trente (fin du XVIe siècle), ce genre de crucifix était placé face à la chaire pour que le prédicateur n'oublie pas au nom de qui il parlait.
Le maître-verrier Julien Fournier (Tours) a réalisé trois vitraux du chœur en 1880 (l'Assomption de la Vierge, saint Joseph à l'Enfant, saint Martin) et un vitrail de la chapelle baptismale en 1896 (le Baptême du Christ). Son fils, Lux Fournier (Tours), est l'auteur de quatre verrières du côté Nord de la nef (la Pentecôte de 1928, l'Apparition de la Vierge à sainte Bernadette de 1927, sainte Thérèse de l'Enfant Jésus de 1927 📷, l'Apparition du Sacré-Cœur à sainte Marguerite-Marie Alacoque de 1928). Étienne-Joseph Lobin a signé trois vitraux du côté Sud de la nef (la Résurrection de Lazare et le Retour du Fils prodigue de 1925, La Sainte famille à Nazareth et Jésus parmi les docteurs de 1926, la Mission de saint Pierre et la Prédication de saint Paul de 1925). Un oculus est muni d'un vitrail de Maurice Buffet (Tours, vers 1934) représentant saint Nicolas. A l'entrée de la nef, deux verrières anonymes et sans date pourraient être attribuées à l'abbé Étienne-Roch Damnet (Courcelles-de-Touraine).
Ce Christ en croix du XVIIe siècle est en bois (noyer). Le corps du Christ a été restauré en 1994. La remise en place des bras et la fixation de l'ensemble dans l'église se sont déroulées en 1996. Lors de la restauration, il a été trouvé des traces de polychromie sur le Christ. Il s'agit d'un Christ de chaire. Au XVIIe siècle, après le concile de Trente (fin du XVIe siècle), ce genre de crucifix était placé face à la chaire pour que le prédicateur n'oublie pas au nom de qui il parlait.
Au Sud-Est de la ville, ces ruines sont celles du château de Vaujours qui date des XIIIe (donjon circulaire), XVe (logis, tours, courtines et chapelle) et XVIIe siècles. Il fut acheté en 1815 par Thomas Stanhope-Holland qui l'utilisa comme carrière de pierres pour construire son château du Vivier-des-Landes à Courcelles.
A l'origine, ce château devait ressembler à cette reconstitution. Il comprenait, en fait, deux forteresses: l'une, à l'Ouest, était une baille défendue par des courtines et des tours; l'autre, à l'Est, était le château à proprement dit. Un profond fossé les séparait et de larges douves, communiquant au Sud avec un étang, les entouraient.
L'entrée de cette double enceinte se trouvait à l'Ouest. La douve, désormais comblée à cet endroit, était franchie par un pont-volant, flanqué, au Nord, par un bastion dont on voit les substructions puis par un pont-levis. On pénétrait dans la baille par une porte défendue par deux grosses tours rondes encore debout. Celle du Nord était occupée par le corps de garde. A l'angle Sud-Ouest de la baille, un corps de logis rectangulaire servait de casernement et communiquait avec la tour circulaire défendant cet angle.
Le fossé séparant la baille du château est, en partie, comblé. Un pont-levis le franchissait et l'on pénétrait dans la cour d'honneur par une poterne flanquée, à gauche, par une tour. Le donjon, grosse tour cylindrique, occupait l'angle Nord-Ouest de cette seconde forteresse et la chapelle, dont on reconnaît encore les fenêtres du XVe siècle, était à l'angle Nord-Est. Au Sud de la cour, on remarque les ruines des bâtiments d'habitation.
Au Sud du fossé séparant les deux forteresses, un bastion communiquait par des ponts fortifiés, d'une part avec celle-ci, d'autre part avec un ouvrage avancé. Un autre bastion faisait également saillie dans les douves au Nord-Est, communiquant lui aussi par un pont fortifié avec un ouvrage avancé plus important et casematé, destiné à battre les fossés. Près de cet ouvrage se trouvaient les vannes de retenue avec ponts-volants.
A l'origine, ce château devait ressembler à cette reconstitution. Il comprenait, en fait, deux forteresses: l'une, à l'Ouest, était une baille défendue par des courtines et des tours; l'autre, à l'Est, était le château à proprement dit. Un profond fossé les séparait et de larges douves, communiquant au Sud avec un étang, les entouraient.
L'entrée de cette double enceinte se trouvait à l'Ouest. La douve, désormais comblée à cet endroit, était franchie par un pont-volant, flanqué, au Nord, par un bastion dont on voit les substructions puis par un pont-levis. On pénétrait dans la baille par une porte défendue par deux grosses tours rondes encore debout. Celle du Nord était occupée par le corps de garde. A l'angle Sud-Ouest de la baille, un corps de logis rectangulaire servait de casernement et communiquait avec la tour circulaire défendant cet angle.
Le fossé séparant la baille du château est, en partie, comblé. Un pont-levis le franchissait et l'on pénétrait dans la cour d'honneur par une poterne flanquée, à gauche, par une tour. Le donjon, grosse tour cylindrique, occupait l'angle Nord-Ouest de cette seconde forteresse et la chapelle, dont on reconnaît encore les fenêtres du XVe siècle, était à l'angle Nord-Est. Au Sud de la cour, on remarque les ruines des bâtiments d'habitation.
Au Sud du fossé séparant les deux forteresses, un bastion communiquait par des ponts fortifiés, d'une part avec celle-ci, d'autre part avec un ouvrage avancé. Un autre bastion faisait également saillie dans les douves au Nord-Est, communiquant lui aussi par un pont fortifié avec un ouvrage avancé plus important et casematé, destiné à battre les fossés. Près de cet ouvrage se trouvaient les vannes de retenue avec ponts-volants.
A Vaujours, il existe aussi quelques maisons anciennes dont celle-ci du XVe siècle qui serait une ancienne auberge. Elle comporte une partie droite en avancée avec, à l'étage, une fenêtre à croisée de pierre qui a été amputée de sa partie supérieure. La partie gauche possède, à l'étage, un colombage à hourdis de torchis.
Le menhir de Vaujours, incliné et en poudingue, mesure 3,60 mètres de haut, 1,40 mètre de large et 1,10 mètre d'épaisseur. Sous le niveau du sol; il se prolonge de 3 mètres..
Le menhir de Vaujours, incliné et en poudingue, mesure 3,60 mètres de haut, 1,40 mètre de large et 1,10 mètre d'épaisseur. Sous le niveau du sol; il se prolonge de 3 mètres..
Le logis ducal (1777-1779), appelé aussi château de La Roussière ou La Grande-Maison, est devenu la mairie en 1991. Il a été construit par Marie-Louis César Roulleau de la Roussière, sénéchal et maître des Eaux et Forêts du duché, maire de 1791 à 1800. Il est situé sur les fondations de l'ancien château des d'Alluye et des de Bueil. Cette construction est composée d'un corps de logis principal et, à l'Est, de deux ailes en retour d'équerre. La façade Ouest présente, dans sa partie centrale, une légère avancée surmontée par un fronton triangulaire.
L'ancienne halle-mairie a été construite en 1838 par l'architecte Phidias Vestier sous le mandat de Théobald Piscatory, maire et député d'Indre-et-Loire. A l'origine, il comprenait les halles, au rez-de-chaussée, réservées au marché aux grains, remplaçant une halle en bois de la place du Marché (de nos jours place d'Armes). Au premier étage, une pièce était utilisée par la mairie et la justice de paix, une autre, au Nord, pour la classe des garçons. Le logement de l'instituteur se trouvait sous les combles. Le bâtiment, couvert par un toit en pyramide, présente un corps central en avancée à haut fronton triangulaire et des fenêtres à impostes semi-circulaires au rez-de-chaussée. Jusqu'en 1914, on y trouvait un employé mesureur de grains. Après 1919, les halles furent transformées en salle des fêtes qui furent décorées par Voisin, un peintre castelvalérien. Aujourd'hui, il abrite l'office de tourisme.
Au 15 rue Lezay-Marnésia, la maison Sénéchale a été bâtie au XVIIe siècle et remaniée au XVIIIe. Le sénéchal du duché de La Vallière y habitait.
A l'angle de la rue Lezay-Marnésia et de la rue de la Jacoberie, l'hôtel des Voyageurs (1784, mais très remanié), a été utilisé comme maison de justice (ou Auditoire, ou Audience) jusqu'en 1790.
Au 12 avenue du Général-de-Gaulle, cet hôtel particulier date la Restauration (début du XIXe siècle). Il est élevé d'un rez-de-chaussée et d'un étage. Son toit à quatre pans est assez bas. Dans sa partie centrale, de grands pilastres à chapiteau corinthien encadrent trois fenêtres à impostes semi-circulaires. De part et d'autre, le logis se poursuit par deux travées de deux fenêtres.
De l'autre côté de la rue (au n° 9), ce logis, en tuffeau et moellon, a été construit au XIXe siècle dans le style de la Restauration. Il comporte une partie centrale avec un long balcon, orné d'une grille en fer forgé, reliant deux pavillons latéraux, couverts chacun d'un toit pyramidal.
L'hôpital, fondé à Lublé par Louise de La Vallière en 1681, a été transféré à Château-la-Vallière en 1783. D'abord, situé dans la rue de la Jacoberie, il fut ensuite installé dans le presbytère construit en 1783. En 1927, un nouveau bâtiment fut ajouté. Il porta alors le nom d'hôpital Louise de La Vallière. De nos jours, c'est devenu une maison de retraite.
Au lieu-dit La Cure, l'ancien presbytère (XVIIe siècle) de Chouzé-le-Sec existe toujours. Le chaînage des baies a été refait.
L'ancienne halle-mairie a été construite en 1838 par l'architecte Phidias Vestier sous le mandat de Théobald Piscatory, maire et député d'Indre-et-Loire. A l'origine, il comprenait les halles, au rez-de-chaussée, réservées au marché aux grains, remplaçant une halle en bois de la place du Marché (de nos jours place d'Armes). Au premier étage, une pièce était utilisée par la mairie et la justice de paix, une autre, au Nord, pour la classe des garçons. Le logement de l'instituteur se trouvait sous les combles. Le bâtiment, couvert par un toit en pyramide, présente un corps central en avancée à haut fronton triangulaire et des fenêtres à impostes semi-circulaires au rez-de-chaussée. Jusqu'en 1914, on y trouvait un employé mesureur de grains. Après 1919, les halles furent transformées en salle des fêtes qui furent décorées par Voisin, un peintre castelvalérien. Aujourd'hui, il abrite l'office de tourisme.
Au 15 rue Lezay-Marnésia, la maison Sénéchale a été bâtie au XVIIe siècle et remaniée au XVIIIe. Le sénéchal du duché de La Vallière y habitait.
A l'angle de la rue Lezay-Marnésia et de la rue de la Jacoberie, l'hôtel des Voyageurs (1784, mais très remanié), a été utilisé comme maison de justice (ou Auditoire, ou Audience) jusqu'en 1790.
Au 12 avenue du Général-de-Gaulle, cet hôtel particulier date la Restauration (début du XIXe siècle). Il est élevé d'un rez-de-chaussée et d'un étage. Son toit à quatre pans est assez bas. Dans sa partie centrale, de grands pilastres à chapiteau corinthien encadrent trois fenêtres à impostes semi-circulaires. De part et d'autre, le logis se poursuit par deux travées de deux fenêtres.
De l'autre côté de la rue (au n° 9), ce logis, en tuffeau et moellon, a été construit au XIXe siècle dans le style de la Restauration. Il comporte une partie centrale avec un long balcon, orné d'une grille en fer forgé, reliant deux pavillons latéraux, couverts chacun d'un toit pyramidal.
L'hôpital, fondé à Lublé par Louise de La Vallière en 1681, a été transféré à Château-la-Vallière en 1783. D'abord, situé dans la rue de la Jacoberie, il fut ensuite installé dans le presbytère construit en 1783. En 1927, un nouveau bâtiment fut ajouté. Il porta alors le nom d'hôpital Louise de La Vallière. De nos jours, c'est devenu une maison de retraite.
Au lieu-dit La Cure, l'ancien presbytère (XVIIe siècle) de Chouzé-le-Sec existe toujours. Le chaînage des baies a été refait.
La fontaine du Pissot, dont l'eau est riche en fer, se trouve en contrebas de la route de Bourgueil. Elle est composée d'une colonne en tuffeau avec un griffon en métal, d'un bassin et de deux marches.
L'étang de Val-Joyeux est aménagé pour la baignade et la promenade.
Sur ces rives, un abri à bateau du XIXe siècle a été conservé. Il permettait de protéger une barque de la pluie. Jadis, la plupart de ces hangars étaient couverts d'un toit en bruyère.
De nombreux oiseaux le fréquentent comme, par exemple, des canards colverts...
... et des foulques macroules.
Patrimoine disparu
Sur ces rives, un abri à bateau du XIXe siècle a été conservé. Il permettait de protéger une barque de la pluie. Jadis, la plupart de ces hangars étaient couverts d'un toit en bruyère.
De nombreux oiseaux le fréquentent comme, par exemple, des canards colverts...
... et des foulques macroules.
Patrimoine disparu
- L'église Saint-Pierre, signalée en 1467 dans le pouillé de Tours, de l'ancienne paroisse de Chouzé-le-Sec, existait encore en 1807. Elle servait alors d'oratoire public.
Lieux-dits: Blin, Boisrond, Changou, Derrière-Blin, Fontaine-Faucillon, Garenne-de-l'Essart, La Baraudière, La Basse-Plétière, La Beauce, La Beye, La Chaloire, La Charentonnière, La Coque, La Coudre, La Croix-Pattée, La Cure, La Duvalerie, La Fauberderie, La Ferranderie, La Fosse-aux-Frênes, La Fossetière, La Fretterie, La Gare, La Genette, La Grange, La Grimauderie, La Guérinière, La Hunaudière, La Jacoberie, La Jolivetterie, La Maison-Rouge, La Maison-Sénéchal, La Maladerie, La Marnière, La Métaisonnière, La Pentière, La Pierre, La Plauderie, La Plétière, La Quantinière, L'Arche, La Riderie, La Rimonerie, La Rousselière, La Seilloterie, La Sommerie, La Tuilerie, La Vallière, Le Bas-Aunay, Le Clos-Hubé, Le Coin-du-Bois, Le Gasnier, Le Grand-Logis, Le Haut-Aunay, Le Houssay, Le Local, Le Moltron, Le Montalais, Le Pavillon-de-la-Butte, Le Pavillon-Vert, Le Petit-Bois, Le Pré-Cardin, L'Essart, Le Tertre, Le Tertre-du-Houssay, Le Vieux-Château, Les Aubineries, Les Barattes, Les Brûlées, Les Caveries, Les Cinq-Chênes, Les Enseignes, Les Graviers, Les Parcs, Les Picards, Les Poteries, Les Tricaults, L'Hommelais, Mon-Plaisir, Prairie-de-Chouzé, Saint-Martin, Vaujours
Communes voisines: Couesmes, Courcelles-de-Touraine, Lublé, St-Laurent-de-Lin, Souvigné, Villiers-au-Bouin
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