Veigné

Veigné (Wikipedia) est une ville située sur l'Indre, au Sud de Tours. Ses habitants sont appelés les Vindiniens, les Vindiniennes.
Elle a porté les noms de: Vindiniacum (841, cartulaire de Cormery), Vindiniacum (843, charte de Marmoutier), Vindinniaci (1070, cartulaire de Cormery), Vindiniacum (1123, cartulaire de Cormery), Viniaco et Vindiniaco (1139, 1180, cartulaire de Cormery), Vaigné (1290, pouillé de Tours), Veigneio (XIIIe siècle, cartulaire de l'archevêché de Tours), Veigneyo (1338, cartulaire de Cormery), Veigné (1358, cartulaire de l'archevêché de Tours), Veigné (XVIIIe siècle, carte de Cassini), Veigné (1820, carte de l'état-major).
L'aumônerie fut réunie à l'Hôtel-Dieu de Tours en 1702.
Le plus ancien registre paroissial date de 1575.
Coordonnées GPS de Veigné: 0°44'17"E - 47°17'11"N
Code INSEE: 37266 - Code postal: 37250 - Superficie: 2658 hectares
Altitudes: de 51 à 94 mètres (au Sud de la Hautée-des-Francs)
Cours d'eau: l'Indre, le Bourdin, le ruisseau de Taffonneau
L'église Saint-Maixent a été reconstruite en 1873-1875 (nef), dans le style néo-roman, selon les plans de l'architecte Gustave Guérin.
De l'église primitive du milieu du XIIe siècle, il ne reste que le clocher-tour carré, construit en blocage, surmonté d'une flèche de pierre octogonale avec quatre clochetons d'angle. Une partie des murs du chœur, terminé par un chevet plat et éclairé par des fenêtres latérales en arc brisé, date aussi de cette époque.
Elle renferme deux bénitiers. Le premier (XVIe siècle), posé sur un socle en granit, est muni de trois anses et d'un bec verseur. Il a peut-être servi de mortier ou de mesure à grains. Il provient de la chapelle du château de Taffonneau (détruite en 1875) et a été installé dans l'église en 1960.
Le second, circulaire, daterait du XVe siècle.
Cette église possède plusieurs vitraux de l'atelier Lobin (Tours). Quatre verrières signées par Julien-Léopold Lobin (1857) proviennent de l'ancienne église: la Vierge à l'Enfant, sainte Adélaïde, saint Charles Borromée, saint Maixent abbé (📷). Sept autres vitraux sont des œuvres de Lucien-Léopold Lobin: la Passion et la Résurrection du Christ (1879), la vie de la Vierge: l'Annonciation, la Dormition, l'Assomption (1880), la vie de sainte Barbe (1880), la Vie de saint Joseph: le Mariage, la Fuite en Égypte, la Mort de Joseph (1880), la Vie de saint Vincent (1881), l'Enfance de la Vierge: la Nativité, l'Éducation, la Présentation au Temple (1881), la Vie de saint Roch (1881). En 1924, un vitrail de Lux Fournier a été ajouté: le Sacré-Cœur.
La chapelle Saint-Laurent (ou Saint-Laurent-des-Bois) date de la fin du XVIe siècle. Sa façade est percée d'une porte en anse de panier, épaulée par deux contreforts et surmontée par un un clocheton. Elle est formée par une courte nef, éclairée par quatre petites fenêtres en plein cintre, et une abside semi-circulaire voûtée en cul-de-four. Sur la voûte de cette abside, il existe des traces de fresques représentant le Christ en majesté. Elle a été désaffectée en 1767 mais un pèlerinage s'y est déroulé jusqu'en 1940.
En 372, saint Martin, évêque de Tours, aurait fait construire, à cet endroit, un oratoire pour détruire le culte païen dédié à une source voisine qui existe toujours.
Dans le mur Sud de la chapelle, on peut voir cinq boulins (nids de pigeons) en poterie. Une douzaine de pots supplémentaires pour petits oiseaux ont été incorporés dans le pignon Ouest au XVIIe siècle, lors d'un agrandissement.
Le manoir privé de La Belle-Jonchère date du milieu du XVIe siècle. Le logis, élevé d'un rez-de-chaussée et d'un comble, est formé par deux ailes disposées en équerre. Celle du Sud vient s'appuyer sur une tour de plan circulaire qui était un pigeonnier renfermant 1600 boulins. Vers 1820, cette tour fut transformée en chapelle puis surélevée en 1962. Dans l'angle rentrant des façades est percée une porte encadrée par des pilastres et dont les deux arcs du linteau reposent sur un pendentif orné d'une tête d'angelot. Un blason fantaisie sans armoiries surmonte chaque partie.
Toutes les fenêtres du rez-de-chaussée ont perdu leur croisée de pierre remplacée par des huisseries à petits carreaux déjà signalées en 1790. Par contre, les grandes lucarnes restaurées ont toutes retrouvé leur croisée de pierre avec un fronton demi-circulaire à crochets accosté de pinacles. Deux banderoles s'échappent de la pointe d'un écu triangulaire occupant le tympan. Sur la campagne, chaque aile est flanquée par deux tourelles cylindriques. A l'Est, la porte, dont la corniche en saillie repose sur des pilastres, s'ouvre sur un perron de sept marches. De ce côté, le comble est éclairé par trois lucarnes. Le pignon  de l'aile perpendiculaire, qui apparaît sur le jardin, est percé par une baie ayant gardé les traces de sa croisée de pierre disparue.
La pièce attenant à l'ancien pigeonnier a gardé une cheminée dont la hotte droite repose sur une poutre en bois faisant toute la largeur de la salle. A l'Est, une autre, à manteau de bois avec corniche soulignée par une ligne de denticules, possède un trumeau, entre deux pilastres doriques, occupé par un cadre entoilé. Un blason y figure avec deux croix recroisettées et une étoile en chef, un dragon ailé en pointe, dans une banderole simulant une ceinture avec sa boucle et une devise en trois mots latins. Les communs forment un important ensemble fermant la cour au Nord-Est.
Le château privé de Taffoneau a été bâti dans les années 1490 puis restauré en 1874 et vers 1908-1909. Le corps de logis principal, entre deux hauts pignons, est flanqué par une tourelle polygonale dont le toit à plusieurs pans repose sur une corniche à petits modillons. A l'intérieur, l'escalier est à vis de pierre jusqu'au premier étage, puis en bois jusqu'aux combles couverts par une charpente en carène de navire inversée. A l'Est, est accolé un bâtiment, moins haut et légèrement en retrait, comportant vers le Nord une petite aile en retour d'équerre plus récente. Toutes les ouvertures ont été remaniées. Les fenêtres ont perdu leur croisée de pierre mais ont gardé leur appui en saillie. Les linteaux, parfois creusés par une accolade, sont généralement surmontés par une moulure retombant en angle droit sur des culots. Les deux lucarnes de la partie Est portent un fronton à coquille encadré par deux pinacles Renaissance. Au Nord, les baies étroites d'une tour carrée sont, au sommet, dotées de gâbles aigus dont le fleuron ressemble à une fleur de lys. Une tourelle, logée dans l'angle rentrant, agrémentée de petits créneaux de fantaisie, renferme la descente de cave servant d'assise à l'édifice primitif. Cette cave est couverte par une voûte en arc brisé englobant, dans l'angle Sud-Ouest, la base d'une tour circulaire. On y voit les premières marches d'un escalier à vis condamné.
La grande salle du rez-de-chaussée est chauffée par une cheminée à hotte, sur des jambages en forme de colonne engagée. Celle du premier étage présente les flancs de ses piédroits finement moulurés et un linteau à double corniche.
A l'Est, les communs forment deux importants ensembles, composés d'additions successives à des époques différentes. Une ancienne entrée se retrouve dans l'un d'eux, avec la trace d'une porte piétonne murée. La chapelle, placée sous le vocable de Notre-Dame-de-Pitié, a été détruite en 1875.
Le manoir privé de La Championnière a été construit entre 1825 et 1844 en style toscan. Ce bâtiment presque carré, de deux étages, est couvert par un toit à quatre pans à faible pente sur une corniche à petits modillons. Toutes les cheminées sont aménagées aux angles. Deux moulures inégales limitent les allèges des grandes fenêtres du premier étage, surmontées par un entablement saillant, et ceinturent tous les murs. Les baies du second étage sont de dimensions plus réduites. Un petit balcon, sur l'entrée, repose sur deux colonnes et deux pilastres doriques. Un escalier circulaire en bois, au centre du logis, dessert tous les niveaux. Tout le bâtiment est élevé sur un sous-sol voûté sur couchis, composé de deux galeries parallèles. Sous celle de l'Ouest existe une autre cave voûtée en moellons et prolongée par un petit caveau.
Le corps de bâtiment qui se trouve au Sud comprend, à son extrémité Nord, un ancien logement de maître datant, peut-être du XVIIe siècle, avec trois fenêtres à linteau cintré. Un escalier rectiligne permet de descendre dans la cour de ferme dominée par la fuie.
Ce manoir a remplacé un château édifié vers 1695 qui, lui même, avait occupé la place d'une forteresse existant vers 1440. Ce domaine a été racheté en 2003 par la commune de Veigné.
Ce manoir possède un pigeonnier circulaire d'environ 8 mètres de diamètre extérieur, de 1695, dont le toit en tuiles plates est surmonté par un petit lanternon conique sous lequel se trouve une couronne d'alvéoles pour l'entrée des pigeons. Seul le premier étage a conservé ses deux travées de cinq rangées de boulins séparées par une pierre d'envol.
Dans un champ proche, le châtaignier de La Championnière a plus de 300 ans. Son envergure dépasse les 25 mètres.
A 1 mètre du sol, son tronc a une circonférence de 8,50 mètres.
Le manoir privé de Beaupré (ou Beau-Pré), bâti vers 1643, est constitué d'un logis rectangulaire recouvert d'un toit à la Mansart. Plus tardivement, à l'Est et à l'Ouest, deux ailes en équerre servant de communs ont été rajoutées.
Le château de La Tortinière a été construit en 1866, en style néo-Renaissance, par l'architecte Jean-Charles Jacquemin pour Pauline Dalloz (qui avait acheté la propriété le 2 mars 1861), petite nièce de George Sand et veuve d'Armand Dalloz. Il a remplacé un manoir du XVIe siècle qui avait été reconstruit au XVIIe siècle puis démoli au XIXe siècle. Le parc de 15 hectares renferme de nombreuses essences d'arbres.
Le Grand-Moulin (1874), ou Moulin Fonteyne, a été reconstruit selon les plans de l'architecte Paul Bataille. Devenu une minoterie, il a cessé son activité en 1960 et a été acheté par la commune en 1981. Le moulin primitif datait de 1296.
A l'Est, le moulin du Lavoir a été cité dès le XIIIe siècle. Ses bâtiments, situés sur une île de l'Indre, ont été remaniés à plusieurs reprises. Très touché par la crue de 1770, il fut reconstruit vers 1837. Converti en scierie, il cessa cette activité vers 1975.
Au sud de ce moulin, la Grange aux Dîmes date des environs du XIVe siècle. Par son architecture, elle ressemble aux granges rurales tourangelles avec des pignons médiévaux et un auvent. Elle appartenait au prieuré Saint-Maixent, petit monastère dépendant de l’abbaye de Cormery. Ce prieuré aurait été fondé au milieu du IXe siècle ou au début du Xe siècle. Cette grange fut détachée de la propriété du Prieuré de Veigné en octobre 1809. Restaurée en 2013, elle est devenue la bibliothèque communautaire de Veigné.
Au 1 rue de l’Égalité, cette maison de XVe siècle est la plus ancienne de Veigné. Le rez-de-chaussée en pierre est surmonté d'un étage en encorbellement, à colombage en brique et en pierre.
Au 1 rue de l'Opéra, cet œil-de-bœuf de la fin du XVIIIe siècle a été réutilisé dans le mur d'un logis plus récent. La niche le renfermant est surmontée d'un fronton triangulaire sculpté. Le tout est orné de rinceaux en léger relief. Un petit vitrail laisse passer le jour dans la maison.
Le Moulin-Fleuri a été cité en 1592 sous le nom de moulin de Roulecrottes. Détruit en 1842, il a été reconstruit et a été appelé le Moulin Rouge. Il a subi un incendie en 1882 puis a été rebâti. Depuis 1952, c'est un hôtel-restaurant.
Le pigeonnier carré en colombage de Sardelle (hameau de la vallée du Bourdin) appartenait au prieuré de Saint-Maixent dépendant de l'abbaye de Cormery. Sur une base carrée en moellons s'élèvent des pans de bois protégés par des ardoises et hourdés de briquettes. Son toit pyramidal est couvert de tuiles plates.
Le lavoir communal (1875) est recouvert par un toit à une seule pente en ardoises, soutenu par cinq fines colonnettes en fonte.
Le château privé de Couzières comprend un corps de logis rectangulaire (bâti entre 1605 et 1610) flanqué, au Sud-Est et au Sud-Ouest, de deux tours cylindriques appartenant au château primitif (XVe siècle) appelé le Château neuf. Les percements de ce logis furent remaniés au XVIIIe siècle. A la même époque, il fut agrandi par un pavillon qui abritait, au rez-de-chaussée, une chapelle. Une niche pour une statuette est aménagée au-dessus du fronton triangulaire brisé de la porte. Les toits, à pente rapide, sont percés par des lucarnes de pierre à ailerons. Le vestibule débouche, à l'Est, sur une terrasse relativement moderne, d'où l'on descend par un large escalier.
L'intérieur a gardé des cheminées à trumeau et jambages cannelés. Dans la tour Nord-Ouest, une pièce a conservé ses boiseries intactes avec les portes de la bibliothèque épousant les angles arrondis et ses parois portant les attributs de la chasse, des têtes de bécasse, de sanglier et de cerf. Au niveau supérieur était la chambre de la duchesse de Montbazon avec sa petite alcôve, sa cheminée de marbre noir, son parquet à panneaux et une porte dérobé.
Le grand bâtiment à usage de communs, s'étendant parallèlement et adossé au coteau, est aussi très ancien avec ses murs d'un mètre d'épaisseur, sa charpente en carène de navire inversée et deux grandes cheminées à hotte droite.
Dans la cour d'honneur, un bassin circulaire en pierre, d'environ 2,20 mètres de diamètre est intéressant grâce aux décorations de ses parois. Celles-ci sont divisées en six registres par des balustres à double poire en demi-relief. Chaque panneau présente, au centre, un blason armorié avec des initiales reliées par une cordelière. On y voit les armes de François Ier, de sa femme Claude de France et de sa mère Louise de Savoie.
Dans ce lieu, se déroula, le 5 septembre 1619, l'entrevue de réconciliation, en présence du cardinal de Richelieu et de Hercule de Rohan, entre Louis XIII et sa mère, Marie de Médicis. La duchesse de Chevreuse fut exilée à Couzières en 1637 et 1643.
Le château privé de Fontiville a été édifié en 1845-1847, dans le style néo-Renaissance, par Benjamin Voisine de la Fresnaye. Auparavant, ce le lieu se nommait La Mauritière. Cette construction a provoqué la destruction du manoir de L'Ardannière. Le pigeonnier de Fontiville a été détruit en 1990. Ce château est devenu un lycée hôtelier privé en 1973.
Le château privé de La Guéritaulde a été bâti vers 1810 dans le style néo-classique italien puis restauré en 1937 en style empire. Il possède un pigeonnier. Ce domaine était un fief relevant de Montbazon.
Le château privé de Thorigny a été construit en 1847, dans le style néo-classique, par l'architecte Joseph-Antoine Froëlicher pour la famille Le Breton de Vonnes. Le logis carré est flanqué de deux pavillons symétriques, légèrement en saillie. Il a remplacé un manoir du XVe siècle. Sa chapelle néo-gothique (1884) renferme des vitraux de Lux Fournier. Ses communs datent de 1867. Dans son parc, on trouve un puits en bois de la fin du XVe siècle et un oratoire (XIXe siècle) dédié à sainte Flavie. Ce lieu fut un fief relevant du château de Montbazon.
Le petit manoir privé de Bourroux a été bâti en 1903-1904 par Alfred Avenet, avocat.
Cette édification a entraîné la destruction du moulin de Bourroux, cité dès 1070, qui avait été reconstruit en 1619 par les chanoines de la cathédrale de Tours. De 1817 à 1885, ce moulin était devenu une filature.

Patrimoine disparu
  • Le château privé de Creuzot ou Creuzeau, bâti de 1862 à 1866, a été détruit par un incendie en 1982 ou 1983. Son parc avait été dessiné par Édouard André.
  • Près de Tartifume, un menhir de 4 mètres de haut fut détruit, vers 1890, lors des travaux de la voie ferrée Tours-Châteauroux.
  • L'éolienne Bollée (1877) du château de Thorigny.

Lieux-dits: Bagatelle, Baigneux, Beauregard, Bel-Air, Bois-de-Baigneux, Bois-de-la-Haute-Jonchère, Bois-des-Varennes, Bois-de-Taffonneau, Bourg-Cocu, Bourroux, Couzières, Creuzot, Fontiville, Fosse-Sèche, Hautée-des-Francs, Juche-Perdrix, La Belle-Jonchère, La Bichottière, La Blotellière, La Bodinière, La Bouillère, La Boulandière, La Championnière, La Chapelle-Saint-Laurent, La Châtaigneraie, La Cholleterie, La Coucherie, La Folie, La Forêt, La Forêt-des-Gués, La Fosse-d'Argent, La Gabillère, La Grenouillère, La Guéritaulde, La Haute-Jonchère, L'Aillerie, La Jouberdière, La Martinière, La Maubennerie, La Maugerie, La Messandière, La Morellerie, La Morillière, La Perrée, La Petite-Jonchère, La Picardie, La Roche, La Rochère, La Rodière, La Roquille, La Saulaie, La Tortinière, La Tremblaye, La Trétinière, Le Domaine-du-Lac, Le Lavoir, Le Moulin-Fleuri, Le Passoir, Le Pont-Chollet, Le Village-Brûlé, Les Coqs, Les Courtis, Les Coudrières, Les Écorneaux,  Les Épinettes, Les Fourches, Les Giraudières, Les Grandes-Vignes, Les Gros-Tisons, Les Gués-de-Veigné, Les Maisons-Neuves, Les Malpièces, Les Morands, Les Petits-Partenais, Les Prés-Germains, Les Rangs, Les Sables-de-Couzières, Les Sables-de-Tartifume, Les Taillards, Les Varennes, Les Vieux-Puits, Malicorne, Moulin-de-Roulecrotte, Moulin-du-Lavoir, Parçay, Pièce-de-la-Belle-Jonchère, Prairie-de-la-Bouchère, Renuaume, Sardelle, Taffonneau, Taille-Brûlée, Taille-des-Chollets, Taille-du-Seigneur, Tartifume, Thorigny, Tivoli, Touchemarie, Varenne, Vaugourdon, Village-des-Gués
Anciens lieux-dits: Beau-Pré, Graffin
 

6 commentaires:

  1. Le moulin du lavoir ne peut pas avoir été cité en 991 dans le cartulaire de Noyers puisque la 1ère charte date de 1030. Il est cité en revanche au 13ème siècle dans Chronicon abbatum Majoris Monesterii (Chronique de Marmoutiers). PMD

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    1. Merci. Le texte a été modifié.

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    2. L'architecte de Thorigny est sans doute Joseph Antoine Froelicher (1790/1866), qui fut l'architecte de nombreuses familles de la noblesse. Voir https://fr.wikipedia.org/wiki/Joseph-Antoine_Froelicher
      PMD

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    3. Oui, cela doit être lui.

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  2. a propos du chateau de ceuzeau à Veigné, il a été detruit par un incendie, mais pas dans les années 50; c"est en 1982 ou 83. C est moi qui ait donné l'alerte en pleine nuit; chef de culture de l'exploitation fruitière j'habitais à 50 m du chateau, c'est le bruit des vtres qui explosaient par la chaleur qui m'a réveillé
    La cause de l'incendie ? ...?

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    1. Merci beaucoup pour cette information. Je vais corriger mon texte.

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