Bossay-sur-Claise

Bossay-sur-Claise (Wikipedia) est un village du Sud de la Touraine. Ses habitants sont appelés les Bosséens, les Bosséennes.
Il porta les noms de: Bociacum (1090, charte de l'abbaye de Preuilly), Grand-Bossé (XVIe siècle), Bossay (XVIIIe siècle, carte de Cassini), Bossay-sur-Claise (décret du 14 février 1938).
Ce fut successivement une seigneurie des barons de Preuilly, des Isoré, des Bernin de Valentinay et des Dauphin. En 1024, Gausbert 1er, seigneur de Preuilly, fonda l'église qui sera donnée, en 1090, par le seigneur d'alors à l'abbaye Saint-Pierre de Preuilly.
Le plus ancien registre paroissial date de 1643.
Coordonnées GPS de Bossay-sur-Claise: 0°57'44"E - 46°49'52"N
Code INSEE: 37028 - Code postal: 37290 - Superficie: 6556 hectares
Altitudes: de 67 à 144 mètres (à l'Est de La Clouterie)
Cours d'eau: la Claise
L'église Saint-Martin, reconstruite au XIIe siècle (nef, transept, chœur, clocher, abside et absidioles), a été restaurée et agrandie en 1883 (collatéral Nord).
De l'église primitive, fondée en 1024 par Gausbert Ier, il reste une partie de la façade en petit appareil. La porte ouverte dans cette façade est en plein cintre et possède deux rouleaux dont le second retombe, de chaque côté, sur une colonnette placée dans un retrait du jambage. Les chapiteaux sont ornés de chimères et le tailloir est décoré de palmettes. L'archivolte est moulurées de rinceaux. Cette porte est surmontée par un fronton triangulaire. Le fronton date du XIXe siècle.
La nef n'a gardé du XIIe siècle que son mur Sud mais il a été surélevé au XIXe siècle. Épaulé à l'extérieur par des contreforts plats, ce mur présente six fenêtres en plein cintre (les deux premières ont été refaites) dont l'archivolte est ornée de pointes de diamant.
Cette nef est suivie par un transept dont le carré est voûté par une coupole sur trompes. Des chapiteaux des piles d'angle, trois ont gardé leur décoration, deux à feuillages, un avec des animaux fantastiques. Les bras du transept sont voûtés en berceau en plein cintre. Leur mur terminal est ouvert d'une fenêtre supérieure en plein cintre et, plus bas, présente une arcature de quatre arceaux reposant sur des colonnettes. Les deux arceaux centraux sont transparents. Le bras Nord communique avec le collatéral grâce à une arcade en plein cintre qui repose sur des chapiteaux. Le bras Sud communique avec la nef par un petit couloir. Chacun de ces bras ont une absidiole semi-circulaire voûtée en cul-de-four et éclairée par une fenêtre en plein cintre.
Le chœur composé d'une courte travée voûtée en berceau avec, de chaque côté, une arcature de deux arceaux dont l'un est transparent. Il se termine par une abside semi-circulaire en cul-de-four qui est éclairée par trois fenêtres entourées de colonnettes. Cette abside est épaulée par deux contreforts-colonnes.
Le clocher carré, accompagné à l'angle Nord-Est par une tourelle d'escalier surmontée par une flèche conique, est ouvert sur chaque face, à l'étage du beffroi, par des fenêtres jumelles entourées de colonnettes et dont l'archivolte est ornée de chevrons. Primitivement, ce clocher était couronné par une flèche en pierre qui fut démolie au XVIIe siècle et remplacée par une flèche en charpente. Cette dernière fut refaite en 1752.
Dans le mur Sud de l'église, une porte romane aveugle présente un arc orné de billettes et circonscrit par une ligne de chevrons.
Extérieurement, l'abside est épaulée par des contreforts-colonnes dont les chapiteaux (photos), ornés d'animaux, soutiennent la tablette restaurée.
Cette tablette est soutenue aussi par quelques modillons sculptés presque tous du XIXe siècle.
Cette église renferme plusieurs statuettes en pierre polychrome du XVe siècle. Celle-ci, haute de 81 cm, représente sainte Élisabeth-de-Hongrie.
Cette autre statue, haute de 85 cm, est celle de sainte Radegonde.
Enfin, celle-là, haute de 73 cm, représente une sainte inconnue.
Deux chapiteaux (XIIe siècle) encadrant l'autel sont sculptés. L'un représente le Bien et l'autre le Mal (📷). A noter que les monstres représentés sont moustachus.
Cette église possède essentiellement des vitraux à losanges sauf des baies Est munies de verrières de Julien-Léopold Lobin datant des années 1850. Une d'entre elles représente des scènes de la vie de saint Martin (📷). De bas en haut, les trois médaillons figurent: la Charité de saint Martin, la messe miraculeuse à Marmoutier et la mort du saint à Candes. En 1854, le même peintre-verrier réalisa quatre vitraux ornementaux.
Face à l'église, l'ancien presbytère a été construit en 1698 par l'abbé Martineau. Il a été restauré en 1999.
La nef de la chapelle Saint-Lifard ou Saint-Léofort, édifiée en 1484, a été convertie en demeure privée. C'était la chapelle d'un ancien prieuré appartenant à l'abbaye Saint-Pierre de Preuilly. La chapelle primitive existait déjà à la fin du XIIe siècle. C'est un bâtiment rectangulaire, orienté d'Est en Ouest, d'environ 15 mètres de long sur 10 de large. L'abside a été détruite mais son arcade en plein cintre murée est encore visible dans le mur Est. Le pignon Ouest subsiste avec sa hauteur primitive mais ne sert pas d'appui à la toiture actuelle dont la pente est moins accentuée. Aux angles, deux contreforts épaulent la façade qui a gardé la porte d'entrée en plein cintre. Une autre semblable, qui n'est qu'une fenêtre agrandie, existe sur le mur goutterots Sud. Celui du Nord est flanqué, au centre, par un large contrefort rectangulaire dont le sommet est protégé par un auvent triangulaire. Noyée dans les communs, on retrouve la base d'un pigeonnier qui a gardé cinq rangées de boulins.
Situé près de cet ancien prieuré, le logis privé du Petit-Saint-Lifard a été bâti au XVe siècle sur des soubassements pouvant dater du XIIe. Localement, il est appelé la maison des moines. Son portail d'entrée (XVIe siècle) comporte une porte charretière accompagnée, à sa gauche, par une poterne.
Le château privé de Bossay est une ancienne forteresse féodale dont les importantes fortifications la défendant ont disparu. Elles avaient été restaurées en 1350 puis détruites par les Anglais. Il n'en reste que le donjon carré du XIIe siècle, épaulé par des contreforts plats. Cette tour a été transformée en logis au XVe siècle. A cette époque, elle fut surélevée par un toit aigu porté par deux pignons. A l'origine, elle devait être surmontée par un chemin de ronde reliant quatre échauguettes supportées, aux angles, par des corbelets, et qui sont encore visibles. Le pignon Nord-Est est percé par deux petites fenêtres jumelles tréflées. La façade Nord-Est présente deux arcades en plein cintre, moulurées d'un tore, qui circonscrivaient, chacune, deux fenêtres jumelles en plein cintre aussi, et dont les arcs reposaient sur des colonnettes. Seules les baies de droite furent conservées. Au XVe siècle, quatre autres fenêtres furent ouvertes dans cette façade, dont deux ont des croisées de pierre. Du côté Nord-Ouest subsiste une porte romane mais qui est masquée par un bâtiment du XIXe siècle. La chapelle du XIIe siècle de ce château a longtemps servi de cave.
Cette photo représente ce donjon au début du XXe siècle.
Le château privé de Cingé (ou Singé) était aux XIIe et XIIIe siècles une importante forteresse entourée de remparts et de douves. Des premiers, il ne subsiste que quelques pans de murs au Nord, par contre une partie des douves sont restées au Sud. L'ancien donjon du XIIe siècle existe encore: de plan quadrangulaire, il a gardé à son sommet quelques corbeaux de ses mâchicoulis.
Le château est constitué par un long corps de bâtiment élevé au XVIIe siècle. La façade Ouest est épaulée par six contreforts massifs, amortis en glacis, montant jusqu'au niveau de la toiture. Le dernier est en partie englobé dans une tour circulaire, percée par de petites ouvertures. Un haut pavillon quadrangulaire, plus récent, termine le logis au Sud, alors qu'une tourelle élancée, couverte par une poivrière, protège l'angle Nord-Est. Elle abrite un escalier à vis dont le nez des marches usées a été renforcé par une barre de fer. Sur les piédroits de la porte appareillée en bossage sont plaqués des pilastres aux chapiteaux corinthiens soutenant un fronton triangulaire, brisé au sommet par une niche vide.
Les combles, couverts par une charpentes en carène de navire inversée, sont éclairés par de nombreuses lucarnes, ouvertes sans doute au XIXe siècle. Au centre du logis, l'escalier en bois forme deux volées courbes convergentes qui se rejoignent pour n'en former plus qu'une seule rectiligne.
Dans la cour, un petit bâtiment rectangulaire à haut pignon, soutenu de chaque côté par deux contreforts et utilisé comme grange, était jadis la chapelle seigneuriale. Sa porte en anse de panier, encadrée par des pilastres doriques, porte un fronton triangulaire avec une date gravée: 1624. L'intérieur est couvert d'une fausse voûte de plâtre. Deux fenêtres en plein cintre éclairent l'abside demi-circulaire voûtée en cul-de-four. Derrière la baie centrale, plus large, fut aménagée une niche. Le faîte du toit est surmonté par un clocheton hexagonal couvert d'ardoises. Cette chapelle a remplacé un oratoire dédié à saint Thomas.
C'est à Cingé, le 14 juillet 1629, que Claude-Bonaventure de Crevant voit le jour. Il devint le roi d'Yvetot par son mariage, le 11 juin 1648, avec Marie d'Apellvoisin, héritière de cette couronne. En 1874, ce château fut acquis par les trappistes qui y installèrent une succursale de la colonie pénitentiaire qu'ils dirigeaient alors à Fontgombault.
Le château de Ris, bâti à la toute fin du XVe siècle, fut restauré vers 1845 par Louis-Joseph Dauphin. Il subsiste une partie de l'enceinte extérieure de la fin du Moyen-Age avec trois tours cylindriques. Les deux premières, couvertes en poivrière, étaient couronnées de mâchicoulis dont il ne reste que les corbeaux. La troisième, plus importante et s'élargissant à la base, semblant couverte en terrasse, a eu son couronnement refait avec de faux mâchicoulis. Elles protègent, grâce à leurs petites meurtrières circulaires, le portail en plein cintre doublé d'une porte piétonne dont la clef s'orne d'une feuille d'acanthe. A l'Est, on trouve une haute tour rectangulaire accostée de deux pavillons à pignons triangulaires. Très restauré, l'ensemble semble récent, pourtant un dessin de 1845 le donnait comme l'entrée principale du château.
Le château comprend un corps de logis principal prolongé, au Sud-Est, par un pavillon un peu plus large. A l'Ouest, deux tourelles en encorbellement flanquent les angles du bâtiment. Le comble est éclairé, sur trois côtés, par de nombreuses lucarnes dont presque tous les frontons portent les armoiries des différentes familles qui possédèrent ce domaine. Cette décoration date, en fait, de la restauration qui a eu lieu vers 1845. A cette occasion, le pavillon a retrouvé ses fenêtres à croisée de pierre et les murs du château furent enduits d'un crépis rose. A l'intérieur, où l'on pénètre par une porte surmontée par une accolade, on voit deux cheminées à hottes qui ont aussi été rénovées. L'une d'elles porte un blason aux armes des De Marsay. La chapelle, dédiée à sainte Thérèse et consacrée le 17 septembre 1787, était déjà signalée en 1776. A partir de 1947, ce domaine a servi de colonie de vacances à la société Hispano-Suiza.
Le manoir privé de Claise (XVe siècle) était, jadis, fortifié. L'aile Ouest, en retour d'équerre, est épaulée aux angles par deux contreforts de hauteur inégale. Elle présente une fenêtre à deux panneaux dont la partie supérieure est murée au-dessus de la traverse de pierre. Le linteau est ornée d'une moulure se tournant aux extrémités. Au Sud, sous le toit, on voit les jambages d'une cheminée disparue. Au-dessous, deux baies jumelles, dont les arcs en plein cintre retombent sur de fines colonnettes, circonscrivent deux fenêtres à croisée de pierre plus récentes. Elles éclairent le premier étage, occupé par une grande salle pavée de carreaux rouges et chauffée par une grande cheminée à hotte bien conservée. Une autre, plus simple, existe au rez-de-chaussée, avec une entrée de four. Celui-ci fait saillie à l'extérieur, couvert par un auvent.
A la base de ce mur, une ouverture circulaire, protégée par une cabane en bois, donne accès à un escalier à vis de pierre. Une vingtaine de marches mènent à un caveau voûté s'étendant sous toute la demeure.
Jadis, ce manoir possédait une chapelle du XVe siècle. Depuis, elle a été transformée en écurie et le chœur a disparu. Dans le fenil, deux arcs formerets indiquent que la nef comportait deux travées voûtée sur croisées d'ogives dont voit, au rez-de-chaussée, les départs des nervures. Une arcade en arc brisé s'appuie encore sur un chapiteau resté en place. A l'extérieur, un contrefort épaule l'angle Sud, alors qu'au Nord une tourelle circulaire en encorbellement, dont le soubassement subsiste, flanquait la façade.
Près de l'église, le monument aux morts, sculpté dans de la pierre de Lavoux, a été inauguré le 17 septembre 1922.
Dans la rue de la Fontaine-Saint-Fiacre, se trouve le lavoir (XIXe siècle) en briques.
Le château privé de Vinceuil a été édifié au XIXe siècle. Cet endroit est un ancien fief.
Le moulin de La Roche-Berland, mu par la Claise, a été construit au XVIe siècle puis agrandi en 1847. Toutefois, il avait été signalé en fonctionnement dès 1496. A l'époque, il appartenait à la baronnie de Preuilly. Sa roue a été réparée en juillet 1995.

A voir
  • Les pigeonniers: Saint-Lifard (fuie cylindrique semi-enterrée), Les Grandes-Goupillières (fuie carrée) et Les Viollières (fuie carrée du XVIIIe siècle).
  • Le moulin de Saint-Lifard (XIIe siècle) et le moulin de Ris (agrandi au XIXe siècle).
  • La ferme à cour fermée de La Couture (XVIIe siècle) dont le logis rectangulaire, sans étage, présente sa façade au Sud. Celle-ci est percée par trois portes irrégulièrement disposées et aux linteaux circulaires. Leurs battants, coupés horizontalement, permettent à la partie supérieure de s'ouvrir seule. Deux lucarnes de pierre, à fronton triangulaire en bois, éclairent les combles entièrement pavés de carreaux rouges.A l'extrémité Ouest du logis, un escalier extérieur rectiligne est abrité par un toit en appentis soutenu par des poteaux en bois et qui se raccorde avec la toiture presque à la hauteur du faîte. Trois cheminées, avec manteau rectangulaire orné d'une corniche au plafond, chauffent les salles pavées. L'une d'elles a gardé une plaque de fonte timbrée de deux fleurs de lys. Son jambage droit est creusé pour former un potager qui fait saillie à l'extérieur.
  • Le puits de Colleau (XVe ou XVIe siècle).
Patrimoine disparu
  • A Villejésus, la chapelle Saint-Jean (détruite en 1793) de l'ancienne commanderie de l'ordre de Malte.
  • Près de la fontaine Saint-Fiacre, une chapelle, reconstruite en 1584, a été détruite à la fin du XVIIIe siècle.
  • La chapelle Saint-Jean de L'Habit, fut encore signalée en 1757.
  • La chapelle du hameau de Sainte-Catherine, connue en 1705.
  • A Chantereine, la chapelle Notre-Dame-de-la-Paix, consacrée le 24 janvier 1674 par Michel Amelot, archevêque de Tours, fut détruite en 1796.

Lieux-dits: Beauvais, Bois-Brunet, Bois-de-la-Commanderie, Bois-de-la-Gironnerie, Bois-de-Vinceuil, Bois-Soleil, Bournigal, Buisson-Rousseau, Carroir-des-Trois-Chênes, Chantereine, Château-de-Bossay, Chéraulois, Chézelle, Cingé, Claise, Colleau, Flée, Foix, Fondamer, Jappe-Renard, La Basse-Métairie, La Berche, La Bessonnière, La Bonnerie, La Bourgognière, La Buchetterie, La Buttière, La Cabane, La Caltière, La Carillonnerie, La Castillarderie, La Chainaye, La Chalantonnerie, La Chapelle, La Châtaigneraie, La Chaumette, La Chillolerie, La Clavellerie, La Clouterie, La Commanderie, La Coulonnerie, La Couture, La Crocheterie, La Croix-Dais, La Drageonnière, La Duranderie, La Ferrugineuse, La Fertauderie, La Foi, La Fontaine-aux-Puces, La Foresterie, La Forge-de-Fenil, La Fosse-Rouge, La Gabillette, La Gailliennerie, La Gare, La Gateauderie, La Gatinière, La Gibauderie, La Gilletterie, La Gironnerie, La Gouarie, La Gourie, La Grange, La Justice, La Lieutenanderie, La Mailletterie, La Maison-Neuve, La Maurellerie, La Petite-Rabaudière, La Phillonnerie, La Pièce-du-Rallet, La Potéterie, La Prairie-de-Cingé, La Rabaudière, La Rebocquerie, La Rochepineau, La Rolle, La Rouarie, La Roulette, La Soupiquerie, La Tartinerie, La Terteaudrie, La Touche, La Touche-au-Lard, La Touche-Bernay, La Tuilerie, Launay-sur-Fourche, La Vidonnière, La Voltière, Le Boisson, Le Buchet, Le Château, Le Fourneau, Le Gargot, Le Grand-Vaucoulon, Le Paradis, Le Petit-Chézelle, Le Petit-Bois, Le Petit-Saint-Lifard, Le Petit-Vaucoulon, Le Petit-Vinceuil, Le Piedtertau, Le Pin, Le Pontreau, Le Rochereau, Le Ruisseau, L’Étanché, L’Étang-Noquet, Le Tremble, Les Augereaux, Les Baronnières, Les Basses-Renauderies, Les Basses-Sablonnières, Les Bertaulières, Les Caves, Les Caves-de-Ris, Les Chéraux, Les Courances, Les Effes, Les Fonds-de-Launay, Les Forges-de-L’Épine, Les Gaillards, Les Gounelles, Les Grandes-Goupillères, Les Guérines, Les Hautes-Renauderies, Les Lignes, Les Maitreaux, Les Mées, Les Mondains, Les Mousserons, Les Petites-Goupillères, Les Quatre-Bornes, Les Renondeaux, Les Richardières, Les Rochereaux, Les Sablières, Les Sablonnières, Les Thibaudières, Les Tranchants, Les Trappeaux, Les Vignes-de-la-Croix, Les Viollières, L'Habit, L'Oisillère, Marchebec, Massuet, Moulin-de-la-Roche-Berland, Moulin-de-la-Volette, Moulin-de-Ris, Neuville, Petit-Ris, Piproue, Ravin-des-Richardières, Richelieu, Ris, Sainte-Catherine, Saint-Lifard, Sauvaget, Taille-de-Bossay, Thouaré, Valclaise, Villechaise, Villejésus, Vinceuil, Virfollet
    Communes voisines: Charnizay, Preuilly-sur-Claise, Tournon-St-Pierre, Yzeures-sur-Creuse
    Blason de Bossay-sur-Claise

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